jeudi 11 janvier 2018

Est-ce être raciste que de critiquer l’islam ?

On parle beaucoup du débat sur la laïcité, alors que tout le monde sait qu’il s’agit d’un débat sur l’islam et que cela provoque des réactions épidermiques assez violentes au sein de la classe politique qui ne sait pas par quel bout prendre le problème…

Depuis quelques années, sous l’influence de certaines personnalités du monde musulman (Tarik Ramadan, Mouloud Aounit et le MRAP, etc…) soutenues par une gauche frileuse, peureuse et totalement déconnectée des réalités du monde, le seul fait de parler de l’islam est déjà suspect et à plus forte raison de critiquer l’islam, ce qui devient carrément des propos d’un racisme abject… !



C’est étrange comme on peut parler librement du judaïsme ou du christianisme en France sans que cela ne choque personne, mais qu’il soit impossible de tenir le moindre propos sur l’islam. Mais au fait, où est-il le racisme, dans cette histoire ? J’aimerais bien le savoir.

A priori, le monde musulman est majoritairement arabe ou d’origine arabe et les arabes sont des blancs. Si on parle des noirs, des musulmans africains, on est aussi dans l’erreur, car les africains sont des peuples ou des ethnies un peu différents de nous par certains traits physiques, mais en aucun cas une race différente puisque par définition il n’existe qu’une seule et unique race humaine : l’homme, le genre humain.

Le racisme est juste le comportement de gens haineux qui ne savent pas qu’ils sont juste xénophobes et intolérants et qui ne supportent personne qui soit un tout petit peu différents d’eux.
Ce que l’on peut appeler racisme c’est la haine de l’autre. C’est le considérer comme différent au point qu’il est un sous-homme, un être inférieur qui ne mérite pas de vivre selon nos valeurs, nos droits, et auquel on peut juste accorder le droit de vivre ailleurs, loin, ou bien d’être notre esclave.

Parfois, le racisme va encore plus loin et prône la pure destruction de peuples qui sont différents. On a vu, par exemple, qu’Adolf Hitler était un raciste compulsif, un grand malade qui vouait une haine féroce et destructrice à la quasi-totalité du genre humain et voulait détruire les juifs, les arabes, les noirs, les jaunes, les rouges, mais aussi les communistes, les francs-maçons, les Allemands qui n’étaient pas aryens grands blonds au yeux bleus, etc… Et à la fin, si on l’avait laissé faire (expérience intéressante… !), il se serait probablement retrouvé tout seul sur la Terre après avoir exterminé tous les êtres humains qui l’empêchaient de vivre. 
Et dans sa monstrueuse solitude, se regardant dans un miroir, il aurait bien dû admettre qu’il n’était pas un grand blond aux yeux bleus, mais un pauvre métèque au poil noir indigne de vivre sur cette Terre, comme il l’avait décidé pour les autres, et il aurait probablement mis fin à ses jours, mettant un terme à l’existence de l’humanité. Par chance, il a eu la bonne idée de le faire plus tôt, ce qui nous permet d’en parler aujourd’hui.

Ca, c’est du racisme. Avoir de la haine et vouloir soumettre, emprisonner, torturer ou tuer ceux qui ne sont pas tout à fait identiques à nous.
Mais le terme même de raciste demeure cependant impropre puisqu’il n’existe encore et toujours qu’une seule et unique race humaine.

Il y aurait notion de races si on pouvait différencier les noirs et les blancs, par exemple, par des différences et des incompatibilités génétiques majeures. Mais ce n’est pas le cas. Les noirs et les blancs (qui sont simplement des peuples ou des ethnies d’origines géographiques différentes) sont totalement compatibles sur le plan génétique et peuvent se reproduire entre eux et avoir de très beaux enfants totalement fonctionnels. Les noirs et les blancs vivent de la même façon et ont les mêmes besoins physiologiques et partagent une biologie totalement identique. Les petites différences d’aspect qui peuvent être remarquées ne sont pas des arguments à une remise en cause de leur similitude profonde.

Leurs plus grandes différences effectives sont purement culturelles. Et il est vrai que cela peut sembler les éloigner fortement les uns des autres et parfois être à l’origine de certaines incompréhensions. Mais cela n’a plus rien à voir avec leur nature biologique. Les cultures sont liées aux origines géographiques et aux ressources naturelles qu’offrent les lieux de vie de ces ethnies. On ne peut pas reprocher à un humain son origine géographique. On ne peut d’ailleurs rien lui reprocher si il se montre pacifique, ouvert et tolérant. Et la grande majorité des humains sur Terre le sont.

Mais les humains ont aussi inventé d’autres façons de se différencier et de s’opposer les uns aux autres dans d’éternelles voies de discorde et je veux parler des religions et des religieux qui les ont inventées et les font vivre pour le malheur de l’homme.

Les religions fondent leurs principes sur des notions totalement abstraites, indémontrables, invérifiables et complètement improbables. Sur ces grands principes définitivement acquis et imposés, ils entendent gouverner les hommes, leurs esprits et leurs vies. C’est l’aliénation mentale aux fins de soumission et d’exploitation totale.

Les religions sont toutes aussi dangereuses les unes que les autres. Excepté le bouddhisme, pourrait-on dire, qui ne prescrit pas la haine et la destruction de l’autre.
Mais on sait que l’histoire des religions juive, chrétienne et musulmane n’est qu’une grande succession de massacres, de destruction et d’exterminations qui n’en font rien de très pacifique ni tolérant ni bon pour l’humanité.
Il faut bien le dire, les religions rendent les hommes fous. Ou au moins une partie des humains.

Mais pour vivre au présent, il faut savoir laisser le passé où il est (néanmoins sans en oublier les leçons) et aller de l’avant. Se tourner vers l’avenir pour bâtir un monde meilleur et plus éclairé où le plus d’hommes auront la chance de vivre une vie la meilleure possible, sachant que la vie est toujours dure pour la plupart des gens et pour des raisons qui sont naturelles et innombrables. La vie n’est pas un long fleuve tranquille.

Alors, si aujourd’hui les grandes religions du monde se montrent en apparence plus calmes et plus pacifiques, il demeure cependant le cas de l’islam qui persiste à répandre à travers ses structures, son livre et ses discours un message qui n’est pas un message de paix. Je vous invite à ce propos à faire vos propres recherches dans ce domaine, car je ne souhaite pas écrire ici une encyclopédie sur l’islam. Internet vous permettra de découvrir tout ce que vous voulez savoir et à peu de frais. Le tout étant de faire une recherche ouverte et sans à priori.

En  effet, si on entend de tout côtés des musulmans et des pro musulmans (la gauche caviar, les socialistes de salons) répéter combien l’islam  est une religion de paix, d’amour et de tolérance, il ne faut peut-être pas s’en tenir à ce genre d’avis très optimiste, angélique et rassurant.
De plus en plus d’intellectuels occidentaux commencent à réaliser et prendre conscience que l’augmentation des populations de confession musulmane en Europe risque de poser problème.
De plus en plus d’intellectuels musulmans commencent aussi à réagir face aux dangers inhérents à cette religion qu’ils connaissent mieux que personne.
Des millions de musulmans quittent l’islam et préfèrent choisir une religion plus douce ou rester sans religion.
De nombreux hommes et femmes de pays soumis à des régimes islamiques fuient de plus en plus ces pays pour aller vivre dans des pays où règnent plus de liberté et de tolérance.

D’innombrables musulmans en France et en Europe, même s’ils sont attachés à leur religion et à ses traditions, sont satisfaits de notre conception laïque de la république et souhaitent que l’islam prenne enfin son virage de la modernité et se réforme en profondeur. Réforme impossible diront certains. Peut-être pas, avec le temps.

Mais que reproche-t-on à cette religion. N’est-elle pas une religion « comme les autres ? »
L’islam n’est pas comme le judaïsme ou le christianisme. Ces deux religions ont su s’adapter à leur époque, même avec des réticences, mais ont fait l’effort nécessaire.
L’islam n’a pas changé depuis 1400 ans, à l’époque ou Mahomet l’a inventé.
Depuis ce temps-là, Le Coran, la Sira, les Hadiths, la Sunna, etc… Ont eu des hauts et des bas. Mais au lieu de s’adoucir, l’islam est devenu de plus en plus dur et ses principes de plus en plus inhumains, tranchants et barbares.
Il n’y a qu’un seul et unique islam.
Et cet islam est le déni de tous les droits de l’homme sous la chape de plomb de la loi islamique.

Et il existe dans l’islam un grand principe selon lequel il est interdit de critiquer l’islam qui est la première et la seule vraie religion du monde et que le monde est obligé de se soumettre à l’islam et à sa loi. Les musulmans sont des hommes supérieurs aux hommes des autres religions et à tous les autres humains.

En effet, l’islam est une religion tellement pauvre intellectuellement que personne n’aurait l’idée de devenir musulman spontanément sans y être obligé.
L’islam n’existe que par le lavage de cerveau des enfants, l’oppression des masses et la peine de mort pour ceux qui veulent le quitter.
L’islam est vide intellectuellement et il n’apporte rien à personne, simple individu ou peuple. Il ne peut rien en sortir.

La plupart des gens lucides qui s’y sont intéressés sont à peu près d’accord sur le fait que l’islam est loin d’être une religion bénéfique à l’humain. Bien au contraire, elle contient la destruction de l’homme, comme un cancer qui évolue peu à peu. Ce n’est même pas une religion, c’est une secte qui prêche l’intolérance, la haine, la banalisation du meurtre, la mort des infidèles, la destruction de tout ce qui a trait aux autres religions, la mort du peuple juif et la destruction de l’état d’Isräel.

Voilà pourquoi l’islam réagit aussi vivement lorsqu’on en parle et qu’on le critique.
Cette fameuse « stigmatisation » des musulmans n’est qu’une invention des religieux. Le « racisme » n’est qu’un prétexte pour interdire toute discussion, tout débat, toute analyse et surtout toute critique de cette religion. 

Bref, ne touchez pas à l’islam et laissez nous préparer tranquillement notre islamisation de l’Europe et du monde.

Il existe un seuil de compatibilité et d'acceptation entre les cultures audelà duquel il ne peut plus y avoir de compréhension mutuelle, de respect, de fusion ou d'intégration.
Et ce seuil est largement atteint avec les parts de populations arabo-musulmanes qui refusent de s'intégrer à la France ou à l'Europe en respectant les traditions françaises et européennes. Alors, on peut dire que de fait ils admettent qu'ils n'ont pas leur place chez nous. C'est ça l'échec. C'est leur échec à eux, pas le nôtre.

Les musulmans font peut-être la loi dans leurs pays, mais il n'ont rien à dire en France ou en Europe, ni rien à exiger. Ils ont juste le droit de s'intégrer. En France et en Europe la liberté d'opinion et de paroles existent et il est normal de critiquer ce que nous estimons critiquable. Rien ne doit échapper à la critique, ni la politique, ni l'état, ni la société ni les religions. Nous critiquons tout et tout le monde, en restant respectueux dans les mots, et nous critiquons à l'envie les chrétiens, les juifs, les bouddhistes et les musulmans comme cela nous plaît. Il n'existe aucune force ni aucune intelligence ni aucune loi audessus de la liberté. Et si la liberté est menacée, alors nous savons ce que nous avons à faire, comme nous l'avons fait tout au long de l'histoire de nos nations.

Et en terme de critique, il serait urgent de se pencher sur les écoles coraniques ou madrassas qui sont des écoles privées, cachées, où un enseignement plus que douteux est fait à des enfants par des personnes douteuses sans aucun contrôle de l'autorité de l'éducation nationale. L'enseignement de la religion n'a pas à être dissimulé si il est honnête. Le contenu de l'enseignement coranique est empreint de prescriptions qui sont des atteintes à la liberté de pensée et à toutes nos libertés. 
L'enseignement coranique doit être étroitement encadré par l'éducation nationale ou purement et simplement interdit à des enfants mineurs. Ces écoles doivent être fermées et interdites.

Alors, plus que jamais, parlons-en, critiquons et stigmatisons… !!

En parlant de racisme (à sens unique)…

On n’a jamais vu le MRAP dénoncer par exemple le racisme anti-blancs, ou les persécutions de chrétiens, de juifs, d’apostats et d’incroyants en terre d’islam.

(Riposte laïque : http://ripostelaique.com/Les-disciples-de-Mouloud-Aounit.html )



***

En terme de civilisation

Une société civilisée, outre qu’elle n’est pas militarisée ( ! ) est une société dont l’organisation et la loi sont faites pour assurer la paix, la sécurité et favoriser ainsi l’épanouissement et la prospérité de la vie de chaque membre de cette société et donc de la société tout entière.

Certaines sociétés sont même considérées comme ayant atteint un haut degré de civilisation parce qu’elles prennent aussi en considération le respect de certaines catégories de personnes comme les prisonniers et font en sorte que ceux-ci soient respectés dans leurs droits jusque dans les conditions extrêmes de leur environnement carcéral, ce qui est rarement le cas, même en France.

Mais une société dite civilisée prend au minimum en compte et fait respecter les droits naturels et fondamentaux de tous ses citoyens, hommes, femmes, enfants, vieillards, malades, handicapés, etc…

Nos société occidentales ne sont pas parfaites mais elles font tout de même ce quelle peuvent en la matière, dans le cadre de la démocratie, de la laïcité et de la déclaration des droits de l’homme.

Nos institutions et nos lois précisent les droits des uns et des autres à vivre de sorte que chacun puisse à travers ses études, son travail, sa vie familiale et les autres activités qu’il a choisies, parvenir à un certain bonheur ou au moins à ne pas vivre une vie de malheur, de souffrance, de persécutions et de peur.

Qu’en est-il de la vie dans les sociétés islamisées ?
En fait, elles ne répondent en rien à ce que nous appelons des sociétés civilisées.

On n’y trouve aucune des libertés qui sont les nôtres (pensée, opinions, expression, croyance religieuse, instruction, éducation, enseignement, politique, circulation, voyages, arts, sports, loisirs, justice, paix, liberté, égalité, solidarité, sécurité, santé publique, droits des femmes, droits des enfants, droits des malades et des handicapés, droit de la famille, etc…

Dans ces conditions, comment peut-on croire que l’islam ait quoi que ce soit de bon à apporter à l’humanité? L’islam n’est pas une civilisation.


Liens

L'échec du multiculturalisme en France et en Europe: 

Lettre ouverte aux musulmans de France et du monde: 

Analyse: les vrais musulmans n'ont pas d'honneur:

Magdi Sami Zaki: Islamisation... 

(Né au Caire (Égypte) en 1944. Assistant à la Faculté de Droit du Caire (1963-1966), émigré en France à la fin de 1966, docteur en droit de l’Université Paris II en 1975, a enseigné à la Faculté de Droit de Rabat (Maroc) dans le cadre de la Coopération franco-marocaine, puis dans les Universités d’Orléans et de Dijon. Depuis 1987, il enseigne à la l’Université Paris X au Doctorat « Philosophie du droit, commerce international et droit privé ». Auteur de Histoire des coptes d’Égypte, éd. de Paris, 2005 et de Dhimmitude ou l’oppression des coptes d’Égypte, à paraître chez L’Harmattan.)


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