lundi 31 décembre 2018

Gilets jaunes et Violences policières



Sébastien JALLAMION : Usage de la force contre les #GiletsJaunes : témoignage d'un CRS. Quelque chose à dire, monsieur @CCastaner ?
(Version intégrale : https://www.youtube.com/watch?v=r60EbwsaysI …)
https://twitter.com/SJallamion/status/1074775473610203136












Changerlavie@Changerlavie1
Macron défigure la France. Des tirs précis autorisés au visage?  Une dérive autoritaire volontairement portée par Macron, ses préfets et son équipe? Halte au brutalité! Respect de la démocratie et des hommes!
#Macron #ViolencesPolicières #France #democratie #Violencesdétat



Erik Tegnér@tegnererik
"La France de 2019 est, ainsi, menacée de devenir un pays en voie de sous-développement, dans un continent européen en déclin. Le macronisme prétend être un progressisme, mais il s'est révélé être un facteur de régression." @GLarrive @Le_Figaro
http://www.lefigaro.fr/politique/2018/12/30/01002-20181230ARTFIG00092-guillaume-larrive-la-france-commence-2019-en-marche-arriere.php?redirect_premium

Le Général
💥🇫🇷📹🔴Témoignage terrifiant: Un #CRS reconnait avoir reçu des ordres pour utiliser la force contre les #GiletsJaunes : la parole à Monsieur #castaner 📣! Violence orchestrée par le gouvernement..!🤔
 #YellowVests #15December #France #Strasbourg #ActeV #YellowVests #MissUniverse

Sined
En réponse à @leGneral2 @clairvoyant_le
Il suffit de revoir les images de la manif du 1er mai !!!! Très peu de lacrymo, PAS 1 grenade de désencerclement,  PAS 1 tir de flashball ! Et pourtant les "manifestants" étaient bien plus belliqueux envers les forces de l ordre !!!



Frakkland@Frakkland_
Samedi dernier, j'ai évoqué le sujet des tirs de flashball à hauteur d'homme — qui ont provoqué de graves blessures au visage de manifestants — avec un gendarme sur les Champs-Élysées ; il m'a dit que cela ne concernait pas la gendarmerie. Il s'agit des CRS (police).
https://twitter.com/Frakkland_/status/1072272690680094721


Matricule2856@DisinfoEU@soleilevant888
comment l'armée a équipé les "chars de villes" d'une arme secrète samedi à Paris
le Pouvoir est mort de Trouille : c'est un psychopathe il est capable du pire il faut l'arrêter ...
ou l'armée serait elle contre le peuple aujourd'hui ?



Gilets Jaunes à Paris : Samedi, la Gendarmerie avait équipé ses blindés d’une arme secrète.
► 10 décembre 2018 ● 22h15
par Y.C.

Capture vidéo (Twitter / @ClementLanot)
C’est une information qui n’a pas filtré avant l’événement, malgré la fuite de la note du dispositif opérationnel de la DSPAP vendredi dernier.

Lors du IVème acte de la mobilisation des Gilets Jaunes à Paris, samedi 8 décembre, la Gendarmerie Nationale avait équipé ses véhicules blindés « VBRG » d’une arme secrète. Elle n’a, fort heureusement, pas été utilisée.

Un liquide incapacitant capable de « mettre les gens à terre »
« C’est dire si le pouvoir a peur » affirme le journal Marianne qui a révélé l’information ce lundi soir. Lors de la manifestation de samedi, certains blindés étaient équipés d’un liquide incapacitant, capable d’« arrêter net » une foule, « mettant les gens à terre, même avec des masques », affirme une source haut placée dans le dispositif policier, selon Marianne.

Mis en oeuvre sur décision politique
Le liquide n’aurait été utilisé « qu’en dernier recours ». Il aurait pu neutraliser des assaillants sur une surface correspondante à « plusieurs terrains de football », à la suite d’une pulvérisation par un seul engin.
Il s’agit d’une sorte de « dernier rempart », utilisable sur décision politique, affirme Marianne, qui a contacté la Préfecture de Police de Paris. La « PP » a renvoyé les journalistes vers le Ministère de l’Intérieur.

maldon@MiAldon
❗L’assemblée nationale vote l’extension du dispositif d’anonymisation des policiers, des gendarmes et douaniers.
Si le sénat approuve, le nom des flics disparaîtra de quasiment toutes les procédures juridiques.
Imaginez la suite...
#ViolencesPolicieres
https://rebellyon.info/Marseille-1er-decembre-2018-lors-de-la-19898



Témoignage de gilets jaunes de Montargis partis manifester à Paris : "on nous a traité comme du bétail"
https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/loiret/montargis/temoignage-gilets-jaunes-montargis-partis-manifester-paris-on-nous-traite-du-betail-1589455.html

Le 8 décembre dernier, Fiorina, 20 ans, est venue de Picardie manifester à Paris avec son petit ami, pour soutenir les gilets jaunes.

Il est 14h. La manifestation commence à dégénérer. Elle n'est pas venue pour casser et encore moins affronter la police. La tension monte. Elle demande à Jacob, son petit ami, de partir. Mais toutes les rues sont bloquées par des barrages de policiers. Impossible de quitter l'avenue des Champs Elysées.

Les CRS et policiers en civils se mettent à tirer. Fiorina s'effondre.

Elle vient de recevoir un projectile en pleine tête.

Malgré l'intervention rapide d'un "street medic", et son évacuation vers les urgences ophtalmologiques de l’hôpital Cochin, il est trop tard.

Fiorina a perdu son oeil gauche, pour toujours.

Fiorina aime son pays. Elle était venue défendre son avenir et celui de tous ces Français oubliés et méprisés par Macron. Ce projectile aurait pu arracher l'oeil de n'importe quel gilet jaune. Mais c'est tombé sur elle.

Nous avons tous été choqués par la violence des images de Fiorina, au sol, le visage en sang. (Voir la Vidéo) Nous devons tous lui montrer notre solidarité.

Cette cagnotte est montée avec l'accord de Fiorina.

L'intégralité de la somme récoltée leur sera remise.

Une photo avec le chèque sera postée en guise de preuve (comme pour la cagnotte des Rougemont)

Elle servira à accompagner Fiorina dans ses dépenses médicales et de soutien psychologique et à reconstruire sa vie.

Fdesouche@F_Desouche
Nicolas #Bay sur le dispositif #policier de la manif Gilets Jaunes : «L'Etat déploie en une journée ce qu'il n'a jamais été capable de déployer pour remettre de l'ordre dans les cités» http://www.fdesouche.com/1122675-nicolas-bay-sur-le-dispositif-policier-de-la-manif-gilets-jaunes-letat-deploie-en-une-journee-ce-quil-na-jamais-ete-capable-de-deployer-pour-remettre-de-lordre-dans-les-cites



Manifestants blessés : le fabricant du «Flash-Ball» plaide non coupable
http://www.leparisien.fr/faits-divers/manifestants-blesses-le-fabricant-du-flash-ball-plaide-non-coupable-09-12-2018-7964316.php
>Faits divers|A.S.| 09 décembre 2018, 18h45 | MAJ : 09 décembre 2018, 22h37 |18

La société Verney-Carron a déposé la marque Flash-Ball. REUTERS
Le producteur du célèbre lanceur de balle de défense se dit victime d’un abus de langage et regrette d’être systématiquement mis en cause lors des manifestations.
Visages ensanglantés, hématomes sur le corps… les photos de blessures de manifestants sont pour certaines difficiles à regarder. Samedi, plus de 118 blessés ont été pris en charge à travers la France après la journée de mobilisation des Gilets jaunes. L’arme à l’origine de nombre de ses blessures, selon les témoignages : un lanceur de balle de défense. Ou « Flash-Ball », pour les citer.

Depuis une vingtaine d’années, le terme est tombé dans le langage courant et revient systématiquement dans la bouche des manifestants (et des médias) lorsque se produisent des affrontements avec la police. Les récits se ressemblent : ils évoquent une arme « en caoutchouc souple », un fusil court, et surtout un bruit assourdissant aisément reconnaissable.

Utilisé depuis 1995, le Flash-Ball fait partie des « armes de force intermédiaire », non létales. De fait, il a été conçu pour impressionner et surtout pour neutraliser sans tuer. Son matériau caoutchouteux l’empêcherait en effet de causer de graves blessures, selon son fabricant. Les munitions seraient d’un diamètre suffisant pour « empêcher tout risque de pénétration dans le globe oculaire », avait-il ainsi déclaré en 2010, lors d’une affaire de blessures par tir de Flash-Ball.

En 2009 pourtant, deux habitants de Villiers-le-Bel avaient été grièvement blessés à un œil lors des échauffourées entre la police et des jeunes. Le policier responsable des tirs a été condamné à trois mois de prison avec sursis. Neuf ans plus tard, le Flash-Ball fait toujours autant parler quand les forces de l’ordre viennent à tirer des « balles de défense » sur des manifestants, comme samedi. A tort. Car on peut l’affirmer ici : le Flash-Ball en tant que tel n’est pas à l’origine des nombreuses blessures survenues lors des rassemblements lycéens et de Gilets jaunes ces derniers jours. Et pour cause : les CRS n’en sont plus dotés, rappelle au Parisien Jean Verney-Carron, directeur général de la société éponyme qui a déposé la marque Flash-Ball.

LIRE AUSSI >Nez cassés, plaies ouvertes… Aux côtés des Gilets jaunes aux urgences de l’hôpital Bichat


Remplacé par une arme plus précise… mais plus puissante
En 2015, la police des polices, l’IGPN, a jugé l’usage des Flash-Ball dépassé, et préconisé son retrait progressif de l’équipement des policiers. A la place, les forces de police ont été encouragées à se munir de LBD40.

Le LBD40, comme le Flash-Ball, est une arme de quatrième catégorie. Mais contrairement au second, il est utilisé pour les longues distances. Il a été mis au point en 2008 par la police après les émeutes de Villiers-le-Bel en novembre 2007, au cours desquelles des armes à feu avaient été utilisées pour la première fois contre les policiers.

« La balle est d’un calibre de 40 mm… c’est beaucoup plus dangereux que le Flash-ball. C’est un calibre de guerre », avance Jean-Verney Carron. Sur de courtes distances, le risque de traumatismes graves existe, voire de décès dans des cas exceptionnels.

« Nous cristallisons la haine »
Mais le LBD est surtout beaucoup plus précis. Arme de poing, le Flash-Ball peut tirer une balle à 360 km/h, mais ne possède pas de viseur électronique. Censé faire « l’effet d’un coup de poing de boxeur », il a été à plusieurs reprises à l’origine de graves blessures, notamment à l’œil. Ces dernières années, plusieurs procès de policiers se sont d’ailleurs tenus en France.

Dans les rangs de la gendarmerie, plusieurs compagnies continueraient à s’en servir, lors « d’opérations de sécurisation », selon le fabricant. Sa disparition totale devait survenir en 2018.

En attendant, Jean-Verney Carron déplore être devenu la cible de toutes les critiques. « Nous cristallisons la haine, nous sommes responsables de tout alors que nous n’y sommes pour rien. Nous étions la cible des zadistes, de l’extrême gauche… Désormais, nous sommes visés par les Gilets jaunes », regrette-t-il.

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