lundi 6 août 2018

La subversion migratoire orchestrée par le mondialisme vorace

https://twitter.com/JeanMessiha/status/1026471965266194432
Voilà l’aboutissement ultime de la submersion migratoire orchestrée par le mondialisme vorace : une armée d’esclaves malléables et corvéables à merci, prête à être payée une aumône pour in fine pousser les salariés nationaux à tout accepter pour survivre...
http://www.leparisien.fr/economie/les-restaurateurs-veulent-pouvoir-embaucher-des-migrants-05-08-2018-7844235.php

Le dumping social.
Le Medef est le tout premier responsable avec le regroupement familiale de Giscard.




L'aboutissement ultime, c'est plutôt la destruction des peuples européens avec une guerre civile au passage.




Philippe Vardon@P_Vardon
Vous avez tous vu ces titres : « Les restaurateurs veulent pouvoir embaucher des migrants ». Voici donc celui qui s’est fait le porte-parole de cette prétendue revendication - Sciences po Paris, analyste financier, Sodexo... Il ne représente pas les restaurateurs, évidemment.



Steven Bissuel@SBissuel
Arrêtons le sketch des restaurateurs disant ne trouver personne et voulant de la main d'oeuvre clandestine (bcp moins chère)!Solutions? Revalorisation de l'apprentissage, sanctions exemplaires contre les patrons employant des sans-papiers, application de la préférence nationale!

Les restaurateurs veulent pouvoir embaucher des migrants
>Économie|Alix Ponsar| 05 août 2018, 18h04 | MAJ : 06 août 2018, 10h13 |143

Restaurants et hôtels souffrent d’une mauvaise image et peinent à recruter. (Illustration) Pixabay
Confrontés à une pénurie de main-d’œuvre, restaurateurs et hôteliers demandent aux pouvoirs publics de faciliter l’obtention des autorisations de travail pour les étrangers sans papiers.
« 130 000 emplois sont à pourvoir dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. » Le constat, dressé par Didier Chenet, président du Groupement national des indépendants (GNI) hôtellerie-restauration, est alarmant : restaurants et hôtels peinent à recruter.

En cause, selon l’Union des métiers de l’hôtellerie (Umih) : la mauvaise image de ces professions et les conditions de travail souvent pénibles. « Aujourd’hui, les gens ont tendance à penser que si tu n’es pas bon en classe, tu finis dans l’hôtellerie-restauration », déplore-t-on à l’Umih.

Didier Chenet abonde dans ce sens : « Ils boudent de plus en plus certains postes difficiles, comme celui de plongeur, par exemple. » Pourtant, insiste-t-il : « Il existe un vrai ascenseur social dans ce métier. Il n’est pas rare de voir des gens qui ont commencé commis de salle finir par gérer un établissement. »

«La formation, le boulot, on est là pour les donner»
Et si l’une des solutions à cette pénurie de main-d’œuvre était d’embaucher des migrants ? C’est l’idée présentée par les professionnels du secteur au gouvernement, le 19 juillet dernier, à l’occasion du Conseil interministériel du tourisme.

LIRE AUSSI >Ces réfugiés apprennent des métiers qui ne trouvent pas de main-d’œuvre


« Les restaurateurs et les hôteliers sont dans les starting-blocks, explique Didier Chenet. On attend maintenant du gouvernement qu’il donne des papiers à ces personnes. La formation, le boulot, on est là pour les fournir. » Des discussions sont en cours entre le GNI et le gouvernement pour faciliter la régularisation des migrants qui souhaiteraient travailler dans le secteur.

De même, l’Umih, dans le cadre d’un Plan Emploi qui sera présenté à l’automne, travaille avec différents acteurs pour faciliter l’intégration des ressortissants étrangers dans ces métiers. Objectif : « Accompagner les professionnels de la restauration ou de l’hôtellerie dans leurs démarches pour faciliter l’embauche de ces personnes. »

LIRE AUSSI >Embaucher des migrants : «Je ne comprends pas que ce soit si compliqué !»


Dans quelles conditions peut-on les embaucher ?
Employer un étranger présent sur le territoire français n’est pas toujours source de complications, tout dépend de son statut. « A partir du moment où la personne a le statut de réfugié, elle peut travailler comme n’importe quel citoyen français. Il n’y a aucune lourdeur administrative », rappelle Judith Aquien, déléguée générale d’Action emploi réfugiés. Ce statut est réservé « aux personnes qui craignent, avec raison, pour leur vie » : victimes de conflits, opposants politiques, etc.

Il est également possible d’embaucher un demandeur d’asile (une personne en attente du statut de réfugié). Mais seulement 9 mois après le dépôt de sa demande et uniquement dans un secteur manquant de main-d’œuvre, dont la liste est établie par les pouvoirs publics. C’est le cas justement de l’hôtellerie-restauration.

Pour les migrants économiques ou climatiques, ça se complique. Sans papiers pour séjourner légalement en France, ils ne sont pas autorisés à travailler. Pour les embaucher, il faut donc attendre qu’ils obtiennent un titre de séjour. « Bien souvent, ils n’osent pas en faire la demande parce qu’ils savent qu’ils peuvent être reconduits à la frontière, déplore Judith Aquien. C’est mieux quand ce sont les patrons qui font les démarches. »

Allemagne : des patrons protestent contre l’expulsion des migrants
Dans le Bade-Wurtemberg, une centaine de chefs d’entreprise réclament que les autorisations de séjour soient liées aux contrats de travail. Ils ont embauché beaucoup de migrants depuis trois ans, une main d’oeuvre intégrée, menacée désormais d’expulsion.

Ammar Alkhouli, un jeune Syrien de 19 ans, en formation chez Porsche à Stuttgart, dans le sud-est de l\'Allemagne.Ammar Alkhouli, un jeune Syrien de 19 ans, en formation chez Porsche à Stuttgart, dans le sud-est de l'Allemagne. (THOMAS KIENZLE / AFP)
franceinfo
Pascal Thibaut
Radio France
Mis à jour le 03/08/2018 | 15:09
publié le 03/08/2018 | 09:04

69 réfugiés afghans expulsés vers leur pays le jour de son 69ème anniversaire. La remarque et le rictus du ministre de l’Intérieur allemand, Horst Seehofer, ont suscité une vive polémique le mois dernier en Allemagne. Le pays manque en effet de main-d'oeuvre qualifiée, surtout dans le sud du pays. Pour de nombreuses entreprises, les demandeurs d'asile, arrivés en nombre depuis trois ans, ont permis de répondre à leurs besoins. Mais certains sont aujourd’hui sous le coup d'une expulsion. Les chefs d'entreprise concernés sont de plus en plus nombreux à protester et à exiger que des migrants intégrés sur le marché de l'emploi puissent rester en Allemagne.

Parmi ces demandeurs d’asile déboutés se trouvait Ahmed Ahmadi. Arrivé comme des centaines de milliers de réfugiés ces dernières années en Allemagne, il était intégré et avait un travail. Son employeur Wolgang Strahl est sous le coup de l'émotion :

Après un an, Ahmad avait son propre logement, une copine allemande. Il travaillait depuis presque trois ans et payait toutes ses cotisations et ses impôts
Wolfang Strahl, un patron allemand
avec franceinfo

"Je suis déçu, ajoute Wolfgang Strahl. Je ne pensais pas que ça puisse frapper Ahmad qui est expulsé alors qu’il était parfaitement intégré."

Des conséquences économiques pour les entreprises mais aussi pour l'État
Beaucoup de chefs d’entreprise comme Wolfgang Strahl dénoncent ces pratiques. Ils ne comprennent pas que leur engagement pour l’intégration des réfugiés, ou tout simplement le temps passé et l’argent dépensé pour leur formation, soient remis en cause du jour au lendemain. Jürgen Rudeck a une petite entreprise de peinture sur métaux et il n’arrive pas à satisfaire toutes les commandes. "Il y a trois ans, les pouvoirs publics nous ont demandé de contribuer à l’intégration des réfugiés. Nous l’avons fait. Et maintenant, on les expulse. Cela a des conséquences négatives sur notre chiffre d’affaires et sur nos bénéfices. L’État perd des recettes car nous payons moins d’impôts."

S’il dispose d’un contrat à durée indéterminée, il devrait obtenir une autorisation de séjour illimitée
Jürgen Rudeck, un patron allemand
avec franceinfo

Dans le Bade-Wurtemberg, région où règne pratiquement le plein emploi et où les entreprises recherchent désespérément de la main d’œuvre qualifiée, une centaine de chefs d’entreprise ont lancé une initiative pour que leurs salariés ne soient pas expulsés. "Ma proposition serait que si un demandeur d’asile a un contrat de travail, son autorisation de séjour soit liée à ce contrat", explique Jürgen Rudeck.

L’Allemagne veut adopter une loi favorisant la migration économique. Elle pourrait répondre aux cas de ces migrants souvent dans l’impasse.

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