mercredi 10 janvier 2018

La grande fragilité de l’islam (Amada)



Une vieille sentence dit que « la force est l’arme des faibles ».
C’est tout à fait le cas de l’islam dont la faiblesse tient à ses bases précaires et à ses innombrables mensonges et contradictions.

L’islam, que ce soit une religion, une secte ou une idéologie politique ou un peu les trois, est d’une grande fragilité et d’une grande vulnérabilité à l’analyse et à la critique. C’est pourquoi il interdit déjà toute forme de critique.

Il ne repose sur rien, il ne contient aucune pensée subtile ni féconde, il ne répond à aucun besoin ou attente des humains, il est éminemment aliénant et il est profondément violent.

La violence est en effet souvent l’arme des faibles. Parce que soit les faibles sont opprimés par de plus forts et n’ont que ce seul recours pour se défendre et se faire entendre ou soit les « faibles d’esprit » n’ont aucun argument ni aucune légitimité à faire entendre leurs discours futiles et il ne leur reste que la violence pour convaincre et soumettre à leur pensée. C’est la cas de l’islam.
C’est aussi, dans l’histoire de l’humanité, le cas de toutes les idéologies, sectes, dogmes, religions et partis politiques extrémistes.

L’islam totalement idolâtre et fétichiste

L’islam se veut monothéiste et issu du judéo-christianisme dont il a emprunté une partie des textes adaptés aux besoins de son fondateur qui avait lui-même été initié aux christianisme par le moine Bahira de souche chrétienne.
L’islam affirme ne pas avoir de saint ni aucun personnage sacré en dehors de Mahomet lui-même, son gourou fondateur…
Pourtant, l’islam est rempli de manifestations fortement empreintes d’idolâtrie et de fétichisme.

L’islam glorifie et vénère deux villes saintes distinctes, Médine et La Mecque et revendique Jérusalem comme troisième ville sainte, alors que le nom de Jérusalem n’apparaît nulle part dans le Coran. Les musulmans semblent faire une sorte de course aux lieux saints par peur de ne pas être pris au sérieux, comme tous les « faibles ».

Le Coran est un livre sacré dont la critique, la destruction ou le blasphème peuvent être punis de mort.

Parmi les animaux, le mouton est l’animal sacré de l’islam.

Le pèlerinage à La Mecque conduit chaque année des millions de musulmans à venir idolâtrer trois fétiches majeurs :

- La Kaaba, une sorte d’ancien temple païen polythéiste.
- Une pierre noire supposée être tombée de la Lune.
- Une vulve, sexe féminin, en argent massif.


La Kaaba est un bâtiment construit à l’emplacement d’un ancien temple païen polythéiste et supposé représenter le centre géographique sacré de l’islam.

La pierre noire n’est en aucun cas tombée de la Lune, ce qui serait stupide et ascientifique, mais doit être une quelconque roche volcanique qui a été roulée et polie par la mer ou bien une météorite. Le but suprême de chaque pèlerin est de toucher de la main la pierre noire…

La vulve en argent massif est le cœur même de l’islam pour ce qui touche au droit des hommes et des femmes, l’ascendant imposé des hommes sur les femmes, la fécondité et le sexe qui est la plus grande préoccupation des hommes musulmans.

Mais l’islam pratique aussi à grande échelle une autre forme d’idolâtrie inversée, une sorte d’anti-idolâtrie qui en dit long sur l’importance qu’il attache à certains objets ou symboles qui pourraient lui porter ombrage et qu’il rejette et parfois détruit avec une grande violence, comme tous les faibles.

On peut citer tous les lieux, édifices, mausolées, temples, statues et représentations des autres religions, cultes et rites, y compris les propres vestiges du passé des saints et grands personnages de l’islam.

On a pu le voir lors de la destruction des statues géantes de Bouddha en Afghanistan, la destruction de temples et mausolées de saints musulmans au Mali, la destruction actuelle de tous les édifices religieux chrétiens au moyen orient et l’idée loufoque de certains dirigeants religieux de détruire les pyramides d’Egypte.

Aujourd’hui même, des dirigeants de la branche terroriste Daesh envisagent de détruire La Mecque et de reconstruire ailleurs un autre centre religieux de l’islam. C’est dire la folie et l’égarement total où cette secte peut conduire des humains…

Le faible et indigent islam s’en prend aussi aux créatures vivantes en assassinant et exterminant partout dans le monde les adeptes des autres religions, mais en s’en prenant également à certains animaux comme les porcs, les chiens, les singes et parfois les ânes et les chats. Personne ne sait pourquoi…

La répulsion qu’ils ont pour le porc est complètement névrotique et représente aussi une sorte d’anti-idolâtrie qui semble donner au porc une grande importance dans leur vie.

Globalement, l’islam ment donc sur son essence monothéiste en attachant une grande importance à des choses de nature polythéistes.

Le drapeau de Daesh, par exemple, signifie « Il n’y a de dieu que Dieu ». Ce drapeau est celui du pseudo état islamique, mais c’est aussi un étendard religieux qu’ils brandissent comme un objet sacré et donc comme un fétiche ou une idole…

Si l’islam était une bonne chose pour l’homme, une bonne religion, il serait naturellement reconnu et admis par tout le monde comme tel.

Mais ce n’est pas le cas.

L’islam n’est pas l’affirmation ni la glorification ni la mise en avant de la nature humaine, mais l’abaissement, le mépris et l’avilissement de l’homme par rapport à un supposé dieu et surtout par rapport aux dirigeants politico-religieux et à leurs lois aliénantes et contraignantes.

L’islam est le mépris et la négation de l’homme, mais aussi de ce qu’il produit..
Et c’est là que l’on voit la fourberie du monde musulman qui crache avec mépris sur le diable occidental ou américain et tout ce qu’il produit qui ne peut être que diabolique, mais qui en fait ses délices et ne peut plus s’en passer. L’occident à des gratte-ciel, l’islam bâtit des gratte-ciel.

Le monde arabo musulman ne peut pas se passer de nos sciences et de nos technologies alors que lui-même en est encore à l’âge de pierre. Electronique, médecine, automobile, avions, armement, tout est bon.

Le diable occidental fait des merveilles dont ils sont jaloux et friands…

On peut dès lors affirmer que tous les produits de nos sciences et technologies sont autant de nouvelles idoles et de nouveaux fétiches devant lesquels les musulmans se prosternent sans vergogne…

L’islam est incohérent, absurde, invraisemblable et donc tout naturellement certain d’avoir toujours raison et donc totalement incapable de se réformer, ce qui serait la reconnaissance de son égarement.

Sa violence est son talon d’Achille. Aujourd’hui, le monde entier peut voir et entendre la réalité de l’islam et s’en tenir à distance.

L’islam ne pourra pas durer, si grande soit sa violence, sa haine et ses capacités de guerre. Car l’homme a besoin de paix pour s’élever, s’épanouir et avancer vers le futur. Or, l’islam ne fait pas avancer ses populations mais bien au contraire les fait perpétuellement régresser et s’appauvrir intellectuellement et moralement.

Finalement, la fin de l’islam est peut-être toute proche. De grandes civilisations, de grands empires ont déchu et disparu brusquement dans l’histoire de l’humanité et ce sera bientôt le tour de l’islam, au grand intérêt et bonheur des peuples qui lui sont encore soumis par la peur et la violence.

Kaaba et idolâtrie

Islam et idolâtrie

Idolâtrie, islamisme et Coran

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