jeudi 13 décembre 2018

Plus de violence chez les musulmans : études sociologiques


La violence semble augmenter à mesure que le musulman devient plus pratiquant d'un islam littéral. C'est la fréquentation d'écrits bourrés de haine et de leurs interprétations bourrées de haine et les pratiques et discours correspondant qui augmentent cette propension à la violence et à l'intolérance.

Certains musulmans sont juste musulmans de naissance, mais ils baignent quand même dans une culture musulmane et sont donc eux aussi susceptibles de développer intolérance religieuse et propension plus forte à la violence.

Les musulmans apostats par contre sont parmi les gens les plus instruits et les plus intelligents car pour sortir de la propagande islamique inculquée depuis leur naissance, ils ont dû faire tout un cheminement intellectuel.







SUISSE LA VIOLENCE AMOUREUSE DES JEUNES SOUS LA LOUPE

Une étude de l'Uni de Zurich décrypte la violence dans les relations des 17-18 ans. Une violence aux relents de machisme. Les jeunes musulmans y seraient plus sujets.

10% des garçons admettent avoir déjà forcé leur partenaire à des relations sexuelles. 

PAR CHRISTINE TALOS
10.07.2018
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Coups, menaces, surveillance: près de la moitié des jeunes en Suisse ont eu affaire au moins une fois à des gestes de violence dans leurs relations amoureuses. C'est ce que révèle une étude de l'Université de Zurich menée dans le cadre d'un projet zurichois sur le développement social entre l'enfance et l'âge adulte, annonce ce mardi la Neue Zürcher Zeitung.

Cette enquête révèle des points étonnants. Notamment que les filles peuvent être plus violentes que les garçons. En effet, elles sont une sur cinq à avoir déjà giflé et poussé ou battu leur partenaire dans une relation. Un chiffre qui tombe à un sur huit chez les garçons.

Violence sexuelle chez les garçons

Moins surprenant: la violence chez les garçons est plutôt d'ordre sexuelle. Alors que seul 1% des filles admettent avoir déjà forcé leur partenaire à des rapports contre leur volonté ou exigé d'eux des photos érotiques, ce taux s'élève à 10% chez les jeunes hommes.

En revanche, les deux sexes admettent surveiller l'autre dans la même proportion: 44% des filles et 38% des garçons ont en effet déjà vérifié le téléphone portable de leur ami(e) pour l'empêcher parfois de rencontrer d'autres personnes.

Quelque 1675 jeunes de 17 à 18 ans dont près de la moitié sont nés à l'étranger ont été interrogés. Comment expliquer leur violence? Les chercheurs de l'Uni de Zurich pointent en premier lieu les modèles traditionalistes qui véhiculent selon eux une certaine attitude machiste. Ils mettent en cause également l'utilisation de matériel pornographique chez les garçons et la prise de drogues chez les filles.

Musulmans plus violents

Selon eux, ce sont surtout les jeunes issus de l'immigration non occidentale, en particulier les garçons musulmans, qui sont plus que les autres sujets à la violence. Des différences entre jeunes musulmans et non musulmans qui sont davantage marquées lorsqu'il s'agit de surveiller son propre partenaire, selon l'étude.

Des résultats que met en doute Pascal Gemperli, porte-parole de la Fédération des organisations faîtières islamiques en Suisse: «Il nous semble douteux que l'islam soit l'élément déterminant de la violence des jeunes. Si l'on rapporte le nombre total de sondés aux 5% de musulmans en Suisse dont une partie seulement est pratiquante, alors la base de recherche est trop petite pour en tirer des conclusions scientifiques», critique-t-il. «Le lien de causalité entre la religion et un certain comportement est ainsi clairement raccourci», estime-t-il.

(nxp)

Créé: 10.07.2018, 11h38

Une étude dresse un portrait des musulmans de France
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/18/97001-20160918FILWWW00014-une-etude-dresse-un-portrait-des-musulmans-de-france.php
Par  Le Figaro.fr avec AFP   Mis à jour le 18/09/2016 à 09:24  Publié le 18/09/2016 à 09:19

Un rapport esquisse un portrait des musulmans de France et suggère des pistes de réorganisation de "l'islam français".

Cette étude est de l'Institut Montaigne, "think tank" d'obédience libérale. Elle s'adosse à une enquête "inédite" de l'Ifop, réalisée alors que la vague d'attentats depuis 2015 et l'approche de la présidentielle enflamment les débats sur la place de l'islam.

Ce sondage a été conduit auprès de 1029 personnes de confession ou de culture musulmane (dont 874 se déclarant musulmanes), extraites d'un échantillon de 15.459 métropolitains âgés de 15 ans et plus.

Le rapport, intitulé "Un islam français est possible", avance que les musulmans comptent pour 5,6% des habitants de métropole, soit un pourcentage "moins important que ne l'avancent bon nombre de chiffres fantaisistes", souligne en avant-propos Hakim El Karoui, ancien conseiller de Jean-Pierre Raffarin à Matignon et ex-président de l'Institut des cultures d'islam.

Mais ils sont 10% des moins de 25 ans, "signe de la prégnance croissante de la deuxième religion du pays auprès des jeunes générations".

Surreprésentés dans les milieux populaires ou éloignés de l'emploi, les musulmans interrogés - aux trois quarts de nationalité française - se hissent pourtant à des niveaux de qualification proches de la moyenne nationale.

Quelle est leur religiosité? L'Ifop a calculé que 46% sont "soit totalement sécularisés, soit en train d'achever leur intégration" sans renier leur religion. Un deuxième groupe, représentant 25%, est plus pieux et plus identitaire tout en rejetant le voile intégral.
Le dernier groupe, que l'Ifop évalue à 28%, réunit des croyants qui ont "adopté un système de valeurs clairement opposé aux valeurs de la République", s'affirmant "en marge de la société". Les jeunes, les moins insérés dans l'emploi et les convertis sont les plus disposés à adhérer à ce modèle.

Mais une écrasante majorité des musulmans interrogés ne refusent pas la mixité, acceptant de se faire soigner par un médecin (92,5%) ou de serrer la main d'une personne (88%) du sexe opposé.

Côté pratiques, la première est alimentaire: 70% des répondants déclarent "toujours" acheter de la viande halal.

La question du voile est plus clivante: si 65% se déclarent favorables au port du foulard (et 24% à celui du niqab), seules 37% des personnes de culture musulmane considèrent que les jeunes filles devraient pouvoir porter le voile au collège et au lycée.

La fréquentation des 2500 mosquées est plus faible qu'on ne le pense souvent: 30% du millier de musulmans interrogés ne s'y rendent jamais, et autant ne le font au mieux que lors des grandes célébrations du ramadan.

En résumé, "la question sociale est la priorité des musulmans interrogés, bien avant les questions religieuses ou identitaires". Il n'y a pas de "communautarisme musulman unique et organisé". Et "pour éviter de tomber dans le piège tendu par les extrémistes, le discours politique doit s'appuyer" notamment "sur la majorité silencieuse, insérée avec succès dans la société française", conclut le rapport.

Une étude du CNRS observe une inquiétante tentation pour la radicalité chez les lycéens musulmans
Par Hadrien Mathoux
Publié le 03/04/2018 à 11:05

Après deux ans d'enquête auprès de 7.000 lycéens issus en grande partie de quartiers populaires, les sociologues Anne Muxel et Olivier Galland rendent leurs conclusions dans "La Tentation radicale". La radicalité, qu'elle soit religieuse, politique ou culturelle, atteint des proportions inquiétantes, notamment chez les jeunes musulmans.

Les lycéens de France sont-ils tentés par la violence et la radicalité religieuse ? C'est la question que se sont posée les sociologues du CNRS Anne Muxel et Olivier Galland, au lendemain des attentats de novembre 2015. Les chercheurs publient leurs travaux ce mercredi 4 avril aux Presses universitaires de France (PUF), dans un ouvrage intitulé La Tentation radicale. Et leurs conclusions sont plutôt inquiétantes.

L'échantillon choisi n'est volontairement pas représentatif : les questionnaires ont été adressés à 7.000 jeunes de 14 à 16 ans, fréquentant des régions où des "manifestations de radicalité" (émeutes, bagarres avec la police, blocages de lycées) ont eu lieu : quartiers nord de Marseille, région lilloise, ville de Créteil en banlieue parisienne... l'académie de Dijon a été ajoutée pour apporter de la diversité à l'étude. Reste que celle-ci a interrogé 39% de jeunes scolarisés dans des lycées populaires, et 26% de musulmans, bien davantage donc que dans l'ensemble de la population lycéenne. Le but avoué de l'enquête était en effet d'analyser la prégnance des idées radicales chez les jeunes issus de milieux modestes et de confession musulmane. Les auteurs ont défini la radicalité par "un ensemble d'attitudes et d'actes exprimant a minima une protestation et pouvant aller jusqu'à la contestation frontale du système politique ainsi que des normes sociales et culturelles dominantes". Des idées qui peuvent s'exprimer de manière religieuse, politique ou culturelle, et dans certains cas mener à la violence.

"Combattre les armes à la main pour sa religion"
Certains résultats interpellent : si 11% des adolescents interrogés pensent qu'il y a "une seule vraie religion" et que celle-ci "a raison contre la science", ce chiffre passe à 32% chez les musulmans, dont 81% estiment que "c'est plutôt la religion qui a raison sur la question de la création du monde". Un décalage également constaté en ce qui concerne la tolérance à la violence : pour 25% des jeunes de l'étude, il est acceptable de voler un scooter, de dealer de la drogue ou d'affronter la police... c'est le cas pour un tiers des jeunes musulmans. D'après Anne Muxel et Olivier Galland, ceci s'explique par le fait que les lycéens de confession musulmane habitent souvent dans des quartiers sensibles où la violence est devenue banale.

Le cocktail le plus explosif est constitué par les lycéens qui sont à la fois tolérants envers la violence et radicaux dans leur vision religieuse : parmi ceux-là, 70% ne condamnent pas les auteurs des attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes. Des extraits de l'enquête publiés par Le Monde font état de nombreux témoignages de lycéens qui estiment que les journalistes de Charlie "l'ont cherché" ou "un peu provoqué", en contraste par rapport aux victimes du Bataclan. Autres chiffres pour le moins alarmants : 10% des lycéens estiment qu'il peut être acceptable de "combattre les armes à la main pour sa religion", et ils sont 20% parmi les jeunes de confession musulmane interrogés. En parallèle, la religion de ces derniers les amène à tenir des positions pour le moins rigoristes : l'homosexualité n'est pas "une façon comme une autre de vivre sa sexualité" pour 64% d'entre eux, et 69% sont hostiles à l'interdiction de porter le voile à l'école.

Un "effet islam prépondérant"
Pour expliquer ces données, Anne Muxel et Olivier Galland évoquent plusieurs facteurs qui se cumulent et s'associent : les éléments économiques, évidemment, ces jeunes vivant dans des conditions sociales bien plus dures que la majorité de la population ; un sentiment de discrimination, deux fois plus fort chez les jeunes musulmans ; mais également un phénomène spécifique à l'islam. "Les musulmans reviennent fortement à une pratique religieuse, à l'inverse d'un mouvement de forte sécularisation des autres jeunes", note Olivier Galland dans un entretien au Monde. Il existe selon les sociologues un "effet islam prépondérant" d'adhésion à la radicalité religieuse, qui peut se conjuguer avec un attrait pour la violence.

Musulmans en France : l’enquête qui dévoile tout, enfin !
Publié le 20/09/2016 à 19:00

Travaille sur les questions et les pays d’Islam et couvre le conflit israélo-palestinien. A publié de nombreux livres sur l’islamisme, entre autres Pour comprendre l’intégrisme islamiste (Albin Michel 2002), Le sexe d’Allah ( Grasset 2004), Le désir d’islam (Grasset 2005), Sunnites-Chiites, pourquoi ils s’entretuent (Le Seuil 2008), L’imposture turque (Grasset 2011), ainsi qu’un récit sur l’Etat hébreu Israël contre Israël (L’Archipel, 2012) et une biographie Hannah Szenes l’étoile foudroyée (l’Archipel 2014).

Une étude menée par l’IFOP et l’Institut Montaigne sur les choix des Français de confession musulmane confirme une religiosité dominante. 65% des sondés sont favorables au voile. Pour 28% - les plus jeunes - la charia prime sur les lois de la République.
On a toujours raison d’enquêter. Ce qui est tu, celé, scellé, cacheté, caché, n’en grossit pas moins dans les divers placards où on a tenté de planquer le dossier. Avec celui de l’islam - islam en France ou islam de France - les planques ont abondé. Jusqu’à ce que les djihadistes viennent nous fusiller, nous exploser, nous écraser, nous égorger, toute allusion à un éventuel début d’ébauche de commencement de radicalisation d’une frange de minoritaires était rigoureusement interdite.

Journalistes, politiques, démographes s’évertuaient depuis plus de vingt ans à nous prouver que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes islamiquement intégré. Pour avoir suivi cette affaire depuis les années 1995 - date des premiers attentats à Paris et de l’horreur djihadiste en Algérie - et avoir commis à l’époque un essai sur L’islam et la République , sous-titré « des musulmans de France contre l’intégrisme » (Belfond), je témoigne que tout a été fait avec l’islam (de France, en France, etc...) comme avec un éléphant à la cave. Les « bons » démographes ( Hervé Le Bras) anathémisaient les « méchants », au nombre desquels l’intrépide Michèle Tribalat qui osait réclamer des données et s’inquiétait du ralentissement des unions mixtes, l’amour ayant été longtemps le plus joli dénominateur républicain commun, toutes origines confondues, sous notre voluptueux ciel français. Mais non : il ne fallait pas dire, pas montrer, pas réfléchir, pas enquêter donc. De ce chuuuu..t découle notre chute.

De ce chuuuu..t découle notre chute.

L’institut Montaigne rompt aujourd’hui le silence, porté par les circonstances. L’étude commandée à l’IFOP et publiée par le Journal du Dimanche confirme les craintes qu’il ne fallait surtout pas, hier encore - peut-être toujours aujourd’hui au puissant royaume des sociologues - formuler au grand jour sous peine d’être assigné à résidence dans une hideuse délinquance politico-morale.

Sur un échantillon représentatif de la population concernée, 46% se disent « totalement sécularisés » mais dans une version légèrement réécrite : « ils ne renient pas pour autant leur religion, souvent identifiée au halal et ont une pratique religieuse nettement plus régulière que la moyenne nationale ». En fonction de quoi, « huit musulmans sur dix estiment que les enfants devraient pouvoir manger halal à l’école » commente le Monde. 65% se disent favorables au voile (donc on voyait bien ce qu’on voyait dans les rues, les bus, les métros, les facs, nonobstant ceux qui disaient ne rien voir, ou en tous cas pas chez eux, pas dans leur rue, leur métro, etc...) mais sans forcément le porter : 35% s’encapuchonnent tout de même, et demain, combien ?

Un « deuxième groupe », selon la méthodologie suivie, est catalogué comme laïque...tout en soutenant l’expression de la religion au travail. Avec les cinq prières au bureau, bienvenue dans le monde merveilleux de  la laïcité branchée. Ces républicains coraniquement compatibles ont sans surprise « largement adopté la norme halal comme définition de l’être musulman ». Cher Abdennour Bidar et autres intellectuels qui cherchez le bout du tunnel, la sortie n’est pas pour demain.

28% - les plus jeunes - dans une logique sécessionniste

Venons-en maintenant au pire (attendu que le Monde et une floppée d’autres commentateurs, à l’exception d’Elisabeth Lévy dans Causeur qui sonne le tocsin depuis un bout de temps, présentent tout le reste comme le meilleur), c’est à dire le troisième groupe. Ces 28% de Français musulmans - c’est nous qui écrivons Français musulmans bien qu’ils mettent, eux, musulmans avant Français - contestent ouvertement la laïcité. Compte tenu de leurs réponses - en faveur du niqab, mettant la charia au dessus des lois du pays - le rapport de l’Institut souligne que ces jeunes musulmans - 10% de leur classe d’âge - sont «  clairement opposés aux valeurs de la République » et s’inscrivent dans une logique « sécessionniste ». Autrement dit, en confrontation directe avec les valeurs du pays qui est le leur. La prochaine étude portera-t-elle sur leur passage au salafisme - on doit nager dedans, à mon avis - et au djihadisme ?

C’est Hakim El Karoui qui signe le commentaire de l’enquête. Répétons qu’il fallait enquêter. A Marianne, nous l’avons déjà fait souvent, mais pas si globalement, et souvent nous avons été dénoncés pour déviationnisme réactionnaire par les habituels molosses du politico-islamo-gauchisto-correct. Remercions donc les investigateurs de l’IFOP-Montaigne. Mais jusqu’à un certain point. Car les conclusions d’El Karoui sont proprement aberrantes. Pour désamorcer la bombe - elle est là, hein, tout le monde est d’accord, maintenant ? - il préconise l’enseignement de l’arabe à l’école « pour éviter aux parents d’envoyer leurs enfants dans les écoles coraniques ». Autrement dit, désintégrons toujours plus pour faire mine d’intégrer, éloignons toujours davantage de la langue commune pour faire semblant de s’en rapprocher.

Comme si les enquêteurs eux-mêmes n’avaient rien compris à leur enquête.

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