vendredi 13 septembre 2019

Police ligotée et suicidée par le pouvoir, voilà pourquoi les criminels étrangers pullulent

Ce valeureux général de la gendarmerie française cherche à dénoncer une vérité qui dérange.
À diffuser largement ! Nous sommes leur porte-voix.
https://twitter.com/jingle_all/status/1164585281623941121

@LeGuillec2019 : Il n'y a qu'en France que l'on voit cela!!! Nous sommes la risée de ce monde! #immigration #ensauvagement
https://twitter.com/LeGuillec2019/status/1166367783564775424

Majid Oukacha
Dans un monde normal, on combat la délinquance. Mais ici il est demandé aux gentils de s'adapter aux criminels plus que l'inverse. On déplace donc les innocents afin de ne pas déranger les délinquants dans leurs activités. Pourtant, fuir le crime ne le fera pas disparaître...
https://twitter.com/MajidOukacha/status/1165020596197109761


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Vive la France!@ViveLaFrance999
Des gangs de mineurs sans papiers cambriolent de plus en plus de pharmacie de banlieue parisienne.
Quand ils sont arrêtés, ils sont...relâchés dans la journée!
"Les chances pour la France" couplées au laxisme Macroniste!
La France est en perdition...
https://twitter.com/ViveLaFrance999/status/1165698222469394433

Policier suspendu à Sevran par le préfet Lallement : des casques bleus à touche pas à mon grand frère
par Syndicat France Police - Policiers en colère



En 2012, le maire de Sevran avait réclamé des casques bleus pour rétablir l'ordre dans sa ville, allant même jusqu'à la grève de la faim, avant de finalement jeter l'éponge face aux gangs de dealers et à un Etat totalement impuissant.

Aujourd'hui, une banale vidéo dans laquelle on voit un grand frère de la cité, embauché et payé par la ville de Sevran, refuser son interpellation et se battre à coups de poings avec un policier, confirme de quel côté se place la puissance publique.

La dictature des réseaux sociaux et du tweet, la lâcheté et l'instrumentalisation politico-médiatiques auront, une fois encore, eu la peau de l'un de nos collègues.

Doit-on rappeler l'usage de la force ordonné par les pouvoirs publics à l'encontre des manifestants Gilets jaunes : des milliers de blessés et des dizaines de manifestants mutilés avec le soutien sans faille et les encouragements du gouvernement, jugeant les blessures de guerre infligées au peuple, légitimes ?

Mais quand il s'agit du grand frère de la cité, du gentil caïd qui maintient la paix sociale en échange du retrait de la République du quartier, là, touche pas à mon grand frère..

Doit-on rappeler la pénétration des narcotrafiquants dans la vie municipale en banlieue ? De Bagnolet en passant par Sylvie Andrieux en PACA, tous ces mécanismes sont parfaitement connus et identifiés.. Mais silence radio..

La garde à vue de cette nouvelle victime à la sauce Théo, inventée de toutes pièces par les réseaux sociaux, a été levée par la justice pour raisons médicales.. Pourtant, pour se battre avec notre collègue, ce grand frère était plutôt en bonne santé..

Bilan ? Le caïd est dehors avec le statut de victime et notre collègue est suspendu avec le statut d'auteur..

Comme quoi en France, il vaut mieux être dealer que Gilet jaune ou flic..

Nancy : arrêté avec 500 grammes de cannabis, un migrant sous le coup d’une OQTF déclare que c’est « sa consommation personnelle », il est remis en liberté
https://www.fdesouche.com/1251355-nancy-arrete-avec-500-grammes-de-cannabis-un-migrant-sous-le-coup-dune-oqtf-declare-que-cest-sa-consommation-personnelle-il-est-remis-en-liberte

Un flic lyonnais tacle Taché : le « céfran » est facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier

Michel Thooris : « Des lobbies mettent la pression sur la police pour assurer l’impunité des dealers »

La police est à nouveau visée par une plainte, ici pour « torture et actes de barbarie », à la suite d’une interpellation de dealers, vendredi dernier à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).

Réaction de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire, qui dénonce le recul de l’État de droit dans certains quartiers, mais également le malaise grandissant dans la police.




Des policiers sont accusés d’acte de barbarie dans le cadre d’une interpellation musclée à Saint-Ouen.
Que s’est-il passé ?

Il s’est passé quelque chose de très naturel. Des trafiquants de drogue opèrent en toute impunité sur cette commune. Les fonctionnaires de police tentent de faire leur travail dans des conditions extrêmement difficiles. Lorsqu’ils les interpellent, ces dealers accusent tout naturellement les policiers d’acte de torture et de barbarie.
Voilà où en est aujourd’hui la société française.


Cette histoire rappelle un peu l’histoire Théo…

Elle rappelle en partie l’affaire Théo. D’un point de vue général, cela démontre que des lobbies mettent la pression sur la police pour assurer l’impunité totale des criminels, et notamment des trafiquants de drogue. Derrière cette affaire, on tente de faire reculer la police face aux dealers. Ces derniers contrôlent des pans entiers de l’économie de la nation et des quartiers tombent petit à petit sous leur coupe.


On parle très régulièrement dans l’actualité des zones de non-droits. On a l’impression que les policiers ne peuvent même plus intervenir.
Quelle est la réalité ? N’avez-vous plus les moyens matériels d’intervenir ou avez-vous des ordres pour ne plus intervenir ?

Il y a deux aspects.
Celui de «l’opinion publique» dit que certains lobbys vont instrumentaliser la moindre intervention de police pour la faire passer pour une bavure policière et assurer ainsi l’impunité des criminels dans les quartiers.
Notre hiérarchie et l’institution judiciaire sont totalement débordées. Elles ne sont pas en mesure d’envoyer les dealers en prison. Les prisons sont pleines et saturées.
La hiérarchie policière est parfois extrêmement frileuse. Elle peut parfois être très zélée quand il s’agit d’envoyer nos collègues pour faire de la répression des Gilets jaunes. En revanche, quand il s’agit des dealers dans les quartiers, la prudence est malheureusement de mise.


Cela intervient au cours d’une année de grosses tensions à l’égard des forces de l’ordre.
Le nombre de suicides est en hausse.
Les policiers souffrent-ils de devoir intervenir dans des conditions difficiles ?

Les policiers ne peuvent plus exercer le métier de policier.
Dès qu’ils remplissent une mission de police, ils sont systématiquement mis en cause et jetés à la vindicte populaire par une certaine presse. Ils risquent des ennuis judiciaires. Le pouvoir policier instrumentalise la police à tout va. Le ministre de l’Intérieur prend systématiquement parti quand il s’agit de Gilets jaunes blessés lors des manifestations. En revanche, on n’entend pas un seul politicien soutenir les forces de police lorsqu’il s’agit d’aller enrayer le trafic de drogue et d’aller chercher les dealers dans les quartiers. Encore une fois, les policiers sont victimes d’une instrumentalisation politicienne qui nuit gravement à notre institution et qui pèse lourdement sur le moral des troupes. La vague de suicides le rappelle de manière quotidienne.

Pensez-vous à des lobbies particuliers ?

Dès qu’un dealer est arrêté, une espèce de bien-pensance prend immédiatement parti pour le dealer contre le policier en soupçonnant des violences à caractère raciste. Dès qu’on intervient et interpelle dans les quartiers, des policiers sont rapidement suspectés de racisme. Ces
lobbies ont une influence absolument considérable dans le paysage médiatique. Ils se mettent immédiatement à l’oeuvre et jettent en pâture les fonctionnaires de police.

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