Le régime libéral n’a qu’une ambition…produire produire et toujours produire et pour cela il faut créer des guerres pour les industries d’armements, des produits bagnoles frigo etc…à durée de vie limitée et par la loi imposer que les bagnoles soient changées souvent etc…et évidemment pour les industries des drogues ils leurs faut des malades…et des médecins qui soignent plus leurs compte en banques que les patients qui croient encore qu’ils sont la pour soigner…Certes il y en a quelques-uns qui veulent sincèrement soigner mais dans la masse ils sont rares…
hawky 23 décembre 2016 à 16 h 03 min
Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien », écrivait Voltaire… Près de trois siècles plus tard, un médecin, Sauveur Boukris, confirme la sentence et aggrave la peine dans un livre édifiant, dont nous publions des extraits en exclusivité.
Ces médicaments qui nous rendent malades (Le Cherche Midi)
§ Morts sur ordonnance
«Au Québec, le ministère de la Santé a évalué entre 10 et 15 % la proportion d’hospitalisations de personnes âgées liées aux médicaments. […] Selon les experts, les médicaments seraient responsables, chaque année, de près de 100 000 morts aux Etats-Unis et de 10 000 au Royaume-Uni. Une étude américaine publiée en 1990 estimait que 5 à 20 % des admissions à l’hôpital étaient le résultat des effets indésirables des médicaments. Ce chiffre est probablement sous-estimé ! En 1998, une enquête du Journal of the American Medical Association révélait que 106 000 citoyens américains seraient morts après une utilisation de leurs médicaments dans des conditions normales, c’est-à-dire sans erreur de prescription, sans abus ni surdosage ! […] Au cours des vingt-cinq dernières années, 10 % des nouveaux médicaments mis sur le marché aux Etats-Unis ont fait l’objet de retrait du marché ou de forte mise en garde. […] 20 millions de patients aux Etats-Unis ont pris au moins un des cinq médicaments retirés du marché en raison de risques graves entre septembre 1997 et septembre 1998. En France, on estime le nombre de décès dus aux médicaments entre 8 000 et 13 000 par an. Deux à trois fois plus que ceux dus aux accidents de la route ! On compte près de 130 000 hospitalisations par an dues à des médicaments. Ce sont les plus de 65 ans qui paient le plus lourd tribut et qui sont les plus touchés par ces accidents thérapeutiques. Les effets néfastes des médicaments sont deux fois plus fréquents après 65 ans, et 10 à 20 % d’entre eux conduisent à des séjours à l’hôpital. Avec l’âge, le nombre de maladies augmente et la consommation de médicaments aussi. De plus, le risque d’interaction du fait d’association de médicaments s’accroît!»
§ Des mélanges parfois explosifs
§ Des enfants et des adolescents traités avec des antidépresseurs
§ Des calmants hallucinogènes
§ Les effets secondaires peuvent être ravageurs
§ Quand Le sevrage nuit à la santé
§ Des dangers du pamplemousse associé à un médicament
§ Des remèdes pires que les maux
§ Beaucoup d’innovations n’en sont pas
§ Le traitement de la ménopause provoque l’incontinence
§ Sans ordonnance, mais pas sans risque!
§ Certains médicaments provoquent des crises de foie
§ Y a-t-il un pilote dans l’avion?
§ Les médecins téléguidés?
§ Les experts sous influence…
§ … et les autorités sous pression
§ L’Europe du médicament est opaque
§ Les labos créent des malades imaginaires
Pour lire les extraits de tous ces chapitres, voici le lien, fourni par L’Express en 2009
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/tout-ce-que-l-on-ne-vous-dit-pas-sur-les-medicaments_764792.html
crew.koos - Un livre à vous rendre malade...
Préfacé par le Pr Philippe Even, qui mene depuis de longues années, en parfait franc-tireur, un combat pour une médecine et des experts indépendants de l'industrie pharmaceutique, et dénonce régulièrement la collusion entre certains politiques et l'industrie pharmaceutique, voilà un nouveau livre qui, à l'instar de ceux parus récemment sur la malbouffe où le traitement réservé à nos anciens dans les maisons de retraite, fait froid dans le dos.
Il y a 3 siècles de celà Voltaire écrivait: "Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien". Force est de constater qu'aujourd'hui les choses ont très peu changé, malgrè tous les progrets réels pourtant effectués. Le livre, truffé d'anecdotes vécues et de références chiffrées, dénonce, entre autre, le scandale des enfants et des adolescents traités avec des antidépresseurs, les calmants aux effets hallucinogènes, "les anti-inflammatoires (qui) utiles dans les poussées d'arthrose peuvent provoquer des hémorragies digestives ou des ulcères gastro-duodénaux. Les antalgiques aussi facilement prescrits ou consommés que le paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, etc.) (qui) peuvent induire des hépatites graves, dont certaines sont fulminantes, voire mortelles. Les psychotropes, dont la France détient le record européen de consommation, (qui) sont responsables de 10 à 30 % des hospitalisations en urgence, surtout chez les personnes âgées. Les antibiotiques (...qui...) induisent des accidents cutanés de type allergique et, pour certains d'entre eux, des problèmes hématologiques ou rénaux", en résumé, des remèdes pires que les maux.
Parrallèlement au puissant lobby de l'industrie qui oeuvre dans l'ombre des instances du pouvoir, "les firmes pharmaceutiques jouent sur nos peurs : peur de la mort, de la maladie, de la déchéance physique ou psychique, pour vendre des médicaments ! Des troubles mineurs sont décrits comme des affections graves : la timidité, par exemple, devient un trouble d'anxiété sociale, la tension prémenstruelle devient ?un trouble dysphorique prémenstruel. Etre un sujet à risque pouvant développer une pathologie devient une pathologie en soi ! Les stratégies marketing des firmes pharmaceutiques ciblent ainsi les bien-portants. " pour venir gonfler encore les énormes bénéfices qu'elles réalisent et conquérir de nouveaux marchés.
Un livre qui fait froid dans le dos mais dont la lecture, si elle ne vous rend pas malade, se révellera des plus instructive.
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