Comme on le voit sur la carte des QI, la présence d'un tel microcosme hyperdéveloppé scientifiquement au sein de l'immense zone en rouge, voire rouge sombre des faibles Quotients Intellectuels de l'Afrique susaharienne, relève de la croyance utopique progressiste en une humanité profondément une et indivisible malgré les petites différences superficielles de peau, de chevelure, de langue ou de culture.
En effet, d'après ce mythe égalitaire universaliste, les choses qui distinguent vraiment un peuple d'un autre ou un individu d'un autre sont leur culture et leur éducation, toutes choses qui peuvent s'acquérir et ne sont pas innées.
Les Wakandais ont pu édifier le Wakanda, non parce qu'ils avaient des capacités naturelles ou innées favorables, mais parce qu'ils ont choisi l'éducation, la science, des règles de coopération harmonieuses et efficaces pour promouvoir la recherche scientifique et l'enseignement de qualité donné aux jeunes générations.
Selon cette croyance qui constitue un des dogmes les plus profondément ancrés dans l'occident post deuxième guerre mondiale, il n'y a pas de races humaines, il n'y a que des peuples et des ethnies superficiellement différentes qui ne diffèrent que par leur langue, leur culture et leur couleur de peau.
Selon cette doxa antiraciste, chaque individu et chaque peuple peut s'élever à la civilisation véritable, celle des droits de l'homme, de la démocratie et de la laïcité qui permettent à tous les hommes de vivre en paix et en harmonie malgré leurs différences de peau et de croyances.
On ne peut certes pas changer la couleur de peau, mais tout le reste, oui.
Il suffit donc que ces peuples et ces individus reçoivent une nourriture suffisante, une éducation adaptée et des règles de vie démocratiques et respectueuses pour être libres et heureux.
Ce n'est qu'une question de moyens, ainsi que de bonne volonté pour les mettre en place, mais rien dans l'inné, dans les dispositions naturelles n'est un obstacle à ce que les individus et les peuples vivent démocratiquement et scientifiquement dans une société développée.
Donc si des hommes viennent d'un point X de la Terre à un point Y, il n'y a pas de problème fondamental. Il suffira d'un peu de bonne volonté de la part des nouveaux arrivants pour se plier aux règles et acquérir la langue du pays d'accueil.
Si on remplace les Sénégalais par les Français de souche au Sénégal et qu'on leur apprend à ces nouveau arrivants les langues sénégalaises, la culture sénégalaise et l'islam, rien ne sera changé au Sénégal à part la couleur de peau de ses habitants.
Idem dans l'autre sens.
D'ailleurs que veut dire Français de souche, Sénégalais de souche ? Si l'on suit le discours dominant des médias et des institutions, on vient tous d'Afrique, l'homme est un migrant depuis toujours, les populations actuelles sont issues d'innombrables migrations et d'incessants métissages.
À suivre...
Dans le prochain article :
Les hommes sont-ils tous égaux naturellement ?
L'espèce homme, tout comme l'espèce chien, l'espèce vache ou l'espèce chat, ne comprend-elle pas des races différentes ou, si ce terme vous gêne, de populations ayant des traits caractéristiques bien distincts et liés à des aires géographiques où l'évolution a suivi des chemins distincts pendant des millénaires ?
Graphiques de l'Amour@GraphiquesA
https://twitter.com/GraphiquesA/status/1213839451115397122
Le changement de couleur de peau chez les hommes est le produit de l'évolution, de mutations. Ce sont des adaptations à leurs environnements.
La doxa voudrait que ces mutations concernent la totalité du corps à l'exception du cerveau, donc de l'intelligence; c'est un mensonge.
Le QI moyen d'une population a son importance, car il permet de prédire de nombreux traits psychologiques, comportements, organisations des sociétés, santé, etc.
https://www.intelligence-humaine.com/correlations-biologiques-et-sociales-du-qi/
Dutton, Menie - At Our Wits End
Rushton
Exemples :
(Bouchard, Plomin, Panizzon)
Il faut aussi prendre en compte les stratégies d'histoire de vie (moyennes) des différentes populations.
Il est impossible de construire des sociétés multiraciales à cause de toutes ces différences.
Et on ne parle même pas ici de différences culturelles.
https://chezobiter.wordpress.com/articles/
C'est pourquoi il est indispensable qu'un pays conserve très majoritairement son noyau ethnique, pour que son mode de vie et sa culture perdure.
Et SURTOUT pour que son peuple, votre peuple continue d'exister.
"Gènes et culture sont étroitement liés"
À écouter (1min37)
"Quelle est la finalité de prouver scientifiquement les différences entre les races ? Y-a-t-il un but politique…
Émission complète : https://youtu.be/BsOSqASjjrA
Merci à Obiter.
N'hésitez pas à suivre Pierre de Tiremont/Obiter @tiremont
https://chezobiter.wordpress.com/articles/
QUESTIONS :
Didier à bicyclette
Admettons un instant ces hypothèses : comment expliquer que l'écriture ait été inventée en Mésopotamie et en Egypte ? que les premières formes politiques complexes soient si peu au nord ? que la Grèce et la Méditerranée aient joué un tel rôle et non le Danemark et la Baltique ?
Graphiques de l'Amour
De la même manière que les enfants occidentaux ont une maturation physique et mentale plus lente que les populations d'autres races/groupes biologiques au Sud.
Les peuples dont vous parlez ont effectivement eu un QI plus élevé que les Européens grâce à l'agriculture. Celle-ci a permis de se détacher de ces tâches et de se spécialiser dans de nombreuses autres.
Le cerveau des occidentaux a été préadapté à la civilisation grâce aux hivers froids et ils ont pu pousser les avancées civilisationnelles avec la révolution néolithique encore plus loin.
Si vous êtes anglophone cet extrait vous intéressera, il explique pourquoi les peuples de Mésopotamie ont développé leur intelligence sans pour autant remettre en cause notre préadaptation : Intelligence et théorie des hivers froids
Michael Woodley of Menie s'oppose à une lecture stricte de la théorie des hivers froids et propose un modèle de coévolution des gènes et de la culture.
https://www.youtube.com/watch?v=v_JpWecntUk
"Il faut décoloniser l'Afrique pour que l'Afrique redevienne le Wakanda, le paradis noir du film Black Panther.
Il faut africaniser l'Europe pour que l'Europe se disculpe de la colonisation qui a empêché que l'Afrique reste le Wakanda.
Les Africains pourront ainsi regagner les richesses que l'Europe a volées à l'Afrique.
Les Européens sont des migrants africains qui ont trahi l'Afrique. Ils doivent retrouver leurs vraies racines en accueillant et en finançant des millions de migrants africains qui sont issus directement du berceau originel de l'humanité.
Wakanda Forever !"
Telle est la conclusion de l'article de Laurence Gauchot-Trouduc "Dire Pendez les blancs, est-ce du racisme anti-blanc?" paru dans la revue NLF (Nique la France), octobre 2018.
Voici ma réponse :
L'Afrique pourrait se développer comme l'Occident : le mythe progressiste du Wakanda
Une réponse de Julien Martel à Laurence Gauchot-Trouduc
Le film Black Panther des studios Disney-Marvel met en scène un superhéros africain noir qui vit dans une région d'Afrique superévoluée technologiquement, le Wakanda.
Comme on le voit sur la carte des QI, la présence d'un tel microcosme hyperdéveloppé scientifiquement au sein de l'immense zone en rouge, voire rouge sombre des faibles quotients intellectuels de l'Afrique susaharienne, relève de la croyance utopique progressiste en une humanité profondément une et indivisible malgré les petites différences superficielles de peau, de chevelure, de langue ou de culture.
En effet, d'après ce mythe égalitaire universaliste, les choses qui distinguent vraiment un peuple d'un autre ou un individu d'un autre sont leur culture et leur éducation, toutes choses qui peuvent s'acquérir et ne sont pas innées.
Les Wakandais ont pu édifier le Wakanda du film fantastique, non parce qu'ils avaient des capacités naturelles ou innées favorables, mais parce qu'ils ont choisi l'éducation, la science, des règles de coopération harmonieuses et efficaces pour promouvoir la recherche scientifique et l'enseignement de qualité donné aux jeunes générations.
Selon cette croyance qui constitue un des dogmes les plus profondément ancrés dans l'occident post deuxième guerre mondiale, il n'y a pas de races humaines, il n'y a que des peuples et des ethnies superficiellement différentes qui ne diffèrent que par leur langue, leur culture et leur couleur de peau.
Selon cette doxa antiraciste, chaque individu et chaque peuple peut s'élever à la civilisation véritable, celle des droits de l'homme, de la démocratie et de la laïcité qui permettent à tous les hommes de vivre en paix et en harmonie malgré leurs différences de peau et de croyances.
On ne peut certes pas changer la couleur de peau, mais tout le reste, oui.
Il suffit donc que ces peuples et ces individus reçoivent une nourriture suffisante, une éducation adaptée et des règles de vie démocratiques et respectueuses pour être libres et heureux.
Ce n'est qu'une question de moyens, ainsi que de bonne volonté pour les mettre en place, mais rien dans l'inné, dans les dispositions naturelles n'est un obstacle à ce que les individus et les peuples vivent démocratiquement et scientifiquement dans une société développée.
Donc si des hommes viennent d'un point X de la Terre à un point Y, il n'y a pas de problème fondamental. Il suffit d'un peu de bonne volonté de la part des nouveaux arrivants pour se plier aux règles et acquérir la langue du pays d'accueil.
Si l'on suit le discours dominant des médias et des institutions, on vient tous d'Afrique, le Français comme tous les autres hommes est un migrant depuis toujours, les populations actuelles sont issues d'innombrables migrations et d'incessants métissages.
Si on remplace les Sénégalais par les Français de souche au Sénégal et qu'on leur apprend à ces nouveau arrivants les langues sénégalaises, la culture sénégalaise et l'islam, à part la couleur de peau de ses habitants, le Sénégal reste le même.
Le raisonnement progressiste poussé jusqu'au bout est identique dans l'autre sens. S'il y avait 65 millions de Sénégalais d'origine bien intégrés à la place des Français de souche, le peuple français serait toujours le même.
D'ailleurs que veut dire Français de souche, Sénégalais de souche ? Ca ne veut rien dire.", clame le progressiste qui veut la décolonisation de tous les pays sauf du sien.
Épagneul breton, chihuahua, doberman, ça ne veut rien dire, ce sont tous des chiens.
On a décolonisé l'Afrique pour lutter contre les blancs oppresseurs racistes. Il faut maintenant continuer à coloniser l'Europe par des noirs, des maghrébins et des orientaux avec le financement des blancs pour que les blancs soient moins des oppresseurs racistes. C'est totalement illogique.
Telle est la logique profondément raciste du progressisme qui se dit antiraciste.
L'homme blanc, sa femme et ses enfants doivent être abattus.
L'antiracisme est le nom de code pour racisme anti-blancs.
Le mythe du Wakanda n'est qu'une des manifestations de ce racisme systémique des élites mondialistes envers les Européens.
JULIEN MARTEL
Dans les prochains articles, nous essaierons de poursuivre l'argumentation et d'apporter des tentatives de réponses aux questions suivantes :
Les hommes sont-ils tous égaux naturellement ?
L'espèce homme, tout comme l'espèce chien, l'espèce vache ou l'espèce chat, ne comprend-elle pas des races différentes ou, si ce terme vous gêne, de populations ayant des traits caractéristiques bien distincts et liés à une histoire longue au sein d'aires géographiques séparées où l'évolution a suivi des chemins distincts pendant des millénaires ?
Quelles sont les implications profondes de la carte du QI ?
La transmission de la logique, de la culture européenne et de la science en France n'est-elle pas condamnée suite à l'arrivée d'individus des zones orange et rouge de la carte ?
Cette carte peut-elle entraîner une guerre civile, comme l'affirme Laurent Alexandre ?
La civilisation européenne sera-t-elle fatalement détruite à l'horizon 2050 ou 2100, telle une voiture brûlée lors d'un réveillon du nouvel an dans une cité, si l'immigration afro-musulmane continue de se déverser et de se reproduire sur le sol européen et si une expulsion massive des allogènes vers leurs terres d'origine (remigration) n'a pas lieu ?
L'intégration de dizaines de millions d'allogènes afro-musulmans est-elle souhaitable ? est-elle possible ?
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