mardi 29 août 2017

Radicalisation au collège

Menaces de radicalisation au collège : la colère d'un ancien principal de Marseille (26.08.2017)


Menaces de radicalisation au collège : la colère d'un ancien principal de Marseille (26.08.2017)


Samedi 26/08/2017 à 18H02 Marseille

Bernard Ravet, ancien chef d'établissement, décrit la réalité des collèges de Zep

Bernard Ravet a dû faire face à une guerre de position menée par les islamistes au sein de son établissement : "Le regard des professeurs a changé quand nos collègues en jupe ont dû, le soir, être raccompagnées durant cinq mois par la Bac jusqu'au métro pour leur sécurité".PHOTO FLORIAN LAUNETTE

Sous sa moustache blanche, Bernard Ravet sourit. Un sourire qui cache une inquiétude profonde : celle de la dérive que subissent les collèges en zone d'éducation prioritaire (Zep). En quarante ans de carrière (dont quinze ans en Zep), ce principal de collège a vu la situation se dégrader, année après année. Ce qui semblait acquis ne l'était plus. Son quotidien a changé. Que ce soit à Édouard-Manet, Versailles et Jean-Claude-Izzo, trois collèges parmi les plus difficile de Marseille, Bernard Ravet a dû se battre au quotidien pour continuer à éduquer "ses" jeunes, pour défendre les droits des filles, chaque jour plus contestés par les garçons, pour protéger les établissements qu'il dirigeait de l'influence d’un fait religieux de plus en plus prégnant. Un combat qu'il a mené souvent, trop souvent, seul. Alors, enfin libéré du droit de réserve par son départ en retraite, Bernard Ravet parle. Et a écrit un livre "Principal de collège ou imam de la République" (1). Plus jamais, on ne pourra dire que l'on ne savait pas.

"Islam de France"

Islam de France : «La montagne a accouché d'une souris» (29.08.2017)

Islam de France : «La montagne a accouché d'une souris» (29.08.2017)



Mis à jour le 29/08/2017 à 16h48 | Publié le 29/08/2017 à 16h30

Un an exactement après la relance du projet d'islam de France, trois sénateurs déplorent l'absence de toute «avancée sérieuse» en matière de contrôle des financements, de taxation des produits halal et de formation des imams.

Un an, jour pour jour, après la relance du projet d'«islam de France», trois sénateurs membres de la mission d'information sur l'organisation de l'islam en France tirent la sonnette d'alarme. «Aucune avancée sérieuse» n'a été observée depuis que Bernard Cazeneuve, alors ministre de l'Intérieur, a annoncé lors d'une «journée de consultation sur l'islam de France», le 29 août 2016, le lancement d'une Fondation de l'islam de France, laïque, à vocation culturelle, confiée à Jean-Pierre Chevènement, et d'une association cultuelle chargée du financement, notamment de la formation des imams. «La montagne a accouché d'une souris», déplorent dans une tribune envoyée à l'AFP, que Le Figaro s'est procurée, les sénateurs Corinne Féret (PS), Nathalie Goulet (UDI) et André Reichardt (LR) qui ont rendu en juillet dernier les conclusions de leur rapport d'information.

lundi 28 août 2017

Maroc

Sexe et mensonges : Leila Slimani s'attaque aux démons intimes du Maroc (29.08.2017)
Attentats en Espagne : 2 arrestations au Maroc (29.08.2017)
Le viol collectif d'une jeune femme dans un bus indigne le Maroc (21.08.2017)
Agression sexuelle dans un bus : le Maroc indifférent aux violences faites aux femmes ? (21.08.2017)
Une scène filmée à Tanger relance le débat sur le harcèlement sexuel au Maroc (11.08.2017)
Maroc: le gouvernement veut s'assurer du développement des régions (13.07.2017)
Au Maroc, œil au beurre noir cherche poudre libre pour maquillage de violences (07.12.2016)

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dimanche 27 août 2017

Amine El Khatmi (PS)


    El Khatmi (PS): «L'islamophobie, un concept créé pour étouffer toute critique de la religion» (27.07.2017)
    Les intellectuels et l'islam: un engagement à hauts risques (22.04.2016)
    Laïcité : Boutih dénonce la gauche «Tartuffe» (10.02.2016)

    El Khatmi (PS): «L'islamophobie, un concept créé pour étouffer toute critique de la religion» (27.07.2017)
    • Publié le 27/07/2016 à 16:57

    LE SCAN POLITIQUE - L'élu socialiste d'Avignon défend ardemment la laïcité et n'hésite pas à dénoncer ceux, qui dans sa famille politique, «restent perchés dans des idéaux soixante-huitards».

    mercredi 23 août 2017

    Association Lallab, laboratoire de l'islamisme

    Céline Pina : «L'État doit dénoncer clairement l'association Lallab, laboratoire de l'islamisme» (23.08.2017)
    • Par Céline Pina
    • Mis à jour le 23/08/2017 à 14:59
    • Publié le 23/08/2017 à 12:06
    FIGAROVOX/TRIBUNE - Face à la polémique suscitée, l'Agence du service civique a finalement renoncé à confier des jeunes à l'association «féministe et antiraciste» Lallab. Pour Céline Pina, l'État devrait exprimer clairement les motifs de ce refus : cette association défend des idées incompatibles avec la République française.


    Ancienne élue locale, Céline Pina est essayiste et militante. Elle avait dénoncé en 2015 le salon de «la femme musulmane» de Pontoise et a récemment publié Silence Coupable (éditions Kero, 2016). Avec Fatiha Boutjalhat, elle est la fondatrice de Viv(r)e la République, mouvement citoyen laïque et républicain appelant à lutter contre tous les totalitarismes et pour la promotion de l'indispensable universalité de nos valeurs républicaines.

    L'association «Lallab», qui se présente elle-même comme «une association dont le but est de faire entendre les voix des femmes musulmanes qui sont au coeur d'oppressions racistes et sexistes», fait en réalité partie de ces associations que sécrète l'islamisme et qui sont les façades respectables de la diffusion de leur idéologie inégalitaire, obscurantiste et mortifère. Proche des frères musulmans et des indigénistes, cette association qui prône un féminisme islamiste est opposée à la loi de 2004 contre le voile et n'a de cesse de conspuer le féminisme blanc. L'adjectif «blanc» a ici pour objet de dévaloriser la dimension universelle de ce combat mais il démontre surtout à quel point la race est l'obsession de toute cette mouvance.

    mardi 22 août 2017

    Néonazis, extrême-droite

    Un site néonazi pousse le Web américain à se questionner sur la liberté d'expression (22.08.2017)
    « Peut-on frapper un néonazi ? » : la violence à l’épreuve de l’éthique (21.08.2017)

    Un site néonazi pousse le Web américain à se questionner sur la liberté d'expression (22.08.2017)


    Mis à jour le 22/08/2017 à 12h09 | Publié le 22/08/2017 à 11h34


    The Daily Stormer a été abandonné par la plupart de ses intermédiaires en ligne. L'affaire pose la question de la responsabilité des hébergeurs et de leurs valeurs morales.

    Un site néonazi a-t-il le droit d'exister sur Internet? Depuis une semaine, le Daily Stormer est inaccessible pour la plupart des internautes. Cet influent site d'extrême droite a été abandonné par les entreprises qui permettaient son hébergement en ligne. En cause, la publication d'un article insultant Heather Heyer, l'Américaine tuée alors qu'elle manifestait contre l'extrême droite à Charlottesville. Cette énième polémique a été celle de trop: le Daily Stormer a perdu un à un ses intermédiaires techniques. En fin de semaine, il a finalement été forcé de se replier sur une adresse uniquement accessible via le réseau anonyme et décentralisé Tor, sur le Dark Web et sans l'aide d'entreprises. L'affaire symbolise le malaise de la société américaine, et de l'industrie des nouvelles technologies en particulier, face à la montée de l'extrême droite en ligne.

    Attentats en France et en Belgique (suite) : à partir du 21 août 2017

      Voir aussi : Attentats en France et en Belgique 1

      Quand Marseille était ciblée par des djihadistes (01.10.2017)
      Terrorisme : de 2012 à 2017, la France durement éprouvée (01.10.2017)
      Explosifs à Villejuif : les deux suspects projetaient un attentat (10.09.2017)
      PARIS: UN HOMME FONCE AVEC SA VOITURE SUR DES POLICIERS EN CRIANT "ALLAH AKBAR" DANS LE 18E ARRONDISSEMENT (21.08.2017)
      Un véhicule fonce sur des piétons à Marseille, un mort (21.08.2017)
      Un homme soigné en psychiatrie fonce sur des piétons à Marseille (21.08.2017)
      Aubagne: des incendiaires présumés arrêtés (21.08.2017)
      Une mosquée fermée à Aix-en-Provence (01.02.2017)


      Quand Marseille était ciblée par des djihadistes (01.10.2017)
      Par Jean Chichizola
      Publié le 01/10/2017 à 21h04
      La cité phocéenne, nommément visée par Daech, a été dans les derniers mois au cœur de deux opérations antiterroristes majeures visant dans les deux cas des islamistes identifiés qui préparaient des attaques.
      «Regarde bien cette scène, François Hollande, elle va bientôt arriver sur tes propres citoyens dans les rues de Paris, dans les rues de Marseille, dans les rues de Nice, dans toute la France.» La vidéo de propagande date de juillet 2016, quelques jours après l'attentat de Nice. Par la voix d'un djihadiste français, qui égorge un prisonnier face à la caméra, Daech cible publiquement la Cité phocéenne aux côtés de la capitale et du chef-lieu des Alpes-Maritimes, déjà frappées par l'État islamique. Dans les dix-huit mois suivant, Marseille a été au cœur de deux opérations antiterroristes majeures visant dans les deux cas des islamistes identifiés, loin a priori du profil de l'assaillant de dimanche.
      Le 20 novembre 2016, un Marocain de 26 ans est interpellé dans la ville en même temps que quatre autres individus arrêtés, eux, à Strasbourg. Le groupe est soupçonné d'avoir préparé des attentats à Paris mais également dans les Bouches-du-Rhône. Le 18 avril 2017, à six jours du premier tour de l'élection présidentielle, deux islamistes sont interpellés avec des armes et alors qu'ils venaient de préparer trois kilos de TATP (explosif utilisé dans de nombreux attentats) dont une partie déjà prête à l'emploi. Sans qu'un objectif précis ait pu être identifié, les cibles potentielles, à commencer par les bureaux de vote qui allaient ouvrir quelques jours plus tard, étaient nombreuses. Les suspects étaient en possession de clichés pris dans les rues de la ville, dans des lieux de rassemblement. Ils auraient également effectué des recherches sur Internet sur des bars. Si les deux hommes n'étaient pas originaires de Marseille, la ville était donc clairement visée. Ces menaces et ces deux projets d'attentats déjoués étaient particulièrement inquiétants car ils intervenaient dans un contexte où des attaques ou des menaces avaient déjà été observées.
      Le 11 janvier 2016, un lycéen de 15 ans attaquait ainsi à la machette un professeur juifqui échappait de très peu à la mort. L'agresseur reconnaissait les faits et proclamait qu'il voulait «tuer un juif», tout en exprimant son soutien aux thèses de l'État islamique. Il a été condamné à sept ans de prison. Quatre mois plus tard, un homme était mis en examen pour apologie du terrorisme après s'être revendiqué de Daech et avoir affirmé qu'il voulait attaquer une synagogue à Marseille. Il a finalement été condamné à deux ans de prison par le tribunal correctionnel de Marseille.

      Plus de 1200 radicalisés dans les Bouches-du-Rhône
      Cette succession d'alertes est intervenue dans un département, les Bouches-du-Rhône, qui se distingue par le nombre de personnes signalées comme radicalisées. Au printemps 2017, le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) recensait plus de 1200 personnes (en octobre 2016, ils étaient un peu plus de 900). Ce qui en fait l'un des premiers départements de France touchés par ce phénomène aux côtés des départements d'Île-de-France et de quelques autres (comme le Nord avec Lille-Roubaix-Tourcoing, le Rhône avec Lyon ou les Alpes-Maritimes avec Nice). Dans le cadre de l'état d'urgence, une dizaine de lieux de prière musulmans ont été visés par une perquisition administrative. Enfin, le 1er février dernier, le ministère de l'Intérieur annonçait la fermeture d'une mosquée d'Aix-en-Provence, mettant en avant «une menace grave pour la sécurité et l'ordre public.»
      La rédaction vous conseille :

        Terrorisme : de 2012 à 2017, la France durement éprouvée (01.10.2017)
        Par Esther Paolini et Edouard de MareschalPublié le 01/10/2017 à 18h38
        CHRONOLOGIE - L'attaque de Marseille ce dimanche 1er octobre vient rallonger la longue liste des attentats qui ont endeuillé la France depuis la tuerie de Mohammed Merah en mars 2012.
        • 11 et 19 mars 2012 - Toulouse et Montauban: Mohammed Merah tue 7 personnes
        Mohammed Merah tue à Toulouse et Montauban sept personnes. Parmi eux se trouvent trois militaires et quatre civils, dont trois enfants. Retranché dans son appartement, Merah est tué le 22 mars 2012 lors de l'assaut donné par les policiers du RAID. Ses deux complices, Fettah Malki et Abdelkader Merah, son frère, sont jugés à partir de lundi 2 octobre.
        • 7 janvier 2015 - Charlie Hebdo: 17 victimes à Paris
        Les frères Kouachi tuent les membres de la rédaction du journal Charlie Hebdo dans le XIe arrondissement de Paris. Dans leur fuite, ils abattent un policier boulevard Richard-Lenoir. Ils seront tués deux jours plus tard en Seine-et-Marne au terme d'un assaut des forces de l'ordre. Ils revendiquent leurs actes au nom de l'AQPA, Al-Qaïda dans la péninsule arabique.
        • 9 janvier 2015 - Prise d'otages à l'Hyper Cacher
        Le vendredi 9 janvier, un complice des frères Kouachi, Amedy Coulibaly entreprend une prise d'otages dans un Hyper Cacher situé porte de Vincennes. Il tue quatre personnes avant d'être abattu par les forces de police. La veille, il avait tué une policière municipale à Montrouge. Le groupe terroriste État islamique (EI) revendique l'attaque.
        • 19 avril 2015 - L'attentat manqué de Sid Ahmed Ghlam
        Sid Ahmed Ghlam, étudiant en informatique de 24 ans, est arrêté dimanche 19 avril dans le XIIIe arrondissement de Paris, après avoir appelé le SAMU pour une blessure par balle. La police soupçonne le jeune homme d'avoir projeté une attaque terroriste contre deux églises de Villejuif (Val-de-Marne). Il aura tout de même réussi à faire une victime: Aurélie Châtelain, 33 ans, retrouvée morte dans sa voiture. La jeune femme, qui a eu le malheur de se trouver sur le chemin du terroriste, a été abattue alors qu'elle tentait de résister au vol de sa voiture par ce dernier.
        • 26 juin 2015 - Uun patron décapité à Saint-Quentin-Fallavier
        Yassin Salhi, chauffeur-livreur dans une société de transports assomme, étrangle et décapite son patron. Il envoie un selfie macabre avec la tête de sa victime à Sébastien Yunes un djihadiste français en Syrie, avant d'exposer la tête de sa victime avec un drapeau de l'État islamique sur un grillage dans une usine de produits industriels à Saint-Quentin-Fallavier, en Isère. Puis il projette sa camionnette contre des bonbonnes de gaz, provoquant une explosion. Il est arrêté par la police. Il était en lien avec la mouvance salafiste. Le groupe terroriste EI revendique l'attaque.
        • 21 août 2015 - Attaque d'un Thalys empêchée par des héros
        Un ressortissant marocain tente de commettre un massacre dans un train Thalys qui relie Amsterdam à Paris. Mais son arme s'enraye, et plusieurs passagers le maîtrisent. Deux militaires américains sont blessés. François Hollande remet la légion d'honneur à quatre hommes étant intervenu pour stopper l'attaque. Le terroriste est arrêté par la police.
        • 13 novembre 2015 - La pire attaque terroriste sur le sol français
        Le vendredi 13 novembre, la France subit l'attaque terroriste la plus meurtrière qu'elle ait jamais connue. Aux alentours de 21h20, une série de sept attaques est perpétrée par sept terroristes à Paris et Saint-Denis, provoquant la mort de 129 personnes et faisant 300 blessés, dont 99 graves. La tuerie est revendiquée par l'État islamique. Les sept terroristes sont tués pendant l'attaque. C'est la première fois qu'ont lieu des attentats suicides sur le sol français.
        • 13 juin 2016 - Deux policiers tués dans les Yvelines
        Un policier de Magnanville, près de Paris, et sa compagne employée au commissariat de Mantes-la-Jolie, sont assassinés chez eux. Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, est poignardé devant son domicile, sa compagne Jessica Schneider, 36 ans, égorgée à l'intérieur du pavillon par un djihadiste de 25 ans. Larossi Abballa, qui avait revendiqué son action sur Twitter et Facebook au nom de l'EI, est tué par le Raid.
        • 14 Juillet 2016 - Nice visée pendant son feu d'artifice
        Le soir de la Fête nationale, un camion-bélier fonce sur la foule venue observer le feu d'artifice sur la promenade des Anglais. Le bilan est lourd: 86 personnes sont tuées et 458 blessées. Deux jours plus tard, l'attentat est revendiqué par l'organisation État Islamique. Le conducteur est un Tunisien de 31 ans nommé Mohamed Lahouaiej-Bouhlel. Il a été abattu par la police française.
        • 26 juillet 2016 - Le prêtre Hamel est assassiné à Saint-Etienne-du-Rouvray
        Pendant la messe de 9 heures, deux assaillants attaquent l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen. Ils assassinent le père Jacques Hamel, âgé de 86 ans de plusieurs coups de couteau. Les deux terroristes prennent ensuite en otage un couple de paroissiens et trois religieuses avant d'être abattus par les forces de l'ordre. Les deux terroristes, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean se revendiquaient de l'organisation État Islamique.
        • 4 septembre 2016 - Des bombonnes de gaz sont découvertes à proximité de la cathédrale Notre-Dame
        Une voiture est découverte dans le Quartier latin, non loin de la cathédrale Notre-Dame, avec dans son coffre cinq bonbonnes de gaz, trois bouteilles avec des traces de gasoil, une couverture avec des résidus d'hydrocarbure et une cigarette à peine consumée, mais aucun dispositif de mise à feu. Quatre jours plus tard, trois femmes soupçonnées de graviter dans la mouvance islamiste sont interpellées dans l'Essonne.
        • 3 février 2017 - Des militaires sont attaqés au Carrousel du Louvre
        Un homme armé d'une machette tente d'attaquer des militaires de l'opération Sentinelle au Carrousel du Louvre, à Paris. Les forces de l'ordre ripostent et le blessent sérieusement. L'homme, Abdallah El-Hamahmy, un Égyptien de 29 ans, est depuis poursuivi pour «tentatives d'assassinats sur personnes dépositaires de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation de crimes d'atteintes aux personnes».
        • 18 mars 2017 - Une patrouille de Sentinelle est attaquée à l'aéroport Paris-Orly
        Un homme connu des services de police et de renseignement attaque une patrouille de l'opération Sentinelle à l'aéroport d'Orly, avant d'être abattu. L'assaillant est Ziyed Ben Belgacem, un Français d'origine tunisienne de 39 ans.
        • 20 avril 2017 - Un policier est abattu sur les Champs-Élysées
        À Paris, un policier, Xavier Jugelé, est tué par balles et deux autres sont blessés sur les Champs-Élysées par un repris de justice français de 39 ans, Karim Cheurfi, qui est aussitôt abattu. L'attentat est revendiqué peu après par le groupe djihadiste État Islamique.
        • 6 juin 2017 - Attaque au marteau à Notre-Dame de Paris
        Sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, un étudiant algérien âgé d'une quarantaine d'années attaque trois fonctionnaires de la Préfecture de police, au marteau. En garde à vue, l'homme, jamais condamné, reconnaît les faits, motivés vraisemblablement «par un esprit de vengeance» à l'adresse du peuple syrien, sans pour autant expliquer précisément son geste. Il avait également prêté allégeance à l'État islamique.
        • 19 juin 2017 - Une nouvelle attaque survient sur les Champs-Élysées
        Des gendarmes sont la cible d'une tentative d'attentat sur l'avenue des Champs-Élysées, à Paris. Un homme percute un fourgon des forces mobiles au volant d'une voiture contenant des explosifs, sans faire de blessés. Le conducteur décède finalement d'une «défaillance cardio-respiratoire par probable lésion de blast» et «inhalation de fumées». Il avait prêté allégeance à l'émir de Daech al-Baghdadi.
        • 9 août 2017 - Des militaires de l'opération Sentinelle sont attaqués à Levallois-Perret
        Hamou B., 36 ans, fonce en voiture le 9 août à Levallois-Perret sur des militaires de l'opération Sentinelle, faisant six blessés dont trois graves. Le suspect est ensuite mis en examen par un juge antiterroriste. Il avait des velléités de départ en Syrie.
        • 1er octobre 2017 - Un homme tue deux femmes au couteau à Marseille
        Deux jeunes filles sont tuées à coups de couteau, dimanche 1er octobre sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille par un homme qui a crié «Allah Akbar» avant d'être abattu par des militaires, conduisant le parquet antiterroriste à se saisir de l'enquête.
        Esther Paolini Journaliste 7 abonnés 
        Journaliste
        Twitter: @paoliniesther
        Journaliste Web.


        Explosifs à Villejuif : les deux suspects projetaient un attentat (10.09.2017)
        PARIS: UN HOMME FONCE AVEC SA VOITURE SUR DES POLICIERS EN CRIANT "ALLAH AKBAR" DANS LE 18E ARRONDISSEMENT (21.08.2017)
        Un véhicule fonce sur des piétons à Marseille, un mort (21.08.2017)
        Un homme soigné en psychiatrie fonce sur des piétons à Marseille (21.08.2017)
        Aubagne: des incendiaires présumés arrêtés (21.08.2017)

        Explosifs à Villejuif : les deux suspects projetaient un attentat (10.09.2017)
        Par Le figaro.fr et AFP, Reuters AgencesMis à jour le 10/09/2017 à 18h20 | Publié le 10/09/2017 à 13h41

        VIDÉO - Le procureur de Paris François Molins a déclaré dimanche que les substances découvertes dans un appartement à Villejuif mercredi devaient servir à confectionner une bombe. L'un des suspects, fiché S, a été en relation avec le djihadiste de l'Etat islamique Rachid Kassim.

        Quatre jours après la découverte d'un laboratoire de fabrication d'explosifs dans un appartement de Villejuif, dans le Val-de-Marne, deux hommes ont été mis en examen dimanche et une information judiciaire pour terrorisme a été ouverte. Le procureur de Paris, François Molins, a déclaré que les deux suspects voulaient confectionner une bombe dans le but de commettre un attentat.

        «Leur projet était la confection d'une bombe pour commettre un attentat», a affirmé le procureur après la confrontation des deux hommes, le propriétaire de l'appartement et l'une de ses connaissances, qui était fichée S. Ce dernier a entretenu des liens avec le djihadiste du groupe Etat islamique, Rachid Kassim. «Aucun projet n'était établi à ce stade même si l'un d'entre eux a admis qu'ils avaient pensé à s'attaquer à des militaires de l'opération Sentinelle», a poursuivi Molins lors d'une conférence de presse.

        Les deux hommes sont nés en 1981 et 1980 et n'ont jamais été condamnés. L'individu fiché S, Frédéric L., est converti depuis 2008, sans emploi depuis 2011 et radicalisé depuis 2015. Les deux hommes «ont admis avoir voulu rejoindre l'EI en 2015», sans toutefois le faire par manque de «contacts» et de «moyens financiers», a déclaré François Molins.

        Avec les quantités de produits chimiques retrouvés par les enquêteurs, les deux suspects auraient pu confectionner entre «trois et quatre kilogrammes de TATP», a précisé le procureur. Les deux hommes voulaient en fabriquer dix kilos, a-t-il ajouté. Sur une clés USB retrouvée sur les lieux figuraient des vidéos tournées sur la terrasse de l'appartement «comportant des séquences mettant en scène des essais d'explosion», a indiqué François Molins. L'exploration de l'ordinateur découvert dans l'appartement a en outre permis de retrouver la trace de consultations Internet de type «chimie», «explosifs» ou encore «État islamique», et aussi de jeux vidéo de simulation de conduite, notamment de véhicules poids lourds, a révélé le magistrat.


        Mercredi, 100 grammes de TATP avaient été découverts fortuitement dans l'appartement de Villejuif. Le TATP est un explosif artisanal instable souvent utilisé par l'État islamique lors de ses attentats. Des membres de la cellule djihadiste démantelée en août en Catalogne avaient tenté d'en confectionner, lorsque la maison qu'ils occupaient a explosé. Du TATP avait également été utilisé lors des attentats de novembre 2015 par des kamikazes aux abords du Stade de France, de Bruxelles en mars 2016 et de Manchester en mai dernier.


        À Villejuif, les enquêteurs ont notamment mis la main sur 10 litres de produits permettant la fabrication de l'explosif, du matériel destiné à «conditionner un colis piégé» et des produits chimiques. Ce laboratoire clandestin avait été découvert après le signalement de deux artisans qui intervenaient dans l'immeuble.

        Le propriétaire des lieux avait été arrêté quelques heures plus tard au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Au cours de la nuit suivante, un homme de 37 ans «radicalisé et suivi par la DGSI» (Direction générale de la sécurité intérieure) avait été interpellé dans la commune voisine de Vitry-sur-Seine. Son lien avec l'atelier clandestin n'était pas établi au moment de son interpellation, mais son rapport avec le propriétaire de l'appartement a pu être démontré au cours de leur garde à vue.

        Jeudi, lors d'une perquisition, les enquêteurs ont encore trouvé quelques litres de produits chimiques pouvant servir à fabriquer du TATP, dans un box loué à Thiais (Val-de-Marne) par le propriétaire du logement de Villejuif. Une troisième personne, un homme de 47 ans qui avait été arrêté en compagnie du propriétaire de l'appartement de Villejuif a été libéré dimanche matin, a précisé le parquet.
        (Avec AFP et Reuters)

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        PARIS: UN HOMME FONCE AVEC SA VOITURE SUR DES POLICIERS EN CRIANT "ALLAH AKBAR" DANS LE 18E ARRONDISSEMENT (21.08.2017)


        Publié le : Lundi 21 Août 2017 - 10:30 Mise à jour : Lundi 21 Août 2017 - 10:43
        Un homme a tenté de s'en prendre à des policiers dimanche soir dans le XVIIIe arrondissement de Paris en fonçant sur eux avec sa voiture. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Le suspect a quitté son véhicule et a tenté de s'en prendre aux automobilistes accidentés en cirant "Allah akbar".

        La piste terroriste n'est, pour l'heure, pas privilégiée par les enquêteurs. Dimanche 20 au soir, un homme a tenté de percuter un véhicule de patrouille de la police avec son véhicule dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

        dimanche 20 août 2017

        Terrorisme : mesures de sécurité

        Alain Bauer : «Les avatars de l'État islamique et l'urgence d'adapter nos dispositifs de protection» (20.08.2017)
        Comment se protéger contre les attaques à la voiture-bélier ? (18.08.2017)

        Alain Bauer : «Les avatars de l'État islamique et l'urgence d'adapter nos dispositifs de protection» (20.08.2017)
        Par Alain Bauer 

        Publié le 20/08/2017 à 18h09

        CHRONIQUE - L'État islamique poursuit un processus inédit dans l'histoire du terrorisme en employant une gamme de moyens et d'acteurs très étendue. Pour le spécialiste en criminologie, il faut rapidement nous adapter à l'exceptionnelle capacité de mutation de cette entité.

        Poursuivant un processus sans doute unique dans l'histoire du terrorisme, l'État islamique (et, de manière moins sophistiquée, ce qui reste de ce qu'on croit devoir appeler génériquement al-Qaida) a développé un processus de terreur marqué par la diversité.

        Alors que la «signature» terroriste nécessitait des agents et des modes opératoires clairement identifiés, l'EI joue de toute la gamme des auteurs («lions», envoyés spéciaux depuis le siège du califat, désormais essentiellement mobilisés pour défendre ce qui reste de son territoire ; soldats, sous-traitants en mission ; lumpenterroristes, indépendants plus ou moins ubérisés ; inconnus se réclamant de l'organisation qui les découvre en même temps que le reste du monde) et des moyens d'action, du plus artisanal au plus sophistiqué.

        La gamme a continué de s'élargir avec des attentats alliant désormais le nombre des agents et l'absence de moyens. Avant Barcelone, on avait connu Paris (groupes massifs, moyens lourds, armes de guerre) ou Nice (agent isolé, peu ou pas connecté au QG de l'EI, moyens artisanaux). Barcelone vient d'être victime de la diversité des dispositifs (incluant sans doute une bombe ayant éliminé son artificier, des camionnettes, des ceintures d'explosifs factices, des armes…).

        Si l'État islamique est en perdition territoriale, et malgré une exceptionnelle résistance, il reste en capacité de déclencher au Sahel comme en Occident, en Asie du Sud-Est comme en Iran, des attaques localisées, en général de faible intensité, mais toujours aux répercussions médiatiques énormes.

        Il est largement temps de repenser non seulement la protection des sites, mais surtout celle des flux.

        Ce qui compte est l'exceptionnelle capacité de mutation, la diversité des opérateurs et des moyens, l'apparition de nouveaux avatars de l'EI, la résurrection de ses soutiens sur des territoires partiellement libérés avant d'être de nouveau grignotés.

        Pour les États et les services publics, on est effectivement passé d'une logique de prévention situationnelle et de sanctuarisation des territoires vers l'apparition d'espaces indéfendables tant le besoin d'interconnexion et de fluidité des sociétés modernes a contrecarré les obligations de sûreté et de sécurité.

        Ayant oublié les bases fondamentales de la protection des personnes avant celle des biens, nous payons au prix fort les mêmes erreurs, qu'il s'agisse des inondations sur des espaces rendus constructibles par la folie immobilière et des attentats sur des espaces publics ou l'on a savamment déconstruit ce qui en justifiait historiquement l'existence : la sécurité des populations.

        Si l'essentiel de l'action antiterroriste est de nature invisible et nécessite de forts investissements dans le renseignement opérationnel (surtout humain), qui semble donner de biens meilleurs résultats préventifs depuis quelques mois, il est aussi largement temps de repenser non seulement la protection des sites, mais surtout celle des flux.

        Et les Jeux de 2024 en France, à Paris, devraient servir à enfin revoir les aménagements urbains pour vivre, aller et venir, se promener, en sûreté et en sécurité.

        Le connu alors traité, on pourra aussi se concentrer sur les évolutions attendues mais sous-estimées: cyberattaques et surtout objets (et notamment véhicules) connectés…

        * Professeur de criminologie au Conservatoire national des arts et métiers, New York et Shanghaï, auteur de «Comment vivre avec le terrorisme», Éditions First.

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         Commentaires : 
        biton2 Abonné(e)
        Est-ce que des murs, du béton partout, des barrières, des barbelés, des miradors,... est vraiment la solution? On a tous compris qui sont et d'où viennent les agresseurs, ne serait-ce pas plus efficace de traiter le mal à ce niveau? D'accord, on n'a pas l'exécutif qui convient pour cela, mais on ne va pas continuer à se faire massacrer pendant cinq ans parce qu'on a un Président qui considère que la France n'a rien d'une entité culturelle et civilisationnelle, et qui tout simplement ne force pas la justice à utiliser les lois qui existent. C'est inadmissible!
        22/08/2017 à 11h56

        Canard sauvage Abonné(e)
        Pour commencer, il faut réaliser que l'un des buts des terroristes islamiques est de causer des guerres civiles entre musulmans et non-musulmans. Et il appartient aussi à chacun de ne pas uniquement compter sur la police et l'armée..... à titre de rappel, la Reine Victoria d'Angleterre a repoussé elle-même un terroriste à l'aide de son parapluie.....
        22/08/2017 à 09h59

        CHRISTIAN LOROLE Abonné(e)
        ce qu'il faut cet définir notre ennemi ? et pour cela stop à la langue de bois ? tous musulman est susceptible de devenir un jour un radical ! acceptons-le , ou non , là est la question ? alors que fait-on ? pouvons-nous compter sur nos politiques qui nous volent nos votes ? cela fait peur !
        22/08/2017 à 09h31

        Trask Abonné(e)
        La notion de protection des flux n'est pas définie.
        21/08/2017 à 22h04

        BMMJL Abonné(e)
        Ce texte ne nomme pas l'adversaire avec la précision requise pour pouvoir le combattre efficacement et empêcher l'extension de ce mouvement mortifère qui trouve sa source dans le domaine spirituel et dans la lutte contre le matérialisme occidental .
        21/08/2017 à 19h54

        JEAN PHILIPPE MENETRIER Abonné(e)
        Il serait bien de montrer le malheur de leurs familles après
        les attentats dans des documentaires,afin de leurs faire comprendre les souffrances qu'il cause dans tout leurs entourages.
        21/08/2017 à 19h39

        Alain PRIVAT Abonné(e)
        Du Bauer dans le texte, c'est à dire pas grand chose .....
        21/08/2017 à 19h02

        Miper 34 Abonné(e)
        -Vous faites dire à M. Bauer :"les Jeux de 2024 en France, à Paris, devraient servir à enfin revoir les aménagements urbains", .
        Espérons que l'on n'attendra pas jusque là pour prendre enfin conscience du danger et des mesures pour le combattre.
        21/08/2017 à 17h17

        P. LE CANARD Abonné(e)
        que du blabla le copain a walls ,bonnes théories mais pas de résultats alors .....
        21/08/2017 à 15h20

        Oskar Lafontaine Abonné(e)
        Comme l'Etat islamique n'est déjà qu'un avatar de l'Etat hitlérien...ainsi même antisémitisme forcené avant tout...
        21/08/2017 à 14h56


        Patrick Rézé Abonné(e)
        La première des mesures qui ne couterait rien serait d'empécher les américains d'inventer encore un Ben Laden comme ils ont fait en Afghanistan en les laissant financer dans les années 80-89 le pire parti de la résistance afghane le Hezb-e islami de Gulbuddin Hekmatyar qui fit venir les arabes sur le front afghan et donc Ben Laden avec sa bande d'assassin, puis de les empêcher d'envahir un autre pays comme ils firent en Iraq, ce qui créa quelques années plus tard la naissance de l'état islamique avec les conséquences que l'on connait.
        21/08/2017 à 13h19

        LEYBURN Abonné(e)
        tous nos politiques; grands commis de l'Etat et autres ne risquent rien car ils ne se promènent pas sur les boulevards ou avenues, ne prennent pas les transports en communs et, pour beaucoup on une protection rapprochée. Tous ces attentats ne sont pour eux qu'une façon d'avoir accès aux médias.
        21/08/2017 à 13h15

        Eucalyptus Abonné(e)
        Déjà il faudrait arrêter de faire rentrer cette engeance par centaines chaque jour... au lieu de déposer des ours en peluche et des bougies après coup.
        21/08/2017 à 12h21

        didier bernadet Abonné(e)
        Vous n'auriez pas un autre spécialiste à nous proposer, il n'y a pas que des Francs-maçons dans le domaine?
        21/08/2017 à 11h59

        PAPANG13 Abonné(e)
        Je ne fais aucune confiance dans le Grand Orient de France dont est adhérent Alain Bauer pour que toutes les sécurités soient appliquées contre le terrorisme islamique......
        21/08/2017 à 11h55


        PAPANG13 Abonné(e)
        Il a été grand maître du Grand Orient de France de 2000 à 2003.
        À l'âge de 15 ans, il rejoint le parti socialiste.
        Il était consulté par le président de la République française Nicolas Sarkozy et Manuel Valls sur les questions de sécurité et de terrorisme, après avoir été dans la même situation auprès du ministre de l'Intérieur (et de ses prédécesseurs depuis Jean-Pierre Chevènement).
        Il a été membre de la Commission nationale consultative des droits de l'homme entre 2000 et 2003 et de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (la Halde), de 2005 à 2007.
        etc, etc, etc...
        Tout cela pour les résultats connus aujourd'hui, et plus de 15 ans après....
        Aucune confiance, donc. Je dis Au secours
        21/08/2017 à 11h41

        Benji59 Abonné(e)
        La loi du talion :
        Œil pour Œil , Dent pour Dent.
        Les murs sont fait pour être rasés !!!!!
        21/08/2017 à 11h40

        Benji59 Abonné(e)
        Malheureusement , nous n'avons rien de plus que ce que nous avons semé.
        A force de faire de la France un "open bar" et de courber l'échine ;
        Ce n'est pas étonnant ce qui nous arrive .
        Et ce n'est pas fini ....
        21/08/2017 à 11h33

        Jean GUICHETEAU Abonné(e)
        Il faut surtout bloquer l'immigration venant des pays concernés. Et bloquer les retours de Syrie puisqu'une loi sur l'"intelligence avec l'ennemi" le permet. Sinon, c'est le tonneau des Danaïdes.
        21/08/2017 à 10h16

        abracadabrix Abonné(e)
        Pourquoi faut-il que nous, nous nous adaptions aux mœurs de ces barbares échappés du 6ème siècle ?
        Répondons par la force à chaque agression et stoppons les avancées des nouveaux arrivants qui , n'en déplaise à LASTFLOOR ( revenu d'entre les ? ) sont surtout des migrants économiques et musulmans !
        21/08/2017 à 09h55

        philadelphie Abonné(e)
        Je reste un peu sur ma faim sur la réalité de ces moyens.
        21/08/2017 à 09h50

        CHRISTIAN LOROLE Abonné(e)
        l'islam est en guerre contre la terre entière , et elle fait la guerre . toute le reste c'est du blabla !
        21/08/2017 à 09h28

        BARDAMU29 Abonné(e)
        Il faut sans tarder éduquer les populations et diffuser les consignes de comportement sur le modèle de celles diffusées en Israel. Exemples : ne jamais s'assoir dos à la rue aux terrasses, marcher à contresens de la circulation automobile, construire les nouveaux bars avec une sortie de secours sur l'arrière (une seule entrée-sortie en façade et c'est un massacre assuré)... etc. Il faut aussi autoriser le port d'arme de poing - sur le volontariat avec entraînement spécifique sur le tir en milieu ouvert et clos - aux forces de l'ordre en civil et hors service ainsi qu'aux militaires officiers et sous-officiers.
        21/08/2017 à 08h37

        PASCONFIANCE Abonné(e)
        Une protection va devenir urgente en fonction des "flux" comme Bauer le dit ... il est urgent de commencer par le refus impératif de ces migrants qui nous arrivent .
        Ces derniers deviendront très vite un foyer pour semer de plus en plus le cahot dans notre France .
        Il devient URGENT de les renvoyer dans leur pays.
        21/08/2017 à 07h44

        dulayon Abonné(e)
        Si l'EI recule sur le terrain, Irak, Syrie, il peut compter sur un "domaine" très vaste: celui des dévots et croyants. Cette "eau" où se dissimule les poissons, il faut la clarifier, afin de mieux repérer les prédateurs...
        21/08/2017 à 07h44

        Bill Verdam Abonné(e)
        Intéressante contribution mais insuffisante dans la mesure où A. BAUER s'intéresse aux conséquences sans traiter la cause.
        21/08/2017 à 07h37

        Patin-couffin Abonné(e)
        Pas faux "l'ubérisation des bras armés"... mais pour combattre l'Ubérisation il y a une solution : nommer les fr...es mu.....ns et sa......tes comme sectes dangereuses !
        Pour ceci il existe la loi About-Picard 2001... mais faut-il qu'il y ait la volonté politique, la ce n'est pas gagné !
        21/08/2017 à 01h36

        Symphorien 78 Abonné(e)
        Que des protections passives?
        A quand des mesures s'attaquant aux causes?
        21/08/2017 à 00h55

        avide Abonné(e)
        Bien, maintenant je me sens rassuré...
        21/08/2017 à 00h50

        MORTAIN Abonné(e)
        Notre faiblesse est en partie la conséquence de la prépondérance des vues de conseillers tels que Monsieur Bauer
        21/08/2017 à 00h20

        PASCAL RENDU- MOSCOU Abonné(e)
        Le lecteur est exigeant.Le constat ne nous a pas échappé mais c'est toujours le flou des solutions.
        Alors! Protection des sites et des flux on fait quoi?
        Pascal Rendu Présidentielle 2022
        20/08/2017 à 23h05

        Pamphile Rastignac Abonné(e)
        cette nouvelle sécurité va couter une fortune. Mais ça permettra de faire encore payer les français. et de faire passer le surcout des jo.
        20/08/2017 à 22h57

        MAS66 Abonné(e)
        Arrêtons de jouer aux bisounours
        20/08/2017 à 18h28

        Comment se protéger contre les attaques à la voiture-bélier ? (18.08.2017)


        • Par Clément Duffau
        • Mis à jour le 18/08/2017 à 18:01
        • Publié le 18/08/2017 à 16:32
        EN IMAGES - Blocs de béton, sacs de sable, véhicule en barrage...voici les options retenues par les autorités des pays européens pour protéger la population contre les attaques à la voiture-bélier.

        Au lendemain des attaques à la voiture-bélier en Catalogne, qui rappelle les attentats de Nice, de Berlin et ceux de Londres, le maire de Nice Christian Estrosi a proposé la création d'un «fonds» européen pour les communes qui luttent «contre le terrorisme». L'élu LR souhaite que «puissent être mis en place, à l'exemple du plan Juncker sur l'innovation, des fonds pour les communes qui aménageront leur espace public pour lutter contre le terrorisme». Le maire de Nice, première ville européenne visée par un attentat meurtrier à la voiture-bélier le 14 juillet 2016, invite ses homologues européens à venir discuter fin septembre de lutte contre le terrorisme avec le commissaire européen à la Sécurité, Julian King.

        Charlie Hebdo

        Film anti-islam, caricatures : sécurité renforcée et interdiction des manifs à Paris (19.09.2012)
        "L'Innocence des musulmans", le film qui a mis le feu aux poudres (12.08.2012)


        Film anti-islam, caricatures : sécurité renforcée et interdiction des manifs à Paris (19.09.2012)


        Manifestation en faveur de Charlie Hebdo l'année dernière à Paris./©AFP / archives
        Manifestation en faveur de Charlie Hebdo l'année dernière à Paris./©AFP / archives

        Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé ce mercredi l’interdiction de la manifestation prévue à Paris samedi prochain. Des appels à manifester ont en effet été lancés sur les réseaux sociaux en réaction au film anti-islam, « L’innocence des musulmans ». Les caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo aujourd’hui ont par ailleurs suscité de vives réactions et pourraient amplifier le mouvement de mobilisation.

        Concernant le but premier de la manifestation, à savoir la polémique autour du film anti-islam, Jean-Marc Ayrault explique qu’il n’y a « pas de raison qu'on laisse dans notre pays venir des conflits qui ne concernent pas la France ». « Nous sommes dans une république qui n'a pas du tout l'intention de se laisser intimider par qui que se soit autour de ses valeurs », poursuite le Premier ministre. Cette manifestation prévue à Paris fait donc l’objet d’une interdiction : « Nous ne tolérerons pas de débordement. Ce sont des groupes minoritaires qui veulent exploiter la situation, la République ne se laissera pas faire. »

        Première mesure de sécurité contre le terrorisme islamique : la connaissance des textes islamiques et de l'histoire des pays musulmans

        Puisque l'expulsion des imams radicaux, la fermeture des mosquées radicales, la déchéance de nationalité, l'expulsion des criminels immigrés n'est pas à l'ordre du jour, le nombre de personnes à surveiller est trop importante pour pouvoir éviter toute attaque. Mais revenons en arrière, pourquoi vouloir expulser les imams radicaux ? La liberté de religion n'est-elle pas garantie dans les démocraties occidentales ? Oui, à condition que cette religion respecte les droits de l'homme et ce n'est pas le cas de l'islam radical. 

        Accepterait-on de laisser prêcher un homme prônant le cannibalisme ou le nazisme ou la pédophilie ou le meurtre des vieillards, etc. ?

        Mais pour l'islam, pas de problème, quels que soient les contenus des textes et les prêches des imams. Alors que les gens ne savent pas ce qu'il y a dedans. Et quand on leur dit qu'il n'y a pas de rapport entre les attentats et l'islam, que ce n'est pas ça l'islam, ils le croient. Par une inversion incroyable de la réalité digne des plus belles pages de 1984, ceux qui critiquent l'antisémitisme de certains musulmans se voient traiter d'islamophobes, donc de racistes. En 1938, année des accords de Munich, de la capitulation morale face au mal, les critiques de Hitler et du nazisme ne se voyaient pas traîner en justice pour germanophobie. 

        A force de vouloir ménager les musulmans et de prôner le vivre-ensemble sans se préoccuper de savoir avec qui on vit ensemble et comment on vit ensemble, on oublie d'attaquer la racine du mal : l'islam lui-même. Une grande partie des musulmans de France serait ravi de vivre selon un islam réformé et conforme à la laïcité. Mais on ne soulève pas le problème, de peur de se recevoir une bombe ou pire d'être traité de raciste et d'islamophobe. Trop souvent, on traite le jihadisme comme une perversion de l'islam, un islam de dégénérés, de gens illettrés qui n'ont pas lu le Coran, alors qu'il en constitue bien au contraire un pan essentiel si l'on se penche sur les textes islamiques eux-mêmes et non sur ce qu'en disent soit des ignorants soit des gens ayant intérêt à cacher cela aux yeux du peuple. 

        Les très nombreuses sourates de la haine et celles du jihad contenues dans le Coran ne sont en effet presque jamais mentionnées par les hommes politiques, les journalistes ou les musulmans eux-mêmes. 

        Encore plus cachées et dissimulées à la connaissance des non-musulmans, mais non moins essentielles à la compréhension de la violence et de l'intolérance de  l'islam sunnite, sont les œuvres qui constituent tout le reste du corpus sunnite. Le sunnisme ne se limite pas au Coran mais comporte aussi la sunna, c'est-à-dire la collection d'un grand nombre d'actes ou de propos du prophète (les hadiths) rapportés par des témoins de la vie du prophète (ses femmes, ses proches compagnons) et recueillis par des auteurs comme Bukhari ou Muslim. Il faut aussi inclure à ce socle sunnite la vie du prophète (sira) et encore quelques grands ouvrages de commentaires écrits des siècles après la mort du prophète. 

        De même aussi n'est jamais racontée en entier l'histoire de l'expansion de l'islam faite de crimes, de viols, de massacres, d'atrocités commencée par le prophète Mahomet lui-même et poursuivie par les califes et chefs musulmans de manière plus ou moins intense depuis 620.

        La première mesure de sécurité est donc la vérité sur l'islam. Si les gens connaissaient le contenu du Coran, les principaux hadiths, les éléments essentiels de la vie du prophète, quelques pages des grands commentateurs sunnites, cela m'étonnerait que les gens laisseraient se construire des mosquées dans leurs villages ou leurs quartiers, cela m'étonnerait que les immigrés musulmans puissent passer aussi facilement les frontières des pays non-musulmans, 



        Interviews de jihadistes

        Emprisonnés, ils racontent ce qui a motivé «leur djihad» (16.08.2017)

        Emprisonnés, ils racontent ce qui a motivé «leur djihad» (16.08.2017)



        Mis à jour le 18/08/2017 à 18h51 | Publié le 16/08/2017 à 20h12

        Quatre professeurs et chercheurs ont étudié les mécanismes de radicalisation violente auprès d'une vingtaine de détenus, issus des mouvances nationalistes et islamistes.

        «Incarcérés à leur retour, explique au Figaro une source policière, les revenants, qui jouissent d'une certaine aura, peuvent influencer des individus condamnés pour apologie du terrorisme ou association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste.» La prison demeure en effet un des viviers de l'islamisme radical. Quatre professeurs et chercheurs (Bilel Ainine, Xavier Crettiez, Thomas Lindemann et Romain Sèze) ont étudié «les mécanismes de la radicalisation violente» de détenus avec le soutien de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (Inhesj) et du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CNRS).

        Finlande

        ATTAQUE EN FINLANDE: LE PRINCIPAL SUSPECT PLACÉ EN DÉTENTION PROVISOIRE (22.08.2017)
        Attaque en Finlande : le principal suspect a été identifié (21.08.2017)
        En Finlande, hommage aux victimes de l’attaque qui « visait des femmes » (20.08.2017)
        Finlande: la police enquête sur un acte terroriste après l'attaque au couteau à Turku (18.08.2017)
        Finlande : une attaque au couteau fait deux morts et six blessés à Turku (18.08.2017)

        ATTAQUE EN FINLANDE: LE PRINCIPAL SUSPECT PLACÉ EN DÉTENTION PROVISOIRE (22.08.2017)
        Publié le : Mardi 22 Août 2017 - 12:09
        Mise à jour : Mardi 22 Août 2017 - 17:50

        L'assaillant a délibérément visé des femmes, d'après les enquêteurs. Deux Finlandaises ont été tuées et huit autres personnes --six femmes et deux hommes-- ont été blessées, selon les autorités.
        © Roni Lehti / Lehtikuva/AFP

        Auteur : Par AFP

        Le jeune Marocain soupçonné d'avoir mortellement poignardé deux personnes et blessé huit autres vendredi en Finlande a reconnu mardi être l'auteur de l'attaque et a été écroué dans le cadre de l'enquête ouverte pour meurtres à caractère terroriste.

        Depuis son lit d'hôpital où il est soigné après avoir été blessé par balle à la cuisse par la police lors de son interpellation, Abderrahman Mechkah, 18 ans, ne s'est pas expliqué sur les raisons de son geste.

        Il comparaissait par liaison vidéo depuis l'hôpital devant le tribunal de Turku (sud-ouest) en vue de son placement en détention, qui équivaut en droit français à une inculpation.

        "L'assaillant de Turku est soupçonné de meurtres et tentatives de meurtre avec intention terroriste, et a été placé en détention", a annoncé dans un tweet le Bureau national d'enquête (BNE), chargé de l'enquête.

        Identifié comme le principal suspect de cette attaque survenue en plein jour dans le centre de la ville, Abderrahman Mechkah est un demandeur d'asile marocain arrivé dans le pays en 2016.

        Selon son avocat, il "reconnaît avoir commis des actes ayant entraîné la mort, mais dément l'intention homicide". "Il ne s'est pas expliqué sur le mobile de ses actes", a indiqué Kaarle Gummerus à l'AFP.

        D'après les enquêteurs, Abderrahman Mechkah a délibérément visé des femmes. Deux Finlandaises ont été tuées et huit autres personnes --six femmes et deux hommes portant secours-- ont été blessées, selon les autorités.

        Trois autres suspects, Abdederrazak Essarioul, Ilyas Berrouhin et Mohamed Bakier, tous de nationalité marocaine, ont également été placés en détention pour les mêmes chefs. La police cherche à déterminer leur degré d'implication dans le projet du jeune Marocain.

        Un quatrième a été remis en liberté et écarté de l'enquête.

        - La tentation du repli sur soi -

        Si le caractère terroriste de l'attaque était confirmé, il s'agirait d'une première dans ce pays nordique.
        Le mobile de l'attaque n'est pas encore connu, mais selon les services de renseignement finlandais (Police de sécurité, Supo), le Marocain avait été signalé pour radicalisation.

        L'audience s'est tenue pour une large part à huis clos. Des photos prises par la presse avant l'ouverture des débats ont montré le suspect couché sur son lit, la tête posée sur un oreiller et le visage dissimulé par un drap blanc.

        L'attaque meurtrière de Turku a choqué les consciences en Finlande, un pays de 5,5 millions d'habitants considéré comme l'un des plus sûrs au monde.

        D'après les médias finlandais, Abderrahman Mechkah s'est vu refuser sa demande d'asile en Finlande, une information qui n'a pas été confirmée officiellement. La police s'est contentée d'indiquer qu'il "était en plein processus de demande d'asile en Finlande" et qu'il avait fait appel d'une première décision reçue, sans en préciser la nature.

        Le chef de file des Vrais finlandais, un parti populiste anti-immigration, a demandé le placement en centres de rétention des demandeurs d'asile déboutés en attendant leur expulsion. "Les îles finlandaises feraient l'affaire" pour accueillir ces centres, a ajouté Jussi Halla-aho.

        Devant la conférence des ambassadeurs finlandais mardi à Helsinki, le président Sauli Niinistö a quant à lui mis en garde contre la tentation du repli sur soi.

        Si "l'attaque a ébranlé le sentiment de sécurité des Finlandais (...), nous ne pouvons fermer nos frontières sans nous enfermer nous-mêmes", a-t-il prévenu.

        En juin, la Supo avait relevé d'un cran son niveau d'alerte face au risque terroriste et annoncé avoir repéré une activité du groupe jihadiste État islamique (EI) susceptible de viser la Finlande. Le risque est actuellement au niveau deux sur une échelle de quatre.


        Auteur : Par AFP

        Attaque en Finlande : le principal suspect a été identifié (21.08.2017)
        • Par Alicia.Paulet, AFP, Reuters Agences
        • Mis à jour le 21/08/2017 à 14:03
        • Publié le 21/08/2017 à 13:35
        L'homme qui a tué deux personnes et en a blessé huit autres à Turku, le 18 août, est un demandeur d'asile marocain de 18 ans, qui «s'intéressait aux idéologies extrémistes», selon les services de renseignements finlandais. Il sera présenté mardi devant un juge.

        L'enquête sur l'attaque à Turku, qui a fait deux morts et huit blessés, se poursuit. Le tribunal a annoncé avoir identifié Abderrahman Mechkah comme le principal suspect de l'attaque qualifiée de «terroriste» par les autorités finlandaises. La police l'avait rapidement interpellé, le blessant par balles à la jambe. Il est actuellement hospitalisé.

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