L'islam est-il une Secte?
Une secte est :
* un GROUPE
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- quelle que soit sa taille -
dirigé par un GOUROU
- centre absolu -
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* à visée GLOBALE, totalitaire
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- quelle que soit la porte d'entrée :
- le masque de séduction -
religieux, philosophique, culturel, thérapeutique, économique, écologique, politique, humanitaire, etc...
C'est toute la personne, c'est toute la vie de l'adepte, qui se trouvent comme happées dans le système,
avec envahissement de tous les domaines :
l'idéologie, la pensée de la personne, son temps, sa vie relationnelle, son énergie, ses biens...
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* un groupe FERME sur lui-même
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l'extérieur du groupe n'a plus aucune valeur,
pire : il devient un ennemi, il y a diabolisation de l'autre
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d'où RUPTURE
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- des relations
-des valeurs d'origine, des références éthiques, scientifiques... communément admises
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* Le souci du groupe :CAPTATION des adeptes
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par des manoeuvres adéquates :
séduction
déstabilisation : fatigue - peur - isolation
restructuration : endoctrinement
visant une SOUMISSION INCONDITIONNELLE
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* Cette MANIPULATION des personnes
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produit une DEPERSONNALISATION, une ALIENATION, une INFANTILISATION,
un MODELAGE et une UNIFORMISATION des adeptes (les critiques sont interdites)
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* Elle met en PERIL
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la SANTE PHYSIQUE et PSYCHIQUE des adeptes,
LES LIBERTES INDIVIDUELLES,
la SITUATION ECONOMIQUE des personnes,
leur VIE RELATIONNELLE.
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Elle peut également mettre en danger les institutions démocratiques (par perte du sens de la citoyenneté et infiltrations) et les circuits économiques (détournements de fonds)
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* Les seuls bénéficiaires de l'opération sont les GOUROUS
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- non contrôlés -
qui assouvissent ainsi
leur soif d'ARGENT
de POUVOIR
et de JOUISSANCE SEXUELLE
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Qu'est-ce qu'une secte pour l'UNADFI ?
- Une secte dans son acceptation contemporaine, est une structure qui sous couvert d'une proposition attractive de croissance personnelle, d'évolution spirituelle, ou de transformation de la société, porte atteinte aux libertés et droits de l'être humain, en faisant usage de manipulations mentales qui asservissent progressivement l'individu, afin de le soumettre au modèle défini par le ou les dirigeants. La secte se définit également par des comportements qui mettent en péril l'équilibre social.
- Une secte est une association de structure totalitaire, déclarant ou non des objectifs religieux, dont le comportement porte atteinte aux droits de l’homme et à l’équilibre social.
- Anne Fournier, historienne, et Michel Monroy, psychiatre, in "la dérive sectaire", Paris : PUF, 1999. -234 p.
Le diagnostic de dérive sectaire ne peut émerger que d’une conjonction significative de facteurs. L’observation permet de retenir majoritairement les caractéristiques suivantes :
o Le groupe développe une idéologie alternative radicale, exclusive et intolérante.
o Sa structure est autoritaire et autocratique, sous la forme d’un gourou vivant ou d’une organisation héritière du message.
o Il revendique une référence exclusive à sa propre interprétation du monde, qu’elle s’applique aux croyances, aux données scientifiques, à l’éthique, aux comportements quotidiens, aux rapports interpersonnels, aux moyens de faire triompher la cause du groupe.
o Il préconise des ruptures de tous ordres : références antérieures, orientations personnelles, relations, convictions, libre critique, choix affectifs, les relations au monde extérieur devenant marquées par le rejet, la suspicion, voire la diabolisation.
o Il met en oeuvre une transformation des personnes selon un type de modelage standardisant excluant l’autonomie.
o Il récupère à son profit les forces vives, l’initiative, la créativité, l’énergie des adeptes, réalisant ainsi une instrumentalisation des individus au seul service du groupe et de ses chefs.
o Il multiplie promesses et assurances de tout genre: développement personnel, salut élitiste, toute puissance sur soi-même, santé, pouvoir collectif, promotion interne.
o Dans le même temps, il masque les coûts réels, les contraintes, les risques, l’emprise progressive, les transformations dans le sens de la dépendance.
o Il exploite les inquiétudes et les peurs, développe la culpabilité, la crainte du rejet, la hantise de la déloyauté, la surveillance réciproque.
o Il rend problématique à divers égards la perspective de quitter le groupe, devenu une prothèse relationnelle entourée d’alternatives menaçantes ou vides.
o Il comporte des dangers variables selon les groupes, pour le libre arbitre, l’autonomie, la santé, l’éducation, et dans certains cas les libertés démocratiques ou la sauvegarde personnelle.
L'islam est-il une Secte?
... ordre du Coran :
"S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez"
... quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert à rien. # |
Poser cette question peut sembler d'une coupable impertinence. Mais ce n'est là qu'une apparence et c'est surtout ignorer les écrits de Jean Damascène.
Jean Damascène est né vers 640 à Damas. Il portait le nom arabe de Mansour. Il devint administrateur des finances de la ville de Damas, qui avait dû capituler en 635 devant l'envahisseur musulman.
Il se retira au monastère de Saint-Sabbas, près de Jérusalem où, après son ordination, il rédigea ses uvres théologiques. Il est mort vers 750, plus que centenaire. Honoré comme saint à la fois par les orthodoxes et par les catholiques, sa Source de la connaissance a servi de manuel de théologie jusqu'au XIII ème siècle, et il fut même rangé parmi les docteurs de l'Eglise par le pape Léon XIII en 1890.
Jean Damascène a qualifié l'Islam de 101ème secte chrétienne. A quel titre pouvait-il le faire? Pour répondre à cette question, il nous faut d'abord définir ce qu'est une secte.
Pour le sociologue, la secte est un diverticule qui s'est séparé d'une Eglise-mère, et qui suit un processus évolutif qui la fait passer par des étapes assez clairement définies. Pour le juriste, et aussi le politicien, la secte est un mouvement qui est en infraction avec la législation, et plus particulièrement avec la législation concernant la protection des individus. Quant au théologien, il définit la secte comme une hérésie. Il y a enfin des mouvements sectaires qui ne se sont pas détachés d'une confession religieuse existante, mais qui naissent d'un conglomérat disparate de pensées et de pratiques religieuses variées. On préfère les appeler : nouvelles religiosités ou spiritualités nouvelles.
Sociologiquement, on ne peut qualifier l'Islam de secte chrétienne ; son fondateur, Mohammed (570-632), est né dans un milieu polythéiste, peut-être hénothéiste (un Dieu dominant). Cependant, lors de ses voyages en Syrie, Mohammed avait rencontré le moine chrétien Bahira. Plus tard à Marwa, près de la Mekke , il rencontrait souvent un esclave chrétien du nom de Djabr (Voir Sirâ du Prophète). Une de ses concubines qu'il prit en 629, Myriam, était chrétienne.
A la Mekke vivaient des Jufis, et Médine abritait trois tribus juives constituant environ la moitié de la population, avant leur décimation. Khaïbar, située à quelque 250 km au nord de Médine, était une ville forte juive. Rayhana, une concubine que Mohammed prit en 627 était juive, ainsi que Saffiyya qu'il épousa en 629.
Bien qu'il n'y eut pas encore, à l'époque de Mohammed, de traduction complète de la Bible en arabe, les récits de l'Ancien comme du Nouveau Testament circulaient, mais aussi des fables talmudiques et des légendes tirées d'écrits chrétiens apocryphes.
L'Islam prit ainsi naissance dans un bouillon culturel qui englobait polythéisme et hénothéisme, judaïsme et christianisme, mais aussi zoroastrisme, voire hindouisme. En utilisant la terminologie d'aujourd'hui, Jean Damascène aurait dû qualifier l'Islam de religiosité nouvelle.
Juridiquement et politiquement, il faut distinguer entre Islam modéré et Islam fondamentaliste/intégriste, ce dernier seul portant atteinte à la législation concernant la protection des individus.
Le Coran contient aussi de nombreuses réminiscences bibliques. Il rend un vibrant hommage à la fois à la Torah(taurat) et à l'Evangile (Indjil). Il reconnaît que ces livres, descendus de Dieu, sont véridiques (Sourate 'Al `Imran, III.3) ; les musulmans doivent y croire (Sourates Al-Baqara, II.87 ; 'Al `Imran, III.84 ; An-Nisa', IV.136).
Le Coran témoigne de la naissance virginale de Jésus (Sourates Al-'Anbiya',XXI.91 ; At-Tahrim, LXVI.12), de sa messianité (III.45 ; IV.157), de son prophétisme (III.49 ; IV.157, 171 ; Al-Ma'ida, V.46, 75 ; Maryam, XIX.30), de sa vie sans péché ( XIX.19 ; III.46) et le qualifie de Parole de vérité (XIX.34), de Parole de Dieu jeté en Marie (IV.171), de Verbe émané de Dieu (III.39, 45), d'Esprit émané de Dieu (IV.171 ; XXI.91 ; LXVI.12), mais sans reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu.
Jean Damascène n'a pas seulement dénoncé cette dernière hérésie, mais encore celle qui déclare que la crucifixion était un faux-semblant (IV.157, 158). Ici encore, la doctrine coranique diverge fondamentalement de la foi chrétienne selon laquelle la crucifixion apporte au monde le salut. Non seulement le Nouveau Testament, mais déjà les prophéties de l'Ancien attestent cette doctrine fondamentale.
Une autre divergence concerne la résurrection de Jésus-Christ. Pour le Coran, dans les versets cités plus haut, Jésus est bien au ciel, auprès de Dieu ; il y a été élevé, mais sans passer par la mort et la résurrection.
Jean Damascène avait donc raison de qualifier l'Islam d'hérésie ou de secte chrétienne.
Mais juridiquement, qu'en est-il ? Une caractéristique des sectes que relèvent les juristes, c'est l'assujettissement des adeptes à leur mouvement et la très grande difficulté à en sortir. Les mots "Islam" et "Musulman" signifient : soumission, sous-entendu : soumission à Dieu. C'est là une des injonctions de toutes les religions. Mais, dans l'Islam, cette soumission est essentiellement une soumission aux lois de la Communauté (la Umma), au sein de laquelle s'exerce une rigoureuse surveillance réciproque.
Aussi est-il difficile à un Musulman de sortir de son carcan religieux et adopter, par exemple, la foi chrétienne. Il est alors considéré comme un renégat ou apostat et encourt la vindicte de ses anciens coreligionnaires, conformément à cet ordre du Coran :
"S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez" (Sourate An-Nisa', IV.89).
Les milliers de musulmans algériens qui ont été assassinés ces derniers temps l'ont été parce qu'ils furent considérés, en raison de leur modération, de leur libéralisme, de leur ouverture comme des renégats de la foi coranique par les islamistes fondamentalistes fidèles à l'ordre coranique ci-dessus.
Il faut certes, faire la part des choses entre "Musulmans modérés" et "Islamistes fondamentalistes / intégristes". Mais tout musulman qui prend le Coran à la lettre peut devenir intégriste !
On rétorquera en affirmant que le Coran prône une religion tolérante et l'on invoquera les versets coraniques suivants :
"A vous votre religion, à moi la mienne" (Al-Kafiruna, CIX.6)
ou
"Pas de contrainte en religion" (Al-Baqara, II.256)
ou encore
"Il est notre Seigneur et votre Seigneur...Notre Dieu qui est votre Dieu est unique" ( Al-Baqara, II.139 ; Al-`Ankabut, XXIX.46).
Mais ces versets n'ont que l'apparence de la tolérance, au regard de l'ordre de tuer les renégats qui changent de religion. De plus, le Coran méprise la foi chrétienne :
"Les Chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Dieu. Qu'Allah les anéantisse ! Ils sont tellement stupides" (At-Tauba, IX.30).
L'Islam peut donc, à juste titre, être qualifié de secte.
La question qui se pose dès lors à nos autorités est de savoir si elles sont disposées à protéger les ex-musulmans comme elles protègent les transfuges des autres sectes ? Elles le devraient, que l'on considère l'Islam comme une religion ou comme une secte.
Abd-Al-Haqq
(Serviteur de la Vérité)
(Serviteur de la Vérité)
L’islam n’est pas une religion, par A.
Je le répète, l’islam n’est pas une religion. Pourquoi ?
Parce que les religions sont des groupes humains composés d’hommes et de femmes qui ont une intuition, une foi, une croyance, un élan, une aspiration spontanée et volontaire pour ou vers une intelligence ou une force qui les dépasse et qui souhaitent en approfondir la recherche mentale ou philosophique, la perception, la connaissance, la vénération et le dialogue qui serait possible avec cette intelligence ou cette force supranaturelle.
Cette recherche les incite naturellement à se rapprocher et à se réunir pour partager leurs sentiments autour de cette croyance et à unir leurs intelligences, leurs réflexions, leurs méditations et leurs prières pour mieux la connaître et la comprendre.
C’est une attraction et une recherche libre et non imposée, parce que seuls des intelligences libres et sans entraves peuvent effectuer cette démarche supérieure.
Le mot religion possède le sens premier de relier et de réunir librement des êtres autour d’une idée ou d’une chose commune. Par la suite, il pourra s’en dégager une sorte de centralisation des idées et la conception d’une doctrine et parfois d’un dogme autour de ces idées partagées librement. Les religieux, les prêtres, n’étant, à priori, que des officiants sans pouvoir qui organisent le culte. Les excès et les débordements sont un autre sujet.
Par opposition, une secte fonctionne dans une démarche tout à fait inverse. Un gourou crée la secte embryonnaire et recrute des personnes en recherche dans le but de leur exposer puis imposer ses idées séductrices, de les diriger et de les dominer mentalement et physiquement afin de les exploiter par le travail ou par le « partage » de leurs richesses personnelles.
L’islam est ainsi né d’un gourou, Mahomet, qui l’a créé de toutes pièces et a réussi à l’imposer par son habilité d’orateur puis par la violence en massacrant tous ses opposants.
Dans l’islam, qui se dit religion, tout démontre que ce n’en est pas une.
Il n’y a tout d’abord aucune idée de libre croyance ni de libre recherche spirituelle.
D’emblée, l’enfant qui vient au monde dans un milieu musulman est destiné à intégrer une école coranique dès qu’il sera apte à recevoir un enseignement primaire. Cet enseignement consiste en l’apprentissage par cœur du Coran sans en comprendre le moindre mot. Le religieux qui dirige cet apprentissage abrutissant en donnera progressivement une explication et un éclairage très partiel, très orienté et très organisé afin « d’accrocher » et de soumettre les enfants à ce mode de pensée unique, incontournable et absolue. Aucune échappatoire. Il n’existe pas d’autre mode de pensée ni d’autre issue que l’acceptation et la soumission (« islam » = « soumission ») totale aux principes et aux préceptes du Coran ainsi qu’à la loi islamique qui en a été tirée, la Chariah.
En termes scientifiques médicaux, cette méthode peut être désignée sous le vocable de manipulation mentale, de structuration intellectuelle rigide, verrouillée, et en termes plus populaires de lavage de cerveau.
A partir de là, le sujet est emprisonné mentalement dans un carcan aux limites infranchissables. Il devient une esclave intellectuel soumis à un maître qui sera tour à tour Allah, Mahomet, un imam ou un mollah.
Son esprit ne connaît plus le terme liberté qui a été supprimé de son répertoire.
Il ne possède plus liberté de pensée ni d’expression autre que la formulation des versets du Coran. Plus de liberté de choix ou de rejet de la religion. Plus de liberté intellectuelle d’aucune sorte. On a bloqué le fonctionnement de son cerveau et on a endommagé gravement et durablement, pour ne pas dire définitivement, son intelligence. On lui a interdit de s’en servir.
Comment peut-on arriver à tout ça ? Simplement par la violence. La violence verbale, la violence par des punitions et des châtiments corporels qui commencent dès le premier jour à l’école coranique. Une faute, une erreur, une mauvaise conduite en classe et c’est immédiatement le châtiment physique. La méthode est parfaitement rôdée et au point. Le résultat est là. Le Coran lui-même est une longue litanie de menaces de traitements et de châtiments douloureux et sanglants. Plus tard, le jeune adulte musulman assistera à des tortures et des exécutions publiques qui l’inciteront à rester sur les rails sur lesquels on l’aura lancé et à ne faire aucun écart.
Par ailleurs, cette violence perpétuelle dans la société islamique fera de l’enfant, puis du jeune homme ou de la jeune fille une créature indifférente à la souffrance des autres.
Enfin, toute cette violence doit être au moins partiellement canalisée pour éviter la rébellion et les troubles sociaux et pour cela on fait appel à un principe vieux comme le monde, le « bouc émissaire », la responsabilisation d’un autre groupe humain comme les juifs, les chrétiens, les occidentaux, le diable américain, etc…
Ainsi, on le voit, le fondement essentiel d’une religion, la liberté de choix, de croyance et de recherche spirituelle, est totalement effacé de l’islam où tout est imposé brutalement. L’islam est donc bien une secte et en aucun cas une religion.
L’islam a été inventé et créé de toutes pièces par Mahomet pour servir ses ambitions personnelles de pouvoir et de règne sur la péninsule arabique. Il avait compris que les masses croyaient tout ce qu’on leur racontait et qu’elles étaient faciles à manipuler et à manœuvrer, ce que l’Histoire nous a montré dans de nombreux cas.
Il suffit de leur faire de belles promesses et aussi de leur faire peur. La carotte et le bâton. A ceux qui ne comprenaient pas bien son discours, Mahomet a fait la guerre et les a tous massacrés les uns après les autres http://coranix.org/biblio/mahomet_encyclomancie.htm. Argument convaincant s’il en est.
Mahomet était un homme de ressources, intelligent, sans scrupules, et un assassin sans limites, comme le fut un homme qui lui vouait un véritable culte : Adolf Hitler.
On lui attribue de nombreux travers, mais je ne les évoquerai pas ici.
Aujourd’hui, sa secte se porte bien, 1400 ans plus tard. Pourquoi ? Parce qu’elle s’est arrangée pour manipuler et falsifier ses textes afin de les adapter totalement à la stupidité et aux penchants malsains et meurtriers des humains mâles.
Imposer aux hommes de respecter un culte et des obligations lourdes et aliénantes abrutissantes, leur faire miroiter d’un côté la récompense d’un paradis qui n’est qu’un vaste lupanar peuplé de houries, des vierges perpétuelles qui s’offrent pour l’éternité à leurs étreintes, et d’un autre côté le châtiment des horribles flammes d’un enfer également pour l’éternité, justement qualifié dans le Coran-même de « détestable séjour… ! »
Déconsidérer les femmes et les faire apparaître comme des sous-créatures classées par Allah comme impures, stupides, inférieures aux hommes, juste bonnes à servir d’esclaves permanentes et sur lesquelles les maris peuvent passer leurs nerfs et les battre à tout moment pour un oui ou un non.
Permettre aux hommes de haïr d’autres hommes sans justification, simplement parce qu’ils ne sont pas musulmans et pouvoir les considérer comme une sous-classe (les dhimmis) à leur service et à leur merci, comme des esclaves sans aucun droits, avec un quasi droit de vie et de mort sur eux et le droit de s’approprier leurs biens en toutes circonstances.
Enfin, la clef de toute cette haine et de cette violence, le droit et même l’obligation d’accomplir le Saint Dji-hâd, la guerre sainte, contre les infidèles (tous les non musulmans) afin de les convertir à la « meilleure des religions » ou des les massacrer purement et simplement en cas d’insoumission. Ce que les musulmans s’activent à faire depuis 1400 ans. Aujourd’hui, ils ont imposé leur loi sur toute l’Afrique du nord, sur le moyen-orient, sur une partie de l’Asie et sur le sud-est asiatique. Les conquêtes de l’Europe et de l’Amérique sont en cours.
Il n’y a aucun dialogue possible avec les musulmans. Ils sont manipulés, leur cerveau est aliéné et destructuré et ils ne sont pas perméables à la moindre influence en dehors des principes de l’islam. La discussion est impossible et, de toute façon, inutile.
L’avenir nous dira quelle attitude adoptera l’occident, que ce soit les dirigeants ou les peuples. Lorsque le nombre de musulmans, qui s’accroît très rapidement, aura atteint un seuil critique, il est à peu près sûr que les choses s’envenimeront très vite et que cela finira par un bain de sang. Dans ce cas, des dizaines de millions de citoyens européens et musulmans perdront la vie sans garantir un résultat dans un sens ou dans l’autre. Ce sont les leçons de l’Histoire qui nous l’enseignent.
Histoire de Mahomet : http://coranix.org/biblio/mahomet_encyclomancie.htm
Histoire de Mahomet: http://www.linternaute.com/histoire/recherche/mahomet.shtml
Lettre ouverte aux musulmans: http://cabalard.free.fr/lettrouv.htm