dimanche 7 janvier 2018

Le Coran n'est pas une révélation surnaturelle (Ostervald)

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LE CORAN N'EST PAS UNE RÉVÉLATION SURNATURELLE
Depuis 1950, le Père BERTUEL approfondit les travaux de ZAKARIAS et les confirme, relisant les versets du coran, mot après mot, phrase après phrase.
Avant lui d'ailleurs, aucun islamologue sérieux, de P. LAMMENS à R. BLACHERE, ne cache que les textes de l'Islam n'ont jamais fait l'objet de recherches méthodiques sur la genèse de sa composition, son développement interne. Il est interdit au musulman arabe de se poser des questions de les scruter, ni même de traduire littéralement le texte. Toute investigation, quant aux origines de cette religion est pour eux un grave péché. Il faut l'apprendre par coeur ... et faire confiance à l'interprétation donnée par les imams, les marabouts ou les théologiens musulmans...
Un peu comme si les chrétiens ne pouvaient connaître la Bible qu'en l'apprenant par coeur, en latin, ou en grec, sans pouvoir jouir de sa signification littérale exacte directement.
Alors, d'où viennent ces textes ? Des travaux récents permettent d'y voir clair.
Un rabbin, juif et ébionite, chassé d'Edesse, à la suite de la conquête de la ville par Héraclius, vint avec ses compagnons juifs d'exil à Médine, chez les enfants d'Ismaël. Ils cherchèrent leur aide, en leur expliquant qu'ils étaient parents selon la Bible, mais ne purent convaincre la masse du peuple, parce que leur culte était trop différent
"En ce temps-là, un ismaélite nommé MAHMET, un négociant, s'est présenté au peuple comme un prédicateur et leur enseigna, sous la volonté de Dieu, le chemin de la vérité du Dieu d'Abraham, car il était très bien informé et à l'aise avec l'histoire de Moïse" (Chronique arménienne de 660, premier document historique indiquant l'existence de Mohamed, écrit par SEBÉOS, à partir de témoins oculaires prisonniers des arabes).
Or, MAHMET ne sait ni lire, ni écrire (les musulmans y tiennent beaucoup). Il reçoit donc et se propose de transmettre l'enseignement du maître juif, qui l'informe et le fait répéter mot à mot la prédication à ses compagnons de Thaklif (La Mecque).



APPARITION D'UNE TORAH ARABE :
LE CORAN - LES ORIGINES DE L'ISLAM

C'est seulement depuis les années 1950 que des études sérieuses sur l'histoire critique de l'ISLAM ont été entreprises.
Jusque là, des islamologues s'étaient contentés de répéter, sous une apparence érudite et savante, des légendes sans fondement sur la naissance de l'Islam, à partir "d'anecdotes qui loin d'éclairer la signification du texte, la ternissent plutôt, embarrassent l'intelligence des gens simples et ébranlent leur foi." (Riza TEFLIK, Beyrouth 1947).
Nous reprenons, à notre compte, les étonnantes découvertes des travaux irremplaçables, réalisés sur le texte même du CORAN, d'Hanna ZAKARIAS, du père BERTUEL, de Patricia CRONE et Mikaël COOK, ainsi que ceux du F. BONNET, AYMARD et de K. HRUBY.
Pour ce faire, il fallait des dizaines d'années de travail par des érudits capables de comprendre et traduire le CORAN, en connaissant à fond l'hébreu, le grec, l'araméen ... et l'arabe primitif.


LA TOILE DE FOND HISTORIQUE
Pour comprendre les origines de l'Islam, il faut, en premier lieu, rappeler le contexte historique qui prévalut à son apparition.
Depuis les premiers siècles, l'Orient est secoué par la lutte entre les Perses ( l'actuel Iran) et les Romains. Plusieurs empereurs romains (Aurélien, Julien, notamment) y perdirent la vie. Les confrontations étaient cycliques, entrecoupées de paix provisoires et éphémères, et se caractérisaient par des guerres constantes, de sorte que, on peut le constater, l'empire romain n'a jamais pu contraindre l'empire sassanide des rois perses.
C'est pour cette raison que, au début du 4ème siècle, l'empereur Constantin est obligé d'installer sa capitale à Constantinople, pour être mieux à même de contrôler la situation.
Dans cette atmosphère de guerres incessantes, les romains ont fait appel aux arabes et ils les ont incorporés dans leur armée, sous forme de corps auxiliaires. Les rois sassanides se firent également aider par des soldats arabes ... de sorte que, pour l'une ou l'autre de ces causes, dès le 3ème siècle et le 4ème siècle de notre ère, on voit des tribus arabes installées en Syrie, en Palestine, en Égypte, et elles s'y stabilisent même. Ces tribus se convertissent au christianisme.
En deçà du Jourdain, en Palestine, par exemple, se trouvent les Nabatéens... qui s'étaient liés par traité d'assistance mutuelle avec l'empire romain qui comptait donc sur eux pour protéger ses territoires contre les autres tribus arabes, nomades et pillardes. C'est l'un de ces nabatéens, arabes convertis au christianisme, qui devint, sous le nom de Philippe l'Arabe, le premier empereur chrétien (de 244 à 249) bien avant Constantin.
De sorte qu'il est important de noter, par exemple, que le Nom de ALLAH, pour désigner DIEU, appartient à la religion des arabes christianisés. C'est une pratique chrétienne, ce n'est pas musulman d'origine … L'Islam naîtra donc beaucoup plus tard que .... " Allah " !

LA DOMINATION ARABE POSÉE SUR L'AFFAIBLISSEMENT DES EMPIRES
A l'époque où allait apparaître la nouvelle religion, ce qui s'était passé en occident, quelques générations plus tôt, se produisit en orient.
Les germains, les francs, les burgondes, les wisigoths, peu à peu installés en Gaule par exemple, se sont séparés de la domination de Rome et de Byzance, tout en proclamant leur allégeance à l'Empire : il n'y eut donc pas de massacres, ni de guerres d'invasion, ni de sang versé dans la population, mais seulement quelques batailles ponctuelles contre des légions romaines affaiblies et restées sur place.
De même, au septième siècle, après l'affaiblissement dû aux barbares, notamment les vandales et avec la plus grande guerre contre la Perse, on assiste à une décadence des deux belligérants. De sorte que les chefs des tribus arabes christianisées et nestorianisées (le nestorianisme est une hérésie chrétienne commune en Perse à l'époque), et installées dans toutes les régions que nous considérons aujourd'hui comme arabes (Syrie, Égypte, Palestine, Mésopotamie etc.), ont pris leur indépendance.
En moins de dix ans, sans résistance des peuplades locales, sans invasion, sans guerre, ils s'assurent la prise de pouvoir à Antioche et à Jérusalem.
Le même phénomène se produit dans l'actuelle Turquie, en Asie mineure, où le dernier des Sassanides Chosroès II, avait organisé une guerre de conquête en Égypte, était revenu par Jérusalem pour piller la ville de la Vraie Croix , ce qui, après 615, avait provoqué la miraculeuse réaction de l'empereur Héraclius qui, malgré la faiblesse dramatique de ses légions, aboutit à la victoire romaine.
La mort de Chosroès II, les querelles dynastiques qui s'ensuivirent, permettent aux tribus arabes sur place de prendre là aussi le pouvoir.


LA RÉDACTION DES PREMIÈRES SOURATES DU CORAN
C'est dans ces débuts du septième siècle que les forces religieuses, présentes en Syrie et en Palestine, entreprennent de donner une culture spirituelle à cette nouvelle recomposition.
C'est surtout les juifs de la synagogue ébionite qui espèrent rallier le monde arabe à la conquête de Jérusalem, pour le retour du Peuple élu, dans la Ville Sainte.
Le christianisme est, quant à lui, affaibli, loin de ses sources, enténébré par des doctrines qui le vident de sa substance (Arianisme, Nestorianisme).
La prédication de la LOI de MOÏSE (Torah) aux arabes de Yathrib (Médine) et Thakif (La Mecque), par un auteur inconnu, rabbin génial, ébionite, installé en Arabie, date de cette époque. Les arabes étaient déjà chrétiens, il s'agissait de les ramener à la Torah de Moïse, et les détourner de la foi en la Divinité de JÉSUS CHRIST (alayhis salâm)
A l'époque où commence "la Prédication" contenue dans le futur livre de l'ISLAM, la Mecque constituait un carrefour de biens, d'hommes et d'idées de grande importance.
Avant ces guerres incessantes entre Byzance et l'Asie Mineure, les trafics de l'orient passaient au nord du désert de Syrie. A cause de ces troubles continuels, les trafics d'or, d'encens, de bêtes et de richesses diverses, passèrent par le sud, à partir des rives de la Mer Rouge : la Mecque était devenue une nécessité commerciale.
Après les victoires islamiques de la deuxième moitié du septième siècle, Bagdad ( en Perse) ouvre, à nouveau les routes anciennes de la vallée de l'Euphrate, et la Mecque retombera dans la ruine, ainsi que toute sa région.
L'importance de la Mecque n'aura été que passagère, mais suffisante en durée et en intensité, pour permettre la naissance de l'épopée religieuse de l'ISLAM...


LES TEXTES DU CORAN ET DE LA SUNNAL'ÉTUDE LITTÉRALE DES TEXTES DU CORAN
Sans reprendre les explications des articles précédents nous pouvons les résumer en précisant comment ces découvertes s'enracinent dans le texte du coran lui-même... à condition de l'avoir préalablement remis en ordre.
OTMAN, le troisième calife après la mort de MAHMET, a sélectionné quelques répliques des proclamations de l'apôtre de l'Islam et les a disposées dans un désordre chronologique tel qu'il faut le travail des islamologues pour remettre les sourates dans l'ordre générique où elles on été exprimées. Tout le monde s'accorde sur la base de principes irréfutables sur la chronologie de Modelke (pour ne citer que lui).
Ce qui importe ici c'est de savoir ce que l'on peut en tirer :
Dans la première période de cette composition (première période dite mecquoise) de 47 sourates (sirah), les mots, les phrases, les tournures, tout est la transcription d'un judaïsme enseigné en Arabie : c'est un rabbin qui parle dans un jargon mi-hébraïque, mi-araméen.
L'écriture de la sourate 1, par exemple, est un système graphique en langue talmudique (Talmud : textes juifs de la Synagogue). La théorie musulmane faisant sortir l'arabe littéral du dialecte mecquois comme norme linguistique, ne tient pas scientifiquement : MAHMET n'est pas l'auteur de ces paroles ! ...

L'HISTOIRE SOUS-JACENTE AU CORAN ACTUEL
L'auteur est un rabbin : il a reçu l'Écriture de la Providence de Dieu et ce bien-aimé Muhammad a " accueilli la Torah (juive) et l'Évangile " (c'est-à-dire les apocryphes gnostiques des juifs ébionites) (cf. : sourate III ver. 33 et 7).
Ayant rappelé dans la sourate II, les exigences de la Torah, il prêche sur Marie, Jean-Baptiste et Jésus, dans la sourate III.
Le retour (sourate II) sur l'Ancien Testament comporte plus de 2000 versets bibliques et d'innombrables réflexions midrashiques (traditions interprétatives des rabbins juifs).
Le premier corollaire sera la guerre sainte (sourate II, 190 versets) pour la conquête de Jérusalem ( II, 208)
et le relèvement de la Maison, c'est-à-dire le Temple ( Al Bayt : de l'hébreu El Beit, maison de Dieu ), du Lieu d'Abraham ( Maqamu Ibrahima : II, 125 et suite - II,144 et II, 94-97), car, c'est à Jérusalem qu'Abraham sacrifia Isaac !
Il faut y accomplir un pèlerinage ( Hijju, II,196 et suite) pour restaurer le Royaume de Dieu (II, 243 et III, 97)
C'est dans ce but que l'instructeur de l'apôtre arabe "a quitté, comme le fit Abraham sa tente" pour 'poster des fidèles pour le combat'(III, 121).
Chef de l'expédition sarrazine, qui se joignit à la coalition judéo-perse de 614, il a conduit les enfants d'lsmaël à la conquête du pays (la Terre promise - sourate II,11 et II,168), jusqu'aux Portes de Dieu (II,158 et 169).
Ils ont "déferlé d'Arabie" (II,198) sont entrés dans la ville de Jérusalem (II,208).
A cette victoire, à cet élan de conquête, succède une brisure, un calvaire (Qarhun) à cause d'embûches tendues, de trahisons fomentées par la perfidie des enfants d'Israël. (III,99-118-119-122-140-179).
Les enfants d'Ismaël, on le comprend, sont dans le murmure (III,152), sont dispersés (III,123), et expulsés d'Israël. (III,195)
C'est alors que l'auteur rédige cette sourate III pour raffermir le courage des hésitants tirant de l'échec même une promesse de retour, de restauration (III,124 à 129).


LES PÉRIODES MECQUOISES, MEDINOISES
La deuxième période mecquoise va faire apparaître bien des contradictions par les arabes déçus et rejetant les croyants rassemblés autour de l'interprétation arabe de la Torah. Les réponses sont données par des versets bibliques (21 versets pour les seules sourates XX et XXVI). On trouve, dans ces passages, comme un résumé de l'histoire sainte d'Israël.
Bref, l'islam n'est que le judaïsme expliqué par un rabbin à des arabes. Les textes ont pour auteur un juif, et non pas un arabe. Mahmet n'y est absolument pour rien : on ne trouve aucune trace d'une Révélation de Dieu, directement au catéchiste transmetteur.
Puis le rabbin compose un CORAN en langue arabe, ce qui ouvre une nouvelle période dans le Livre de l'Islam, chevillé par OTMAN, à partir de la sourate 54
( " Nous l'avons révélé sous forme de révélation arabe " rappelle la sourate XX,112).
Auparavant, à partir de la sourate 80, il n'y a pas trace de révélation arabe, le rabbi ne parle que de la Quaryan (Torah en hébreu )de Moïse.
En deçà, à partir de la sourate 96, il n'est question d'aucun livre religieux. Cependant, si le coran a été écrit, le livre des sourates ne le retranscrit pas : il en signale seulement l'existence... Les sourates se contentent de raconter les Actes des proclamations, un peu comme dans la Bible, sont relatés les Actes des Apôtres.
Les contradicteurs ne s'y trompent pas : " Mahmed, tu n'es pas autre chose qu'un élève. (MU'ALLAMUM des juifs) " (sourate 44-V,13) ... et la réponse du rabbin, à cette évidence précise pour la défense de Mahmet : " Sa parole n'est pas la parole d'un poète ! Comme vous êtes de peu de foi ! Ce n'est pas la parole d'un inspiré divin ! Comme vous êtes de courte mémoire ! C'est la révélation du Seigneur des mondes. " (sourate 99,41 à 43) …. " C'est le rappel de nos écritures. " (sourate 36,39)
Face aux conversions des arabes au judaïsme, le curé chrétien de La Mecque réagit, Mahmet est tenté... d'où la deuxième période mecquoise avec les répétitions des textes anti-Fils de Dieu, anti-Rédemption, anti-Trinité des apocryphes sur Jésus et Marie, dont nous avons déjà parlé. Par exemple, la sourate 19 sur Marie rentre dans cette série.
La période médinoise, où Mahmet devient le chef religieux incontesté, s'ouvre le 24 septembre 622. C'est l'heure de la fondation de l'Islam arabe, indépendant de la direction rabbinique.


MOHAMED ET LES SOURATES 
Il reste à noter que le coran, récité par nos frères musulmans, ne contient en ces premiers passages aucune trace du nom du prophète Mahmet, ni aucune mention de l'ange Gabriel, pas plus que d'un quelconque récit d'une apparition divine à un arabe ! Ne retenons ici que ce qui concerne MOHAMED.
Les croyants récitent les textes anciens et croient entendre :
MHMD a reçu de Dieu sur la montagne la révélation.
Mais, ce terme MHMD est un participe passé signifiant le bien-aimé (de Dieu sous-entendu).
Ils voient encore leur fondateur aux passages où l'on trouve AHMAD (sourate 61,6) qui veut dire Précieux. Or, la traduction littérale montre que LE PRÉCIEUX n'est autre que MOÏSE qui, en effet, a reçu de Dieu la Révélation de la Loi, directement, sur la montagne (SINAÏ).
Le Précieux est précisément le surnom que les midrash talmudiques donnent à Moïse.
Tout ceci est irréfutable... Il est possible d'approfondir ces faits avec les analyses plus précises éditées dans l'ouvrage de J. BERTUEL (tome 2- pages 118 à 121).

Voir aussi : quelques versets du Q'oran sur le transmetteur Mohammad (enseignements mosquée, 11 ) ...

LA DEUXIEME SOURCE DE LA RELIGION : LA SUNNAH 
Nous résumerons l'histoire de l'épopée arabo-islamique, après la mort de Mahmet, avec ABU BAKR, puis à sa mort, OMAR à l'époque des conquêtes de Syrie, Irak, Iran et Égypte, et ensuite, OTMAN au début des guerres civiles.
Ce troisième calife prend peur et cristallise le coran, comme nous l'avons expliqué en prenant soin d'extirper toute trace des origines juives des sourates.
A sa mort, Ali prend le pouvoir. Des luttes fratricides éclatent entre la famille d' Otman (les ommayades) et la famille d'Ali, aboutissant à des massacres : Ali, puis Hussein, et toute la famille du prophète sont assassinés.
Les califes ommayades vont se succéder. en affermissant les conquêtes et en étouffant la dimension religieuse.
En 749, ils sont renversés par la tendance religieuse spirituelle et les califes abbassides prennent le pouvoir.
C'est alors que les traditionalistes (MUHADDITIN) vont recueillir les HADDITH (paroles) c'est-à-dire les traditions orales sur Mahmet. Les islamologues savent bien que ces traditions étaient corrompues par d'innombrables glissements des traditions apocryphes, servant aux abus des dirigeants, et autres intéressés des périodes tyranniques ommayades ! Mais peu importe ! La SUNNA est composée ( de 760 à 820 ).
Pour la première fois, on peut découvrir une vie de MAHOMET, des apparitions de l'ange Gabriel, des transports sur une jument mystique du Prophète à Jérusalem, et toute une multitude de détails assez choquants
On peut dire que la religion islamique date de cette époque, qui signe l'abandon définitif de l'origine réelle du coran au judaïsme ébionite.
Autant le Livre de l'Islam, inspiré par le rabbin, est anti-chrétien, autant la Sunna inspirée par les traditionalistes arabes, est antijuive.
Pour remplacer Moïse, il fallait bien diviniser Mahmet et lui inventer une vie légendaire et sacrée ! Et tous les écrits, échappés au massacre culturel de toutes les archives, entre les années 650 et 68O, et précieusement conservés chez les jacobites, les nestoriens, les samaritains, ces textes, antérieurs à la Sunna, à propos de Mahmet, montrent bien qu'il s'agit là d'une pure invention !



De nombreux musulmans souhaiteraient voir des institutions vénérables de l'Islam prendre le chemin des églises, et dialoguer. Aujourd'hui, les clés du dialogue sont aux mains des Églises chrétiennes. Là sont les hommes, la volonté et les moyens. Il faut aussi nous aider, nous ne sommes pas nombreux à défendre cet Islam d'ouverture. Ainsi s'exprimait Dalil Boubakeur, recteur de l'Institut musulman de la Mosquée de Paris. Il était à Assise (La Croix du 22/11/2001)
Notre dossier veut rendre compte de notre espérance, en vérité, en toute lucidité, sans nier les difficultés.
PS : Saisie en cours / les dossiers bleus sont en ligne
Le Hamas de Palestine







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