La taquia ou taqqya...
À la mort de Mahomet, la succession se traita par des guerres et des assassinats.
Ali, un petit fils de Mahomet, conquit le pouvoir, le garda deux ans, et le perdit. Ses partisans formèrent les Chiites (chiite vient d’un mot arabe qui signifie partisan).
Les adversaires formèrent les Sunnites (leur nom vient d’un mot qui signifie le chemin, celui que doivent suivre les musulmans).
Comment résoudre ce schisme ? Mahomet avait montré la voie, en appliquant la solution finale d’abord aux Juifs de Médine, puis à ceux qui abandonnaient l’islam, puis aux « polythéistes ».
Les Sunnites tentèrent donc de génocider tous les Chiites.
Ceux-ci choisirent en masse l’abjuration.
Pour éviter de perdre tous leurs fidèles, les dirigeants du chiisme inventèrent la taquia : c’est l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie, en faisant une abjuration publique, sans pourtant changer de religion.
Pour éviter de perdre tous leurs fidèles, les dirigeants du chiisme inventèrent la taquia : c’est l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie, en faisant une abjuration publique, sans pourtant changer de religion.
La taquia s’est ensuite généralisée, et aujourd’hui elle est devenue l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam.
C’est au titre de la taquia que les musulmans citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés afin de séduire et faire passer l’islam pour une « religion » de paix et d’amour.
C’est au titre de la taquia que les musulmans citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés afin de séduire et faire passer l’islam pour une « religion » de paix et d’amour.