L'association Disinfo.eu, financée par l'immigrationniste Soros (photo), dont le but avoué est de détruire les nations européennes, a publié une fiche contenant les noms de tous ceux ayant tweeté au sujet de l'affaire Benalla.
Cette ONG a pour but apparent de chasser les fake news mais pour but réel de répandre l'idéologie mondialiste immigrationniste de Soros.
🌺 Tropical Boy 🌺#EUDisinfoLab #CNIL #LaREM #FichagePolitique
▶️ Si on autorise ce fichage là, comment s'opposer plus tard à ceux-là :
- Fichage religieux ( Chrétien, musulman, juif ...)
- Fichage sexuel ( hétéro, homo, ...)
- etc...
En prétendant que les comptes ayant publié la majorité des tweets sur l'affaire Benalla sont des agents russes, cette "étude" vise à discréditer les enquêteurs et lanceurs d'alerte et à montrer que "toute cette affaire n'est qu'une agitation politique opportuniste d'une puissance étrangère visant à déstabiliser le gouvernement Macron qui est exemplaire."
On rigole mais c'est grave.cela signifie bien que l’État se radicalise, "les fichés T" (T comme Tweeter) seront déchus du droit de vote. Il faut comprendre que le système ne veut pas que la France tombe comme l'Italie ou l'Autriche. Dictature en Marche ce n'est que le début.
SOROS DEMANDE À L’UNION EUROPÉENNE DE « RÉGULER LES RÉSEAUX SOCIAUX »
https://www.ojim.fr/soros-demande-a-lunion-europeenne-de-reguler-reseaux-sociaux/
Rediffusion. Première diffusion le 20 février 2018
IL ÉTAIT UNE FOIS… ÇA COMMENCE COMME UN CONTE DE FÉES… IL N’Y A PAS SI LONGTEMPS INTERNET ET LES RÉSEAUX SOCIAUX POUVAIENT ÊTRE CONSIDÉRÉS COMME UN REFUGE POUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET UN COURANT D’AIR FRAIS LOIN DE LA PROPAGANDE DOUCE DES MÉDIAS DOMINANTS.
Et ce fût le cas. De très nombreux blogs, sites d’analyse, chaines YouTube se sont créés faisant en effet contrepoids aux informations officielles. Toute nouvelle création entrainant des effets d’opportunité inattendus, de nombreux sites dits « putes à clic » ont été créés pour attirer le public - et la publicité - via des informations fantaisistes. Sur un plan plus politique, l’élection de Trump et le Brexit n’allant pas dans le sens de l’histoire, les médiacrates ont trouvé une explication simple : de fausses nouvelles via internet et les réseaux sociaux ont permis ces aberrations, naissance du concept de « fake news ».
SOROS CÔTÉ PILE : POUR L’INNOVATION ET LA DÉMOCRATIE
Pour mener le combat de l’Empire du Bien, nul n’est mieux placé que le milliardaire américain George Soros. Dans un article de The Guardian publié jeudi 15 février il met en garde contre la liberté des médias sociaux qui peuvent « influencer la manière dont les gens pensent et se conduisent sans même qu’ils s’en rendent compte ». Il ajoute « Ceci interfère avec le fonctionnement de la démocratie et l’intégrité des élections » et le peuple perd « sa liberté de penser ». D’où l’urgence de légiférer pour que la liberté d’expression soit plus strictement contrôlée sur internet et les réseaux sociaux. Que constate George Soros ? Que les géants Facebook et Google sont devenus « des obstacles à l’innovation ». Comprenez : ils ont contribué à libérer la parole aux Etats-Unis comme en Europe. Et plus « ils ont causé nombre de problèmes ». Comprenez : cette libération de la parole est allée trop loin. D’où sa supplique aux autorités de l’Union Européenne pour qu’elles reprennent les choses en mains.
SOROS CÔTÉ FACE : RENFORCER L’AUTOCENSURE DES GAFA
Habilement, Soros semble s’attaquer au monopole des GAFA mais le véritable enjeu de son discours n’est pas là et il est à double facette. Tout d’abord demander aux autorités politiques de museler Google et Facebook. Ce qui a déjà été fait en Allemagne et ce qui sera peut-être fait par la loi en France en 2018. Ensuite et surtout que Google et Facebook instaurent eux-mêmes leur propre censure pour se protéger d’une possible régulation venue de l’extérieur. Ce qu’ils sont en train de faire. Il est toujours plaisant de voir un pyromane jouer les pompiers. Au nom de l’économie Soros regrette le Brexit et la chute de la livre sterling qui affaiblirait les finances britanniques. Le même Soros le 16 septembre 1992 (Black Wednesday) spéculait contre la livre britannique, la forçait à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et empochait un milliard de livres au passage. Au nom de la « liberté du peuple » George Soros veut instaurer « le contrôle de la liberté ». De même que dans le 1984 d’Orwell le ministère de l’Amour organisait la semaine de la Haine.
Crédit photo : World Economic Forum via Flickr (cc)
Position du EU DisinfoLab :
http://disinfo.eu/2018/08/09/communique-du-eu-disinfolab/
VerticalLion ✝️ ✡️Fiché R 128
@VerticalLion
En réponse à @DisinfoEU
Dépôt de plainte effectuée auprès de la CNIL
Abou_Lépreux
@Kobiboulet
Au final je préfère ce fichier, en effet je n'ai aucun doute que les macronistes européistes continueront à en faire mais de façon occulte. Ils ne reculent devant rien et je préfère encore le savoir.
antoine44 ن matricule 2470
@antoine_nantes
En réponse à @DisinfoEU
Votre étude est un mixte de propagande et de désinformation.
Vos méthodes malhonnêtes ne vous honorent pas et montrent le vrai visage de vos commanditaires.
Vous êtes à vomir !
Roxane@OldAya
Vous l'entendez le bruit des bottes...?
Clément Weill-Raynal @CWeillRaynal
Je suis sur le "fichier" des tweeters du complot Benalla. Quelle gloire! Dans ce genre d'affaire, il vaut mieux en être, cela suscite la jalousie de ceux qui n'y sont pas. J'hésite entre le statut envié de victime ou alors laisser croire que je travaille bien pour les Russes 😎
LFI Argenteuil φ @LFIArgenteuil
Présent dans le fichier de @DisinfoEU, le compte de La France Insoumise Argenteuil porte le matricule 32312
Insupportable #FichagePolitique
Critique légale : Donnée à caractère personnelle, information publique, Pseudo, utilisation sans consentement
La Quadrature du Net
@laquadrature
Ici, pour justifier les conclusions de l'étude, il suffisait d'en publier la méthodologie (ce qui a été fait) pour la rendre reproductible - ce qui permet d'en contredire les conclusions.
C'est ce que fait toute étude sociologique, sans publier d'info perso - car pas nécessaire.
La Quadrature du Net
@laquadrature
Est-ce "encore plus illégal" de publier des informations d'ordre politique ? Pas forcément. Le #RGPD n'interdit pas tout traitement qui révèle des opinions politiques à partir d'info publiées par les personnes concernées (art. 9, 2, e).
Ici, ce point est donc plus ambigu.
La Quadrature du Net
@laquadrature
La @CNIL a largement été saisie. Nous nous attendons à ce qu'elle sanctionne la publication au moins pour défaut de base légale, n'étant nécessaire à la poursuite d'aucun intérêt légitime (seule la publication des conclusions et de la méthodologie était nécessaire).
Tom Ab
@Tomab5117
En réponse à @laquadrature @s_favereaux @DisinfoEU
Peut on considérer qu’un pseudo est une donnée personnelle ?
Un Garage
@UnGarage
Clairement, oui, si le pseudo peut être rattachée, même indirectement, à une personne. #RGPD art. 4, 1, donne même "un identifiant en ligne" comme exemple de données perso :)
Tom Ab
@Tomab5117
Mais cette info est publique ! Je trouve ça absurde. Étant moi dans cette liste par ailleurs. C’est pas un peu une tempête dans un verre débat, une polémique de militants ?
Julien Fouche
@ju_fouche
L'information est publique mais son utilisation sans consentement est illicite.
De plus les pseudos anonymes ou non (prénom-nom) sont des données personnelles et leur classification-utilisation pose problème.
@Numendil
Sinon, @DisinfoEU, votre organisme utilise des données personnelles (pseudos et certains sont des noms prénoms), et votre site ne dispose d'aucune mention légale, d'aucune modalité d'exercice des droits d'accès & autres droits du droit belge et du RGPD. C'est problématique.
Nous en avons parlé ce matin, pourtant, je vais être un peu sec, mais si la réponse ne vous sied pas, ne posez plus la question. Oui, oui, oui et oui, un pseudonyme est une donnée à caractère personnel.
Une donnée à caractère personnel est tout ce qui permet, de façon directe ou indirecte, d'identifier une personne physique. En rentrant dans le détail, on parle du caractère identifiant de la donnée, qui en fonction du pseudo, est plus ou moins fort
La CNIL a posé un référentiel d'identification, sur une échelle de 1 à 4, 1 étant une identification difficile voire quasi impossible, 4 étant une identification aisée, voire une absence de besoin de recherche car on sait directement qui c'est
Un pseudonyme Twitter permet de remonter à un profil Twitter qui, croisé avec des échanges, conversations, médias partagés, information ou autre, peut +/- aisément pointer de façon formelle un individu, donc le pseudonyme est une donnée à caractère personnel.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on différencie le pseudonymat de l'anonymat. Et sur Twitter, le vrai anonymat n'existe pas, tout le monde est identifiable, d'une façon ou d'une autre, plus ou moins aisément/rapidement.
Il y a ensuite le fait que ceci soit mis à disposition du public, les messages Twitter étant visibles pour une personne non connectée/enregistrée, et c'est autre chose.
Et le fait que la donnée soit publique n'enlève en rien le caractère identifiant du pseudo, donc le fait que le pseudo soit une donnée personnelle, et qu'à ce titre, il soit couvert par Informatique et Libertés et plus globalement par le RGPD.
Des exceptions naissent du fait que l'information soit publique, ou des facilités naissent, mais un responsable de traitement se doit de respecter le règlement, la loi, que l'information soit publique ou non.
Remplacez pseudo par adresse e-mail : des adresses e-mail publiques n'ont pas le droit d'être utilisées n'importe comment (pour du démarchage par exemple), c'est pareil ici. En espérant que cette explication plus détaillée soit plus claire pour vous
Sinon, je vous invite à consulter le site de la CNIL pour voir ou revoir la définition d'une donnée à caractère personnel
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