samedi 2 juin 2018

L'identité génétique européenne


Nicolas@Nico_unv : Les "Blancs", ce sont des Européens.
Une population génétiquement distincte des autres (https://www.nature.com/articles/s41467-018-04191-y …).
Sans faire la moindre hiérarchie, les Européens sont les autochtones d'Europe et ont le droit de préserver leur identité.
Cf. article 8 : http://www.un.org/fr/documents/view_doc.asp?symbol=A/RES/61/295


Henri de Lesquen : C'est faux. Il y a une race caucasoïde, qui peuple aussi l'Afrique du nord, le Proche-Orient et l'Inde. Rien ne permet de définir une unité ou une identité génétique des populations d'Europe. Il est stupide de leur réserver le nom de blancs.

https://henrydelesquen.fr/2017/02/22/les-cinq-races-de-lhumanite/

Nicolas@Nico_unv : Obscurantisme.
L'identité génétique européenne est tout à fait établie génétiquement.

La classification de Coon est datée.
K=9, les Européens sont distincts des Arabes.
C'est conforme à la science et cela sert parfaitement la réémigration, cela devrait vous convenir.

Assa Traoré : "En Afrique, ils renversent le président [et] le palais. Ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France ?"

Peut-être parce qu'en Europe le QI moyen est 30 points + élevé qu'en Afrique ? 🤔



L'occasion de rappeler que la démocratie ne peut pas exister dans un pays dont le QI moyen est trop bas.
Même chose pour une politique sociale typique des États européens.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0191886911001073 …

Rappelons également que les études génomiques démontrent que les variations de QI - au sein de la population européenne - sont dues, au minimum, à 50 % à la génétique. Les spécialistes estiment que cette variation est comprise entre 50 % et 85 %.

G Davies, A Tenesa[…]I J Deary, Genome-wide association studies establish that human intelligence is highly heritable and polygenic, Molecular Psychiatry volume 16, pages 996–1005 (2011)
https://www.nature.com/articles/mp201185

Enfin, les progrès de la génétique vont révolutionner notre monde.
Une étude toute récente a démontré que les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont génétiques.

Global genetic differentiation of complex traits shaped by natural selection in humans
Jing Guo, Yang Wu, Zhihong Zhu, Zhili Zheng, Maciej Trzaskowski, Jian Zeng, Matthew R. Robinson, Peter M. Visscher & Jian Yang
Nature Communications, volume 9, Article number: 1865 (2018)
https://www.nature.com/articles/s41467-018-04191-y

Pour une professeur de génétique à Harvard, il faut s'attendre à ce que les différences intellectuelles constatées entre les populations humaines soient significativement dues à la génétique.
C'est l'avis dominant chez tous les spécialistes.
How Genetics Is Changing Our Understanding of ‘Race’
By David Reich
https://www.nytimes.com/2018/03/23/opinion/sunday/genetics-race.html

Le QI moyen de la Mongolie (101) est une estimation basée sur la moyenne des 2 pays l'entourant (Chine et Russie).
Lynn a noté que ce QI moyen élevé n'empêchait pas le pays d'avoir un indice de "Qualité de la Condition Humaine" (QHC) faible. Ci-dessous, ses explications ⬇️



Lynn est très sérieux. Son procédé d'estimation est classique et s'est avéré concluant. Même ses critiques l'admettent .
Son travail ne fait débat que sur son estimation du QI subsaharien que certain jugent trop basse.
Ce qui est faux, cf. cet article : http://www.unz.com/jthompson/the-worlds-iq-86/
Oui, à peu près tous les spécialistes.
Lynn est régulièrement publié dans la revue Intelligence.
Même Wicherts qui l'attaque reconnaît que ses estimations de QI sont très bonnes.
Et ceux qui ont repris ses données ont constaté son sérieux, cf. http://www.unz.com/jthompson/the-worlds-iq-86/ …



L'ironie n'est pas un argument.
Les travaux de Lynn font référence. Même Wicherts, qui le critique vertement sur le QI subsaharien (sans proposer d'alternative crédible comme il le reconnait lui-même), admet que ses estimations des QI nationaux sont généralement bonnes.



1/ La pertinence des tests de QI ne fait aucun doute parmi les scientifiques.
2/ Chez l'enfant, le QI est ultra malléable. Le "vrai" QI se mesure après l'adolescence, une fois le QI véritablement "fixé".




12 Juin 2016
http://histoirerevisitee.over-blog.com/2016/06/et-si-les-hommes-europeens-ne-venaient-pas-d-afrique.html

Selon Yves Coppens, le berceau de l'Humanité n'est pas en Afrique
La théorie de « l’Eve africaine » et celle d’ « Out of Africa » peuvent être désormais rangées dans le rayon des idéologies défuntes, quelque part entre la « lutte des classes » et le mythe de la « colonisation-pillage »... Les Hommes européens ne viennent pas d'Afrique, ni les hommes asiatiques non plus : Les avancées scientifiques des 20 dernières années ont définitivement tordu le cou à ce mythe teinté de racisme et d'idéologie de Gauche !

Déclarant à la revue Science et Avenir (n° 772, juin 2011) que «L’Afrique n’est pas le seul berceau de l’Homme moderne », Yves Coppens fait voler en éclats le postulat de l’exclusivité des origines africaines de l’humanité. Il évacue également d’une phrase plusieurs dizaines d’années d’un hallucinant « bourrage de crâne » scientifique construit autour du paradigme du « Out of Africa ».
Pour mémoire, selon ce dernier, les Homo sapiens seraient sortis d’Afrique sous leur forme moderne entre moins 100 000 ans et moins 60 000 ans, et ils auraient partout remplacé les populations antérieures, ce qui fait que nous sommes tous des Africains…
C’est en prenant en compte les découvertes récentes qu’Yves Coppens a radicalement révisé ses anciennes certitudes. Désormais, pour lui, ni l’Homme moderne européen, ni l’Homme moderne asiatique ne descendent de l’Homme moderne africain puisqu’il écrit : « Je ne crois pas que les hommes modernes aient surgi d’Afrique il y a 100 000 à 60 000 ans (…) Je pense que les Homo sapiens d’Extrême-Orient sont les descendants des Homo erectus d’Extrême-Orient ». Comment serait-il d’ailleurs possible de continuer à soutenir que les Asiatiques ont une origine africaine quand, dans une Chine peuplée en continu depuis 2 millions d’années, les découvertes s’accumulent qui mettent en évidence la transition entre les hommes dits archaïques et l’Homme moderne dont les Chinois actuels sont les très probables descendants (Dong, 2008 : 48). Il en est de même avec les Européens.
Les importantes découvertes archéologiques qui ont permis une totale révision des modèles anciens ne sont pas des nouveautés pour les lecteurs de l’Afrique Réelle. Dans un dossier publié dans le numéro 11 du mois de novembre 2010, il a ainsi été montré que l’Homme moderne, qu’il soit asiatique, européen ou africain est issu de souches locales d’hominisation ayant évolué in situ.
Un peu partout dans le monde, nous voyons en effet et clairement des Homo erectus se « sapiensiser » et donner naissance à des lignées locales, peut-être les plus lointains marqueurs des « races » actuelles. Ces « sapiensisations » observables à la fois en Asie, en Europe, dans le monde méditerranéen et en Afrique, réduisent à néant le postulat du diffusionnisme au profit de l’hypothèse multi régionaliste que je défends depuis de nombreuses années.
Les découvertes qui s’accumulent, de la Georgie à l’Espagne, de la Chine au Maroc ou encore d’Israël à l’Australie et à la Mongolie vont ainsi toutes dans le sens d’hominisations indépendantes de (ou des) l’hominisation africaine.
Cette déferlante ayant fait céder les fragiles digues dressées par la pensée unique, ses derniers défenseurs en sont réduits à jongler avec les faits. Le célèbre généticien André Langaney n’a ainsi plus qu’un pauvre argument à opposer aux nombreuses et très sérieuses études faites en Chine puisqu’il ne craint pas d’écrire : « Des scientifiques orientaux au nationalisme mal placé veulent à toute force que l’homme de Pékin ou d’autres fossiles chinois soient leurs ancêtres » (Sciences et Avenir, page 63). Fin du débat !
Le dossier de Science et Avenir constitue une étape essentielle dans la libération des esprits car il va toucher le plus grand nombre. En dépit d’inévitables scories idéologiques qui font surface ici ou là, et de concessions appuyées au politiquement correct, sa publication signifie qu’il n’est désormais plus possible de cacher au grand public une vérité que les spécialistes connaissaient mais qu’ils conservaient prudemment dans leurs tiroirs afin de ne pas désespérer le « Billancourt de la paléontologie »…
La théorie de « l’Eve africaine » et celle d’ « Out of Africa » peuvent donc être désormais rangées dans le rayon des idéologies défuntes, quelque part entre la « lutte des classes » et le mythe de la « colonisation-pillage ».
Les études toutes récentes sur l'Homme de Dali en Chine ne font qu'enfoncer le clou et tuent définitivement "L'Eve africaine" ! Elles ouvrent de nouvelles hypothèses qui font avancer la science en dehors de toutes idéologies sclérosantes.
Celles sur l'Homme de Neandertal montre qu'il n'était pas un sous-homme, mais un homme qui n'avait rien à envier à l'Homme moderne venant d'Afrique (Lire : Neandertal peint les premières fresques 20 000 ans avant l'arrivée de l'Homme moderne en Europe)

(Bernard Lugan pour le site http://breizatao.com
Yves Coppens est un paléontologue et paléoanthropologue français, professeur émérite au Collège de France. En France, son nom est attaché à la découverte en 1974 du fossile surnommé Lucy, puisqu'il était avec l'Américain Donald Johanson et le Français Maurice Taïeb l'un des trois codirecteurs de l'équipe qui l'a mis au jour.

LE BERCEAU DE L’HUMANITÉ SERAIT EN EUROPE


Depuis longtemps, l’Afrique est considérée comme le berceau de l’humanité. Les découvertes de fossiles du XIXème siècle et du XXème siècle ont conduit la communauté scientifique à admettre cette théorie. Selon cette hypothèse dominante, le dernier ancêtre commun de l’homme avec les grands singes se trouvait sur le continent africain. Toutefois, une récente étude émet une toute autre hypothèse, une hypothèse qui devrait donner lieu à un véritable débat au sein de la communauté scientifique.
Le lundi 22 mai 2017, des chercheurs internationaux ont publié les résultats d’une étude réalisée par une équipe de scientifiques allemands, grecs, bulgares et canadiens.

Elle soutient une nouvelle thèse pour le moins controversée. Après avoir examiné une dent et une mâchoire retrouvées en Europe orientale, les scientifiques ont en effet émis l’hypothèse que le vieux continent serait le véritable berceau de l’humanité.

L’Humanité ne serait pas née en Afrique

Ces fossiles ont été retrouvés à l’est du Bassin méditerranéen, en Bulgarie et en Grèce. Cette découverte pourrait bouleverser les connaissances paléontologiques admises jusqu’à présent. Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Plos One.
Tout a commencé en 1944 lorsque l’armée allemande a lancé un grand chantier en Grèce afin de construire un bunker. Durant les travaux, des soldats ont découvert une mâchoire. Celle de l’étude.
La dent, pour sa part, a été retrouvée en Bulgarie. Depuis, cette espèce d’hominidé a été baptiséeGraecopithèque freybergi par la communauté scientifique.
L’équipe formée des chercheurs de nationalités différentes a eu l’idée de réexaminer ces deux fossiles. Pour ce faire, elle a eu recours à la tomographie, une méthode relevant de la haute technologie. Concrètement, il s’agit d’un système d’imagerie permettant la reconstruction d’un objet en 3D à partir de fines couches en 2D.

Une nouvelle datation plus précise

L’examen passé au tomographe a révélé que les deux fossiles dataient de 7,2 millions d’années. Ainsi, elles seraient plus anciennes de deux-cent-mille ans par rapport à celles qui ont été retrouvées en Afrique.
Ces dernières sont les fossiles des hominidés appelés Toumaï ou Sahelanthropus tchadensis. Elles ont été retrouvées en Afrique sahélienne et dateraient de cinq à sept-millions d’années.
L’étude ne fait cependant pas l’unanimité dans la communauté scientifique et les conclusions faites par les chercheurs a ainsi été contredite par de nombreux spécialistes. Pour eux, le réexamen de deux fossiles ne suffirait en effet pas pour remettre en question des décennies d’études et d’observations.
Les scientifiques internationaux envisagent donc de revenir en Bulgarie pour recueillir d’autres indices. Chose qui ne sera pas possible en Grèce puisqu’une ville a été construite sur le site.

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