Sarah Haider, fondatrice d'une association
d'ex-musulmans, explique être menacée par ses anciens coreligionnaires et
méprisée par la gauche progressiste.
Par Jeffrey Tayler* pour Quillette** (traduction par
Peggy Sastre)
Publié le 21/01/2019 à 16:10 | Le Point.fr
Sarah Haider, fondatrice d'une association d'ex-musulmans
d'Amérique du Nord.
Dans l'Amérique du XXIe siècle, quel est le sort d'une jeune
femme qui s'extrait d'une idéologie religieuse consacrant l'infériorité des
femmes, la soumission des épouses aux maris (même s'ils sont violents), la confiscation partielle des héritières au profit de
leurs homologues masculins, la lapidation des adultères (et tout spécialement des
femmes adultères, vu les biais misogynes de la procédure pénale associée à
ladite idéologie), l'esclavage sexuel des captives de guerre,
l'observance d'un code vestimentaire accablant et qui sanctionne également
la sauvagerie des mutilations génitales...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire