vendredi 1 février 2019

Ne laissons pas la France sortir de l'Histoire


L'Histoire de France n'est que sporadiquement enseignée aux élèves de 6 à 18 ans. 

En cause :
- des programmes troués, indigents et idéologiquement orientés par la bien-pensance mondialiste,
- des horaires faméliques,
- des professeurs parfois victimes de bavardage et d'incivilité (voir les "stylos rouges")
- des classes "mixtes" où se côtoient l'illettré, le moyen et le cultivé, les premiers ne suivant plus, s'ennuyant et perturbant la classe, les deuxièmes troublés par les premiers ayant du mal à suivre, les troisièmes rongeant leur frein.
- l'impact négatif sur cet enseignement historique des carences abyssales qu'ont accumulées les élèves dans les autres matières, notamment en français et en mathématiques,
- la baisse du QI liée à l'immigration et à la non-reproduction des personnes aux QI élevées,
- la baisse de l'attention et de la concentration provoquée par la consommation trop importante d'écrans et de colorants-conservateurs,
- et surtout la défiance à l'égard de l'histoire de France de la part des "élites mondialistes".

Lire la suite sur https://ripostelaique.com/ne-laissons-pas-la-france-sortir-de-lhistoire.html





























Mais ce n'est pas grave. Tout en ayant beaucoup moins de connaissances que des élèves de 11 ans à la fin de leur CM2 et a fortiori beaucoup moins que des élèves de 13 ans des années 50 lors du passage de leur Certificat d'Études, les élèves actuels de Terminale (18 ans) décrocheront quand même à peu près tous leur Bac et pourront rejoindre gaiement les bancs de la Fac. Et alors sauf exception, pour toute leur vie d'adulte, il ne restera de l'Histoire de France que Louis XIV (situé très approximativement vers le Moyen-Âge ou un peu après), 1789, 14-18, 39-45 précédé par "les heures les plus sombres de notre histoire", 1968 et basta.

Et de toute façon, quelle importance, puisque selon la doxa pédagogique et moral du ministère depuis 50 ans, l'essentiel n'est pas de connaître telle ou telle date, tel ou tel fait, mais c'est de comprendre un texte, un document, de savoir réfléchir et de débusquer les préjugés. De même, l'important, ce n'est pas d'avoir assez d'essence, d'avoir bien entretenu sa voiture, que tous les pneus soient gonflés et que le parallélisme soit OK. L'important, c'est de conduire prudemment et intelligemment même sans voiture en état de marche.

Comme si l'on pouvait opposer la possession d'une culture générale vaste et solide et la capacité d'un raisonnement éclairé sur l'actualité politique !

Au lieu donc de demander à l'élève de développer, sur un événement historique ou une période historique, une pensée argumentée hiérarchisant et contextualisant les faits, personnages, dates, événements, concepts mémorisés au cours de l'année ou du trimestre (dissertation), on lui apportera les connaissances peu importantes et peu nobles dans des documents, à charge pour lui de réfléchir - ça c'est noble - et de répondre aux questions (étude de documents) ou de faire une note de synthèse.

Je caricature à gros traits la tendance. Il n'en reste pas moins que l'enseignement de l'Histoire de France est en crise depuis bien longtemps. Et forcément le mal empire d'année en année. Les parents des enfants de 6 à 18 ans ont déjà été victimes des problèmes de la baisse de niveau des années précédentes, quand ce n'est pas leurs grands-parents. Les professeurs, beaucoup plus armés au niveau des connaissances, sont cependant comme tout le monde les cibles de la propagande progressiste depuis des années et bien peu arrivent à s'en extraire pour réexaminer sans filtre leurs connaissances sur des sujets essentiels comme l'identité française, la colonisation, la naissance de la nation, l'islam, l'Union européenne, etc.

L'Enseignement de l'ignoranceque Michea avait magistralement mis en lumière dans son petit opus éponyme (L'Enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes, éd. Climats, 1999), est donc en marche. Et même il court.

On pourra désormais faire des Français ce que l'on veut, les lobotomiser, les métisser, les islamiser, les mondialiser, les augmenter façon cyborg, mais enfin et surtout en faire de bons petits progressistes soi-disant ouverts et tolérants - ouverts et tolérants aux préjugés que les grandes compagnies diffusent H24 -, de bons petits progressistes qui rejetteront d'autant plus brutalement les forces du mal de l'ancien monde qu'ils ne le connaissent pas du tout et n'en ont qu'une vision tronquée formatée par la propagande de l'EdNat et des mainstream medias.

Pour Macron et ses pareils, de gauche comme de droite, il n'y a pas ou plus de culture française. Il faut détruire toute trace de l'identité française, source de nationalisme et de populisme, source lui-même de mal et de guerre.

Cette rééducation mémorielle prend des dizaines d'années car il faut travailler sur plusieurs générations pour que toute trace d'identité française disparaisse. Et l'on n'a pu se permettre de créer des camps de rééducation ou des camps de concentration pour "chasser ceux qui nous font honte". Cela aurait immédiatement mis la puce RFID à l'oreille. Il a fallu procéder par étape, petit à petit et avancer progressivement vers l'installation d'une dictature européenne qui se pare des manteaux du droit et de la démocratie mais qui ne fera que se révéler de plus en plus sous son vrai jour au fur et à mesure des années.

L'écrivain tchèque Milan Hübl écrivait : "Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu'un leur écrit d'autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu'il est, et ce qu'il était. Et le monde autour de lui l'oublie encore plus vite."

Les Actes des Gilets jaunes sont les derniers soubresauts d'une France comateuse, en train de sombrer dans le marécage gluant du multiculturalisme, du consumérisme, de la haine de soi et des diktats de Bruxelles, de l'ONU, des lobbys des multinationales et de l'entrisme des islamistes, une France qui est en train de perdre lentement mais sûrement son âme et son peuple, ses racines et sa culture, son histoire et sa fierté.

Place à la start-up nation multiculturelle, place à la souveraineté européenne, place à l'Islam de France prélude à la France islamique où les non-musulmans auront le statut de dhimmis ou d'esclaves, place au métissage obligatoire (Nicolas Sarkozy) pour améliorer le "sang pourri des Français" (Carla Bruni), place à la Gestation Pour Autrui (lobby LGBTIQ...) et à l'esclavage mental de tous par un petit nombre de milliardaires transhumains, leurs forces de travail, leurs médias, leurs fondations et leurs forces de l'ordre.

Fin de partie pour les Gallo-Romains réfractaires et les Francs judéo-chrétiens lépreux ?

Les prochaines années seront cruciales. Les forces de résistance doivent s'unir et combattre le totalitarisme d'un nouveau genre qui s'est emparé de la France depuis des années, elles doivent faire surgir de leur sein les Clovis, les Charles Martel, les Charlemagne ou les Général Leclerc qui repousseront les colonisateurs conquérants d'Afrique et d'Asie, combattront les idées et les manœuvres de leurs soutiens zélés islamogauchistes, multiculturalistes et grands-patronesques, soumettront les oligarques à la volonté du peuple français, restaureront la souveraineté de la France en la libérant des entraves de l'UE, de l'OTAN et de l'ONU et ressusciteront enfin le peuple français et l'âme française dans leur majesté.

Julien Martel













Pseudo : Julien Martel

Présentation : Je m'intéresse à la religion de paix et d'amour à fond depuis quelque temps. Je contribue régulièrement au blog L'islam pour les nuls qui vise à recueillir et présenter des tas de données et d'analyses touchant de près ou de loin l'islam. Mes autres centres d'intérêt toujours en amateur sont l'histoire de la pédagogie et les techniques d'argumentation et de réfutation. 


(légende sous l'image)
Femme européenne (sarde, corse, sicilienne ou provençale) enlevée lors d'une razzia sur les côtes du sud de l'Europe par les pirates barbaresques.

Ce tableau résume un fait massif non enseigné de l'histoire de France : Alors que les brillantes civilisations grecque et romaine avaient donné aux peuples du littoral méditerranéen de partager pacifiquement Notre Mer, Mare Nostrum, l’islam transforma la Méditerranée en un cauchemar, un lieu de piraterie ininterrompue se déversant régulièrement sur les côtes de Provence et d’Azur, de la Corse et de la Sardaigne, remontant jusqu’aux Alpes et même jusqu'en Angleterre et en Islande, pour piller et en ramener argent et esclaves. Les Sarrasins, Maures et autres pirates barbaresques de l’Empire ottoman, en dignes continuateurs des prédateurs arabo-islamistes, firent régner la terreur durant des siècles sur cette mer et ses littoraux du nord. C'est pour mettre fin à cette esclavage et à cette piraterie que la France s'attaque à la base d'Alger en 1830 et prend possession de ce qu'elle va appeler l'Algérie.  

La femme du tableau va être enlevée, emportée et vendue sur le marché aux esclaves d'Alger, Tunis, Tripoli ou Le Caire pour finir dans un violoir (harem). Parce que les souverains européens ont oublié la longue histoire des invasions islamiques qui ont conduit à la destruction de la civilisation gréco-romaine au Proche-Orient, en Perse et au Nord du Sahara, ils n'ont pas su protéger les rivages européens face aux assauts des razzieurs musulmans. 

Cette pauvre malheureuse symbolise la France d'aujourd'hui, razziée, vendue au plus offrant et souillée par l'oligarchie mondialiste et ses alliés islamogauchistes et islamistes.

Le silence soigneusement entretenu par le parti de l'étranger sur cet aspect de l'Histoire de France comme sur tant d'autres atteint des proportions gigantesques. Cette omerta que maintient volontairement ou par ignorance la classe politique, les intellectuels et l'éducation nationale sur l'islam et ses prédations incessantes depuis 1400 ans envers l'Europe d'un côté et, de l'autre, le matraquage idéologique inverse sur les crimes des Européens où l'on met en vrac la colonisation, la traite transatlantique, les horribles croisades, le nazisme, la bombe atomique, le capitalisme, le communisme et le papier toilette islamophobe conduisent à un état de faiblesse immunitaire désastreux de l'ensemble de la population, prête à se flageller et à accepter toujours plus d'immigration, de vivre ensemble et d'antiracisme. Mieux vaut être insulté, volé, tabassé, violé, massacré à la kalach que de faire des amalgames qui feraient le jeu de vous savez qui. Vous n'aurez pas ma haine et vous aurez toujours les prestations sociales et les accommodements raisonnables. Ca n'a rien à voir avec la haine anti-mécréant ou le racisme anti-blanc. C'est la société française, trop blanche, trop occidentale, trop européenne, trop raciste qui est responsable.

La propagande idéologique anti-France doublée d'ignorance abyssale sur l'Histoire de France aboutit notamment à avoir à la tête de l'Etat français un président de la République française qui déteste la France, qui fait tirer sur son peuple "de souche" à coups de LBD et de grenades. "Il n'y a pas de culture français", "gaulois réfractaires au changement", "colonisation crime contre l'humanité", etc. Je ne vais pas dérouler pas la liste de la haine anti-française macronesque. Cette répugnance des politiciens envers le nation française n'est certes pas nouveau, on peut le faire remonter à Giscard (préférence européiste, rapprochement familial), mais jamais un Président n'avait montré aussi ouvertement une telle hargne à détruire la France et à faire sentir simultanément au peuple français qu'il est voué à être remplacé à coups de migrants dans les campagnes, de propagande diversitaire, d'islam de France et fait sentir qu'on ne pleurera pas sa disparition, bien au contraire. 

La France s'autodétruit. Elle s'autodétruit faute de s'alimenter et de revenir aux sources. On a mis la France et le peuple français, qui s'est construit dans et par son Histoire, en état de grève de la faim obligatoire. On l'a privé de son Histoire.

Car l'Histoire de France n'est que sporadiquement enseignée aux élèves de 6 à 18 ans. (Et il ne faut pas compter sur la télévision publique pour remédier à cette catastrophe culturelle. Le Ministère de la Culture sert avant tout à promouvoir le rap, la musique du monde, la diversité, le métissage et l'art contemporain).

En cause :
- des programmes troués, indigents et idéologiquement orientés par la bien-pensance mondialiste,
- des horaires faméliques,
- des professeurs parfois victimes de bavardage et d'incivilité (voir les "stylos rouges")
- des classes "mixtes" où se côtoient l'illettré, le moyen et le cultivé, les premiers ne suivant plus, s'ennuyant et perturbant la classe, les deuxièmes troublés par les premiers ayant du mal à suivre, les troisièmes rongeant leur frein.
- l'impact négatif sur cet enseignement historique des carences abyssales qu'ont accumulées les élèves dans les autres matières, notamment en français et en mathématiques,
- la baisse du QI liée à l'immigration et à la non-reproduction des personnes aux QI élevées,
- la baisse de l'attention et de la concentration provoquée par la consommation trop importante d'écrans et de colorants-conservateurs,
- et surtout la défiance à l'égard de l'histoire de France de la part des "élites mondialistes".

Mais ce n'est pas grave. Tout en ayant beaucoup moins de connaissances que des élèves de 11 ans à la fin de leur CM2 et a fortiori beaucoup moins que des élèves de 13 ans des années 50 lors du passage de leur Certificat d'Études, les élèves actuels de Terminale (18 ans) décrocheront quand même à peu près tous leur Bac et pourront rejoindre gaiement les bancs de la Fac. Et alors sauf exception, pour toute leur vie d'adulte, il ne restera de l'Histoire de France que Louis XIV (situé très approximativement vers le Moyen-Âge ou un peu après), 1789, 14-18, 39-45 précédé par "les heures les plus sombres de notre histoire", 1968 et basta.

Et de toute façon, quelle importance, puisque selon la doxa pédagogique et moral du ministère depuis 50 ans, l'essentiel n'est pas de connaître telle ou telle date, tel ou tel fait, mais c'est de comprendre un texte, un document, de savoir réfléchir et de débusquer les préjugés. De même, l'important, ce n'est pas d'avoir assez d'essence, d'avoir bien entretenu sa voiture, que tous les pneus soient gonflés et que le parallélisme soit OK. L'important, c'est de conduire prudemment et intelligemment même sans voiture en état de marche. 

Comme si l'on pouvait opposer la possession d'une culture générale vaste et solide et la capacité d'un raisonnement éclairé sur l'actualité politique ! 

Au lieu donc de demander à l'élève de développer, sur un événement historique ou une période historique, une pensée argumentée hiérarchisant et contextualisant les faits, personnages, dates, événements, concepts mémorisés au cours de l'année ou du trimestre (dissertation), on lui apportera les connaissances peu importantes et peu nobles dans des documents, à charge pour lui de réfléchir - ça c'est noble - et de répondre aux questions (étude de documents) ou de faire une note de synthèse.

Je caricature à gros traits la tendance. Il n'en reste pas moins que l'enseignement de l'Histoire de France est en crise depuis bien longtemps. Et forcément le mal empire d'année en année. Les parents des enfants de 6 à 18 ans ont déjà été victimes des problèmes de la baisse de niveau des années précédentes, quand ce n'est pas leurs grands-parents. Les professeurs, beaucoup plus armés au niveau des connaissances, sont cependant comme tout le monde les cibles de la propagande progressiste depuis des années et bien peu arrivent à s'en extraire pour réexaminer sans filtre leurs connaissances sur des sujets essentiels comme l'identité française, la colonisation, la naissance de la nation, l'islam, l'Union européenne, etc.

L'Enseignement de l'ignorance, que Michea avait magistralement mis en lumière dans son petit opus éponyme (L'Enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes, éd. Climats, 1999), est donc en marche. Et même il court. 

On pourra désormais faire des Français ce que l'on veut, les lobotomiser, les métisser, les islamiser, les mondialiser, les augmenter façon cyborg, mais enfin et surtout en faire de bons petits progressistes soi-disant ouverts et tolérants - ouverts et tolérants aux préjugés que les grandes compagnies diffusent H24 -, de bons petits progressistes qui rejetteront d'autant plus brutalement les forces du mal de l'ancien monde qu'ils ne le connaissent pas du tout et n'en ont qu'une vision tronquée formatée par la propagande de l'EdNat et des mainstream medias.

Pour Macron et ses pareils, de gauche comme de droite, il n'y a pas ou plus de culture française. Il faut détruire toute trace de l'identité française, source de nationalisme et de populisme, source lui-même de mal et de guerre. 

Cette rééducation mémorielle prend des dizaines d'années car il faut travailler sur plusieurs générations pour que toute trace d'identité française disparaisse. Et l'on n'a pu se permettre de créer des camps de rééducation ou des camps de concentration pour "chasser ceux qui nous font honte". Cela aurait immédiatement mis la puce RFID à l'oreille. Il a fallu procéder par étape, petit à petit et avancer progressivement vers l'installation d'une dictature européenne qui se pare des manteaux du droit et de la démocratie mais qui ne fera que se révéler de plus en plus sous son vrai jour au fur et à mesure des années.

"Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu'un leur écrit d'autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu'il est, et ce qu'il était. Et le monde autour de lui l'oublie encore plus vite." (Milan Hübl)

Les Actes des Gilets jaunes sont les derniers soubresauts d'une France comateuse, en train de sombrer dans le marécage gluant du multiculturalisme, du consumérisme, de la haine de soi et des diktats de Bruxelles, de l'ONU, des lobbys des multinationales et de l'entrisme des islamistes, une France qui est en train de perdre lentement mais sûrement son âme et son peuple, ses racines et sa culture, son histoire et sa fierté.

Place à la start-up nation multiculturelle. Place à la souveraineté européenne. Place à l'Islam de France prélude à la France islamique où les non-musulmans auront le statut de dhimmis ou d'esclaves. Place au métissage obligatoire (Nicolas Sarkozy) pour améliorer le "sang pourri des Français" (Carla Bruni), place à la Gestation Pour Autrui (lobby LGBTIQ...) et à l'esclavage mental de tous par un petit nombre de milliardaires transhumains, leurs forces de travail, leurs médias, leurs fondations et leurs forces de l'ordre.

Fin de partie pour les Gallo-Romains réfractaires et les Francs judéo-chrétiens lépreux ?

Les prochaines années seront cruciales. Les forces de résistance doivent s'unir et combattre le totalitarisme d'un nouveau genre qui s'est emparé de la France depuis des années, elles doivent faire surgir de leur sein les Clovis, les Charles Martel, les Charlemagne ou les Général Leclerc qui repousseront les colonisateurs conquérants d'Afrique et d'Asie, combattront les idées et les manœuvres de leurs soutiens zélés islamogauchistes, multiculturalistes et grands-patronesques, soumettront les oligarques à la volonté du peuple français, restaureront la souveraineté de la France en la libérant des entraves de l'UE, de l'OTAN et de l'ONU et ressusciteront enfin le peuple français et l'âme française dans leur majesté.

Julien Martel


De : Redaction RL <redaction@ripostelaique.com>
Envoyé : vendredi 25 janvier 2019 08:57
À : 'Julien VASLIER'
Objet : RE: article de type billet d'humeur

OK, faisons ainsi.
J’attends donc votre article envoyé à notre site, avec votre pseudo.
Merci de joindre une illustration pour habiller votre pseudo, et deux ou trois mots pour vous présenter.
Bonne journée, Cyrano

De : Julien VASLIER [mailto:julien.vaslier@hotmail.fr] 
Envoyé : jeudi 24 janvier 2019 16:19
À : Redaction RL
Objet : RE: article de type billet d'humeur

Je peux supprimer l'article de mon blog et changer de proposition de pseudo s'il n'y a que ça qui ne va pas.  😊


De : Redaction RL <redaction@ripostelaique.com>
Envoyé : jeudi 24 janvier 2019 09:10
À : 'Julien VASLIER'
Objet : RE: article de type billet d'humeur

Cher ami lecteur,
Nous recevons de nombreuses propositions, tous les jours. Nous devons effectuer des choix rédactionnels.
Mais nous avons une règle : nous ne publions que des exclusivités, et ne relayons pas des articles déjà publiés sur d’autres sites, ou sur des blogs personnels.
Par ailleurs, nous souhaitons que les pseudos utilisés paraissent crédibles, avec un prénom et un nom, et qu’ils ne ressemblent pas à des pseudos de commentaires.
Donc, si vous souhaitez nous faire parvenir un autre article, merci de prendre en compte ce mode de fonctionnement.
Bonne journée, Cyrano

De : Julien VASLIER [mailto:julien.vaslier@hotmail.fr] 
Envoyé : jeudi 24 janvier 2019 03:50
À : redaction@ripostelaique.com
Objet : article de type billet d'humeur

Bonjour,

je voudrais vous proposer cet article que j'ai déjà posté sous le lien suivant pour que vous puissiez le lire et le copier facilement.


Pour le choix des images, j'ai mis plusieurs possibilités. Mais je ne possède pas les droits. 

J'espère que la lecture de ce petit texte vous plaira. 

Si jamais vous publiez un jour sur votre site, mettez s'il-vous-plaît comme nom d'auteur : Balbul et mon identifiant twitter @BalbulB
Vous pouvez aussi renvoyer vers mon blog https://lislampourlesnuls.blogspot.com/

Merci de votre attention,

Julien Vaslier

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