samedi 18 janvier 2020

Grande Mosquée de Paris : En 1926 Maurras savait

Charles Maurras et Bilout : un monde d'écart !Charles Maurras et Bilout : un monde d'écart !
Charles Maurras et Bilout : un monde d'écart !
    En 1926 Maurras savait, en 2015 Hollande ne sait toujours pas : c’est ce qui distingue un Politique d’un politicien !
François Hollande a encore perdu une occasion de se taire. Devant l’Institut du Monde Arabe, notre Président, enfin celui de la République, vient de déclarer que l’Islam « était compatible avec la démocratie » (sic). Son ami Jack Lang atteint assurément de la même pathologie hallucinatoire déclarait dans le même temps que l’Islam était une « religion de paix et de lumière » (re sic). Ne nous attardons pas sur les ressorts psychologiques, voire psychiatriques, d’un tel déni de réalité. La réalité « qui n’existe pas », c’est comme les murs « qui n’existent pas » : on finit toujours la gueule en sang  quand on cherche à les traverser. Ils verront bien.


     Je rapporte ci-dessous un court extrait d’un écrit de Charles Maurras paru en juin 1926, au moment de la construction de la Grande Mosquée de Paris. 1926 : l’Islam ne représente alors rien en France, les grandes vagues migratoires extra européenne n’ont pas encore commencé  (la République avait encore des digues à faire sauter !) et pourtant Charles Maurras pressentait la catastrophe. Il pressentait cette réalité d’aujourd’hui que les Hollande, Lang, Sarkozy et autres, le nez dans le caca nauséabond qu’ils ont déféqué, la face déjà sanglante du mur qu’ils ont pris de plein fouet,  ne savent toujours pas voir. Si on a les dirigeants qu’on mérite, alors on mérite de laisser la place.

     Donc Maurras (Action française, 13 juin 1926, durant les travaux de construction de la grande mosquée de Paris) :

     « Il n’en est pas moins vrai que nous sommes en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon.

     Il n’y a peut être pas de réveil de l’islam, auquel cas tout ce que je dis ne tiens pas et tout ce que l’on fait se trouve être la plus vaine des choses. Mais si il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la Chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus d’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir (…)

     La construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de position par nos sujets et nos protégés. Ceux-ci là tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse (…)

     J’aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J’entends, je lis telles déclarations sur l’égalité des cultes et sur les races. On sera sage de ne pas les laisser se propager, trop loin d’ici, par des hauts parleurs trop puissants Le conquérant trop attentifs à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.

     Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès.

     Fasse le Ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu (…) »

    « Tel sourire supérieur » : je reconnais bien là celui de nos élites, débordantes de mépris et insondables de bêtise. En 1926 déjà : la République éternelle !
     Quelle distance infranchissable sépare un Hollande, plein de fatuité politicienne et d’inculture historique, d’un Charles Maurras dont les intuitions fulgurantes haussent le Politique au niveau de l’Art ?
     Alors oui, vivement le mur ! Ils s’imaginent que ce ne sera qu’une sorte de ligne Maginot qu’ils pourront aisément contourner. Mais ils le prendront en pleine face, encore et encore… jusqu’à ce qu’ils comprennent.

Antonin Campana

http://www.autochtonisme.com/2015/01/en-1926-maurras-savait-en-2015-hollande-ne-sait-toujours-pas-c-est-ce-qui-distingue-un-politique-d-un-politicien.html

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