dimanche 22 juillet 2018

Islamisme et politique 23.07.2018

Un réseau de jeunes proxénètes de cité démantelé

Le maillot de l'équipe de France à deux étoiles coûte moins de 3 euros à produire en Thaïlande 

Affaire Benalla (suite)
Le Général Pierre de Villiers a expliqué aujourd’hui à BFMTV qu’il avait dû donner les codes nucléaires à Alexandre Benalla lors de sa première rencontre avec le proche du président.
Une information qui relance toutes les théories sur les raisons de la protection du personnage.



@moutet : Heureusement qu’on a @Mediapart pour nous expliquer que l’acharnement contre #Benalla, c’est du racisme.
“Le Marocain Alexandre Benalla: De l'Elysée à la guillotine.”
https://blogs.mediapart.fr/rachid-barbouch/blog/200718/le-marocain-alexandre-benalla-de-lelysee-la-guillotine

GWG : Et oui, Mediapart l'a osé : "c'est parce que c'est un Arabe qui frappe un blanc" que la France raciste s'acharnerait sur le "marocain". Cette obsession de la différence et cet antiracisme perverti sont aujourd'hui les premiers fabricants du racisme authentique.

Benalla pilotait un projet de refonte des services secrets "à la française" pour l'Élysée http://www.fdesouche.com/1046655-benalla-pilotait-un-projet-de-refonte-des-services-secrets-a-la-francaise-pour-lelysee

Sur cette nouvelle vidéo révélée par Médiapart : Benalla donne des ordres, le commissaire obéit, les CRS tabassent à nouveau les deux manifestants. Ce n'est pas "juste" une milice parallèle, mais une milice qui se substitue aux chefs de la police dans la chasse aux opposants.
https://twitter.com/Nantes_Revoltee/status/1020798522902437888



Julie75018 @juliebazbaud : #lachapelle je t’aime mais je te quitte !! 
Marre de ces 100aines d’hommes sur les trottoirs, marre d’expliquer à mes filles les seringues, les migrants, la peur, les dealers, les couteaux... @Anne_Hidalgo vous avez de mon quartier à 7500€ le m2 un bidonville à ciel ouvert

Je vous l'avais prédit il y a longtemps, malgré vos insultes. #whiteflight !

Bonne nouvelle vie au calme !
On commence par quitter notre quartier, ensuite #Paris, IDF et la #France... Avec la prévision des 10 millions de migrants/clandestins de+ et leur familles d'ici 2030 et 150mil plannifié par l'ONU pour l'Europe, où pourront-nous aller ?

Bon vent et bon nouveau départ 👍🏻. Je prends ton aspiration dans peu de temps.  Depuis 35 ans à #Paris10 ( grand parents et parents depuis la fin des années 50 ) ... la ghettoïsation de ce quartier voulu par la @Mairie10Paris à eu raison de nous. Une famille de cadre en moins.

Ce n'est malheureusement pas que le 18eme tout Paris devient ville immonde. Perso j'ai fuis cette ville après y avoir habité 30 ans et vu l'enfer qu'elle est devenue. Toute personne sensée en fait autant si elle le peut

Malheureusement à ce rythme là c'est Paris en entier qu'il faudra quitter dans 10ans, puis la France dans 20 ans ?!



Un enfant de trois ans attaqué à l'acide
http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Un-enfant-de-trois-ans-attaque-a-l-acide-12423212


Un réseau de jeunes proxénètes de cité démantelé

Une des adolescentes a été séquestrée dans la cité Saint-Jean Saint-Pierre à Narbonne d'où sont issus les suspects/ Photo illustration Ch.Barreau

Filatures, surveillances, écoutes, expertises bancaires, recoupements, travail de fourmi sur internet… Près d'un an d'enquête a été nécessaire aux services de l'antenne de la police judiciaire de Perpignan afin de réussir à démanteler un réseau de proxénètes de cités implanté dans la région, symbolique de cette nouvelle délinquance qui prolifère dans les quartiers défavorisés.
Tout débute lorsque des parents viennent signaler à la gendarmerie d'une petite commune de la région toulousaine la fugue de leur fille, mineure de 15 ans, depuis octobre 2016, orientant les recherches dans la région de Narbonne où ils craignaient qu'elle ait trouvé refuge chez son “petit copain” et qu'elle ne soit obligée de se prostituer.
Retenue dans la cité Saint-Jean Saint-Pierre
Les premières investigations, confiées à la PJ perpignanaise en août 2017, permettent de la localiser et tendent malheureusement à montrer que sa présumée histoire d'amour a viré au cauchemar, qu'elle est contrainte à des relations tarifées notamment dans l'Aude et dans les P.-O. comme à Saint-Laurent-de-la-Salanque. Mais les policiers ne s'arrêtent pas là et “tirent le fil” de cette affaire dans l'environnement de la jeune fille sur le Narbonnais, retenue dans la cité Saint-Jean Saint-Pierre, et parviennent à cibler quatre personnes, soupçonnées d'être les organisateurs d'un réseau de prostitution forcée de jeunes filles. Lesquelles sont également identifiées tandis que des recherches minutieuses sur les sites d'annonces utilisées, en l'occurrence Viva Street, Sexe model et Wannonce, aboutissent à établir les lieux utilisés pour ces «passes», dans des appartements et des chambres d'hôtels du secteur de Narbonne, à Mérignac, au Cap d'Agde, à Paris, à Lyon… et mènent à l'audition de plusieurs clients.
Trois arrestations à Narbonne-plage
Deux jeunes hommes, défavorablement connus pour stupéfiants, vols et cambriolages, et une femme, une prostituée devenue souteneuse et déjà impliquée dans une affaire similaire à Marseille, tous âgés d'une vingtaine d'années, ont ainsi été arrêtées fin juin à Narbonne-plage et placés en garde à vue, lors de laquelle ils ont minimisé leur implication. Ils ont été mis en examen pour «proxénétisme aggravé en bande organisée ; enlèvement, détention ou séquestration en vue de commettre un crime ; viol en réunion et trafic de stupéfiants» et tous ont été écroués.
De 500 à 1 000 € par jour et par fille
Grâce à une coopération transfrontalière en urgence, le quatrième mis en cause, âgé de 29 ans, a été localisé en Espagne à la suite d'un mandat d'arrêt européen et intercepté par les Mossos d'Esquadra le 10 juillet. Il a été placé en détention préventive dans l'attente de sa reconduction en France afin d'être présenté à un juge.
Selon, les premiers éléments, le réseau exploitait une dizaine de jeunes filles, dont certaines avaient au départ entre 15 et 17 ans, ‘‘recrutées'' dans l'Aude mais aussi sur Perpignan. Des jeunes filles, auxquelles le réseau fournissait de la cocaïne. Des adolescentes et jeunes femmes qui étaient frappées, menacées, retenues de force dans des logements ou même dans des coffres de voiture et déplacées en permanence pour être soumises à des relations sexuelles.
Les proxénètes récupéraient la quasi-totalité des gains, soit entre 500 euros et 1 000 euros par jour et par fille, à raison de 10 passes quotidiennes en moyenne. Les investigations se poursuivent.
Laure Moysset

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