vendredi 21 décembre 2018

Dette illégitime (loi Giscard-Rothschild de 1973)


Enfin un  Gilet Jaune parle du cœur nucléaire du problème : LA DETTE ET LOI DE 1973 de Giscard, Pompidou-Rothschild sur M6, personne répond sur le plateau...
A PARTAGER MASSIVEMENT.
https://twitter.com/HanbaliQays/status/1070580698489282560
Qui a raison ?



Etienne Chouard sur l'article 123 du Traité de Lisbonne

Tweets sur la loi de 1973 et sur la dette :
https://twitter.com/search?q=dette%201973&src=typd

Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 de Pierre-Yves Rougeyron avec P. Jovanovic
https://youtu.be/bTq6XyP1n_g

Le Jardin Des Livres
Ajoutée le 17 sept. 2013
http://www.lejardindeslivres.fr

Enquête sur la Loi du 3 janvier est un livre choc. Il montre, point par point, comment la France a été mise en esclavage par la dette avec juste un simple texte anodin. Il montre comment l'élite des hautes fonctionnaires a renoncé, pas à pas, à la Nation française, à son âme et à son indépendance. C'est l'histoire des manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu'à une seule entité : les banques privées. Grâce à cette loi, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l'État pour payer retraites, salaires et aussi... intérêts de la dette, qui s'ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu'au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour. Ce livre est le récit de la pire trahison de l'Histoire de France.

Wiel.ʍ˙l˙ʞ 🌐 🔭 🚀@Deekhlan
On peut retomber sur cet article de lois en consultant http://Legifrance.gouv.fr  :
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000334815&dateTexte=19931231


Wiel.ʍ˙l˙ʞ 🌐 🔭 🚀@Deekhlan
Avec les modifications entrées en vigueur en janvier 1994 https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsessionid=EC9F87AEE3CD5E3AFC9B3FD70CBE52DF.tplgfr26s_3?cidTexte=JORFTEXT000000180850&idArticle=LEGIARTI000006697421&dateTexte=19931231&categorieLien=id#LEGIARTI000006697421

@Informons_nous
la loi pompidou giscard vu les articles 19 et 25 ne peut être totalement incriminée. C'est bien l'UE via les art 104 de Maastrich puis 123 du traité de Lisbonne qui sont à l'origine de nos malheurs.

lab freeman
Sans souveraineté monétaire pas de démocratie...

Nikoshi makamoto
Il existe un moyen de souveraineté monétaire fonctionnel depuis 10ans et hors d’atteinte des états. Le Bitcoin à été créé pour retirer le pouvoir aux banques centrales et aux États d’imprimer de l’argent à partir de rien...

Nikoshi makamoto
Oublier ce ques les médias vous raconte à son propos car pour les mêmes raisons qu’ils ne répondent pas a la question posée ds le video, ils sont incités à faire peur aux citoyens pour ne pas qu’ils se renseignent. Le Bitcoin est la souveraineté monétaire

Le miracle Islandais que nos politiques refusent de voir !

la dette elle est là pour qu'un jour, l'Élite s’accapare des ressources. Ils ont bien essayé en 1990 en Argentine, voici un des meilleurs documentaire qu'il m'est été de visionner :  https://www.youtube.com/watch?v=Ptzk-PCLaw8  ... il te faut absolument voir cette vidéo afin de voir comment ils fonctionnent (à la base) bien entendu leur stratégie se perfectionne mais on voit tout de même leur but.

⚠️GILETS JAUNES ACTE 4 Ce que vous devez savoir !
https://www.youtube.com/watch?v=cDZUSswKokY

De Pompidou à Macron, le système Rothschild tire toujours profit de la dette publique...

 Depuis la loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, l’État est obligé de passer par le système des banques privées pour financer son endettement.
Aujourd’hui, Emmanuel Macron, issu lui aussi de la banque Rothschild, ne compte pas bien sûr remettre en cause cette loi, préférant faire des coupes sombres dans les budgets sociaux pour réduire le déficit de l’Etat… 


Depuis 1973, le Trésor public ne peut plus présenter ses propres effets à l’escompte de la Banque de France. En clair, l’État est condamné à se financer par des emprunts, contre intérêts, auprès de banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France.
Comment en est-on arrivé là ? En 1973, après de 30 années de création monétaire, l'économie française était remise à flot. Dans l’esprit de l’ancien président de la République, Georges Pompidou, et des hauts fonctionnaires qui l’entouraient à l’époque, la France était désormais reconstruite suite aux destructions de la deuxième guerre mondiale. 
Il semblait donc plus aussi nécessaire de laisser persister des mécanismes qui s'étaient avérés bénéfiques pour le financement de dépenses d’investissements structurels, d'autant plus que ces mécanismes de création monétaire avaient été souvent utilisés pour financer le fonctionnement courant de l'Etat. 
Il s’agissait avant tout d'instituer un garde-fou afin de préserver le pays de l’inflation et des dévaluations de la monnaie en s'imposant une discipline budgétaire. Il apparut souhaitable à la fois d'encadrer les dérives potentielles de l'Etat et de sortir d'une ère d'économie administrée en établissant un autre système de financement.
Mais le problème, c’est que ces bonnes intentions finirent par faire le jeu du monde de la finance qui a vite vu l’intérêt qu’il pouvait retirer d’un système par lequel l’État devait obligatoirement passer pour emprunter. De ce point de vue, la loi de 1973 fut également le fruit d'un habile lobbying bancaire visant à neutraliser tous ceux qui étaient favorables au système en vigueur jusqu'ici.
Cette loi a été abrogée en 1994 mais après avoir été étendue et confortée au niveau de l’Union européenne par les traités de Maastricht (à compter du 1er novembre 1993, article 104) et Lisbonne (à compter du 1er décembre 2009, article 123) que la France appliquer à la lettre depuis cette date.
Les critiques de la loi de 1973
Contrairement à ce qu’escomptaient les initiateurs de la loi de 1973, l’endettement public non seulement s’est poursuivi mais a augmenté considérablement, l’État étant progressivement devenu l’otage d’un système financier privé. 
On le voit aujourd’hui en France mais aussi en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, ce ne sont plus les états qui gouvernent mais la « troïka » (Union européenne, Fond monétaire international et Banque centrale européenne) qui resserre toujours davantage son emprise financière sur les pays, notamment du Sud de l’Europe.
La critique de cette loi a notamment été porté par Étienne Chouard qui a préfacé le livre de l'essayiste altermondialiste André-Jacques Holbecq « La dette publique, une affaire rentable », publié en 2008.
Le webdocumentaire « L'Argent Dette » (documentaire sur la création monétaire, 2008) de de Paul Grignon, fustige le fait que les États empruntent de l'argent et payent des intérêts, alors qu'ils pourraient créer l'argent. Diffusé en streaming sur le web et en DVD, il nous montre à l'aide d'animations et d'explications claires la façon dont est créé l'argent. Et contrairement à ce que l'on peut croire, la monnaie créée par l'État ne représente que 5% de l'argent en circulation contre 95% créée par quelqu'un signant une reconnaissance de dette à une banque. 
Gabriel Galand et Alain Grandjean, membres de l'association « Chômage et Monnaie », créée en 1992, ont dénoncé eux aussi cette loi dans un livre de 1996, " La monnaie dévoilée ", aux Editions L'Harmattan. 
Dans le documentaire franco-allemand d'Arte, « La dette, une spirale infernale ? », le pouvoir des banques de créer de l'argent à partir de rien, contre une promesse de remboursement y est critiqué également par le regretté Bernard Maris qui expliquait notamment : « L'argent, qui était devenu un bien public - c'est-à-dire que l'État gérait la création monétaire - est redevenu un bien privé, créé par les banques, de grandes puissances autonomes, dans les années 1970, et après ça n'a fait que s'amplifier ».
C'était aussi l'avis de Michel Rocard qui estimait que cette loi a « interdit à l’État de se financer sans intérêt auprès de la banque de France » et l'a obligé à « aller se financer sur le marché financier privé à 4 ou 5 % ».
Dans son livre « L'Arnaque du siècle » de 2012, Nicolas Dupont-Aignan écrit « Comment pouvons-nous accepter d'avoir transféré la création monétaire au secteur privé, c'est-à-dire aux banques privées ? […] Est-il normal, pour construire une autoroute, pour financer le haut débit, d'emprunter à 3 % à des banques ou par des obligations alors que la banque centrale publique prête à 1 % ? […] Alors même que l'on pourrait, comme la France l'a fait jusqu'en 73 […] financer à un taux abordable nos équipements publics ? ».
Des critiques, comme Emmanuel Todd, vont jusqu'à considérer que la dette est illégitime et ne doit pas être remboursée.
Des chiffres méprisés par Emmanuel Macron
Si les taux d’intérêt ont fortement diminué ces dernières années, s'établissant à moins de 1% en moyenne ou même négatifs à certaines périodes de l'année depuis 2012, ils ont été très élevés par le passé.
Dans les années 80, le taux d’intérêt moyen à 10 ans était de 11,9%, dans les années 90 de 6,3%, dans les années 2000 de 3,9%. En 2011, les taux d'intérêt à dix ans notamment sur les emprunts d'Etat de la Grèce ont atteint des niveaux record, jusqu'à 17,68 % ! La tension sur la Grèce a poussé à la hausse les taux des autres pays fragiles de la zone euro : les rendements à dix ans de l'Irlande ont atteint jusqu’à 11,31 % et ceux du Portugal 10,46 %.
En 1978, la dette publique de la France représentait 72,8 milliards € et 21,2% du PIB.
En 1988 : 302,8 milliards € et 33,3% du PIB.
En 1998 : 787,4 milliards € et 59,6% du PIB.
En 2005 : 1147,6 milliards € et 66,8% du PIB. La charge de la dette (paiement des intérêts seuls) se montait à 47,4 milliards d'euros, soit la presque totalité de l'impôt sur le revenu payé par les Français. Cette charge était le deuxième poste budgétaire de l'État français, après celui de l'Éducation nationale et avant celui de la Défense. 
En 2007 : 1211,6 milliards € et 64,2 % du PIB. La charge des intérêts se montait à plus de 50 milliards d'euros, soit l'équivalent du déficit public. 
Fin 2013 : 1 925,3 milliards d'euros, soit 93,5 % du PIB. 
A la fin du 1er semestre 2014, la dette a dépassé officiellement les 2 000 milliards €. 
Fin 2015, lorsque Emmanuel Macron était encore ministre de l’Economie, de l’industrie et du Numérique, la dette est montée à 2 098 milliards € !
Fin juillet 2017, la dette s’élevait à 2 226 milliards € (soir 35 441 € par habitant et 70 882 € par ménage)
Un calcul précis révèle en outre que de 1980 à 2008, la dette a augmenté de 1 088 milliards €, les intérêts payés se montant à 1306 milliards d’euros ! Sans les intérêts encaissés par les financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d’euros au lieu de 1 327 milliards € ! 
Une situation dramatique qui s’est encore aggravée depuis la crise de 2008 où, en volant au secours des institutions financières, l’État est également devenu le fournisseur en premier ressort de ces mêmes institutions qui lui reprochent son endettement et lui appliquent en conséquence des taux usuraires. 
Aujourd’hui, Emmanuel Macron occulte systématiquement le problème du financement de la dette publique par des organismes bancaires privés à l’image des « éminents journalistes » que sont les Apathie, Barbier, Calvi, Demorand, Joffrin, Lechypre, Lenglet, Pernaut, Pujadas qui préfèrent parler de « l’insupportable fardeau de la dette », « la France en faillite », « les nécessaires sacrifices à faire », « la nécessité de ne pas vivre au-dessus de nos moyens » etc.
C’est ainsi que s’imposent dans l’opinion françaises et européenne des vérités apparentes qui confortent l'inéluctabilité de l’austérité et la remise en cause le système des créanciers privés pour financer l’endettement des états…


Photo Creative Commons


christophe schoerlin@tof1800
Mélenchon contre la loi Pompidou-Rothschild-Giscard -
http://www.dailymotion.com/video/xdkb7t  via @Dailymotion

Etienne Chouard sur l'article 123 du Traité de Lisbonne
https://www.dailymotion.com/video/xd5m58


Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213182-dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html
Publié le 12-11-2011 à 15h07 - Modifié à 09h50
201 réactions | 702981 lu

Temps de lecture Temps de lecture : 3 minutes
Avatar de Olivier Bonnet
Par Olivier Bonnet
Journaliste engagé
LE PLUS. On parle beaucoup de crise et de dette en ce moment, mais de quelle manière ? Le journaliste Olivier Bonnet reproche aux médias de relayer la théorie libérale, sans s'interroger sur des étapes fondamentales comme celle de la loi Pompidou-Giscard en 1973.

Édité par Hélène Decommer

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C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123).



D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France".



argent (JAUBERT/SIPA)
(JAUBERT/SIPA)



Contraint d'emprunter aux banques privées



En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités.



Le pouvoir est désormais aux mains des créanciers privés, qui l'exercent au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, quand la puissance publique a renoncé à son devoir de protéger l'intérêt général. La démocratie, étymologiquement pouvoir du peuple, est morte. On le voit en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France...



Qui gouverne ? "La troïka" - Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne - resserrant toujours davantage son emprise jusqu'à l'étranglement des peuples. Et l'on pérore sans fin sur les plateaux de télévisions, sur les ondes et dans les colonnes de la presse sur "l'insupportable fardeau de la dette", "la France en faillite", "les nécessaires sacrifices", que "nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens" et que, d'ailleurs, "les Français l'ont compris".



Silence médiatique



Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Bien sûr, mais relayée par le silence complice des médias. Et c'est ainsi que s'imposent dans l'opinion les apparentes évidences biaisées qui prétendent l'austérité inéluctable, contre la justice et l'intelligence. Deux ans d'austérité en Grèce déjà, pour quel résultat ?



Avec toujours la même justification simpliste et manipulatrice, résumée par la question posée par un journaliste d'Europe 1 à Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle : "Mais comment des pays européens endettés peuvent-ils faire autrement pour réduire leurs déficits ?"





Un graphique pour illustrer le propos, qui montre l'hallucinante évolution de la courbe de la dette publique.







"Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts", résume Mai68.org. Faisons la soustraction : sans les intérêts illégitimes encaissés par les banksters financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d'euros - au lieu de 1327,1 milliards ! Un escroc peut-il rêver pareil butin ? Et personne ne dénonce jamais ce scandale absolu ! A part Mélenchon et l'extrême droite - qui ne le fait que par opportunisme, étant entendu qu'elle a toujours été au service zélé du capitalisme libéral et ne remettra donc jamais en cause son empire...



Mais les éminents confrères ? Les Calvi, Barbier, Demorand, Joffrin, Apathie, Bourdin, Pujadas ou qui savons-nous encore ? Ceci ressemble bien à une omerta. Et à une honteuse trahison de leur mission d'informer.





Article initialement publié sur plumedepresse.

Voir aussi, sur le même sujet, le projet de documentaire du mensuel Regards, L'arnaque du siècle.




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