samedi 15 décembre 2018

Georges Soros oeuvre à la destruction d’Israël

Si comme moi vous n'êtes pas israéliens, ce n'est pas grave, remplacez "Israël" par votre pays. 
Car ce que Soros et les autres mondialistes veulent à tout prix, c'est détruire les nations pour créer un monde sans frontière, sans peuple, sans culture, avec des individus interchangeables et vides. Dans tous les pays, Soros et sa fondation Open Society est à l'oeuvre pour financer des associations porteuses de haine, de division, de destruction des traditions, des cultures, des identités, des valeurs.

Article paru sur : https://www.europe-israel.org/2015/10/georges-soros-face-moderne-damalek-oeuvre-a-la-destruction-disrael/.

Notre peuple et son Etat sont, actuellement, particulièrement en but à de nombreuses attaques sournoises : l’antisémitisme renaît partout où on le croyait vaincu et l’Etat hébreu est devenu « le Juif des Nations ». Les défenseurs d’Israël se portent – et s’épuisent – sur tous les fronts pendant que d’autres, plus fatalistes, haussent les épaules en courbant le dos sous l’orage tout en n’y voyant que la douloureuse continuation historique qui frappe les descendants d’Avraham, d’Ytzh’ak et de Ya’acov. Tous se demandent pourtant ce que nous avons fait au Ciel pour mériter ce châtiment !

Lire la suite de l'article : https://www.europe-israel.org/2015/10/georges-soros-face-moderne-damalek-oeuvre-a-la-destruction-disrael/



La réponse se trouve dans une Mitsvah qu’un de nos rois – (déjà) infecté par la fibre « humaniste », qui masque en fait des relents de cupidité – n’a pas respectée. Ce Commandement nous disait (Dvarim – Ki tètsé – XXV, 19) « Lorsque Hachem, ton D-ieu t’aura donné le repos de tous tes ennemis d’alentour, dans le pays que Hachem ton D-ieu te donne en héritage pour l’occuper, tu effaceras le souvenir d’Amalek de dessous les Cieux, ne l’oublie pas. » (Chmouel – dans le Premier livre de Chmouel XV, 3 – précise « hommes, femmes, enfants et nourrissons, bœufs et brebis, chameaux et ânes »). Mais Chaoul et le peuple laissèrent vivre Agag. Ses descendants engendrèrent Haman (voir Livre d’Esther) et, à chaque génération, bien d’autres antisémites dont l’origine génétique s’était diluée dans la nuit des temps.
Longtemps, nous nous sommes interrogés pour découvrir qui étai(en)t le(s) représentant(s) de cette âme damnée à notre époque… nous avons tellement de gens qui nous haïssent (les nazis, les islamistes, les alter-mondialistes, la gauche internationaliste, les laïcards fanatiques…) qu’il était difficile de trouver le lien qui unit tous ces gens.
C’est fait ! Il se nomme George Soros, est multi-milliardaire et son but avoué est de dominer le monde entier. Oh, bien sûr ! Il cache son hideux projet sous des dehors philosophiques – affirmant que « les Etats ont des intérêts, mais pas de principes et qu’une société ouverte idéale supprimerait les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu’une structure politique et financière internationale prendrait la responsabilité de la défense du bien des gens », il ajoute que « La démocratie et la société ouverte ne peuvent être imposées que de l’extérieur, parce que le principe de souveraineté fait obstacle à l’ingérence extérieure ». – mais, sous ses oripeaux « humanistes », dote ses organisations « philanthropiques » de liquidités financières, qui « achètent » ensuite d’importants secteurs de la population, se déchaînant à leur tour afin de faire tomber les gouvernements qui essaient de préserver leur indépendance nationale.

Si une nation souhaite contrôler ses propres ressources naturelles, c’est – selon lui – une « société fermée ». Si une nation souhaite développer son économie et sa force de travail à l’aide de tarifs douaniers et de régulations, c’est aussi une « société fermée ». Toute nation qui rejette la mondialisation (c’est-à-dire l’impérialisme du libre-échange) est condamnée au même titre et fera l’objet d’attaques de la part des tentacules de Soros et de son organisation secrète, nuage d’encre de la pieuvre.
Actif dans plusieurs dizaines de pays, il contrôle quelque 180 groupes médiatiques « progressistes » ou de gauche radicale (soit quelque 332 millions lecteurs par mois) – dont The Guardian, le Monde, Indymedia et Avaaz – parmi lesquelles, rien qu’aux Etats-Unis, 30 d’importance nationale (notamment : le New York Times, le Washington Post, l’Associated Press, NBC, CNN and ABC ).
Son ombre plane sur l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) et sur le FMI (Fonds monétaire international). Membre, depuis 1947, de la Fabian Society, cette organisation dont George Orwell (auteur du théoriquement imaginaire  « 1984 », avec son « Big Brother vous regarde » et un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme) faisait partie également, il est relié entre autres par ce biais à la Frankfurter School qui vise à « supprimer graduellement les traditions culturelles, l’identité ethnique, la souveraineté nationale et la mémoire historique des peuples européens ».
« Faiseur de rois », il a financé l’élection de Obama et soutient actuellement Hillary Clinton (on le retrouve aussi acoquiné avec Tony Blair et beaucoup d’autres « grands » de ce monde), a obtenu pour une de ses créatures un Prix Nobel de la Paix et l’a fait nommer à la présidence du Libéria, a organisé en sous-main la mise en place de divers pouvoirs d’anciennes républiques de l’URSS contre la Russie, a tenté de déclencher une guerre mondiale lors du conflit du Kosovo, a soutenu l’instauration des « Printemps arabe », est copain comme cochon avec l’Iran des Ayatollahs, divers mouvements terroristes islamistes, de nombreuses monarchies du Golfe, et a aidé à mettre en place – en fomentant, entre autres, des troubles à l’aide de francs-tireurs – le gouvernement ukrainien actuel d’extrême-droite. C’est lui aussi qui a travaillé à la faillite de la Grèce afin de faire diriger ce pays par Syriza et on peut le soupçonner de ne pas être étranger aux divulgations de Edward Snowden.
« Semeur de troubles » (Source et source) et actif destructeur des valeurs judéo-chrétiennes, on retrouve sa sale patte financière derrière les Femen, les Indignés, la campagne pour la libération des criminels de guerre incarcérés à Guantanamo, la promotion, en vrac, du multiculturalisme, de l’avortement, du « mariage » homosexuel, de la théorie des genres, de la légalisation des drogues et de l’immigration illégale (Dans le but de « noyer » l’Europe sous la vague de « réfugiés », il a fait distribuer, au Moyen-Orient et en Libye, un vade-mecum – publié par une de ses organisations – expliquant toutes les ficelles juridiques aux candidats migrants).
Parmi les organisations de renseignements de style britannique sous la supervision de Soros, on trouve l’Open Society Institute (OSI), Human Rights Watch, la Fondation Soros, et l’Initiative relative à la transparence des industries extractives.
En 2002, Soros a reconnu avoir déboursé plus de 2,1 milliards de dollars en cinq ans dans ses entreprises philanthropiques.
Il écrit à leur propos : « Elles travaillent avec le gouvernement lorsqu’elles le peuvent et indépendamment du gouvernement lorsqu’elles ne le peuvent pas ; parfois elles sont carrément dans l’opposition. Lorsque les fondations peuvent coopérer avec le gouvernement, elles peuvent être plus efficaces ; lorsqu’elles ne le peuvent pas, leur travail est d’autant plus nécessaire et apprécié, car elles offrent une source de financement alternative pour la société civile »
S’étant juré la perte d’Israël (le judaïsme, la judéité et le sionisme étant à l’extrême opposé de son diabolisme), il finance pour plusieurs centaines de millions de dollars (sans compter les autres subsides que son lobbying obtient, pour elles, de l’U.E., de divers gouvernements occidentaux, voire arabes) une nébuleuse d’organisations anti-israéliennes (juste créées pour critiquer, sans bonnes raisons, l’Etat juif et lui nuire) : l’Israel Policy ForumBrit Tzedek v’ShalomBDS, le Center for American Progress, la New America FoundationJ StreetHuman Rights Watch, l’Institute for Middle East UnderstandingGisha, le New Israel Fund, le I’Lam Media Center for Arab Palestinians in IsraelSAWA, le Women Against ViolenceAdalah, le Legal Center for Arab Rights in Israel,  Al-HaqBreaking the SilenceB’TselemAl-Mezan, le Ir AmimMada al-Carmel – Arab Center for Applied Social ResearchMossawa Center, le New Israel Fund, le Palestinian Center for Human Rights, le Rabbis for Human RightsYesh Din, les Volunteers for Human RightsAMIDEAST (“American Friends of the Middle East”), le Jewish Voice for Peace, le Center for Constitutional Rights, le Crimes of War Project, la New America Foundation, l’Institute for Policy Studies, le Kairos Project/Telos Group, le Center for American ProgressMedia Matters, l’US/Middle East Project, etc. (Source). On trouve aussi, parmi les heureux bénéficiaires de ses largesses, Amnesty Int’l. et Oxfam.
Nous avions cherché Amalek parmi toutes les nations… aurait-on pu deviner qu’il se cachait sous des dehors juifs ? Car Georges Soros l’est… à notre grande honte ! « Juif renégat » (passible du Din Mosser), peut-être, mais Juif quand même*.
Car il a commencé très tôt ses saloperies en travaillant, très jeune, pour un Judenrat et en aidant les nazis à déporter nos frères de Hongrie… tout en acquérant leurs biens confisqués à son profit.
Pourtant, selon une interview télévisée récente, il ne ressent pas de remords, allant jusqu’à dire que c’était « la période la plus heureuse de sa vie ». Fuyant la Hongrie en 1947 (Peut-être que les communistes – qui ne riaient pas avec ce genre de choses – étaient en passe de découvrir son passé de collabo ?!), il a continué ses malversations : première enquête au pénal intentée contre lui pour manipulation des cours boursiers en 1979, suivie de diverses opérations financières pas très reluisantes qui lui permirent de faire fortune tout en ruinant de petits épargnants et en secouant l’économie planétaire.
Au travers de ses manipulations politiques, jeux machiavéliques visant à déstabiliser les Etats, l’individu tente maintenant de désorganiser l’Occident pour y installer un pouvoir fort proche du nazisme.
Pour lui, l’humain n’a aucune individualité et n’est que « matière à profits ». Comme il est plus facile de diriger un ensemble de robots, réagissant et pensant tous pareils, il s’efforce donc de détruire l’essence de notre démocratie et à la remplacer par un « politiquement correct » sur mesure, imposé par les médias et les politiciens qu’il tient sous sa coupe.
Pour ce faire, il se masque d’abord sous un loup gauchiste en créant l’anarchie par un excès de « libertés droit-de-l’hommistes » et de lois rendant les forces de l’ordre et la Justice impuissantes envers les malfrats. En détruisant aussi les us et coutumes locaux par l’apport massif de populations exogènes ne pouvant s’y adapter.
Mieux ! Il appauvrit le peuple (l’afflux d’émigrants va porter les salaires de l’U.E. à une baisse drastique), l’abêtit (en nivelant le niveau d’éducation vers le bas, à hauteur intellectuelle des nouveaux arrivants, sous prétexte de « l’égalité des chances »), ne laissant à sa tête qu’une oligarchie de nantis à sa solde. Sur un autre plan, il place un pouvoir d’extrême-droite en Ukraine, sachant parfaitement que cela va faire s’opposer – éventuellement par un conflit armé –  la Russie et l’Occident.
De même, il favorise le Printemps arabe, calculant que cela laissera la place aux « fous d’Allah » et à leurs excès bien médiatisés. Les Européens tremblent… et trembleront encore plus quand les quelques milliers de djihadistes, infiltrés avec les « réfugiés », commettront quelques attentats bien sanglants sur le Vieux Continent.
Insécurité intérieure, insécurité aux frontières ! Devant le manque orchestré de réactions viriles de leurs gouvernements, les peuples entreront en guerre civile, s’autodétruiront ou – s’ils se réveillent à temps – voteront pour les partis d’extrême-droite néo-nazie… qui mangeront dans la main de la haute finance internationale qu’il manipule.
« Le chaos, la misère et la mort » ou « le joug et l’esclavage à son diktat », tel est le choix que se propose de nous laisser George Soros, l’Amalek d’aujourd’hui, et sa « société ouverte ».
 Etrange ! Mais c’est exactement ce qui relie le nazisme, l’extrême-gauche et l’islamisme.
© Yéh’ezkel Ben Avraham pour Europe Israël News
* Bien que l’individu soit de descendance israélite, la plupart de ses complices ne le sont pas. La force et la hargne qu’il met d’ailleurs à détruire Israël, par lesquelles ses médias s’acharnent à susciter l’antisémitisme, prouvent à suffisance que la théorie du « complot juif » ne tient pas la route et que cette fumisterie n’est, en réalité, que poudre aux yeux destinée – par ses agents provocateurs – à semer encore plus de troubles. Pourrait-on, en effet, sous prétexte que Dieudonné est d’origine camerounaise, en déduire qu’il dirige « un complot mondial ourdi par les Noirs et visant à imposer au monde de se saluer par une quenelle et d’applaudir à son humour grotesque  » ? Cela friserait le racisme et le ridicule ! Rappelons-nous que la fable du faux « Protocole des Sages de Sion » a déjà été utilisée à maintes reprises par de nombreux régimes dictatoriaux (des Tsars aux monarchies actuelles du Golfe, en passant par Hitler, Pétain, Staline, Nasser, les Ayatollahs, Chavez, le H’amas, Erdogan…) dans le seul but de fournir un bouc émissaire servant à dissimuler leurs magouilles !

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