vendredi 1 février 2019

Les milices gauchistes utilisées par Castaner contre les Gilets jaunes

La blessure spectaculaire du Gilet jaune Jérôme Rodrigues, un proche d’Éric Drouet, a révolté la France entière, à l’exception de 10 000 Foulards rouges qui ont manifesté pour défendre Macron, et, paraît-il, la démocratie, contre les « violences des Gilets jaunes ». Cela fait tout de même cent fois moins que le général de Gaulle ! Et encore, ce sont les chiffres de la police, alors que les journalistes de Russia Today n’annoncent, eux, que 1500 à 2000 manifestants. Finalement, Castaner applique la théorie des vases communicants, ils gonfle les chiffres des amis, et diminue ceux de ses ennemis jurés.

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Maître Pichon, avocat de Gilets jaunes, et par ailleurs de Riposte Laïque, était invité, il y a une semaine, par Élise Blaise, pour parler de ce qu’il appelait « L’État policier » que subissent les Gilets jaunes, sous la houlette d’un ministre, Castaner, qui multiplie les insultes et les provocations à leur égard.
Quand notre avocat parle « d’État policier », reprenant les propos des gauchistes des années 1968, et notamment cette chanson de Dominique Grange (par ailleurs compagne du dessinateur Tardi), c’est vraiment qu’il se passe quelque chose de grave en France.
La violence de la répression exercée contre les Gilets jaunes dépasse tout ce qu’on a vu, en France, depuis la guerre d’Algérie. Il y en a pourtant eu, des grands mouvements sociaux, mais aucun n’a fait douze morts, près de deux mille blessés chez les manifestants, et mille chez les policiers, cinq mille arrestations, et plus de deux cent cinquante arrestations. Jamais une centaine de manifestants n’a subi des séquelles aussi graves que celle qui, à cause de tirs tendus délibérés, visant des Gilets jaunes au visage, ont engendré des blessures et des handicaps définitifs. Un syndicaliste démontre comment la hiérarchie policière est soumise au politique, et est la principale responsable des violences.
Par ailleurs, de plus en plus de rassemblements dégénèrent à cause de la présence de gauchistes qui n’ont pas grand chose à voir avec la culture originale des Gilets jaunes. Ils agressent les policiers, et font dégénérer des manifestations qui se déroulaient bien.
Dans un contexte pareil, les Républicains patriotes que nous sommes doivent garder la tête froide. Nous savons que, dans la rédaction, la question du rapport à la police est un sujet sensible entre plusieurs rédacteurs, qui ont pu, tous, donner leur point de vue sur cette question délicate. Bien évidemment que les pratiques répressives et violentes de nombre de policiers sont inacceptables. L’envie est donc forte de répondre à leurs agressions en donnant libre court à une violence anti-policière qui ne demande qu’à s’exprimer. Force est de constater que des pans de la police se conduisent davantage en milice de Macron qu’en gardien de l’ordre républicain.
Pour autant, nous devons regarder dans quel contexte nous évoluons, et quels sont les véritables responsables. C’est la clique de Macron, avec ses hommes de main, Castaner, Nunez, Griveaux, Darmanin et sa femme des basses œuvres Schiappa qui portent seuls la responsabilité des violences policières exercées contre les manifestants. Ce sont eux qui, comme le rappelle maître Pichon, donnent des consignes aux forces de l’ordre pour laisser en paix les gauchistes Black Blocs ou les antifas, quand ils multiplient les arrestations arbitraires préventives contre les militants patriotes. On a pu encore le constater ce samedi, où le local de Génération Identitaire a été perquisitionné par des policiers, alors que les Black Blocs avaient annoncé leur intention d’attaquer les forces de l’ordre à Bastille, ce que faisait remarquer Jérôme Rodrigues avant sa blessure.
Il y a une complicité évidente entre ce régime et les casseurs gauchistes pour discréditer les Gilets jaunes, et expulser de ce mouvement tous les mouvements patriotes, présents depuis le début, pour faciliter la récupération de la gauche qui se met en place, avec, hélas, la complaisance de quelques porte-parole GJ. Remarquons que ce que notre fondateur, Pierre Cassen, a appelé les ratonnades des gauchistes contre les patriotes se déroulent sous le regard passif des forces de l’ordre.
Dans le même temps, la CGT, les Insoumis, Plenel et Besancenot multiplient leurs attaques contre la police, réclament des mesures qui laisseraient nos policiers désarmés face à la racaille. Faut-il rappeler les affiches sordides publiées par la CGT, lors des manifestations contre la loi travail, où les policiers furent très souvent agressés brutalement, sans avoir les consignes pour se défendre ? Faut-il rappeler ce maillot scandaleux, cautionné par Plenel, en soutien de la famille Traoré ? Et faut-il rappeler que les duettistes Poutou-Besancenot réclament depuis longtemps le désarmement de la police, et considèrent sa présence des les quartiers islamisés comme une provocation d’une armée d’occupation ?

La police considérée comme des Kapos par la CGT

Le véritable scandale, dans la répression sauvage contre les Gilets jaunes, est qu’elle vise délibérément le peuple de France, ceux qui incarnent le cœur de notre pays, quand les policiers se voient démunis et privés d’ordre quand les casseurs gauchistes vandalisent les centres-villes, leur balancent des projectiles destinés à tuer, ou quand les racailles les insultent et les agressent régulièrement, en toute impunité, n’hésitant pas à tendre aux agents de l’ordre de véritables guet-apens, y compris dans le privé.
Que les policiers allument, à la hauteur du danger représenté, ceux qui les agressent régulièrement, ne nous poserait aucun problème, cela serait légitime, et cela se passe dans tous les pays normalement gouvernés. Or, Macron et Castaner, qui méprisent les forces de l’ordre, continuent à leur interdire de réprimer les gauchistes et les racailles, mais leur donne l’ordre de flinguer les Gilets jaunes. Et les journalistes, par leur silence complice, couvrent ces agressions, dignes d’un pays totalitaire, ce qui explique le formidable coup de gueule de Jean-Yves Le Gallou contre quelques specimens des médias de propagande.
C’est dans ce contexte de chasse au patriote que va s’ouvrir, cette semaine, sous la présidence de Muriel Ressiguier, la commission parlementaire qui a pour objet de faire face aux menaces d’extrême droite. Défense d’éclater de rire, comme le fait Emmanuel Ménard…
Comme vous le voyez, il y aura de quoi parler, le 17 mars prochain, à Rungis, aux Assises de la France des Gilets jaunes. Là, vous entendrez des spécialistes discuter de sujets incontournables comme :
– Les Gilets jaunes et la répression policière
– Les Gilets jaunes et la répression judiciaire
– Les Gilets jaunes et les médias de propagande
– Les Gilets jaunes et le prix de l’immigration
– L’Italie avec les Gilets jaunes.
-La Suisse et le Ric des Gilets jaunes.
-Les Gilets jaunes et l’imposture de l’urgence climatique.
Bien évidemment, des responsables Gilets jaunes, présents sur les barrages depuis le 17 novembre, viendront apporter leur témoignage de terrain, et débattre avec la salle.
Et bien sûr, nous attendons de voir comment le mouvement évolue pour compléter notre plateau, qui commence à se mettre en place, et sur lequel nous communiquerons au plus vite.
Pour réserver vos places : participation aux frais : 10 euros
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