Dans la Sourate AT TARIK (L'Astre nocturne), on lit qu'Allah (le dieu soit-disant unique) jure par "l'astre nocturne" "at tarik". L'astre nocturne est une divinité païenne, la fameuse divinité Babylonienne "Ishtar" qui portait bien d'autres noms dans les diverses contrées d'Arabie.
De plus, dans la religion païenne Koreïsh, Allah est enfant de Houbal (nom arabe dérivé de Baal, Al Hou-Baal).
etc., etc.
L'islam est donc une religion dérivée de divers cultes Babyloniens. Pas besoin de chercher un verset du coran qui a disparu, il existe encore des verset contenus dans le Coran qui sont très liés au paganisme .
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Voir aussi :
Baal/Ba'al
Baal ou Ba'al
Hébreu : בָּעַל, Báʿal, Baʿalāh au féminin, qui signifie Seigneur
Arabe : بعل, Ba,al)
Akkadien : Bēl
Phénicien : בעלת Baʿalat, בַּעֲלָה
Est un Dieu sémitique, Cananéen, puis Phénicien.
Origines
Le terme Baal n'est pas à l'origine religieux : cet appellatif répandu dans de nombreuses langues sémitiques dénote un être respectable, le seigneur, le maître, le propriétaire ou parfois l'époux.
Ce titre est particulièrement appliqué à une divinité de l'orage et de la fertilité proche-orientale, nommée Melqart en Phénicie ou Adad en Syrie.
De nombreux noms de rois sont également précédés de cette particule.
Le mot n'était d'ailleurs pas utilisé qu'à des fins honorifiques ; l'exemple ba‘lāh hāri’šôn (l'ex-mari, le veuf) démontre la portée très large de ce mot.
Un rabbin particulièrement reconnu était appelé Baal Shem Tov.
Baal est une appellation générique d'un dieu, accompagnée d'un qualificatif qui révèle quel aspect est adoré
Baal Marcodés : dieu des danses sacrées
Baal Shamen : dieu du ciel
Baal Bek : le Baal solaire
Baal Hammon, le terrible dieu des Carthaginois.
Ainsi, chaque région avait son Dieu, son Baal local.
Baal est devenu l'appellation punique de nombreux Dieux d'origine sémite dont le culte a été célébré depuis le IIIe millénaire av. J.-C. Jusqu'à l'époque romaine.
(Belial, Bealiah, Beliar) (plus justement bə‘’alyâ), qui signifie « Jah (YHWH) est Baal ».
Un blasphème du point de vue de la Religion Hébraïque, car remettant en cause l'unicité de Dieu, puisque la Bible considère les « Baal » étrangers comme de faux Dieux.
Il est invariablement accompagné d'une divinité féminine (Astarté, Ishtar, Tanit), même s'il est hermaphrodite.
Le nom est mentionné pour la première fois dans « la théorie des anges » du Livre Éthiopien d'Hénoch VI.
Bien que ces noms ne soient pas utilisés à des passages importants, on les trouve mentionnés dans la liste des chefs des anges qui se sont rebellés contre Dieu. Il eu un fils nommé Arvor, devenu roi du royaume du nord des Enfer.
Cultes
Biblique :
Les textes bibliques témoignent de la « lutte acharnée » qui prend place à partir du ixe siècle avant J.C contre la vénération des divinités qu'incarne Baal qui concurrencent YHWH, divinité d'Israël en voie de « monothéisation ».
Selon la Bible, des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux et certains passages bibliques rapportent parmi les rituels chaldéens des sacrifices d'enfants pour obtenir les faveurs de la divinité, dans le livre de Jérémie (19:5 ) :
« Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, Pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n'avais ni ordonné ni prescrit, Ce qui ne m'était point venu à la pensée ».
Chroniques : 4:33, 5:5, 8:30, 9:36, 17:3, 23:17, 24:7, 28:2, 33:3, 34:4
Jérémie : 2:8, 2:23, 7:9, 9:14, 11:13, 11:17, 12:16, 19:5, 23:13, 23:27, 32:29, 32:35
Juges : 2:11, 2:13, 3:7, 6:25, 6:28, 6:30, 6:31, 6:32, 8:33, 10:6, 10:10
Osée : (2:8 > 2:10), (2:13 > 2:15), (2:17 > 2:19), 11:2, 13:1
Rois : 16:31, 16:32, 18:18, 18:19, 18:21, 18:22, 18:25, 18:26, 18:40, 19:18, 22:53, 22:54 3:2, 10:18, 10:19, 10:20, 10:21, 10,22, 10:23, 10:25, 10:26, 10:27, 10:28, 11:18, 17:16, 21:3, 23:4, 23:5
Samuel : 7:4, 12:10
Sophonie : 1:4
On le décrit comme le culte du veau d'or dans le livre d'Osée.
Osée 9:10 J'ai trouvé Israël comme des raisins dans le désert, J'ai vu vos pères comme les premiers fruits d'un figuier; Mais ils sont allés vers Baal-Peor, Ils se sont consacrés à l'infâme idole, Et ils sont devenus abominables comme l'objet de leur amour.
Dans la Bible, il n'a aucune identité précise, mais rassemble toutes les divinités qui pourraient détourner le peuple de Dieu du droit chemin.
C'est pourquoi dans le Livre des Juges, chaque histoire commence par : « Le peuple de Dieu se détourna du Seigneur et adora les Baals et les Astartés. »
Juges :
2:11. Les enfants d'Israël firent alors ce qui déplaît à l'Eternel, et ils servirent les Baals.
2:13 Ils abandonnèrent l'Eternel, et ils servirent Baal et les Astartés.
3:7. Les enfants d'Israël firent ce qui déplaît à l'Eternel, ils oublièrent l'Eternel, Et ils servirent les Baals et les idoles.
8:33. Lorsque Gédéon fut mort, les enfants d'Israël recommencèrent à se prostituer aux Baals, et ils prirent Baal-Berith pour leur dieu.
10:6. Les enfants d'Israël firent encore ce qui déplaît à l'Eternel; ils servirent les Baals et les Astartés, les dieux de Syrie, les dieux de Sidon, les dieux de Moab, les dieux des fils d'Ammon, et les dieux des Philistins, et ils abandonnèrent l'Eternel et ne le servirent plus.
10:10. Les enfants d'Israël crièrent à l'Eternel, en disant : Nous avons péché contre toi, car nous avons abandonné notre Dieu et nous avons servi les Baals.
Selon la Bible, des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux et certains passages Bibliques rapportent parmi les rituels Chaldéens des sacrifices d'enfants pour obtenir les faveurs de la divinité. Dans le livre de Jérémie :
Jérémie 19:4 Ils m'ont abandonné, ils ont profané ce lieu, Ils y ont offert de l'encens à d'autres dieux, Que ne connaissaient ni eux, ni leurs pères, ni les rois de Juda, Et ils ont rempli ce lieu de sang innocent;
Jérémie 19:5 Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, Pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal: Ce que je n'avais ni ordonné ni prescrit, Ce qui ne m'était point venu à la pensée.
Rituel de baal
Islam :
Le Coran en fait mention dans la Sourate 37 (As Saffat - الصَّافات ) (Les Rangées) :
124. Quand il dit à son peuple : "Ne craignez-vous pas [Allah]?"
125. Invoquerez-vous Baal et délaisserez-vous le Meilleur des créateurs,126. Allah, votre Seigneur et le Seigneur de vos plus anciens ancêtres?" 127. Ils le traitèrent de menteur. Et bien, ils seront emmenées (au châtiment). 128. Exception faite des serviteurs élus d'Allah. Et si on comprend que le Veau d'or est attaché au culte de Baal. Une bonne partie de la Sourate 2 (Al-Baqarah - سورة البقرة ) (La vache) en fait mention.
51. Et [rappelez-vous] lorsque Nous donnâmes rendez-vous à Moïse pendant quarante nuits!... Puis en son absence vous avez pris le Veau pour idole alors que vous étiez injustes (à l’égard de vous-mêmes en adorant autre qu’Allah).
67. (Et rappelez-vous) lorsque Moïse dit à son peuple: «Certes Allah vous ordonne d’immoler une vache». Ils dirent: «Nous prends-tu en moquerie?» «Qu’Allah me garde d’être du nombre des ignorants» dit-il.
68. Ils dirent: «Demande pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise ce qu’elle doit être». - Il dit: «Certes Allah dit que c’est bien une vache, ni vieille ni vierge, d’un âge moyen, entre les deux. Faites donc ce qu’on vous commande». 69. Ils dirent: «Demande donc pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise sa couleur». - Il dit: «Allah dit que c’est une vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir». 70. Ils dirent: «Demande pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise ce qu’elle est car pour nous, les vaches se confondent. Mais, nous y serions certainement bien guidés, si Allah le veut». 71. Il dit: «Allah dit que c’est bien une vache qui n’a pas été asservie à labourer la terre ni à arroser le champ, indemne d’infirmité et dont la couleur est unie». Egypte antique: On retrouve les mêmes attributs dans la mythologie Egyptienne Pour la Divinité Montou et le Taureau Sacré Apis.
Montou Musée du Louvre.
Statue en basalte du taureau Apis
Provenant du temple de Sérapis à Alexandrie.
Epoque romaine,règne d'Hadrien (117-138).
Il y a aussi lieu de rapprocher Baal de Houbal, idole de pierres semi-précieuses qui était perchée sur le toit de la Kaaba jusqu'à l'instauration de l'Islam, et qui était censée représenter une des divinités suprêmes du polythéisme arabe préislamique.
Certains auteurs arabes modernes estiment que son nom vient de Baal, appellation des dieux cananéens et phéniciens, précédé de Hou, article défini dans un dialecte cananéen.
Houbal
Grecque :
De la même façon, « Astartés » rassemble les divinités se référant à Ishtar, la déesse de Babylone.
À ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colline, appelés hauts lieux.
À l'intérieur se trouvaient des icônes et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens.
Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (Soleil, Etoiles).
Ishtar Astartés
Romaine : Baal comptait un temple important à Émèse (Homs) en Syrie, dont la grand-prêtrise appartenait à la famille des Bassianides. Hannibal Barca (en Phénicien Hanni-baal signifie « qui a la faveur de Baal » et Barca, « foudre »), généralement appelé Annibal ou Hannibal.
Né en 247 av. J.-C. à Carthage (au nord-est de l’actuelle Tunis en Tunisie) et mort par suicide entre 183 et 181 av. J.-C. En Bithynie (près de l’actuelle Bursa en Turquie), est un général et homme politique Carthaginois, généralement considéré comme l’un des plus grands tacticiens militaires de l’histoire.
En 218, son grand-prêtre devint empereur de Rome sous le nom d'Héliogabale, grâce à une parenté avec les Sévères par les femmes.
Héliogabale imposa pour un temps son culte aux Romains.
Ceux-ci le détrônent à cause de ses excès, notamment religieux.
Héliogabale ou Élagabal (Varius Avitus Bassianus) (né vers 203 mort le 11 mars 222) est empereur romain de 218 à 222 sous le nom de Marcus Aurelius Antoninus.
C'est le fils de Julia Soemias et de Varius Marcellus. Par sa mère, il est l'arrière-petit-fils de Julius Bassianus d'Émèse, le petit-neveu par alliance de l'empereur Septime Sévère, qui avait épousé sa grand-tante Julia Domna en secondes noces, et le neveu de Caracalla. Les femmes, qu'on appelait « les princesses syriennes », sont indissociables du destin d'Héliogabale. |
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