mardi 30 juillet 2019

Comment Trump mène le combat pour reprendre les zone de non-droit

Dans un article récent, j'avais évoqué cette histoire de Baltimore, de sa criminalité affolante, de la pression que met Trump sur le maire démocrate (noir) Elijah Cummings qui apparemment réussit l'exploit d'être aussi nullissime qu'Anne Hidalgo (Paris), Sadiq Khan (Londres), Éric Piolle (Grenoble), Johanna Roland (Nantes), Nathalie Appéré (Rennes) et tant d'autres. 
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Ces maires ont comme points communs d'aimer l'immigration de masse, le multiculturalisme, l'islam, le gauchisme, l'écologisme hystérique, bref que des choses qui transforment en moins de vingt ans un endroit paisible, prospère, à forte cohésion sociale en véritable enfer à vivre caractérisé par une forte taxation, un fort endettement, une forte insécurité, un appauvrissement et une très mauvaise ambiance.

Je vais ici relayer tous les tweets de Donald Trump portant sur cette question ainsi que des commentaires qui apportent un éclairage supplémentaire. Face à la propagande massive de dénigrement et de calomnie opéré par les médias américains et français pour abattre Trump, il faut en effet tenter de rétablir la vérité du mieux que nous pouvons. Car même si Trump représente les intérêts américains qui sont parfois contraires aux intérêts français, il représente aussi le combat face aux multinationales, aux lobbies, aux politiques corrompus, aux médias mensongers qui veulent servent des intérêts différents de la nation et du peuple.

Comme Orban, Salvini ou Poutine, Trump est un paradigme d'homme politique patriote capable de rassembler et de redresser une nation. Il est un modèle à comprendre et à imiter pour le candidat hors-système qui voudra devenir président patriote en 2022 et renverser 50 ans de politique anti-française de la part de la gauche, de l'extrême-gauche et de la droite. Notez d'ores et déjà les noms de Guy Millière et Jean-Patrick Grumberg, qui à eux deux offrent plus d'infos sur la politique américaine que tous les médias français réunis.

L'immigration illégale

L'immigration illégale est un des axes majeurs de la campagne de Trump de 2016. Contre le terrorisme islamiste, la criminalité des trafiquants de drogue et des gangs hispaniques, Trump s'était engager à construire un Mur sur toute la frontière sud avec le Mexique et à passer des accords avec les pays d'origine des clandestins. 

Jeudi 26 juillet 2019, Trump annonce la signature d'un accord avec le Guatemala pour détruire le commerce des passeurs, procurer de la sécurité pour les demandeurs d'asile légitimes et permettre le renvoi rapide et groupé de clandestins non désirés sans perdre de temps avec de la paperasse. 


Donald Trump a accusé ce lundi 29 juillet 2019 le révérend Al Sharpton, figure du mouvement de défense des droits des Noirs, d'« escroc » qui « déteste les Blancs et les Policiers ! », s’exposant à de nouvelles accusations de racisme après ses attaques pendant le week-end contre un élu noir de la ville de Baltimore.

« Al est un escroc, un agitateur », a affirmé le président américain, commentant un tweet d’Al Sharpton qui annonçait son intention de se rendre à Baltimore. Et le dirigeant républicain d’ajouter à propos de ce révérend noir : il « déteste les Blancs et les Policiers ».

Ce nouveau tweet acide du milliardaire, publié très tôt lundi, indique qu’il n’a pas l’intention de revenir sur ses propos du week-end où il dressait un tableau infâme de Baltimore, ville majoritairement noire minée par les problèmes sociaux et la criminalité et critiquait sévèrement Elijah Cummings, élu noir de Baltimore au Congrès.

Ses critiques ont provoqué un tollé dans l’opposition, la chef des démocrates à la Chambre des représentants Nancy Pelosi les qualifiant de « racistes ».

« Tellement fatigué d’écouter les mêmes conneries »
Lundi matin, le président américain a repris ses attaques de plus belle.

« Baltimore, sous la direction d’Elijah Cummings, a les pires statistiques de crime de la Nation. 25 ans de bavardages, pas d’action ! Tellement fatigué d’écouter les mêmes conneries… », a tonné le locataire de la Maison Blanche.

Déjà à la mi-juillet, Donald Trump avait appelé quatre élues démocrates du Congrès issues de minorités à « retourner » d’où elles venaient.

Puis durant le week-end, il a décrit la grande ville portuaire de Baltimore, sur la côte Est des États-Unis, comme un « endroit très dangereux et sale », « infesté de rats » où « aucun être humain ne voudrait vivre ».

Enfin, en qualifiant d'« escroc » un militant noir, Donald Trump semble confirmer les analyses politiques selon lesquelles il cherche avant tout à galvaniser sa base, très majoritairement blanche, alors qu’il se lance dans la conquête d’un second mandat.

Baltimore City FOP@FOP3
6 murders in Baltimore since Friday, 38 for July, 196 for 2019
22% higher than 2018
6 shootings since Friday, 80 for July, 437 for 2019
30% higher than 2018
#cityincrisis
https://twitter.com/FOP3/status/1155819949883105280

criminalité fbi : https://twitter.com/sayetaryor/status/1154518503703154688



Joel Pollak: Trump's Baltimore tweets enrage the people who caused the most damage | Ezra Levant

Greenfield: Welcome to Rat and Democrat-Infested Baltimore.

Baltimore More Dangerous Than Central America - How City Can Be Fixed Using NYC Model : 
Baltimore's murder rate is on a pace to exceed the per capita rates of Central America's most dangerous countries: El Salvador, Honduras, and Guatemala. A look back at New York City at the height of the so-called "Crack Wars" and how Rudy Giuiani used the NYPD to make spectacular reductions in crime in citywide and in the worst pockets of criminality. What Baltimore should do to replicate the success of NYC wiping out 3/4 of the violent crime and starting a turnaround.

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