jeudi 11 janvier 2018

La femme musulmane (Amada)

Dès sa naissance, la petite fille née en terre d’islam est victime de la pire des malédictions…

Rappelons que la terre d’islam est une terre maudite soumise à une loi abjecte appelée charia qui est la loi de la secte musulmane inventée et créée de toute pièce par un homme psychotique d’une grande violence, d’une grande misogynie et d’une sexualité obsessionnelle pathologique, au début du 7ème siècle.


Pour asservir et gouverner les peuplades arriérées de sa région, il a codifié dans un livre de lois (le Coran) toutes les règles de comportements familiaux, sociaux, culturels et cultuels des hommes et des femmes dans tous les domaines de la vie.

Mahomet avait sûrement un problème avec les femmes. D’avoir épousé Khadidja, une femme commerçante qui avait réussi dans les affaires, devait peser sur son ego et son orgueil de « macho » stupide.

Il introduisit donc dans son Coran des sourates et des versets anti-féminins destinés à le défouler de sa misogynie, de ses complexes et de ses pulsions maladives.

(À 25 ans, Mahomet épousa la femme la plus riche et la plus puissante de la Mecque, Khadidja, dont il était un caravanier. Il l'avait impressionnée par son talent de caravanier et de marchand. Elle avait plus de 40 ans, et déjà plusieurs enfants. Elle avait aussi divorcé quatre fois. Ce mariage, le premier de Mahomet, semble avoir été heureux, même si les deux familles semblent avoir eu du mal à accepter cette union…)

Pour laisser le monde aux hommes, la femme devait devenir invisible et dépouillée de tous droits et de toutes libertés sociales. Mahomet savait très bien que la femme était tout aussi intelligente que l’homme. Mais cela le rendait fou. Elle devait donc rester ignare et maintenue dans cet état en lui interdisant d’aller à l’école, d’étudier et d’acquérir le moindre savoir.

Il fallait la cacher, l’humilier, l’avilir et la mettre plus bas que terre.
Ensuite, on ne devait pas la voir physiquement pour faire oublier son existence dans la société. Pour cela, il fallait l’ensevelir sous de grandes épaisseurs de vêtements à même de cacher ses formes et ses rondeurs à la vue des mâles abrutis et violeurs libidineux de ce temps.
Le tchador, le hijab, le niqab et la burka illustrent parfaitement cette tendance sous le prétexte hypocrite de « voile religieux. »
Pour lui faire accepter ces humiliations, on lui disait qu’ainsi vêtue elle plaisait à Dieu et était une bonne musulmane. Par ailleurs, elle devait être « respectée » et aucun homme ne devait tenter de l’approcher ni même de lui adresser la parole afin de bien la distinguer des prostituées.
Seul son mari avait le droit de la voir dévêtue.

Les droits de la femme étaient donc simples, elle n’en avait aucun.

Les obligations de la femme se résumaient à deux choses, être des servantes soumises à leur pères, frères, maris et tous les hommes de leur famille et des objets et des esclaves sexuelles pour leurs maris.

La séparation des hommes et des femmes dans la vie sociale entre aussi dans le cadre du machisme et de la misogynie forcenés des hommes musulmans. Les repas sont pris dans des pièces différentes et parfois à des heures différentes. Les hommes affirment que c’est pour permettre aux femmes de jacasser entre elles librement, mais il n’en est rien.
Les hommes ne veulent pas que les femmes puissent entendre leurs conversations entre mâles afin de les maintenir dans l’ignorance de ce qu’ils font, mais aussi afin d’éviter tout dérapage au cas ou une femme répondrait « insolemment » ou se moquerait de son mari devant d’autres hommes, ce qui serait une offense et un affront insupportable pour le mari qui serait obligé de le laver dans un acte de violence. La femme est un être inférieur et ne peut pas se trouver au même endroit que les hommes supérieurs.
La haine et le mépris de la femme par les hommes, enseignés et martelés dès leur naissance, les rendent psychotiques et paranoïaques.
Subir la moindre réflexion ou la moindre remarque un tant soit peu négative de la part d’une femme est une chose qui les rend fous de rage et peut les conduire à des actes d’une rare violence, jusqu’au meurtre.

Un fait divers que personne n’a oublié en est une illustration particulièrement claire :

L’affaire des deux femmes gendarmes de Collobrières, le 17 juin 2012

L'adjudant Alicia Champlon, 28 ans, et le maréchal des logis chef Audrey Bertaut, 35 ans, sont appelées peu après 22 heures pour intervenir après un cambriolage à Collobrières, à une quarantaine de kilomètres de Toulon. L’auteur présumé du cambriolage ainsi que d’une autre tentative de vol dans la soirée est identifié comme étant Abdallah Boumezaar, un jeune homme déjà condamné à plusieurs reprises. Les deux gendarmes se rendent donc au domicile du suspect, un appartement qu’il partage avec sa compagne, Inès Farhat, elle aussi multirécidiviste. Sur place, la tension est déjà à son comble : la victime du premier cambriolage qui a identifié son voleur, est venue réclamer ses biens avec le renfort de proches.
Une bagarre éclate entre Abdallah Boumezaar et les gendarmes. L'homme se saisit de l'arme d'Audrey Bertaut, qu'il abat dans l'appartement. Il poursuit ensuite Alicia Champlon dans les petites rues de Collobrières et la tue. Il prend ensuite la fuite avec sa compagne, enceinte au moment des faits et qui a depuis accouché en prison d'une petite fille. Ils sont arrêtés quelques heures plus tard, dans le village, sans heurts.
Abdallah Boumezaar a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 30 ans de sûreté.

Inès Farhat, 22 ans, sa compagne à l'époque, jugée à ses côtés depuis le 10 février pour sa complicité dans l'un des homicides, une complicité que les deux accusés ont toujours niée, a été reconnue coupable et condamnée à 8 ans d'emprisonnement.

Dans cette terrible et dramatique affaire, un point très important n’a jamais été évoqué par les enquêteurs ni les politiques ni les médias (sans doute dans le cadre du « vivre ensemble » et des « chances pour la France »), c’est l’aspect culturel de l’éducation musulmane ou dans l’esprit musulman du tueur. Il a été cité comme « musulman modéré », ce qui ne veut rien dire, un musulman modéré étant un mauvais musulman qui ne pratique pas sa religion, mais pas un homme pour autant meilleur. Par contre, cet homme avait reçu une éducation dans un milieu réellement musulman, dans le mépris de la femme, le mépris des non musulmans, de la société occidentale et de ses lois. Il portait donc bien en lui les germes de la haine des femmes et l’idée qu’elles ne sont que des sous créatures et des objets sexuels ne pouvant avoir aucun droit ni aucun ascendant sur les hommes.
De se voir interpellé et sommé par des femmes de se calmer et de leur obéir, accentué par son état d’ivresse et de nervosité extrême, n’a pu que le rendre fou et lui faire commettre l’irréparable…

Sourate 2, verset 223 : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour, cultivez-le de la manière que vous l’entendrez »

Quelle est la signification précise de ce verset du Coran ?
Il précise pour les hommes qu’ils ont tous les droits sur les femmes et quasiment aucune obligation, à part de ne pas les tuer sans raison. Et encore…

Tous les droits, c’est-à-dire de les traiter comme des esclaves et de les violer à tout moment qui leur conviendra, sans aucun égard pour ce qu’elles peuvent ressentir, éprouver ou vouloir.

Je dis bien « violer », car il n’existe pas d’autre mot pour exprimer l’acte sexuel non consenti comme notre pensée occidentale évoluée le conçoit.

En ce qui concerne le voile, le hijab, le tchador, le niqab ou la burka, le Coran est imprécis et peu contraignant. Ce sont les hadiths et les fatwas libres des oulémas qui donnent des contraintes beaucoup plus dures.
Mais c’est surtout le machisme, la misogynie, la jalousie et la virilité pathologique des mâles qui imposent aux femmes de telles prescriptions.
La femme musulmane en occident semble résolue à ne se jamais défaire de son hijab ou de sa burka. Elle affirme, selon les cas, que c’est une marque de respect pour Dieu, que c’est sa religion qui le lui impose, que c’est son choix, que sans son voile elle se sent nue et impure aux yeux des autres, etc… Elle ne dit jamais que ce sont les mâles de sa famille ou de sa communauté qui lui imposent de dissimuler son corps, sa tête et parfois son visage. Et c’est pourtant la vraie raison la plus répandue. Si elle refuse de se soumettre à la volonté des hommes et donc de Dieu, elle risque d’être maltraitée, frappée, fouettée, rouée de coups et parfois tuée par sa propre famille.
Je peux vous dire que sur mon forum d’accueil des apostats de l’islam je lis des témoignages de jeunes hommes et de jeunes femmes très poignants et parfois terrifiants sur ce sujet.
Non, la femme musulmane ne porte pas ces tenues d’un autre âge par plaisir. Si elle le fait « spontanément », c’est parce que c’est le fruit d’un long conditionnement, d’un lavage de cerveau inconscient et d’une peur permanente, mais sûrement pas par plaisir ou par choix. La femme musulmane vit toute sa vie dans le peur.

D’ailleurs, dans des pays comme l’Iran, l’Afghanistan et autres, les jeunes filles ou les jeunes femmes ne rêvent que de vivre et de s’habiller comme les femmes européennes ou occidentales, en général.

Sourate 24,  verset 31 : « Et dis aux croyantes de baisser leur regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès. »

La lecture de ce verset indique tout de même clairement que la femme peut montrer ses atours à un tas de gens en dehors de son mari…

Sourate 33, verset 33 : Restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes avant l’Islam (Jahiliyah). Accomplissez le Salat, acquittez la Zakat et obéissez à Allah et à Son messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison (du prophète), et vous purifier pleinement.

Il convient de préciser que, dans la mesure où le Coran ne renferme pas suffisamment de prescriptions pour arranger les intérêts des oulémas et que le Coran ne peut plus être modifié comme ce fut le cas dans le passé, les centaines de milliers de hadiths (textes tout à fait arbitraires) permettent aux oulémas de prendre des décisions pour aller dans le sens qui les arrange, jusqu’à l’émission de fatwas de toutes sortes.

« Voilée ou violée… »

« Voilée » ou « violée », quelle est la différence ? Juste l’ordre de deux voyelles. Ce sont deux mots qui résument les droits des femmes sous la loi islamique.

La femme doit être voilée pour ne pas exacerber la bestialité des mâles et donc éviter d’être violée. La femme non voilée est considérée comme une prostituée et elle peut être violée. Si elle est une prostituée, elle peut être lapidée. Mais le voile n’empêche pas le viol. Si la femme est violée, voilée ou non, par un homme, elle devient une prostituée de fait et elle peut être lapidée.

Dans tous les cas, la femme est en faute et c’est elle qui sera punie.
L’homme musulman n’est jamais responsable devant la femme musulmane. Il n’est d’ailleurs jamais responsable de rien aux yeux du monde puisqu’il est un être supérieur.

La lapidation

Elle n’est pas prescrite dans le Coran, mais dans les hadiths, et encore de façon peu claire. Le châtiment est en général le fouet ou l’enfermement.

(Tout au plus peut-on lire dans le Coran (Sourate 24-2) que la personne suppliciée recevra 100 coups de fouet, sans aucune indulgence et que la personne qui dénonce à tort, en recevra 80 (Sourate 24-4). Un autre supplice musulman est décrit dans la Sourate 4-15, et énonce qu’il suffit de 4 témoins pour qu’une femme coupable d’infamie soit enfermée jusqu’à la mort, dans sa maison.)

De toute façon, d’une « culture » basée sur le livre cultuel absurde d’un homme psychotique, rempli de prescriptions de haine et de violence, mais aussi de principes acculturés, barbares et rétrogrades, que peut-on attendre ?

Que des gens assez niais, stupides et ignorants puissent croire encore, à notre époque, malgré les preuves incontestables de la science moderne, que la Terre est plate et que le Soleil et l’univers tournent autour d’elle, donne une idée du vide sidéral qui leur tient lieu d’intelligence.
Alors que l’islam est né de l’esprit embrumé de Mahomet, au 7ème siècle, ils affirment que l’islam existait avant la création du monde et à la limite serait à l’origine du Big Bang…
Et bien sûr toutes les inventions et grandes découvertes du monde libre et civilisé occidental étaient prévues et inscrites dans le Coran (cherchez et vous trouverez !), un peu comme dans le livre des Prophéties de Michel de Nostradamus.
Ce qui nous permet de nous demander pourquoi ils n’ont pas eux-mêmes exploité toutes ces prédictions…
Le Coran est d’ailleurs une sorte de compilation inspirée des textes bibliques adaptés aux besoins sociopolitiques de Mahomet, qui en avait reçu un enseignement par un moine chrétien, Bahira, rencontré au cours d’un voyage en Syrie, alors qu’il était encore jeune.

(Bahira  est un moine chrétien (arien ou nestorien) arabe. D'après la tradition musulmane que l'on peut trouver dans les récits de Ibn Hisham, Ibn Sa'd al-Baghdadi et de Tabari, il découvrit la « marque du prophète » entre les deux omoplates de Mahomet alors que celui-ci était âgé de 9 ou 12 ans et qu'il accompagnait son oncle Aba Talib en Syrie à Bosra dans un trajet caravanier Mecquois à des fins commerciales.)

Dès sa naissance, donc, la femme est témoin et plus tard confrontée à la violence des hommes sur les femmes.

Pourquoi les hommes prétendent-ils avoir une supériorité de droits sur la femme ? Parce que le Coran le précise très clairement :
Sourate 4, verset 34 : Les hommes dirigent les femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci.

Dans une société qui, par la loi, méprise, salit et avilit la femme, la mère, l’épouse et la fille, les hommes ne peuvent pas respecter les femmes.

Dans cette société, les valeurs ne reposent que sur le sexe et l’infériorité légale de la femme et sont donc totalement discriminatoires.

Mais la femme musulmane semble aussi parfois se complaire dans son état servile (syndrome de Stockholm) et en redemander dès lors qu’elle se trouve dans un pays qui lui donne la parole et la liberté de choisir sa vie, alors que dans les pays soumis à la charia, elle pleure de n’avoir aucune liberté et d’être traitée comme un animal domestique…

Le mariage musulman ne permettait pas toujours que le mari puisse avoir vu sa fiancée avant le mariage. La femme, elle n’avait rien à dire. Son père décidait pour elle et le mariage n’était fondé que sur la fortune.
D’ailleurs, le fiancé lui-même n’avait pas non plus son mot à dire, parfois.
Des mariages ainsi arrangés, comme nous les avons aussi connus dans le passé, en occident, étaient rarement des mariages heureux.
Les lois de la nature veulent que les mâles et les femelles se rencontrent, se connaissent, se séduisent et s’acceptent mutuellement avant de consommer leur union aux fins de procréation. Du moins, chez les espèces animales les plus évoluées. L’homme appartient théoriquement aux espèces les plus évoluées et les seules unions heureuses sont celles voulues et consenties mutuellement par les deux membres du couple avant de consommer sexuellement l’union aux fins de créer un foyer.
Dans l’islam, la nature n’est pas respectée et les unions sont imposées de manière autoritaire sans aucun égard pour les sentiments des époux.

Haine ardente de tout ce qui n’est pas musulman
Outre que la société musulmane traite la femme comme une sous créature, le Coran incite les hommes à une haine ardente de tout ce qui n’est pas musulman en affirmant que l’homme musulman est supérieur au non musulman parce que c’est précisé dans de nombreux textes islamiques :

Le statut de Dhimmi, donc d’infériorité du non musulman, repose sur une sourate du Coran :

Sourate 9, verset 29 : Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont défendu, et à ceux d'entre les hommes des Ecritures qui ne professent pas la vraie religion. Faites-leur la guerre jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils soient soumis.

Schématiquement, Allah est donc supérieur à Mahomet qui est supérieur au musulman qui est supérieur à la femme qui est supérieure au dhimmi…

Dans une société qui part du présupposé que la femme est une sous créature, que l’homme est un être supérieur et que seul Dieu doit être honoré et obéi sous peine de châtiments effroyables, la pensée, la réflexion, la recherche, l’étude et toute démarche intellectuelle sont interdites et impossibles. L’intelligence et totalement désengagée et le sens critique aboli.

Une société qui inhibe toute forme d’intelligence et de capacité de critique ne peut que stagner, voire régresser et disparaître.

Cette société n’a aucune chance d’avancer, d’évoluer, de progresser et d’aller vers la civilisation.
C’est le cas de la société musulmane qui fait l’apologie de toutes les tares, et perversions des mâles et les exalte à l’accomplissement de toutes leur pulsions sexuelles et meurtrières, en toute impunité.

Dans les cultures occidentales et asiatiques, la coutume veut que les hommes et les femmes vivent ensemble en harmonie et se respectent. Lorsque une attirance naît, la règle veut que l’on fasse connaissance, que l’on se courtise, que l’on se séduise avec douceur afin d’arriver, en générale, à un consentement mutuel avant d’aller plus loin.

La femme, voilée ou non, est une invitation permanente au viol, car en aucun cas les hommes ne sont éduqués à la moindre retenue de leur libido ni au respect de la femme. Ils prendront toujours l’excuse de la « provocation » de la femme qui les pousse à accomplir ces actes bestiaux. C’est pour cela que la femme doit disparaître de leur vue.
Pour la femme, le seul fait d’exister est une « provocation ».
J’ai même lu récemment qu’un dirigeant religieux musulman encore plus idiot que la moyenne avait édicté avec aplomb que « l’existence de la femme n’est pas islamique. » Sans commentaires…

A l’inverse, une société qui respecte et honore la femme et la met au centre de ses principes en terme d’éducation des enfants et de transmission de savoirs, qui favorise l’intelligence, l’activité intellectuelle et la recherche pour le bien de tous, en l’absence de tout dogme et de toute contrainte idéologique ou religieuse, est une société qui avance, s’épanouit, progresse et devient rapidement une civilisation et un monde de sciences, d’arts et de toutes formes de cultures.

Mais aujourd’hui, le monde musulman prend peu à peu confusément conscience de son propre égarement tout en refusant de le reconnaître explicitement.
Trop d’enjeux de pouvoir, de territoires et d’économie sont en cause.

Alors, on se rabat sur la peine de mort à toutes les sauces, sur le terrorisme, la menace, la peur, le mensonge et des guerres incessantes entre musulmans contre d’autres musulmans ou contre des non musulmans, occidentaux.
Le monde musulman n’a pas 1400 de retard, mais beaucoup plus. Il a fait régresser mentalement des peuples de plusieurs milliers d’années.
C’en est terrifiant. On peut même dire que partout dans le monde, il y a deux ou trois mille ans, il y a eu des sociétés beaucoup plus avancées que les sociétés musulmanes d’aujourd’hui qui vivent dans un retard civilisationnel stupéfiant.
Je citerai, par exemple, la société irlandaise de plusieurs siècles avant Jésus-Christ, dans laquelle la femme avait des droits presque équivalents à ceux qu’elle possède aujourd’hui en occident.

Et si vous n’êtes pas d’accord, on trouvera toujours une sourate pour vous assassiner, celle-là, par exemple :

 Sourate 18, versets 12 et 13 : Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager. »

Un pseudo-prophète psychotique, violent, assoiffé de sang, violeur et pédophile a engendré depuis 1400 ans une sorte d’idéologie, de société et de culture dont la violence et la souffrance de la femme sont les étendards.
Notre époque nous montre le gouffre abyssal du retard de ces populations acculturées et soumises à cette secte inhumaine.
Une petit fille violée et assassinée par son papa imam, des femmes violées et assassinées par des ouvriers, dont les corps sont abandonnés dans la campagne, des femmes défigurées au vitriol ou au couteau pour une simple parole, un regard, un geste, dans le cadre des « crimes d’honneur », si chers aux musulmans, comme si l’on pouvait trouver la moindre once d’honneur dans un crime. Tout cela c’est l’islam.

L’islam n’a pas de raison d’être. Il n’apporte rien à l’humanité. Il est fragile et vulnérable au point où il ne peut subsister que par la haine, la violence et la mort, partout où il passe et s’impose.
L’islam est la négation de la dignité humaine, la négation de l’homme et de toute culture humaine. L’islam est l’opposé et l’ennemi de l’homme, de la femme, des animaux, de la nature et de toute forme de vie sur Terre.

*Je précise, pour être juste et honnête, qu’il existe aussi dans l’islam des hommes à la fois sincères et pieux en religion et bons avec leurs épouses tout autant que le seraient des hommes bons occidentaux.
Des hommes qui aiment tendrement et respectent leurs femmes et sont attachés à leur liberté et à leur bonheur.
Ce que je dénonce dans ce texte c’est la dureté fondamentale des écrits islamiques envers les femmes et la liberté qu’ont certains hommes de les appliquer à la lettre dans toute leur horreur. Mais cela dépend des pays, des régions et des cultures, car il existe de nombreuses cultures différentes dans les terres islamisées.

Partout dans le monde ils contournent les lois pour violer des petites filles: Australie : une fillette de 12 ans, mariée à un homme de 27 ans

Je mets ici un lien vers un article de mon ami Salem Ben Ammar sur les droits de la femme en islam qui confirme globalement tout ce que vous venez de lire ici et avec davantage de références coraniques :

***

 Poème de Meena Keshwar, poètesse féministe afghane

Je ne reviendrai jamais

Je suis la femme qui s'est éveillée,
Je me suis levée et me suis changée en tempête balayant les cendres de mes enfants brûlés,
Je me suis levée des ruisseaux formés par le sang de mon frère,
La colère de mon peuple m'a donné la force,
Mes villages ruinés et incendiés m'ont remplie de haine pour l'ennemi,
Je suis la femme qui s'est éveillée,
J'ai trouvé mon chemin et je ne reviendrai jamais.
J'ai ouvert des portes closes par l'ignorance,
J'ai dit adieu à tous les bracelets d'or,
Oh compatriote, je ne suis plus celle que j'étais,
Je suis la femme qui s'est éveillée,
J'ai trouvé mon chemin et je ne reviendrai jamais.
J'ai vu des enfants sans foyer, errant pieds nus,
J'ai vu des promises aux mains tatouées de henné en habit de deuil,
J'ai vu les murs géants des prisons avaler la liberté dans leurs estomacs d'ogres,
Je suis ressuscitée parmi des gestes épiques de résistance et de courage,
J'ai appris le chant de la liberté dans les derniers soupirs, dans les vagues de sang et dans la victoire,
Oh compatriote, Oh frère, ne me considère plus comme faible et incapable,
Je suis de toute force avec toi, sur le chemin de la libération de mon pays.
Ma voix s'est mêlée à celle de milliers d'autres femmes qui se sont levées,
Mes poings se serrent avec les poings de milliers de compatriotes,
Avec toi, j'ai pris le chemin de mon pays,
Pour briser toutes ces souffrances et tous ces fers,
Oh compatriote, Oh frère, je ne suis plus celle que j'étais,
Je suis la femme qui s'est éveillée,
J'ai trouvé mon chemin et je ne reviendrai jamais.

Accueil le 7 Mars 2015 à 10:46


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