mercredi 7 novembre 2018

Davet et Lhomme, Inch' Allah


Gérard Davet et Fabrice Lhomme – qui ont grandi en banlieue – ont été choqués par les résultats de l’enquête sur la Seine-Saint-Denis qu’ils ont dirigée. Leur livre Inch’allah décrit par le menu l’islamisation de la société qui gangrène ce département aujourd’hui majoritairement musulman. S’ils se défendent du moindre angélisme, les deux compères relativisent encore les liens étroits qu’entretiennent islamisme et djihadisme. Certains leur reprochent de dire des banalités, mais quand on travaille au quartier général de la bien-pensance médiatique, il faut du courage pour dire ces banalités-là.

Lire l'article Islamisation : deux journalistes du « Monde » ne devraient pas dire ça (Causeur)




Islamisation : deux journalistes du « Monde » ne devraient pas dire ça
Leur livre "Inch’allah" décrit l’islamisation de la Seine-Saint-Denis
 - 7 novembre 2018
Gérard Davet et Fabrice L'homme. Photo : Hannah Assouline.

Gérard Davet et Fabrice Lhomme – qui ont grandi en banlieue – ont été choqués par les résultats de l’enquête sur la Seine-Saint-Denis qu’ils ont dirigée. Leur livre Inch’allah décrit par le menu l’islamisation de la société qui gangrène ce département aujourd’hui majoritairement musulman. S’ils se défendent du moindre angélisme, les deux compères relativisent encore les liens étroits qu’entretiennent islamisme et djihadisme. Certains leur reprochent de dire des banalités, mais quand on travaille au quartier général de la bienpensance médiatique, il faut du courage pour dire ces banalités-là.

Causeur. À la lecture de votre livre Inch’Allah : l’islamisation à visage découvert, on a l’impression que vous découvrez la lune. Depuis Les Territoires perdus de la République (2002), on ne compte plus les livres, les enquêtes et les lanceurs d’alerte qui décrivent et dénoncent l’islamisation du pays. Il a fallu que François Hollande exprime devant vous ses profondes inquiétudes sur la question pour que vous découvriez le problème !

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Fabrice Lhomme. D’abord, ne nous assimilez pas à l’ensemble de la presse française ! En fait, Hollande a été le déclencheur de notre enquête. Nous nous sommes dit que si même le président de la République, de surcroît un homme de gauche, réputé pour sa modération, voyait dans l’islamisation un problème très important, c’est qu’il devait y avoir un sujet. Mais à vrai dire, on le voyait déjà monter depuis des années. Les remontées venant de connaissances ou de sources (policiers, magistrats, préfets…) révélaient une islamisation préoccupante, notamment en banlieue parisienne.

Nous ne vous assimilons pas à l’ensemble de la presse française, nous pensons que le journal pour lequel vous travaillez a été à la pointe du déni ! Le Monde a consacré il y a deux ans (31 octobre 2016) un portrait élogieux au fondateur du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui se répand dès qu’il le peut sur le racisme d’État et autres sornettes. Et le même journal diabolise Georges Bensoussan, le coordinateur des Territoires perdus de la République, au prétexte qu’il observe l’existence d’un antisémitisme arabo-musulman…
Gérard Davet. D’abord, c’est votre droit de critiquer notre journal, et notre devoir de le défendre ! Surtout, Fabrice et moi sommes des reporters dont les enquêtes ne sont absolument – et volontairement – pas idéologisées. Ce livre ne dévoile pas un Watergate et ne prétend rien révolutionner. C’est d’abord un projet pédagogique, puis une enquête réalisée par cinq jeunes journalistes que nous avons encadrés. Il met au jour des éléments, connus pour certains, mais avec aussi nombre de révélations. Les journalistes qui sont allés sur le terrain n’ont rapporté que des faits. Alors, peut-être en effet y sommes-nous allés trop tard, peut-être que le journalisme dit d’ « investigation » aurait dû s’intéresser aux territoires supposés perdus… Résultat, on a laissé le terrain à des idéologues au détriment de journalistes se limitant aux faits et s’abstenant de toute interprétation.

Mais l’interprétation fait partie des missions du journalisme. Et Les Territoires perdus de la République, publié en 2002, est une compilation de témoignages de professeurs qui n’ont rien d’idéologique. En réalité, c’est votre idéologie qui vous a empêché de voir et d’entendre !
Fabrice Lhomme. Encore une fois, nous réfutons toute approche idéologique. Par ailleurs, je vous rappelle que Gérard et moi sommes des journalistes spécialisés dans les affaires politico-f
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G : 2002 : " Les territoires perdus de la République " Témoignages de professeurs. Des idéologues ?
2004 : Rapport Obin pour l'Education nationale . Encore des idéologues ?
2004 : Cet article de l'Express par exemple 
https://www.lexpress.fr/act... Encore des idéologues ?
2016 : article de Paris-Match 
https://www.parismatch.com/... Tous des idéologues alors ?

Messieurs, vous êtes vraiment aveugles et, comme le dit E.L, c'est vous qui étiez en pleine idéologie ! Et vous l'êtes toujours, vous avez un dernier sursaut, une dernière tentative de déni :
" Le problème est d’abord social avant d’être religieux. "

« A l'hiver 1998, des jeunes salafistes de la cité des Aunettes, à Evry, se mettent à fréquenter la mosquée de la ville. Ils entraînent dans leur sillage des «frères» de Sartrouville, de Poissy et de Stains. Six ans plus tard, la mosquée accueille 150 fidèles, en majorité salafistes. «Les vieux ouvriers marocains et algériens qui géraient la salle de prière n'ont eu d'autre choix que de leur laisser la place», raconte un musulman de la région. Ailleurs aussi, des lieux de prière ont subi la même OPA islamiste, telles la mosquée d'Ecquevilly ou celle de Stains, outre certaines en province. »

"Abdullah el-Boukhri, Sali al-Zubaydi et Mohammed Bazmoul ont ainsi réuni en juillet 2001 plus de mille jeunes à la mosquée d'Aulnay-sous-Bois. Leur but? Recruter les jeunes fidèles aptes à suivre des études théologiques en Arabie saoudite.
Plus de 80 garçons ont posé leur candidature pour décrocher une bourse», se souvient-il. Un prosélytisme d'autant plus gênant qu' «à leur retour, souligne un responsable des RG d'Ile-de-France, ces jeunes musulmans deviennent des référents: ils structurent la communauté salafiste locale, organisent les vidéoconférences avec l'Arabie saoudite, la Jordanie ou l'Algérie, cooptent les nouveaux convertis...»

«Sur le marché de l'identité, le beur laïque du type Malek Boutih est aujourd'hui très critiqué, explique le sociologue Samir Amghar. Le modèle du jeune voyou «caillera», traqué par la police, a perdu de son lustre. Il ne reste plus que le musulman inséré dans la grande famille de l'oumma, la communauté des croyants dans le monde.»
Faits relatés en 2004, dans l'article de l'Express ci-dessus !

FA : "" Le problème est d’abord social avant d’être religieux. "
C'est pourtant évident, expliquant pourquoi ce sont les jeunes de 2ème et 3ème génération qui se radicalisent pour avoir raté leurs études ou/et ne pas trouver de boulot. Les jeunes intégrés ou s'assimilant ne se radicalisent pas.
J'aurais imaginé qu'une ex enseignante de votre niveau, en général plutôt sage et pondérée, l'aurait compris.

G : Les imams salafistes sont arrivés dans les banlieues à la fin des années 80 et au début des années 90. C'est ce qui est noté dans l'article de l'express. C'est ce qu'avait déjà constaté Mohamed Arkoun qui avait fait un long rapport à Mitterrand sur ce problème à l'époque. C'est ce qui explique pourquoi la première génération n'était pas radicalisée : il n'y avait pas encore d'imams radicalisés à l'époque ! Ils ne pouvaient pas l'être... C'est pourtant évident ! :-)
Alors que le chômage lui, existait avant : il n'est pas tombé en dessous de 7 % depuis le début des années 80.
Et, si vous voulez mon avis, les premières générations avaient nettement plus de problèmes sociaux que les suivantes. Vous avez entendu parler des bidonvilles où on les parquaient, notamment celui de Nanterre occupés principalement par des Algériens ? Vous croyez qu'ils étaient intégrés ces gens- là ?


Et le racisme et les discriminations étaient bien plus fréquents à l'époque. A l'époque oui, on entendait parler de ratonnades . Alors, si votre explication était la bonne cette première génération aurait dû être totalement radicalisée. Curieux non ?
Enfin qu'y-a-t'il de "non pondéré " à constater que c'est un problème religieux ? Vous affirmez bien que l'Eglise est responsable de tel ou tel problème, on ne vous traite pas d'extrémiste pour autant... Je ne nie pas par ailleurs que les conditions sociales puissent jouer mais elles ne sont pas premières. La cause première c'est le prosélytisme de l'Arabie Saoudite et autres pays où le salafisme est développé.

AL : " Le vrai sujet, c’est que la gauche – au sens large – politique, et souvent journalistique, a refusé de se saisir de cette thématique,"

Le vrai-vrai sujet, en amont de celui que citent ici les auteurs du livre, c'est que si EUX, les journalistes, les médias "de gauche", s'étaient saisis de cette thématique et l'avaient exposée sur le devant de la scène il y a 10 ans, 15 ans ou plus, "la gauche" n'aurait pas pu continuer aussi longtemps qu'elle l'a fait de refuser de s'en saisir.

A chacun son travail ! Si Le Monde, en l'occurrence, n'avait pas ignoré ou même nié le problème, tous nos politiques n'auraient pu faire autrement que de s'en saisir.

Et ce communautarisme islamique n'aurait pas, non plus, pris les silences du Monde et de la gauche comme autant de soutiens et d'encouragements à poursuivre et à se renforcer.

La honte soit sur Le Monde ! Dont ces deux journalistes, aujourd'hui, semblent vouloir excuser le silence et les prises de position totalement idéologiques et niant la réalité depuis des années !

PL : Je me suis désabonné du Monde que je lisais depuis plus de trente ans, précisément du fait de son aveuglement qui revenait à faire jouer à ce journal le rôle d'idiot utile de l'islamisation de la société française. Pourtant le courreir des lecteurs était abondamment critique vis à vis de la ligne du journal. Compte tenu de l'importance du Monde dans l'histoire de la presse française et de sa notoriété de "journal de référence", la chose était inacceptable. Les journalistes du Monde découvrent aujourd'hui la lune. Jusqu'alors, ils regardaient le doigt et traitaient d'imbécile (ou plus) ceux qui avaient les yeux ouverts. Ils ont encore du chemin à faire pour oser dire toute la vérité et en tirer des conclusions courageuses, mais tout le mal qui a été fait depuis deux décennies est malheureusement irréparable. La situation de Seine-Saint-Denis se retrouve ailleurs, dans d'autres villes et quartiers, même dans les plus petites villes de province. A Mazamet, dans le Tarn, près de mon hameau de montagne, on croise de plus en plus fréquemment des jeunes femmes voilées, souvent des converties, qui portent le niqab, chose impensable il y a encore quelques années. Comme d'ailleurs le trafic de drogue qui se déroule quasiment au vu et au su de chacun dans certains endroits de la ville et dont on sait ce (et ceux) qu'il alimente. Bref, l'affrontement devient inévitable à brève échéance.

Allah queue leuleu
Ces deux personnages de bande dessinée ont très sérieusement réinventé... la recette de l'eau chaude. Aucun raison de leur être reconnaissant de quoi que ce soit. Bon et maintenant il se passe quoi ? Sachant qu'à moins de se soumettre, ou de miser sur un contexte géopolitique bien plus large que la seule France, genre crise européenne majeure "syndrome années 30" qui rabattrait les cartes (ce qui n'est à l'ordre du jour)... la tendance actuelle se poursuivra inexorablement du fait de toute les entraves qui empêchent de recourir à l'ordre et à l'autorité (droits de l'Homme, Etat de droit, démocratie...). Des bienfaits qui ont fait le bonheur de l'Europe d'après-guerre, assurément et on s'en réjouit, mais dont l'abus liberticide fait courir aujourd'hui de grands, très grands dangers. Bien que ? De nos jours avec les super-tankers et les cargos gigantesques, ont embarque bien plus de monde qu'on ne pouvait en ranger sur l'un de ces navires sur lesquels nos amis pieds noirs ont embarqué en moins de temps qu'il faut pour le dire.

doucefrance :
"Une libraire du Bourget, qui nous a contactés après la sortie du livre pour nous reprocher de découvrir l’eau chaude, nous raconte qu’elle a dû fermer et partir à cause de la pression islamiste." MDR ..... Cette libraire se nomme Marie Neige Sardin . L'histoire de cette personne a été révélée en 2008 par un média honni qui lui a ouvert ses lignes :
"Je suis libraire au Bourget (93), et voilà ce que je subis depuis 2004" Publié le 18 novembre 2008 - par Marie-Neige Sardin ".
En 2011, valeurs actuelles , média qui donne des nausées à "le Monde", publie une interview :
https://www.valeursactuelle...
suivi en 2014 de :
https://www.valeursactuelle...
en 2012 une bonne nouvelle mais très relative vu la suite :
-http://www.leparisien.fr/es...
le 24 avril 2014 Marie Neige écrit sur le forum au féminin.com :
https://societe.aufeminin.c...
Rien ne lui a été épargné , en sus des agressions , insultes, accusation de racisme, de mythomanie , de mensonge, une justice volontairement sourde et aveugle qui lui porte les derniers coups et des médias au mieux muets durant des années.
Messieurs Davet et l'Homme oseraient -il prétendre qu'il ne connaissaient pas l'histoire de M N Sardin avant son appel, alors que cette affaire a finalement été médiatisé bien trop tard certes mais, mieux vaut tard que jamais ...!, ou .... y aurait il des lignes compromettantes avec des mots de moins en moins à la mode sur cette affaire dans les colonnes du "le Monde" ?, journal de référence ..... mais laquelle ??

pol121
Il faut aussi saluer Ivan Rioufol du Figaro, qui avait à plusieurs reprises alerté sur la situation dramatique de Marie-Neige Sardin.

pol121
Eh oui force est de reconnaître que grâce à Riposte Laïque, nous fûmes informés des déboires de Marie-Neige Sardin dès 2008: j'étais allée lui faire une petit visite de soutien au Bourget avant qu'elle ne ferme boutique. Son témoignage était glaçant. C'était donc il y a 10 ans.

Encore grâce à Riposte Laïque, depuis 2013, soit depuis 5 ans, nous savons ce qui ce passe à la RATP, à travers le témoignage courageux de Ghislaine Dumesnil: https://ripostelaique.com/j...

Extrait: "Depuis 2013 que je dénonce l’islamisation de la RATP, nous savions qu’il y avait déjà le ramadan qui pourrit le service public et qui met en danger la vie d’autrui. Qu’il y avait les marques de salut imposées aux femmes, le refus de travailler avec elles. Qu’il y avait les prières dans les locaux, les ablutions et les rituels divers et variés les plus dégoûtants. Qu’il y avait les salam aleikoum à la cantonade, la disparition de la langue française au profit de l’arabe. Que nous avions perdu des dépôts laïques au profit de la charia… et tant de choses encore qui ont rendu impossible de travailler dans des conditions normales."

Mais bien sûr Riposte Laïque, c'est des méchants, c'est l'extrêême droooaate, c'est facho, c'est islamophobe, bref c'est pas bien du tout.

nostalgia
Moi, cela me file des boutons.
Je suis arrivé à une attitude d'évitement.
Je ne peux plus écouter ni regarder certaines chaines.
C'est trop pénible

PaP
Je boycotte également, notamment tout ce qui commence ou se termine par France. Jamais je n'aurais cru vivre cela en France : se méfier des chaines et des radios publiques qui lavent et reprogramment les cerveaux.

L'exsudé fiscal
Pour la piqure de rappel, faites vous une gourmandise en écoutant les infos sur France-culture. C'est le top de la désinformation de la bienpensance. Rien ne les arrête, même pas le ridicule !

PaP
Le pire c'est qu'ils ne pensent pas un seul instant être ridicules. Il sont persuadés au contraire d'être des têtes pensantes devant à tout prix expliquer aux pauvres peuple analphabète comment penser !
Un jour une de mes collègue, de la génération mai 68 (mais qui ne l'a pas fait des fois ce que soit dangereux !!!) et qui écoute France Inter pour savoir comment penser, a essayé de me rééduquer parce que je lui disais que les pédophiles ne devaient pas être remis en liberté avant d'être absolument surs qu'ils ne sont plus un danger pour les enfants (ce dont je doute sérieusement). Elle m'a expliqué que ces pauvres hommes avaient payé leur dette à la société, etc.... Je lui ai alors demandé comment elle réagirais si ce brave homme qui a payé sa dette à la société rencontrait l'un de ses petits enfants. Elle est devenue toute blanche et j'ai cru qu'elle allait s'évanouir (la confrontation avec le réel). En fait, France Inter ne lui avait jamais dit que cela pouvait arriver à tous les enfants !

Jrafe
J'espère que ces journalistes d'investigation non idéologues iront s'aventurer en dehors du 93. Car nous retrouvons ce problème dans tous les villes de France, grandes, moyennes et même petites. Allez à Troyes, Reims, Avallon, Amiens, Besançon, Vannes, Avignon, Etampes, Bron, .....
Le nombre constitue la plus grande contrainte à l'assimilation. C'est aussi ce qui attire les imams et leur permet de prendre le pouvoir.
Donc radicaux ou pas, intégrés ou pas, respectueux de la république ou pas, on a un très gros problème.

gattonero
"J'espère que ces journalistes d'investigation non idéologues iront s'aventurer en dehors du 93"
Ils n'y sont même pas allé eux mêmes,ils ont envoyé des étudiants faire leur boulot et à la fin ils ramassent la thune.Pas con comme système.
Courageux mais pas téméraires les Davet et Lhomme.

Kély21
Oui, tout à fait vrai! Il est plus facile et sans danger de passer des heures et des heures dans un salon feutré à interviewer un président de la République qui ne passera pas les 5 ans, que d'aller sur le terrain salafiste/intégriste, le vrai, celui que l'on va dénoncer par écrit!

Kély21
La question que je me pose à la lecture de cet interview et des précédents (radio, télé...), c'est finalement à qui est destiné ce livre?
- Les citoyens français lambda? sont déjà au courant (ils le vivent H24).
- Nos femmes et hommes politiques? savent aussi, puisqu'ils décident soit, qu'il est urgent de ne rien faire, soit encouragent le phénomène à des fins électorales, et cela, depuis des décennies.
- Les musulmans dits "modérés"? qui suivent et suivront de toute façon les textes inscrits dans leur coran.
- Les journalistes? qui s'obstinent à rester dans le camp de "la bienpensance" au prétexte que le RN pourrait arriver au pouvoir.
- Les intellectuels, philosophes, écrivains, essayistes...? qui ont déjà choisi leur idéologie.
Donc, je réitère à qui est-il adressé? Et à quoi va t'il servir?

doucefrance :
A faire croire au peuple que ....."'Je vous ai COMPRIS" , nécessaire pour les européennes, lorsque l'on sent le RN au ras du "froc".

Kély21
Ok, c'est vrai en partie, mais, je l'ai écrit, le peuple est déjà au courant depuis fort longtemps, et le "je vous ai compris", ne fonctionne plus, on le voit dans la montée du RN,toujours plus croissante, à chaque élection.
Donc, si c'est à visée citoyenne, c'est un coup d'épée dans l'eau.

Chr martel
à nous préparer à une partition territoriale du pays. encore faudra t'il le faire accepter? et ce n'est pas gagné car pour une très large majorité de français ( dont moi) se serait un véritable casus belli

Lisa
Et dans ce cas, les minorités de chaque territoire sont déplacées dans l'autre ?

Luke Lucky
Oui, évidemment. Cela s'appelle nettoyage ethnique aujourd'hui. Mais ça n'a rien de nouveau. En 1923, après la guerre gréco-turque, le traité de Lausanne impose le " déménagement" de 1.600.000 grecs chrétiens de l'empire ottoman vers la Grèce, et inversément de 385.000 turcs musulmans de Grèce vers la Turquie. Cela pourrait nous inspirer, cette histoire de "back home", parce qu'une partie des Français n'acceptera jamais qu'on ampute la France d'une partie de son territoire... D'autant moins que les Français ont, eux, évacué bon gré mal gré les terres musulmanes...
Il n'y a que deux solutions durables à la sécession volontaire d'une partie des musulmans : l'assimilation ou la remigration, volontaire ou forcée. La sécession ne peut que mener à la guerre. Et comme ils croient pouvoir la gagner, elle me semble inévitable.

pp : un bon musulman se doit d'obéir aux préceptes coraniques:

LE CORAN EST IL REFORMABLE,
Sourate 10 Verset 16 ce n’est pas à moi de le changer de ma propre autorité, je ne fais que suivre ce qui m’est révélé (donc irréformable)
39:29 le coran, un livre récité en arabe, langue claire et éloquente et sans tortuosité afin qu’ils deviennent pieux (donc ininterprétable)

15:92 nous enverrons le chatiment sur ceux qui diviseront le coran en morceaux

CORAN ASSASSIN

4:90 ne prenez pas d'amis parmi les mécréants, s'ils tournent le dos, tuez les

4:34 ceux qui feront la guerre à Allah seront tués ou crucifiés ou amputés (daech l'a appliqué)

8: 15 pour les mécréants il y a le châtiment du feu (pilote jordanien brulé vif dans une cage)
8: 18 aussi ça n’est pas vous qui les avez tué mais Allah (auto absolution a priori)

LE CORAN ET LES FEMMES

2 : 229 les femmes ont des droits semblables à ceux des hommes mais les hommes ont un degré de prééminence sur elles

4:35 quand à celles dont vous craignez la désobéissance, chatiez les4 : 177 un homme aura en héritage autant que la part de deux femmes
33
: 60 dis à tes épouses et à tes filles et aux femmes des croyants
qu’elles doivent ramener sur elles une parte de leurs vêtements
extérieurs de la tête par-dessus le visage; il est plus probable
qu’elles puissent ainsi être distinguées et ne soient pas importunées
CORAN SADIQUE
14:17 et 18 il boira l'eau purulente à petites gorgées, contre son gré
14:51 leurs vêtement seront de goudron et le feu enveloppera leurs visages
18 : 30 les injustes seront abreuvés d'une eau telle le cuivre fondu qui leur brulera le visage
22:20 des vêtement de feu seront taillés pour les mécréants, et de l'eau bouillante sera versée sur leurs têtes
24:3 l'adultère fouettez la de 200 coups de fouet et qu'un groupe de croyants assiste à la punition

ms
le malaise ..l'invasion..le péril..islamique doit être énorme et proche pour que le "Monde" s'en inquiété. enfin !!.mais il est bien tard..trop tard..Il y'a Saint Denis..il y'a la banlieue Lyonnaise qui est bien pire..mais chuttt...les socialo et communistes veillent au grain ..il y a Marseille..il y'a Nice...et bien d'autres villes gangrainées pourries jusqu’à la moelle par les barbus et leurs moukères voilées...résultat du laisser faire a la française ..remercions ces politiques le froc aux genoux...qui nous rassurent en martelant "pas d'amalgame" et bien si amalgamons car l'islam c'est une seule et même religion..y' a pas les modérés et les autres ....et son seul objectif et le renversement de notre civilisation point barre !

orldiabolo
Fabrice Lhomme dit "Personnellement, je crois l’islam soluble dans la République. Je connais nombre de musulmans parfaitement intégrés en France, et qui sont les premiers contempteurs de ces dérives islamistes." Tout le monde en connait, certes, mais quand des islamistes viendront expliquer à ces "parfaits intégrés" qu'ils feraient mieux de les suivre s'ils ne veulent pas que leurs gosses aient un accident, êtes-vous sûrs qu'ils se draperont majoritairement dans le drapeau des valeurs de la république ? À la fin des années 30, les Allemands -peuple d'une grande culture- ne demandaient qu'à vivre tranquillement. Et à la fin des années 50, les musulmans d'Algérie aussi. Il n'a suffit que d'un peu de... persuasion pour les faire tomber du côté où les minorités agissantes le voulaient...

Rattachiste
Ils croient que l'Islam est soluble dans la République. Tout est dit. Ils voient certes les choses mais ne comprennent pas ce qu'ils voient. En cela, un journaliste du Monde est incurable.

La posture du déni complet, désormais intenable, va être remplacée, par le "il ne faut pas dramatiser", un "Islam de France" va voir le jour, "Je ne le nie pas mais le phénomène reste quand même très circonscrit" "Il faut plus d'intégration".et autres fadaises relativistes.

Ce bouquin n'est rien, je viens d'en terminer la lecture et il ne donne même pas à penser.

La guerre civile approche et le livre de ces messieurs est un autre "trop peu, trop tard".

La vraie question est celle de savoir comment déraciner l'Islam en France et arrêter le séparatisme en cours. Le reste n'est que verbiage pendant que grignotent les Salafistes et autres.

Échecs du vivre-ensemble: on en demande trop à l’école
Iannis Roder, lance l'alerte: ce n'est pas aux seuls profs de soigner les fractures sociales
 - 22 octobre 2018

Seize ans après avoir tiré la sonnette d’alarme dans Les Territoires perdus de la République, le professeur d’histoire en Seine-Saint-Denis Iannis Roder signe un ouvrage personnel, Allons z’enfants… Au-delà du diagnostic sur les banlieues, une lueur d’espoir pour la génération post-Charlie.

« Les crises de l’enseignement ne sont pas des crises de l’enseignement, ce sont des crises de la vie. » On est porté à avoir un bon a priori quand un livre qui parle d’éducation met en exergue une citation de Charles Péguy, grand penseur, entre autres, de l’idée républicaine et de l’école républicaine. On a tendance à avoir un a priori encore meilleur quand ce livre est écrit par Iannis Roder, l’un des co-auteurs des Territoires perdus de la République, publié il y a seize ans, sous la direction d’Emmanuel Brenner, nom d’emprunt choisi par l’historien Georges Bensoussan.

2002, année névrotique
Retour en arrière. Le 21 avril 2002, Jean-Marie Le Pen accède au second tour de l’élection présidentielle face à Jacques Chirac. Le 11 mai, la Marseillaise est sifflée lors de la finale de la Coupe de France de football. Le 5 novembre sort en librairie l’ouvrage de l’universitaire Daniel Lindenberg, Le Rappel à l’ordre : Enquête sur les nouveaux réactionnaires, dressant une liste d’intellectuels accusés de représenter en France le nouveau pouvoir des réactionnaires. Les trois événements ne sont pas sans relation. L’irruption de Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l’élection de 2002 traduisait la défiance d’une part grandissante de l’électorat vis-à-vis des vieux partis de gouvernement. Les sifflets du 11 mai traduisaient la défiance grandissante d’une partie de la population – notamment celle des quartiers dits « défavorisés » vis-à-vis des valeurs de la société et de la République française. Le livre de Lindenberg traduisait la défiance grandissante d’une partie des universitaires français vis-à-vis du principe de réalité. La même année, en septembre 2002, le collectif Les territoires perdus de la République, auquel participa Iannis Roder, tentait d’alerter l’opinion sur la situation à laquelle les enseignants des « quartiers difficiles » pouvaient être confrontés au jour le jour, en particulier la montée en puissance du communautarisme et de l’antisémitisme. Il n’est rien de dire que l’appel fut peu entendu. Le fait même que Georges Bensoussan ait préféré diriger et publier son ouvrage sous un pseudonyme en disait déjà long sur l’esprit de l’époque.
Des sifflets aux attentats
Seize ans plus tard, les choses n’ont pas vraiment changé. L’électorat manifeste toujours plus fortement sa défiance vis-à-vis de la classe politique en accordant des scores de plus en plus importants au Front national, les représentants des « territoires perdus » ne se contentent plus de siffler la Marseillaise pour exprimer leur défiance vis-à-vis des valeurs républicaines mais choisissent désormais la voie des armes, et une partie de l’intelligentsia a fait de la défiance vis-à-vis du réel un art de vivre plus qu’une méthodologie. Il a fallu les attentats de janvier et novembre 2015 pour qu’une certaine prise de conscience apparaisse mais elle est dramatiquement tardive. « En janvier 2015, si surprise il y avait, écrit Iannis Roder, elle était le fait de ceux qui n’avaient pas voulu entendre, pas voulu écouter ce que les professeurs, entre autres, dénonçaient depuis des années. »
Seize ans après Les Territoires perdus, Iannis Roder fait à nouveau le point de la situation dans son dernier ouvrage, Allons z’enfants… La République vous appelle, s’appuyant largement sur son expérience de professeur d’histoire-géographie enseignant depuis vingt ans dans un collège de Saint-Denis. Par choix, par conviction. « Au risque de paraître prétentieux, je suis resté parce que je me sentais utile et parce que mes élèves me le disaient. » Si l’expérience relatée est passionnante, au fil des portraits et récits égrenés dans l’ouvrage, elle brosse aussi un tableau pas toujours rassurant de l’état du système scolaire français et de sa capacité à fédérer une population et un public scolaire difficiles, partageant de plus en plus massivement « une vision du monde des plus inquiétante ».
L’école, un investissement d’avenir
L’école républicaine est probablement la première victime des échecs du vivre-ensemble. Une école, nous dit Iannis Roder, « mise en première ligne », à laquelle, à travers ses enseignants, on demande beaucoup et toujours plus, surtout en ces temps de menace terroriste et de djihadisme rampant. Ceux qui témoignaient de l’antisémitisme et du complotisme qui se développaient après les attentats du 11 septembre 2001 passaient déjà pour de funestes Cassandre mais la tâche ne semble pas plus aisée aujourd’hui pour les « lanceurs d’alerte », comme en témoigne le procès intenté à Georges Bensoussan il y a quelques mois, à l’initiative duquel on trouve le CCIF ou le MRAP et aussi, assez tristement, la Ligue des Droits de l’Homme, qui naguère défendit pourtant un certain Dreyfus. Tandis qu’on fait un procès à ceux qui avertirent en leur temps de la catastrophe qui venait, on continue à exiger de l’école qu’elle fasse tout pour remédier aux maux d’un pays schizophrène.
Dans Allons z’enfants, Iannis Roder montre qu’il y croit encore, détaillant les initiatives, les discussions, les confrontations à travers lesquelles il tente de tirer vers le haut des élèves que tout quelquefois semble entraîner vers le bas. La conclusion de son ouvrage reste à ce titre positive : « Il faut espérer, dit-il, que, tous les ans, il y ait des milliers de M. Germain, l’instituteur d’Albert Camus pour permettre à l’école de continuer à survivre, pour que la société, à travers elle, survive elle aussi. Car l’école, écrit-il encore, est le seul lieu où certains élèves vont entendre qu’il y a d’autres manières d’envisager le monde que celle qui a cours chez eux ; elle est parfois le seul endroit où ils peuvent encore rencontrer des gens qui ne pensent pas comme eux et n’ont pas les même représentations. » Un précieux privilège, plus menacé que jamais.

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