lundi 9 octobre 2017

Antiracisme anti-français, islamogauchisme et plan Kalergi

Le massacre raciste de Marseille : Le diagnostic d’Abdelghani Merah associé à celui de... Manuel Valls ! 

Danièle Obono : le droit au racisme inversé ? 

Le plan Kalergi : génocide des peuples européens

Dépitée Obono - Chroniques de l’Assemblée

La Gauche doit faire le ménage dans ses rangs

Le CCIF, anti-discrimination ou anti-république ?

L’honneur perdu de Sonia Nour




Le CCIF, anti-discrimination ou anti-république ?
par Elena Mangusta 
jeudi 21 septembre 2017

LE CCIF, présentation

Groupuscule quasiment inconnu du grand public il y a peu encore, le CCIF (Collectif Contre l'Islamophobie en France) a explosé en nombre d'adhérents à l'été 2016 grâce à « l'affaire burkini » qu'il a soigneusement instrumentalisée et exploitée y compris à l'étranger, gagnant environ 9000 adhésions en quelques mois. Aujourd'hui il compte selon ses dires 14 000 adhérents et sa page fb est « likée » par 126 000 personnes...
Son influence est certes encore négligeable si on la rapporte au nombre estimé de musulmans en France, cependant le passage professionnel de son directeur à l'OSCE (Organisme pour la Sécurité et la Coopération en Europe) et les contacts qu'il a pu ainsi garder dans les milieux proches des institutions européennes, les liens tissés à l'international également, notamment avec les mouvement antiracistes américains dont il s'inspire, tout ceci conduit à ne pas sous-estimer sa capacité de nuisance.
Elle est apparue notamment à cette occasion avec un véritable bashing anti « France islamophobe » orchestré dans les pays anglo-saxons notamment durant cet épisode burkini. Récemment encore son ex-directeur et néanmoins très actif Yasser Louati a été convié par le biais de ces liens troubles à pérorer contre la « France islamophobe » devant le Parlement Européen....
Suite à cette augmentation du nombre d'adhérents et de la notoriété du groupuscule, sa capacité financière s'est trouvée accrue, les techniques se sont clairement affinées et professionnalisées. Durant ces derniers mois plusieurs sujets polémiques ont ainsi été récupérés par le CCIF, et à ces occasions, un schéma type du mode d'action s'est précisé, schéma qui montre un objectif dépassant de loin la lutte contre les discriminations.

Le CCIF défend-il vraiment les musulmans ?
Pointons tout d'abord une évidence : le CCIF a pour objectif, officiellement la lutte contre les pratiques discriminatoires envers les musulmans et ce qu'il appelle, selon le terme ambigu et inadéquat qu'il essaie d'imposer, « l'islamophobie ». Or, première constatation, à l'étude des cas étudiés il s'avère qu'ils ne relèvent quasiment jamais d'une pratique religieuse simple et personnelle mais au contraire systématiquement ostentatoire et revendicative. De fait les cas de discriminations sur des noms, des faciès par exemple sont quasiment absents. Par contre le port du voile, les revendications alimentaires, les pratiques au travail etc sont surreprésentés. D'où il appert en première constatation que le CCIF défend en fait, non pas « les » musulmans mais bien plutôt les plus fondamentalistes, ceux dont les pratiques sont les plus agressives vis à vis des mœurs et coutumes françaises, les plus opposées au modèle républicain assimilateur et qui mettent le plus à mal la cohésion sociale. Pire, les cas douloureux de musulmanes luttant désespérément contre la pression sociale qui leur impose de fait le port du voile ne sont JAMAIS évoqués, ni les insultes reçues pour port de vêtement insuffisamment « couvrants » etc. Il y a donc tromperie sur la marchandise et, de la même façon que la définition par le CCIF des actes dits « islamophobes » était curieuse et très très souple (voir les excellents articles et livre à ce sujet d'Isabelle Kersimon), le CCIF est donc un organisme défendant de fait et contrairement à ses discours et ses statuts, principalement l'islam politique et radical, celui qui produit un communautarisme anti-républicain.

Exemple de méthodologie : les cantines scolaires

Mais étudions de plus près un cas spécifique, afin de dégager les éléments clés de la méthode CCIF. Un exemple d'actualité au moment de la rentrée scolaire, les menus des cantines scolaires. Un jugement récent a réintroduit les menus de substitution au porc sur la commune de Châlon sur Saône. La Ligue de Défense Judiciaire des Musulmans s'en félicite et les commentaires attaquent aussitôt l'étape suivante : le refus tout simplement de la viande, car non halal. Le CCIF embraie bien évidemment le pas, l'occasion est trop belle. La technique est très au point depuis quelques mois déjà et toujours la même :
Etape 1, créer ou amplifier le problème : on mentionne des « demandes », des « plaintes », toujours anonymes et sans précisions de lieux ou autre. Ici la rentrée est à peine faite (7 septembre) et déjà la page annonce « beaucoup de signalements »...... Il y a quelques mois c'était un problème de préparation aux examens en plein Ramadan, idem, établissement anonyme, aucun élément concret.

Document 1
Le CCIF est donc selon lui toujours “sollicité”, rien à voir bien sûr avec un opportunisme qui instrumentaliserait tout incident du fil d’actualités, même si les coïncidences sont troublantes ..... Au passage on est donc passé allègrement et ni vu ni connu du refus de consommation de porc au refus de la viande en général.....Et hop !
Etape 2, pousser à l'affrontement : Le ccif n'est pas un adepte de la médiation, c'est clair, comme pour les problèmes liés au Ramadan en juin 2017, il attaque direct : à aucun moment on ne conseille de prendre rendez-vous sereinement avec un responsable, de dialoguer, non, la loi, l'agression, le courrier mentionnant les articles de loi etc, on est de toute évidence dans la recherche du rapport de force, voire dans la création de toute pièce d'un incident qui permettrait de déclencher le judiciarisation et la victimisation (ce procédé a déjà été utilisé pour le port du voile lors des épreuves d'examen 2017, si il n'y a pas de problème, au besoin on en invente), bref la lutte anti-discrimination prend une tournure revendicative et revancharde qui interpelle.
Un encart proposant un extrait de textes de lois (voir document 2) assénés aussitôt, accent mis bien évidemment sur les DROITS, et entretenant allègrement la confusion entre droit à l'instruction et cantine qui rappelons-le est juste un service rendu aux parents, sans aucun caractère obligatoire. On y sous-entend ainsi que l'état s'opposerait à la liberté des parents quant à l'éducation religieuse, ce qui est factuellement faux, voire qu'il y aurait un refus ou une obstruction au droit à l'instruction ce qui est encore plus faux. A aucun moment bien évidemment le caractère facultatif de la cantine scolaire n'est évoqué. Ni la notion d'intérêt général, pourtant au cœur du problème ici, ni l'organisation du service ou la prise en compte d'autres demandes spécifiques (allergies, autres interdits, goûts etc). Non, contre toute objectivité, seuls les desideratas musulmans sont évoqués, transformant ainsi en discrimination une organisation logique de la vie collective.

Document 2
Le résultat ne se fait pas attendre. Les demandes parentales se multiplient, et l'exigence et le ton montent. Il n'est donc plus question déjà des repas comportant du porc mais de supprimer toute viande. Voilà ce que l'on peut lire dans les commentaires non modérés sur la page (document 3) : au passage on note bien ici que du côté de la restauration personne ne force les enfants à manger, contrairement aux titres alléchants, on respecte juste leur libre arbitre et on essaie de simplifier au maximum le service ce qui est compréhensible au primaire.

Document 3
Arrive ensuite les « bonnes idées » :
- C'est “beaucoup mieux en Allemagne “ (pas un mot des prestations sociales non comparables, des minimas de salaires ni des difficultés immenses à trouver une crèche bien évidemment) et la France est « en retard » :

Le modèle allemand


La France en retard
- Et en fait si tout le monde mangeait halal, ça serait tellement plus simple et « inclusif » :

"c'est de la viande tout simplement...." heu...


La vision inter religieuse, les athées n'existent pas
Et bon pour la santé, les koufars sont ignorants :

Le halal c'est le mieux
Tous les commentaires au passage établissent clairement une démarcation entre « nous » et « eux », « ils », impersonnel, ce sont la mairie, l'école, la cantine, les non-musulmans qui ne comprennent rien avec « leur laïcité », qui sont hostiles, « islamophobes » et qui « sont payés » pour un service et doivent satisfaire le client.
La protection sociale de haut niveau, l'accès à l'instruction gratuite pour tous etc qu'apporte la République en échange de cette souscription à un idéal commun ? Pas un mot. Où est la Nation, dont pourtant M. Muhammad nous rebat les oreilles ?
Et les commentaires anti-communautaristes, eux, sont supprimés rapidement.......

Supprimé par la modération
Ainsi que tous les échanges sereins entre musulmans et non-musulmans en commentaires qui peu à peu avaient amené malgré tout les parents à comprendre que le problème dépassait le cadre religieux et relevait non de l'hostilité spécifique mais de l'organisation, du coût, du sens du commun etc...
Cerise finale sur le gâteau, les commentaires violents ne sont pas, eux, modérés...

......

Un destructeur de cohésion sociale :

Au final, il est clair que le ton général donné au site et à la page facebook du ccif n'est en rien favorable à un « vivre ensemble » collectif et harmonieux dans un cadre laïque et républicain, bien au contraire. Il encourage, étape par étape, à toujours plus d'esprit communautariste relativement hostile, à toujours plus de revendications religieuses, ostentatoires et perturbatrices des services, à toujours plus d'individualisme et de « consumérisme » en terme de services publics sans aucun souci de préservation du bien commun et donc de fait sans aucun esprit laïque.
Loin d'être un organisme d'intérêt public, le ccif est donc bel et bien un contempteur du modèle républicain, un destructeur de cohésion sociale.
La conclusion s'impose, delendum ccif !


La gauche doit faire le ménage

par moderatus 
vendredi 6 octobre 2017

Le recrutement d'islamo compatibles ou islamo gauchistes, n'est pas de nature à attirer des électeurs nouveaux en dehors des inconditionnels.

Il faut que la gauche se garde de certains de ses militants qui donnent à leur parti une image sulfureuse.

Ce recrutement est la conséquence de cette pèche aux voix où tous les partis, pour ''gagner'' ou séduire des électeurs potentiels sont allés pècher dans toutes les mers, avec des leurres pas très admissibles, et même parfois en eau trouble.

Alors fatalement ils ont ramené dans leurs filets des prises bizarres, à l’idéologie un peu trop marquée et qui donnent libre cours à des positionnements parfois limites.
Des exemples récents dans la diversité de la gauche, qui ont défrayé les chronique, enflammé les réseaux sociaux et porté préjudice, au parti pour lequel ils militent.

Sonia Nour, communiste
une collaboratrice au cabinet du maire communiste de La Courneuve, Gille POUX
poste un message qui a mis le feu aux médias alternatifs.

Parlant de l'attaque au couteau qui a causé la mort des deux jeunes filles à Marseille elle envoie ce message hallucinant.

« Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation bla bla bla… Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule », écrit celle qui se définit comme militante communiste et décoloniale.

Si ça n'est pas faire faire l'apologie du terrorisme, cela s'en rapproche fortement.

Je pense que cette dame est inconsciente de l'absurdité et de la gravité de ses propos.

Si on rentre dans le jeu de son raisonnement absurde, en 2015, on a recensé la mort de 800.000 personnes en France, pour cause multiples, accidents de la route, accidents domestique, maltraitances, alcoolisme, etc, surtout de vieillesse.

A côté de ces chiffres, 2 jeunes filles égorgées ce n'est rien, si on est assez cintré pour faire des comparaisons qui n'ont pas une once de raison.

Mais madame Sonia NOUR n'en est pas à son coup d'essai, le 22 juin elle avait envoyé un tweet.
"J'emmerde cette France raciste, cette France patriarcale.
J'emmerde cette France homophobe et validiste. J'emmerde la France bourgeoise,
communautaire et consanguine. J'emmerde cette France maltraitante et le déni de son histoire.
Les noirs et les arabes ne disent pas « vive la France » ? Apprenez à nous respecter."

Sa haine de la France ne peut être plus explicite. Pourquoi les partis recrutent ce gence ce personnage ?

Faire le plein de voix communautaires par n'importe quels moyens je ne vois pas d'autres explications.

Pour la poursuite judiciaire de Sonia NOUR

Comment une idéologie peut corrompre le jugement à ce point et tuer toute objectivité et réflexion ?
Enfin Gilles POUX le Maire, l'a suspendue de ses fonctions immédiatement, et a publié un communiqué dans lequel il condamne avec la plus grande fermeté les propos de cette collaboratrice et envisage de sévères sanctions.


OBONO insoumise

Proche des Indigènes de la République (PIR), association puis parti racialiste, accusé d’antisémitisme, de sexisme et d’homophobie


Obono, intarissable et incurable.

Vous savez celle qui peut « encourager les Nique la France » mais pour qui il est au dessus de ses forces de dire merci à la France qui lui a permis, elle immigrée à l'âge de 10 ans du Gabon de devenir Française, d'être instruite à un haut niveau, et de devenir ce qui n'est pas rien, représentante du peuple dans le pays d'adoption, en un temps record, elle n'a que 37 ans

Ces jours-ci elle vient encore de se faire remarquer par sa complaisance envers l'Islam politique, Valls qualifie cette attitude de complicité, je pense qu'il est plus près que moi de la vérité.
les faits

Un chauffeur de bus Musulman qui refuse de conduire un car qu'une femme a conduit auparavant, ce n'est pas pas de la radicalisation, c'est peut être du sexisme explique-t-elle.
et elle ajoute

« Qu'est ce que ça veut dire "radicalisation" ? je ne sais pas ce que ça veut dire. »
Qu'elle s'interroge sur sa réponse, elle aura la lumière sur son attitude..

Bourdin en est resté sur le cul.
Bourdin

Schiappa. Socialiste, immigrée à LREM

Qui écrivait il n'y a guère contre la loi de 2004

« L'article 1er de la loi de 1905 prévoit que la République "ne reconnaît ne salarie ne subventionne aucun culte". Ni plus ni moins. Interdire le voile c'est reconnaître le voile comme signe religieux, donc reconnaître une religion, interdire le voile à l'école est donc contraire à la loi de 1905
Elle est pour la position salafiste du voile à l'école.


Que fait elle chez Macron ? il a dû lui faire manger son chapeau depuis.


Je passe sous silence Garrido, qui passe son temps sur les plateaux TV à donner des leçons de morale tous azimuts et qui ne payerait pas ses cotisations retraites depuis 6 ans. J'emploie le conditionnel, alors qu'un communiqué nous indique que son avocat aurait signé un compromis pour un échéancier de réglement et que son silence depuis l'article du canard enchainé est assourdissant.

On a même accepté sans trop s'indigner que Mélenchon voyage en classe affaire, car il a mal au dos. Moi aussi j’ai mal au dos, et je voyage en bétaillère.

Mélenchon se veut et peut-être l'opposant N°1, les autres partis ayant explosé en vol, mais il faut pour cela être crédible sur la possibilité d'offrir une solution alternative.

Pas avec des porte paroles aussi suspects, Mélenchon, le peuple ne vous suivra pas.
Si il n'y a pas d'opposition crédible, notre Monarque va traverser son quinquennat dans son carosse doré, en saluant des foules amorphes qui n'oseront même plus "foutre le bordel "comme il le dit si élégamment

Il faut nettoyer les écuries d'Augias Monsieur Mélenchon.
Gauche insoumise, totalement d'accord, on suit,
Mais insoumise aussi aux pressions islamo gauchistes.

Dernière minute

En terminant cet article je viens de lire.
Claudine Kauffmann, sénatrice FN

qui a pris dimanche dernier la succession de David Rachline pour cause de cumul des mandats avec sa mairie de Fréjus (Var). Sauf que des anciens propos tenus par la frontiste ont vite refait surface, repérés par le site BuzzFeed. Elle comparait notamment ces derniers mois sur Facebook les migrants à l'Occupation nazie ou à la "vermine".

J'espère qu'une plainte sera déposée et que des sanction sèvères seront prises.

Traiter les migrants de nazis est aussi absurde et abject que d'insulter la France de racisme.


Antiracisme: le piège du droit à la différence (09.10.2017)



Marche des beurs, 1983. Sipa. Numéro de reportage : 00109175_000004.

« Le droit à la différence » fut le sujet de dissertation au concours du CAPES de l’année 2013 sous l’autorité de Vincent Peillon, alors fraîchement nommé à la tête du ministère de l’Education nationale ; et ce, au moment même où la loi prônant en France le mariage pour les couples homosexuels était en discussion au Parlement ainsi que de façon tumultueuse dans l’espace public. Le locataire de la Rue de Grenelle de cette période est, à l’origine, un agrégé de philosophie, spécialiste de la pensée de Maurice Merleau-Ponty. Peillon, comme le maître qu’il s’est choisi, se perçoit comme un défenseur de « l’être-au-monde ». Seulement, un mondain n’est pas nécessairement un amoureux du « kosmos », « l’ordre » en grec ancien, censé régir l’univers sur le plan mathématique.

Exaltation de la différence

Précisément, il est question ici de parler de la sacralisation du pluriel au détriment de l’unité. Ce qui relève, au départ, du bon sens lorsque l’on veut obtenir une paix civile perpétuelle. Pourtant, le « droit à la différence » fait fi, dés sa formulation, du devoir d’identité. Il s’agit d’une formulation essentiellement idéologique puisqu’il est induit ici que, dans la sphère politique, l’individu dans sa différence, que celle-ci soit d’ordre physique, ethnique, sociale ou sexuelle, ne peut que se confronter à un ordre supposé majoritaire qui fixerait une identité nationale. Le petit, le grand, le gros, le maigre, le rouquin, la femme, l’homosexuel, l’handicapé ou l’étranger, chacun d’eux devient, de fait, la victime d’un ou des Autre(s). Existentiellement parlant, on est toujours l’autre de quelqu’un d’autre. Dés lors, le minoritaire se sent mineur, et ainsi incapable d’affirmer son autonomie autrement que par la contestation « sociale », pour ne pas dire véritablement sociétale.

« La marche des beurs » de 1983 avait ouvert, en France,  la voie en la matière. A l’état de nature, seule la guerre des instincts prévalait.

De la guerre des egos en milieu mondialisé

Aujourd’hui, seule la guerre des egos a cours. Dans une globalisation financiarisée, et par là-même ultratechnologisée, chacun spécule sur son « Moi », tant individuel qu’ethnique. Mais, où est le « Nous » fondateur de n’importe quel Etat-nation? Nulle part. Le « quart d’heure de célébrité  » warholien et la mode du selfie ne peuvent remplir en rien un tel vide culturel. Il faudrait un jour se demander si le droit-de-l’hommisme ne serait pas le pire des nihilismes. Être humain ne signifie pas être humaniste. L’homme ne devrait pas avoir besoin de lui-même, mais de quelque chose qui le dépasse. Sans roi, le citoyen est nu.

Nous vivons aujourd’hui dans un ordre politique qualifié de « nouveau », où la maximisation des droits se réalise dans le but d’une minimisation des devoirs. Les individus réunis en communauté, comme les atomes dans une centrale nucléaire, sont en mesure de revendiquer de nouveaux droits, c’est-à-dire de nouvelles libertés. Peu à peu, les devoirs s’effacent et les droits explosent. La multiplication des libertés au nom de l’égalité des droits ne provoquerait-elle pas, à moyen ou à long terme, l’implosion de l’Etat-nation? L’ordre libéral-libertaire institue inéluctablement un régime totalitaire. Être communautaire ou être identitaire, c’est devenu la même chose.

Dans les faits, il n’y a pas de mélanges

L’affirmation du sujet appelle la dissolution du sujet; et inversement. Le droit à la différence a engendré le Droit de la dissemblance en instituant le Devoir de ressemblance. Dés lors, tout ce qui se veut identique se dilue irrémédiablement de l’intérieur pour devenir schizophrénique. A force de vouloir être un autre par rapport à d’Autres, on croit être un individu en se mêlant à une tribu. On ne fait pas de « Nous » en additionnant des « Moi ». En matière d’immigration, on confond l’addition et la multiplication. Les « Indivisibles » de Rokhaya Diallo et les « Indigènes de la République » d’Houria Bouteldja sont les enfants de « la Marche des beurs ». Dans les faits, il n’y a pas de mélanges. Ethnologiquement, sociologiquement et géographiquement, c’est un fait incontestable, et ce quelque soient les convictions politiques des uns et des autres : les gens se séparent. Les indivisibles ont eu la peau des invisibles.

La guerre de tous contre tous » revient

L’homme de bon sens est perçu comme étant quelqu’un d’insensé. Il faut être tribal pour être perçu comme normal. Terra Nova pense être le fondateur d’un nouveau monde. Mais force est de constater que  « la guerre de tous contre tous » est de retour. La France est-elle condamnée à devenir une piste d’athlétisme où chacun serait dans l’obligation de rester dans son couloir? La nation, c’est d’abord le principe d’enracinement culturel commun parmi tous les citoyens d’une république une et indivisible. La Nation n’est pas une souche, mais un cœur. Un cœur angoissé n’est pas nécessairement un cœur sans amour. A l’instar de ce que Camus défend dans La chute, on doit affirmer que l’homme « ne peut pas aimer sans s’aimer ». Le mondialisme, en tant que nouvel internationalisme, interroge l’angoisse de chacun, tant sur le plan personnel que sur le plan culturel. Le rapport au cosmos est bouleversé, un chaos veut recommencer.

Les djihadistes ne sont pas des victimes de nos sociétés « postcoloniales »
par
 - 9 octobre 2017

"Marche pour la dignité" à Paris, octobre 2015. SIPA. 00728849_000004

André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »

Pourquoi la révolte de jeunes, à laquelle nous assistons en France et dans l’Europe de l’Ouest, s’est traduite par une radicalisation religieuse musulmane fanatique, et non, par l’adoption, par exemple, d’une idéologie ultragauchiste ou fasciste ?

Le politologue spécialiste de l’islam Olivier Roy1 parle d’une « révolte générationnelle nihiliste ». Il estime que ce n’est pas l’islam qui s’est radicalisé, mais les jeunes radicaux qui se sont islamisés, et que ceux-ci auraient tout aussi bien pu jeter leur dévolu sur une autre idéologie. Il ajoute que « le terrorisme n’est pas une conséquence du salafisme ». Quant à l’efficacité du discours salafiste, Roy l’explique par sa valorisation, chez ces jeunes, de ce qui devrait au contraire les déprécier, à savoir leur ignorance de la religion musulmane. Cette impéritie devient un gage d’innocence : ce que tes parents t’ont transmis n’est pas le véritable islam (l’absence de fanatisme dans la foi des parents témoigne de la dégénérescence de leur croyance) ; nous allons t’enseigner la vraie Voie de Mahomet, et tu la comprendras mieux qu’eux parce que tu n’es pas contaminé par un islam corrompu. En les sortant symboliquement de leur indigence culturelle, les salafistes font accéder ces jeunes au rôle de détenteurs et de passeurs de la vérité divine. On comprend, dès lors, la perte chez ces derniers de tout sentiment de respect pour leurs parents, et l’imminence de leur rupture avec la famille.

La fabrique des crétins?

Que certains jeunes Français, de culture musulmane ou convertis, mus par un mélange de malaise et de haine diffusé notamment par les réseaux sociaux, se soient saisis de la religion musulmane pour donner un semblant de sens à leur révolte est bien sûr tout à fait probable. Cependant, à considérer cette radicalisation comme un phénomène uniquement générationnel et propre aux sociétés occidentales (ce sont nos jeunes, et c’est notre système qui en a fait des djihadistes, entend-on parfois), sans tenir compte de l’environnement mondial qui voit la sphère islamique se radicaliser un peu partout dans le monde, revient à considérer, à l’instar d’Edwy Plenel, le problème du djihadisme en France comme franco-français. Est-il si évident que des jeunes de banlieue ne subissent pas (ou très peu) l’onde de choc produite par la vague djihadiste mondiale ? Olivier Roy signale que beaucoup de ces jeunes ignorent pratiquement tout de l’islam. Je veux bien le croire, mais est-ce significatif ? Nombre de soixante-huitards et post-soixante-huitards se sont engagés dans des combats gauchistes ou communistes sans avoir lu Marx.

Étant donné la prégnance exercée, aujourd’hui encore sur nombre d’esprits, par l’idéologie tiers-mondiste, on ne s’étonnera pas de voir des tenants de celle-ci se mêler du débat. Ainsi, pour contester la vision d’Olivier Roy, le directeur de recherche au CNRS, François Burgat2, invoque-t-il la mémoire de la colonisation : voir « dans les djihadistes français “des pieds nickelés” “nihilistes”, des individus invertébrés totalement coupés de leur milieu, ne permet pas […] de penser la responsabilité – essentielle – des non-musulmans. Olivier Roy énonce d’une manière bien peu convaincante le postulat de cette imperméabilité supposée des djihadistes vis-à-vis des stigmatisations en tous genres subies par leurs coreligionnaires […]. La colonisation ? Ils ne l’ont pas connue ! Nos bombes ? Elles n’ont rien à voir avec les leurs ! Le monde musulman ? Ils ne le connaissent pas ! » Et Burgat d’ajouter, comme on pouvait s’y attendre : « Je considère que nous sommes en réalité les partenaires indissociables de cette violence trop simplement qualifiée d’“islamique” par les uns, de “nihiliste” par les autres. […] Le recours à la violence sectaire fait donc suite à des dysfonctionnements majeurs du “vivre-ensemble” européen ou oriental qui poussent ces individus à la rupture. […] La question n’est donc pas pour moi de combattre les djihadistes mais d’arrêter de les fabriquer. »

L’ « indigénisation » de la République

Et voilà : les milliers de djihadistes français ne sont que le produit de nos dysfonctionnements postcoloniaux… Question : s’il s’agit d’une réponse à la situation postcoloniale dans laquelle les musulmans se sentent étouffés, d’où vient, comme le demande Olivier Roy, que les djihadistes « tuent bien plus “d’hérétiques” que de “croisés”, sans même voir que nombre de ces “hérétiques”, en l’occurrence les chiites pro-iraniens, partagent leur rejet d’Israël et leur haine de l’impérialisme occidental (ce que Burgat ne peut expliquer, à moins de parler de malentendu ou d’aliénation au sens marxiste) ».3 Question subsidiaire : qu’en est-il des djihadistes belges, allemands ou hollandais, citoyens de pays où il n’existe pas de contentieux colonial avec le monde arabe ?


N’est-il pas évident, comme le dit Gilles Kepel, que si l’on veut comprendre ce nouveau terrorisme qui sévit en Europe de l’Ouest il faut d’abord prendre en compte la radicalisation de l’islam qui bouleverse le monde musulman et mesurer l’influence du discours salafiste hégémonique exporté dans les banlieues ? Mais cette démarche se heurte à notre interdit idéologique : la volonté, d’un côté, de diluer le djihadisme dans une radicalisation « nihiliste » somme toute « banale », de l’autre, de l’expliquer par des « dysfonctionnements majeurs du “vivre-ensemble” européen », témoigne de notre peur, encore et toujours, d’être accusé d’islamophobie. Une fois de plus, nous nous égarons dans le déni et l’autocensure ; nous écartons toute interrogation quant à l’utilisation idéologique de l’islamisme ; nous excluons l’analyse critique d’un phénomène qui contredit notre vision dominants / dominés ; nous refusons de voir combien le djihadisme, par l’exportation en Europe de sa dynamique salafiste, incite à la contestation violente de nos valeurs démocratiques. Et une fois de plus, nous choisissons de mettre en cause notre culture « blanche néocoloniale » que nous voulons à tout prix tenir pour responsable de la radicalité dans laquelle s’est engouffrée une frange de la jeunesse française de culture musulmane, sans voir que nous nous rendons complices des religieux salafistes et des Indigènes de la République dans leur projet de destruction de la démocratie laïque.



Danièle Obono : le droit au racisme inversé ?


par France Républicaine et Souverainiste (son site) 
samedi 29 juillet 2017

Quand on y croit, on y va...

Danièle Obono est la seule élue parisienne de la "France insoumise". Issue de la "diversité", elle se veut la porte-parole (une de plus !) de la lutte contre les discriminations sociales et culturelles.

Elle vient de créer la polémique en refusant d'affirmer son patriotisme lors d'une émission radiophonique (les grosses têtes sur RTL, en juin dernier), en réfutant la Marseillaise et en renouvellant son soutien à un groupe de rappeurs-niqueurs qui meuglait "nique la France" il y a quelques années (Le groupe... "Zep" !). Rien de bien nouveau dans l'hexagone, où le sans-gêne est désormais de mise parmi nos élites issues de l'immigration.

Or les attentats sont passés par là, et certains commencent à sortir de l'autisme pour comprendre le conditionnement au rejet de la république pratiqué sur les jeunes de banlieue (entre autres) par les rappeurs islamistes depuis plusieurs années. Merah, les frères Kouachi, Salah Abdeslam et Mohamed Abrini n'écoutaient pas du Claude François avec leurs oreillettes de leurs smartphones... Danièle Obono partage avec eux ses goûts musicaux doûteux, et pas seulement. Elle a refusé de manifester après les attentats de Charlie-hebdo, et appelle à une "insurrection populaire" plus ethnique que sociale. Il y a deux ans, l'auteur de l'article présent dans le quartier de Belleville (Paris 10ème/19ème) assista à une manifestation contre la "précarité" où quelques centaines de femmes voilées encadrées par leurs maris barbus scandaient des slogans contre la baisse des aides sociales, en mélangeant un mauvais français avec de l'argot arabe. On était loin des défilés cégétistes d'il y a trente ans...

Notre Louise Michel version tresses rastas est pourtant bien loin d'être elle-même une discriminée. Fille d'un ponte de la banque Paribas de son Gabon natal (donc de la Françafrique qu'elle dénonce dans la série faites ce que je dis, pas ce que ja fais...), réfugiée en France quand son paternel s'est brouillé avec tonton Omar Bongo, elle a étudié à la Sorbonne et travaille dans une médiathèque parisienne. Comme victime sociale, il y a pire.

Pour passer le temps, elle a milité. Chez les idiots utiles d'extrême-gauche (NPA), les néo-fascistes communautaires (indigènes de la république) puis aux "insoumis". On voit mal le lien entre cette conformiste et suiviste demoiselle et l'insoumission... Il est vrai que l'on rencontre peu d'écorchés vifs parmi les militants de Mélenchon, seulement des permanents syndicaux et des profs en vacances. Libre à Dany de les fréquenter, eux, plutôt que l'UPR ou le FN. A chacun ses combats.

Dans son cas, c'est celui de la synthèse de cette gauche bobo anti-patriote, consumériste, sans morale (d'ailleurs Danièle n'est pas musulmane à priori !), conditionnée par les inrocks et libération. Ces gens détestent la France profonde et la république car ils sont incapables de se remettre en question. Danièle Obono, comme Saidou le chanteur niqueur de "français", refuse de faire un pas vers l'autre quand il est différent, mais on ne doit pas la taxer de raciste. Dans d'autres pays, les électeurs l'auraient envoyer promener ; ailleurs, on lui aurait retiré ses papiers. Mais en France, rien n'est pareil. L'immigré est mis en avant tant qu'il reste à sa place et qu'il refuse de s'intégrer (voir Jean-Claude Milner sur le sujet). Les bobos socialos de Paris 5ème aiment la musique de ces gens tant qu'ils résident loin de leur immeuble hausmannien.

Danièle Obono a d'ailleurs plus le look d'une choriste de la compagnie créole que d'une Rosa Parks, dont elle n'a ni le courage ni les mêmes origines modestes. Devenue la députée d'une bande de bobos parisiens dont elle est désormais la potiche, elle n'a aucune légitimité à parler au nom des exclus. Pire, elle encourage les préjugés envers les jeunes de la diversité qui, eux, souhaitent s'intégrer, travailler et élever leurs enfants en France. Qu'elle fiche la paix aux "pauvres" et retourne gérer les placements de son papa à la BNP Paribas. En attendant qu'elle évolue dans ses goûts musicaux, recommandons-lui cette chanson vintage plus adaptée à sa personnalité que le gangsta-rap :

Le massacre raciste de Marseille : Le diagnostic d’Abdelghani Merah associé à celui de... Manuel Valls !


Deux victimes de plus, ce qui porte à 240 le nombre de pauvres gens massacrés au nom des fous d'Allah, en fait par les fous tout court.

Comme d'habitude, le "terroriste" de Marseille était un délinquant archi-récidiviste, clandestin comme il se doit, originaire d'Algérie (où il était sans doute aussi recherché par divers délits), qui sévissait en France depuis douze ans (!). Il devait fatalement passer à l'acte, et c'est sous couvert du jihadisme qu'il a choisi de "partir" vers le paradis promis aux guerriers de dieu. Sauf que pour être un martyr, il faut mourir les armes à la main sur un champs de bataille. Trop lâche et trop bête pour périr en homme, il a tué deux pauvres demoiselles, des "babtous", étrangères à sa sous-culture et proies faciles. Deux crimes racistes, fort peu religieux en fait, qui ne font que confirmer l'analyse du frère ainé de la racaille Mohamed Merah.


Sur BFM-TV, Abdelghani Merah a tout expliqué. Comment et pourquoi de nombreux jeunes originaires du Maghreb refusent l'intégration en France, cette terre d'infidèles et de mécréants humanistes et progressistes. Il a parlé de ses parents "hostiles à la France post-coloniale", "haineux à l'égard des juifs", "repliés sur l'islam conservateur" etc.

Des gens qui ont oublié la générosité de leur pays d'accueil, les logements avec le confort, les soins médicaux gratuits, les allocations... Et qui ont en plus élevés leurs enfants dans la haine des "kouffars" franchouillards. Bref, des gens qui n'avaient rien à faire là, comme leur fils ainé a fini par le comprendre en s'extirpant de son "clan" d'arriérés. Car heureusement, beaucoup de jeunes issus des "quartiers" rejettent l'idéologie médiévale salafiste en lui préférant la civilisation. Mais hélas, beaucoup d'autres ne choisissent pas cette voie, à l'image des deux mille jihadistes français partis en découdre au moyen-Orient.

Pour en revenir à notre racaille galvanisée à la haine du petit blanc éduqué, sensé et ouvert d'esprit, constatons que le lascar n'était qu'une énième conséquence de l'impuissance de ce qui reste de l'état français. Douze ans de clandestinité et de délinquance, entrecoupée de petits boulots au noir. Une absence totale de volonté de s'intégrer en Europe, une haine envers ce qui lui est différent et qu'il considère comme inférieur (si ce n'est pas du racisme, alors où est le racisme ?), des pouvoirs publics incapables de l'expulser, qui se renvoient la balle quand ils ne soutiennent pas ce genre de voyou (c'est le cas dans certaines communes gérées par l'ultra-gauche). Sur ce dernier point, on attend les réactions indignées du MRAP, de la ligue des droits de l'homme, de Mélenchon et compagnie : il n'y avait rien sur leur blog ce 2 octobre pour condamner l'acte ignoble du terroriste algérien. 

D'ailleurs, notre ex-premier flic de France, Manuel Valls, ne s'y est pas trompé. Ce mardi 3 octobre, il a fustigé cette "France insoumise" noyautée par les islamo-gauchistes, complaisante envers les salafistes et les islamo-racailles :


A l'image de la très sectaire Danielle Obono, autant électoraliste que militante, timorée sur le sujet de la radicalisation des jeunes, mais offensive sur les "violences policières" et autres "discriminations" à l'égard des femmes voilées et des barbus. Nous sommes loin, très loin du PCF ouvrier (et... réellement insoumis) à l'ancienne, patriote et athée, qui assumait ses idées. Le hasard a voulu que youtube supprime une excellente petite vidéo où un vieux militant à béret fustigeait une islamiste voilée de la liste de droite aux élections municipales : pour ne pas donner matière à réflexion au populo ? Pour faire comprendre que seul le FN a le monopole du sujet ?

Manuel Valls a entièrement raison, et les actes du barbare algérien de Marseille en témoigne. On voit mal en quoi nos prétendus gauchistes seraient des "insoumis", puisqu'ils se plient à la loi des cités et à la soumission de l'islam radical, quand ils ne vivent pas dans de confortables pavillons en province, d'où ils peuvent lancer leurs appels à la révolte en toute quiétude...

Mais revenons-en à notre terroriste. A l'affut de ce type d'aubaine, l'armée des tarés, Daesch, a revendiqué ce pseudo-attentat. Que ces gens s'occupent des vierges du paradis d'Allah plutôt que des actes de délinquance des voyous racistes qui sont une insulte, comme eux d'ailleurs, à la religion. Quarante ans de droits de l'hommisme, de tolérance bon marché et de laxisme calculé ont produit des Mohamed Merah, des frères Kouachi, des tueurs en camion (le tunisien était aussi en situation irrégulière !) et des égorgeurs à Marseille. Ceux qui ont ouvert nos frontières, désorganisé l'état, empêché notre police de travailler, refusé d'expulser les délinquants clandestins sont les véritables responsables moraux de la mort des deux jeunes femmes à Marseille ce 1er octobre 2017.

Laissons la religion à sa place, et regardons les réalités en face. Aux citoyens de sortir de l'apathie et de devenir enfin un peu courageux, en retournant voter aux élections avec cran et fermeté, en évitant tartuffes et démagogues. En arrêtant aussi de tourner la tête dans la rue, en pensant que les attentats cela n'arrive qu'aux autres. Tout le monde ne peut pas émigrer en Pologne pour échapper aux racailles des villes françaises. Un peu de lucidité, SVP !

Dépitée Obono - Chroniques de l’Assemblée



jeudi 28 septembre 2017

Préambule : Je préviens mes lecteurs que le texte qui suit évoquant négativement une personne noire (« black, » « de couleur » ?) ne peut être que celui d'une épouvantable raciste, citoyenne d'un état raciste colonial, discriminant, islamophobe, négrophobe et pratiquant l'apartheid...

Voilà, ça c'est fait.

Donc ce jour, l'inénarrable députée Obono, dont le parcours, le positionnement et les déclarations fleuries ne sont plus à présenter, a tenté, avec succès, de battre son propre record de ridicule déjà conséquent, lors d'une intervention fort fine, tant sur le fond que la forme, à l'Assemblée Nationale.

Je dois dire que, dans d'autres circonstances et si le sujet n'était si grave et lourd de conséquences, j'aurais vécu un moment de jouissance intense à voir une sympathisante du PIR se vautrer à ce point en public tout en essayant de conserver un air taquin, s'enfoncer aussi pitoyablement dans une démonstration grotesque, ânonnante et cousue de fil blanc. Un régal.

Mais retour au réel, il s'agit ni plus ni moins des échanges concernant la loi anti-terrorisme, qui vise à durcir le texte de 1905 concernant les propos tenus dans les lieux de cultes, et de ce fait, le rire n'est pas de mise.

Donc la délicieuse Danièle a cru bon de nous gratifier d'un texte que je me permets de résumer ainsi : le terrorisme, « çanarienavoiraveclislam » et « si on ferme les mosquées il faut fermer les églises ».
Tout un programme.

Nous sommes habitués au déni, de la part d'une certaine frange de la gauche, des liens entre l'idéologie islamiste, facette intégriste de l'islam, et les actes terroristes, et ce malgré les origines, les prénoms, les revendications etc des tueurs.

Nous sommes habitués au victimaire « je suis perquisitionnable » de ce pervers pas pépère Tariq Ramadan.

Mais ça, on n'avait jamais eu.

Obono a de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, reconnaissons-le.
Ou alors est chargée de faire diversion d'une actualité lourde par un sketch de variété digne de l'entracte du bon vieux cinéma de Papa.

Allez savoir.

Dans tous les cas de figure, je m'interroge : D. Obono serait de profession bibliothécaire malgré le racisme d'état français, et elle serait également doctorante -traduction, en train d'essayer de finir une thèse avec vraisemblablement bourses de l'état colonial raciste à la clé, ....depuis 14 ans.

J'en doute personnellement car ces postes et occupations nécessitent une certaine culture.

Or si il y a bien une absente de cette mémorable intervention, c'est la culture... Voici donc notre députée qui prend la parole de l'air mutin de celle qui va bien nous,.. houps pardon ça c'était avant quand elle signait des pétitions pour la liberté d'expression - du rap hein, pas de Charlie, faut pas déconner-.

Elle a ses petites notes, qu'elle déchiffre mal. Elle essaie de la jouer rebelle ironique mais reste hésitante, bafouille, bref elle n'est pas douée à l'oral, on compatit.

Le sujet ? La fermeture de lieux de culte en cas de propos -ou idéologie- haineux etc. D'entrée, Obono nous fait comprendre qu'on ne la lui fait pas. La loi vise les mosquées, hein, hypocrisie de l'état colonial.

Et elle est formelle, dans toutes les auditions qu'ils ont fait sur le terrorisme, le « facteur religieux » est à la marge, vraiment à la marge, loin derrière, j'imagine, les discriminations » etc etc.

Les études du PIR. Ambiance.

Mais voici la cerise : Obono a donc pris le temps d'éplucher l'Ancien Testament, oh, ah, et y a découvert qu'il y avait de la violence aussi, sans blague.

Les petits notes c'est pour ça.

Personne n'a donc dit à la députée Obono apparemment que le principe de laïcité exclut déjà toute exégèse de textes religieux à l'Assemblée Nationale. Ou bien elle est passée outre.
Donc elle nous gratifie de quelques extraits, dont elle est la seule à penser qu'ils constituent un scoop. Et conclut brillamment qu'avec une telle loi des églises peuvent être fermées aussi si des prêtres y tiennent de tels propos, et que « donc », attention, c'est la preuve que la loi à venir est attentatoire aux libertés fondamentales patati patata.

Et là j'ai envie de dire....

Elle sort d'OU la meuf ?????!!!!!!

Elle a compris le problème ou pas ?

Elle a compris qu'on s'en balance de ce qu'il y a dans de vieux bouquins pouilleux, que tout le monde, sauf elle, sait que l'Ancien Testament ça rigole pas tous les jours, que tout le monde, sauf elle – et là c'est une anti-cléricale farouche qui parle-, sait que les prêches catholiques sont basés essentiellement sur les évangiles et qu'à part peut-être Mgr Lefebvre plus personne ne fait raisonner les trompettes de Jericho depuis un bail ?

Elle a été chercher sur wiki « sécularisation », « Réforme », « Vatican 2 » etc, bref elle a une notion vague de l'aggiornamento qui a été fait et qui manque précisément à l'islam ?

Elle sait que les prières des synagogues commencent toujours par une bénédiction pour la République Française qui la première leur a donné le titre de citoyen à part entière ?

Elle a compris que si les terroristes s'appelaient David, Samuel ou Christian, venaient de Saint-Trifouillis ou de Tel-Aviv, on serait sur les dents en train d'éplucher là, oui, la Torah et l'Epitre aux Corinthiens pour essayer de comprendre où ça coince ?

Elle sait que le terrorisme islamiste tue partout dans le monde, selon la même idéologie mortifère et dans des pays qui ne sont ni très « post-coloniaux », ni indécemment laïques ? Elle sait que, même des musulmans laïques, dénoncent les intégristes qui répandent une lecture fondamentaliste des textes sacrés islamiques ?

Elle sait que, si par extraordinaire il arrivait que l'on tombe sur un « Lefebvre » exalté appelant au meurtre des sarrasins et des israélites, ça ne nous ferait ni chaud ni froid que l'on ferme son lieu d'exercice et même on trouverait ça bien, quand bien même il n'y aurait pas -encore-mort d'homme ?
Au moment où j'hésitais entre le rire et les larmes, le président de séance a eu pitié et a mis fin à l'intervention.

Que l'on devienne députée sans connaissance du pays et avec des lacunes culturelles graves, passe encore, elle n'est pas la seule et encore moins depuis juin 2017, je dis ça, je dis rien.

Que l'on prenne la parole à l'Assemblée Nationale sur un sujet qu'on ne maîtrise pas, dans une approche aussi idéologique qu'inculte et plus proche du niveau d'un exposé de 6ème par contre....
Mais bon, je dois être raciste en fait.

PS. Je rajouterai également pour mes amis F.I. que clairement cette femme a passé les bornes et ne peut plus, ne doit plus, être considérée comme faisant partie de votre mouvement sous peine de déshonneur et que partant mes propos ne visent qu’elle.

L’honneur perdu de Sonia Nour (06.10.2017)



vendredi 6 octobre 2017

Pour la première fois semble-t-il un mouvement général d'indignation, tous bords confondus, se fait jour autour des propos tenus par une collaboratrice du maire de La Courneuve sur l'attentat islamiste de Marseille, et la traditionnelle défense qui consiste à hurler à la « fachosphère » ne semble plus faire illusion.

Rappelons les termes du message publié sur les réseaux et qui a mis le feu aux poudres :

"Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre, là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation blablabla.. Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours, on l'entend moins votre grande gueule"

Auquel s'ajoutent d'autres publications plus anciennes, qui trahissent un profond rejet pour ne pas dire une haine, de la France "raciste, homophobe,(...) communautaire et consaguine", qu'au final Me Nour "emmerde".

Disons-le tout de suite, oui bien sûr la fachosphère est déchaînée, a lâché ses chiens immondes, l'occasion qui lui est donnée par S. Nour est trop belle. La Meute infecte, à dénoncer sans répit.

Mais nous entendons aussi, nettement et massivement, des voix simplement citoyennes, issues parfois du propre parti politique de S.N. et auxquelles, dans ce dernier cas, il faut rendre hommage pour leur intégrité intellectuelle.

Sans entrer dans le vif d'un débat qui est déjà présent partout ailleurs, quelques réflexions qui viennent spontanément à la lecture des journaux et réseaux

Comme pour l'affaire Meklat, il semble que politiques et médias « découvrent » l'existence d'une certaine frange de population haineuse et anti-républicaine.

Cela en dit long.

Car quasiment n'importe quel professeur, policier, pompier, travailleur social, urgentiste etc pourrait vous le dire depuis longtemps.

S.N. n'est pas un cas isolé, ils sont des milliers. Elle a d'ailleurs un comité de soutien. Si si.

Et cette frange n'est pas constituée que de damnés de la terre et de désespérés, loin de là, elle a ses idéologues, ses penseurs, ses blogueurs, ses bourgeois, souvent issus de nos universités socio-psycho etc, et casés bien au chaud à des postes tranquilles, rémunérés par cette république qu'ils exècrent. Sans que personne ne dénonce le paradoxe ni le manque de crédibilité.

Ils sont difficiles à ignorer pourtant, on les retrouve sans faillir dans tous les groupuscules de la même eau, qu'on peut citer les yeux fermés.

Vérifiez par vous-mêmes, dans les profils et allégeances de ces personnes, vous trouverez dans 99% des cas le PIR et toute la mafia pro-indigéniste, le BDS et toute la mafia pro-palestinienne, le CCIF et toute la mafia pro-islamiste, Mwazi et toute la mafia intersectionnelle, plus quelques accointances politiques.

Ils ont fait Socio à Paris VIII, Sciences Po à Aix, islamophobie première langue à Lyon.

Ce serait donc une terrible erreur de faire de Sonia N. un bouc émissaire, elle n'est qu'une tête d'épingle, et pas la plus pensante certainement, dans une nébuleuse nauséabonde, à combattre dans son ensemble.

Ses propos sont condamnables, que la loi passe, c'est tout. Le lynchage ne doit plus faire partie de notre civilisation.
Deuxième point, « je ne comprends pas »...

Le mal est tellement avancé qu'ils ne « comprennent pas »..

Ils suintent la haine par tous leurs pores. Bouteldja, les dents serrés et le regard vipérin, nous menace sans vergogne, nous avertit sur des plateaux de télévision de nous adapter, nous, les « blanc », et fissa, pendant qu'elle daigne encore nous parler car après cela sera trop tard pour nous et nos enfants, comprenez ce que vous voulez.... Marwan Muhammad nous théorise sous sourciller le suprémacisme islamiste, Mwazi nous racialise le féminisme « interdit aux blancs », Ramadan, plus subtil, nous vend sa « respiritualisation de l'Occident »

Mais ils ne « comprennent pas » qu'on se fâche. Fâchés ? Fachos !

Dans le cas présent, et bien avant le scandale récent, même chose, aucun mot n'est assez dur ni assez hautain pour le pays, cette France « homophobe, islamophobe, raciste etc », on est en boucle là-dessus. Jusqu'au sabordage final par ce message désastreux, ce regard sur l'attentat par les yeux de l'assassin mais....Sonia N. ne comprend pas le problème.

Elle s'indigne de la sanction, avec des mots d'adolescente, « qu 'est-ce que j'ai dit ? », « je ne comprends pas qu'un maire, communiste de surcroît... », quand même, il ne faut pas exagérer, être suspendue de son emploi juste pour ça etc etc

Elle pousse l'inconscience et l'impudence jusqu'à oser dire, dans les grandes lignes et quand le temps se couvre, « vous n'avez rien compris bande d'imbéciles, j'ai pas dit ce que j'ai dit et en plus c'est pas juste, je suis enceinte »....

Enceinte. Sérieusement ...Quand ce qui a choqué est aussi son manque d'empathie total pour les deux jeunes filles assassinées, qui ne seront jamais enceintes, elles.

Il est donc intéressant de ce fait, de se poser la question. Pourquoi une telle absence de conscience du sens et de la portée de ses paroles ?

La réponse est pourtant simple et elle l'a donnée elle-même.

« Je ne comprends pas qu'un maire.... » Tout est dit.

Un maire qui réagit, l'application éventuellement de la loi purement et simplement, on n'a pas l'habitude, on a perdu l'habitude.

Nous avons perdu l'habitude de dire nos valeurs, d'appliquer nos lois, de donner le cadre, les limites et les repères, de lier liberté et responsabilité. C'est tout

Ce qui nous donne cette génération qui ne voit pas la différence entre Dieudonné et Charlie, ni entre un assassin et un révolutionnaire, entre un terroriste et un résistant.

Troisième et dernier point, rétropédalage et manipulation du discours.

On s'aperçoit très vite en fait que, quand on tape du poing sur la table, calmement mais fermement, ça s'écroule vite fait en face. Après un passage de déni, « je n'ai pas dit ça », « vous ne comprenez pas » « c'est de l'humour, un double maléfique » etc, auquel nous avons eu droit déjà dans l'affaire Meklat, ça s'enfuit, ça pleure, ça s'embrouille et ça tient mal la route.

Retour sur le « comité de soutien » de S.N., avec des soutiens comme cela, soyons clairs, pas besoin d'ennemis.

La dame a elle-même doctement expliqué que « martyr » ce n'était pas ce qu'on croyait et que le problème venait du fait qu'on manquait de savoir universitaire.

Le comité en rajoute une couche, nous dit qu'on a besoin d'un cours de français et brandit le dictionnaire : « martyr c'est quelqu'un qui meurt pour sa cause ou sa foi », donc voilà c'est bien le cas, elle n'a dit que la vérité …..

Cela serait comique si ce n'était pas si grave et triste.

Cours de français donc : entre « qui meurt » et « qui tue » (en mourant accessoirement), il y a une sacrée nuance. Le Larousse nous donne une définition classique (pas la meilleure de plus), issue pour nous essentiellement de l'histoire chrétienne.

Déjà c'est un peu gros. Mais de plus, de qui se moque-t-on ?

Sonia N. est de tous les combats on l'a dit, elle fraye notamment avec toute la mouvance « pro-palestinienne » trop souvent en fait pro-Hamas et elle a été à l'université.

Elle connaît PARFAITEMENT le sens de ce mot « martyr » dans le monde islamiste, la vénération de l'assassin, la confusion orchestrée du sens, et son emploi ici n'est pas anodin ni involontaire, il délivre un message, clair, le « martyr » n'est pas un vulgaire assassin, il a tué pour « sa cause, sa foi ». (hum hum et quelle « foi » me souffle au passage mon double maléfique, je croyais que « çanavaitrienàvoiravec »... ?)

Et ce message est bien évidemment impardonnable et constitue, oui, une apologie du terrorisme qui doit être sanctionnée.

Sans pour autant tomber nous aussi dans la fatwa haineuse.

Non au fascisme, brun, vert ou rouge.

Le plan Kalergi : génocide des peuples européens (9.10.2015)

par dadoux 

vendredi 9 octobre 2015

L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande « multiethnique » s’efforce de nous persuader qu’elle est inévitable. Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n’est pas un phénomène spontané. Ce que l’on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l’histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d’années pour détruire complètement le visage du Vieux continent.

LA PANEUROPE

Peu de gens savent qu’un des principaux protagonistes du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s’agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l’existence, mais que les « puissants » considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d’Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d’unification européenne [1]. En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « Paneuropéen », qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l’Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce aux appuis de Winston Churchill, de la loge maçonnique B’nai B’rith et d’importants quotidiens comme le New York Times, réussit à faire accepter son projet au gouvernement des USA. 

L’ESSENCE DU PLAN KALERGI

Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs « Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir.

Voilà comment Gerd Honsik décrit l’essence du Plan Kalergi :

« L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples [...] [2]

Kalergi proclama qu’il fallait abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse.

Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé ; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure.

En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer.

En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses. Les politiques de l’époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c’est lui l’instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht. Kalergi, inconnu de l’opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race » [3] (ndt noble race = élite). 

DE KALERGI À NOS JOURS

Bien qu’aucun livre d’école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l’Union Européenne d’aujourd’hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités.

Tout cela n’est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l’histoire.

Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particuliè- rement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d’Angela Merkel ou d’Herman van Rompuy.


La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010.

Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s’est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l’union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l’ordre de la Rose-Croix.

L’ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe. Un rapport de la « Population Division » des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : « Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin ».

Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés. On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée « sur papier ».

En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protègera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition.

Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.

Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse.

G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme :

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » [4] 

CONCLUSION 

Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiersmondialisation de l’Europe.

L’axiome de la « Nouvelle citoyenneté », c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis : les « enfants de Kalergi ».

Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.




NOTE : (pas traduites en français, ndt)

[1] Tra i suoi seguaci della prima ora si incontrano i politici cechi Masarik e Benes, così come il banchiere Max Warburg che ha messo a sua disposizione i primi 60.000 marchi. Il cancelliere austriaco Monsignor Ignaz Seipel e il successivo presidente austriaco Karl Renner si incaricarono successivamente di guidare il movimento Paneuropa. Kalergi stesso indicava che alti politici francesi approvavano il suo movimento per reprimere la ripresa della Germania. Così il primo ministro francese Edouard Herriot e il suo governo, come i leaders britannici di tutti gli ambiti politici e, tra loro, il redattore capo del Times, Noel Baker, caddero nelle macchinazioni di questo cospiratore. Infine riuscì ad attrarre Winston Churchill. Nello stesso anno, quello che più tardi si trasformerà nel genocida ceco di 300.000 tedeschi dei Sudeti, Edvard Benes, fu nominato presidente onorario. Egli ha finora quasi disconosciuto Kalergi, ma negoziava anche con Mussolini per restringere il diritto di autodeterminazione degli austriaci e favorire ancora di più le nazioni vittoriose, ma fallì. Nell’interminabile lista degli alti politici del XX secolo, c’è da menzionare particolarmente Konrad Adenauer, l’ex ministro della giustizia spagnolo, Rios, e John Foster Dulles (EEUU). Senza rispettare i fondamenti della democrazia e con l’aiuto del New York Times e del New York Herald Tribune, Kalergi presentò al Congresso Americano il suo piano. Il suo disprezzo per il governo popolare lo manifestò in una frase del 1966, nella quale ricorda la sua attività del dopoguerra : << I successivi cinque anni del movimento Paneuropeo furono dedicati principalmente a questa meta : con la mobilitazione dei parlamenti si trattava di forzare i governi a costruire la Paneuropa >>. Aiutato da Robert Schuman, ministro degli esteri francese, Kalergi riesce a togliere al popolo tedesco la gestione della sua produzione dell’acciaio, ferro e carbone e la trasferisce a sovranità sovranazionale, ossia antidemocratica. Appaiono altri nomi : De Gasperi, il traditore dell’autodeterminazione dei tirolesi del sud, e Spaak, il leader socialista belga. Finge di voler stabilire la pace tra il popolo tedesco e quello francese, attraverso gli eredi di Clemenceau, quelli che idearono il piano genocida di Versailles. E negli anni venti sceglie il colore azzurro per la bandiera dell’Unione Europea. Il ruolo guida di Kalergi nella creazione dell’Europa multiculturale e nella restrizione del potere esecutivo dei parlamenti e dei governi, è evidente ai giorni nostri, e si palesa col conferimento del premio “Coudenhove Kalergi” dal cancelliere Helmut Kohl come ringraziamento per seguire questo piano, così come l’elogio e l’adulazione del potente personaggio da parte del massone e polito europeo il primo ministro del Lussemburgo, Junker. Nel 1928 si aggiunsero celebri politici e massoni francesi : Leon Blum (più tardi primo ministro), Aristide Briand, E. M. Herriot, Loucheur. Tra i suoi associati si incontrava gente molto diversa come lo scrittore Thomas Mann e il figlio del Kaiser, Otto d’Asburgo. Tra i suoi promotori, a parte i già menzionati Benes, Masarik e la banca Warburg, si incontrava anche il massone Churchill, la CIA, la loggia massonica B’nai B’rith, il “New York Times” e tutta la stampa americana. Kalergi fu il primo a cui fu assegnato il premio Carlomagno nella località di Aachen ; e quando lo ricevette Adenauer, Kalergi era presente. Nel 1966 mantiene i contatti con i suoi collaboratori più importanti. Tutti coloro che sono stati insigniti di questo premio fanno parte del circolo di Kalergi e della massoneria, o si sforzarono di rappresentare gli interessi degli USA in Germania. Nell’anno 1948 Kalergi riesce a convertire il “Congresso degli europarlamentari” di Interlaken in uno strumento per obbligare i governi a tornare a occuparsi della “questione europea”, vale a dire, a realizzare il suo piano. Proprio allora si fonda il Consiglio europeo e in cima alla delegazione tedesca troviamo Konrad Adenauer appoggiato dalla CIA. (Gerd Honsik, “Il Piano Kalergi”)

[2] Kalergi, Praktischer Idealismus : "L’homme du futur sera le produit de différentes races. Les races et classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement par l’élimination des espaces, du temps et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire en apparence aux anciens égyptiens, remplacera la diversité des peuples et celle desindividus. Plutôt que de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre sa volonté, éduque ce peuple et le conduit à son futur statut de leader de ce processus artificiel. Ce n’est pas surprenant que le peuple qui s’est échappé des ghettos-prisons devienne la noblesse spirituelle de l’Europe. Ainsi cette attention particulière de l’Europe a donné naissance à une nouvelle race d’aristocrates. Cela est dû à l’anéantissement de l’aristocratie féodale européenne qui s’est effondrée au moment de l’émancipation des juifs [En raison de la révolution française]."

[3] Honsik, op.cit.

[4] « USA Magazine », 12/08/1955




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