« L’islam c’est l’islamisme au repos et l’islamisme,
c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire » affirme
le président du gouvernement provisoire kabyle, en exil à Paris, Ferhat
Mehenni.
Je dirai même plus que l’islam c’est l’islamisme en
attente et l’islamisme, l’islam en action, l’un et l’autre
se réclamant d’un seul et même Coran.
La meilleure preuve en est que le Coran divise le monde en
deux camps : Dar-el-Islam, la zone musulmane, qui désigne le
territoire sous contrôle de la charia islamique, et Dar-el-Harb, la
zone de guerre, le reste du monde à soumettre.
Le Coran fait devoir à tout musulman de conquérir tous les
pays du monde par tous les moyens, la ruse, la tromperie (taqqiya), le
prosélytisme, la force et le meurtre si nécessaire. Islam et islamisme sont les
deux faces d’une même pièce — d’une même tragédie : le combat d’Allah contre
les infidèles. Aucune paix durable au monde n’est à espérer tant que
l’un des deux camps n’aura vaincu définitivement l’autre.
L’attaque du 11 septembre 2001 contre le cœur des USA a été
le coup d’envoi d’une offensive générale de l’islam sur la planète. Une
Troisième Guerre Mondiale, une guerre sainte, est annoncée. Les jihadistes en
sont le fer de lance ; les autres musulmans, dits « modérés »,
gardent le silence, peut-être non consentants, peut-être par peur, mais soumis
(islam signifie « soumission ») ; ils sont en attente. Un
signe, et ils seront majoritairement dans le camp des islamistes — comme en
Égypte, Libye, Tunisie, Palestine… et demain en Syrie.
Ah ! J’entends les clameurs des bien-pensants occidentaux…
Non, détrompez-vous, les bien-pensants. Ne croyez pas, comme
vous l’affirmez, que l’immense majorité des musulmans sont pacifiques, qu’ils
ne demandent qu’à vivre en paix. Vous les voyez selon vos critères moraux, vous
prenez vos désirs pour la réalité, vous êtes convaincus qu’ils se rallieront
à votre raison… Mais vous négligez deux facteurs essentiels.
Le premier facteur, c’est le fatalisme musulman. Immergé
dès la naissance dans un mode de vie tribal où toute individualité est
proscrite au profit d’une soumission à la communauté (Oumma), formaté
dès son plus jeune âge à un dogmatisme qui traque et punit toute velléité de
remise en question, voire simplement de question, confronté aux interdits et à
la violence (circoncision, égorgement du mouton…) ainsi qu’à la mort, une mort
synonyme d’accès au voluptueux paradis d’Allah, le musulman ressent sa vie
terrestre comme une transition, qu’il subit à contre-cœur en raison notamment
des frustrations diverses imposées par le Coran. À cela s’ajoute l’interdiction
de prévoir, privilège divin, qui l’incite à l’attente, ou plus précisément à
une forme de prostration ruminante.
Le second facteur, c’est le complexe d’infériorité, inavoué,
face au reste du monde, le Dar-el-Harb triomphant, triomphant
non seulement militairement mais aussi dans son développement et ses progrès
dans tous les domaines, particulièrement en technologie — progrès dont le
musulman bénéficie mais auquel son Dar-el-Islam, paralysé par son
Coran omniscient, est incapable de participer en tant qu’acteur. On touche là à
un conflit intime pavlovien, opposant la foi à la raison, qui entraîne des
troubles obsessionnels compulsifs. La foi étant sourde à la raison, cette
situation entretient un sentiment de haine et un obscur désir de revanche sur
l’infidèle triomphant ; et cette revanche ne peut être que violente, puisque
les autres domaines lui sont inaccessibles. C’est ainsi qu’il suffit d’un
incident pour que le musulman pacifique, mais fier, bascule dans la violence.
Les émeutes des banlieues « sensibles » en sont l’évidente
manifestation.
Tout compromis, toute reculade, toutes tergiversations
contribuent à céder du terrain aux croisades islamiques. On recense officiellement
751 zones de non-droit en France, c’est-à-dire des zones d’extra-territorialité
sous contrôle maffieu, où médecins, pompiers et forces de l’ordre ne peuvent
plus pénétrer, zones que l’on présente comme des bastions d’un grand banditisme
lié à la drogue mais où, coïncidence ?, les acteurs sont musulmans. Pourrait-on
y trouver un juif, un chrétien ou un athée « sous-chien » ?
Avec les dernières « repentances », le monde
civilisé a atteint les limites du « politiquement correct » ; il aura
tout donné, il aura tout fait pour éviter l’affrontement. Et malgré le honteux
black-out des médias (de mèche avec le pouvoir au sein d’associations secrètes
type « Le Siècle », la « FAF », etc.) mais grâce aux
réseaux internet d’information libre, la police de la pensée ne parvient plus à
maîtriser la prise de conscience de sa population, pourtant pacifique, elle,
mais excédée par les agressions dont elle est victime.
Une population que révulsent certains jugements iniques émis
par une Justice souvent aux mains d’une idéologie d’extrême-gauche, qui
justifie ses décisions de clémence vis-à-vis des agresseurs sous couvert de
nécessité économique, mais qui poursuit les victimes…
Une population qui voit ses valeurs bafouées et son pays
spolié par des envahisseurs barbares qui maltraitent leurs femmes et torturent
les animaux, sans parler des atrocités dont ils sont friands…
Une population qui sait aujourd’hui qu’aucun pouvoir
politique, pas même le Front National, ne peut se lancer dans une guerrilla de
reconquête, tant leurs leaders sont terrorisés à l’idée d’être accusés de
crimes de guerre voire de génocide…
Une population enfin, désarmée face à des barbares
puissamment armés et décidés, mais qui gronde et appelle au secours, ultime
recours, son armée. Car c’est à elle et elle seule, et non aux laquais et
roquets bonimenteurs de notre système démocratique émasculé qui ne trompe plus
personne, qu’il revient aujourd’hui de sauver la France et, au-delà, notre
civilisation.
Jean Ducluzeau
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