jeudi 8 mars 2018

Islam (critidogme)

Résultat de recherche d'images pour "chercher vérité"

Critique des dogmes religieux autoritaires et aliénants

Bonjour, vous êtes à la recherche deLa Vérité !
(La vérité des simples humains, la seule qui soit)
Vous la trouverez en vous-même, si vous savez où chercher.
Si vous voulez trouver la vérité, alors commencez par vous débarrassez de tout ce qui est faux, de tout ce qui est mensonge en vous. Arrêtez de vous mentir à vous-même, comme vous le faites à cet instant. Abandonnez tous vos préjugés, tous vos à-prioris, toutes vos illusions, chimères et contes de fées. Abandonnez les cultes que vous vouez aux superstitions et à l'irrationnel. Oubliez les dieux, les oracles, les mages, les vaudous, les marabouts, les enchanteurs, les devins, les cartomanciens, le zodiaque, l'astrologie, les médiums, les sorciers, les tarots, les runes, les tables tournantes, les esprits frappeurs et toutes ces inepties dont on vous bourre le crâne depuis votre naissance sans que vous ayez jamais, eu une seule fois dans votre vie, la preuve de leur efficacité... Oubliez tout cela et alors vous entrerez peut-être dans un monde plus réel, plus proche de la vérité. Mais sachez qu'en abandonnant vos rêves et vos chimères, vous serez déçu, vous souffrirez peut-être. Mais vous ne vivrez plus dans le mensonge, comme la plupart des gens. Alors, à vous de choisir: la vérité ou l'illusion...
Socrate a dit: "Connais toi toi-même". Il voulait dire que pour mieux comprendre le monde et pour mieux approchez de la vérité, il faut avant tout se connaître soi-même et se voir tel que l'on est et non pas tel que l'on voudrait se voir. C'est parfois très dur.
La vérité est universelle. Elle est dans le coeur et l'esprit de tous les hommes. Les hommes ont le droit de croire en ce qui leur fait le plus de bien.
Tous sont à la recherche de la vérité. Mais LA vérité n'existe pas, car 
Il n'existe pas UNE seule vérité, mais des milliards de vérités qui sont le patrimoine culturel commun de tous les humains. Aucun humain n'a le droit de dicter à un autre humain ce en quoi il a le droit ou l'obligation de croire, car aucun être humain ne détient à lui seul LA vérité. Ceux qui se prévalent d'une telle possession ou d'un tel pouvoir sont des menteurs, tout simplement. Vous avez un cerveau en parfait état de marche, votre vérité à vous est aussi bonne que celle de votre voisin. Vous avez le droit de parler de votre vérité, mais pas de l'imposer aux autres. Une vérité imposée en fait forcément un mensonge, puisqu'elle n'est vérité que pour celui qui la propage. Les hommes ont ce travers de toujours mentir comme des arracheurs de dents et ce goût ambiguë de cultiver le secret.
Mais la vérité ne peut pas cohabiter avec le mensonge et la dissimulation ou le secret.
Gardez jalousement ce droit et cette liberté de croire en ce que vous voulez. C'est la plus grande et la plus belle des libertés, celle qui conduit à toutes les autres C'est la nature qui vous l'a donnée. Ne la gâchez pas, ne l'aliénez pas, ne la perdez pas, ne la vendez pas et ne vous la faites pas voler, car vous serez alors soumis à la loi et à la vérité des autres et à l'obscurantisme...

***
Sauter l'introduction et entrer dans Les trois religions
Citation d'Edgar Morin, sociologue et philosophe français:"L'idée qu'on puisse définir homo en lui donnant la qualité de sapiens, c'est -à-dire d'un être raisonnable et sage, est une idée peu raisonnable et peu sage. Homo est aussi demens : il manifeste une affectivité extrême, convulsive, avec passions, colères, cris, changements brutaux d'humeur; il porte en lui une source permanente de délire ; il croit en la vertu de sacrifices sanglants ; il donne corps, existence, pouvoir à des mythes et des dieux de son imagination. Il a en l'être humain un foyer permanent d'Ubris, la démesure des grecs. La folie humaine est source de haine, cruauté, barbarie, aveuglement. Mais sans les désordres de l'affectivité et les débordements de l'imaginaire, sans la folie de l'impossible, il n'y aurait pas d'élan, de création, d'invention, d'amour, de poésie".
Avant propos d'Amour, poésie, sagesse, Seuil, 1997.

DOCUMENT
Le texte ci-dessous est la transcription d'une vidéo sous-titrée en français, d'un débat qui a eu lieu le 21 février 2006 sur la chaîne de télévision Al Jaseera, entre la journaliste Wafa Sultan, un animateur de télé et un dignitaire musulman le Dr. Ibrahim Al Khouli.
Wafa Sultan: Le choc que nous voyons dans le monde n'est pas un choc des religions ou un choc des civilisations. C'est un choc entre deux opposés, deux ères, c'est un choc entre une mentalité appartenant aux temps médiévaux, et une autre qui appartient au 21ème siècle.
C'est un choc entre la civilisation et l'arriération, entre le civilisé et le primitif, entre la barbarie et la rationalité. C'est un choc entre la liberté et l'oppression, entre la démocratie et la dictature. C'est un choc entre les droits de l'homme d'une part et la violation de ces droits d'autre part. C'est un choc entre ceux qui traitent les femmes comme des bêtes et ceux qui les traitent comme des êtres humains.
Ce que nous voyons aujourd'hui n'est pas un choc des civilisations. Les civilisations ne se heurtent pas, elles rivalisent.
L'animateur: Si je vous cemprend bien, ce qui se produit aujourd'hui est un choc entre la culture occidentale et l'arriération, l'ignorance des musulmans ?
Wafa Sultan: Oui, c'est ce que je veux dire.
L'animateur: Qui propose le concept des civilisations ? N'est-ce pas Samuel Huntington ? Ce n'est pas Ben Laden. Je voudrais discuter de ceci si vous le voulez bien.
Wafa Sultan: Les muslmans sont ceux qui ont commencé à utiliser cette expresion. Les musulmans sont ceux qui ont entamé le choc des civilisations.
Le Prophète a dit: " J'ai reçu l'ordre de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils croient en Allah et en son messager." Quand les musulmans divisèrent les peuples en musulmans et non-musulmans et appelèrent à combattre les autres juqu'à ce qu'ils partagent leurs croyances, ils déclenchèrent le choc et débutèrent cette guerre.
Pour mettre fin à cette guerre ils doivent réexaminer leurs textes et leurs plans islamiques qui sont remplis d'appels au tafkir (accusation de mécréance), et à combattre les infidèles.
Mon collègue a dit qu'il n'insulte pas les croyances des autres. Quelle civilisatoion de la surface de la terre lui permet d'appeler d'autres gens par des noms qu'ils n'ont pas choisis eux-mêmes ? Tantôt ils les appellent "Ahl al-Dhimma" (le peuple de la Dhimma), tantôt ils les appellent "les gens du Livre", et tantôt ils les comparent à des singes ou à des porcs, ou bien ils nomment les chrétiens "ceux qui encourent la colère d'Allah."
Qui vous a raconté qu'ils sont les gens du Livre ? Ils ne sont pas les gens d'un livre, ils sont les gens de beaucoup de livres. Tous les livres scientifiques que vous avez aujourd'hui sont les leurs, le fruit de leur pensée libre et créatrice. Qui vous donne le droit de les appeler "ceux qui encourent la colère d'Allah, ou ceux qui se sont égarés", puis de venir ici dire que votre religion vous commande de vous abstenir d'offenser les croyances des autres ?
Je ne suis pas une chrétienne, une musulmane ou une juive, je suis un être humain laïc. Je ne crois pas au surnaturel, mais je respecte le droit des autres à y croire.
Dr. Ibrahim Al-Khouli: Êtes-vous une hérétique ?
Wafa Sultan: Vous pouvez dire ce que vous voulez. Je suis un être humain laïc qui ne croit pas au surnaturel.
Dr. Ibrahim Al-Khouli: Si vous êtes une hérétique ça ne sert à rien de vous admonester, puisque vous avez blasphémé contre l'Islam, le Prophète et le Coran...
Wafa Sultan: Ce sont des choses personnelles qui ne vous regardent pas. Frère, vous pouvez croire aux pierres (allusion aux rituels mecquois) tant que vous ne me les jetez pas. Vous êtes libre d'adorer qui vous voulez, mais les croyances des autres ne sont pas votre affaire, qu'ils croient que le Messie est Dieu, fils de Marie, ou que Satan est Dieu, fils de Marie, laissez les gens avoir leurs croyances.
Les juifs sont sortis de la tragédie (de l'holocauste) et ont forcé le monde à les respecter, avec leur connaissance, pas avec la terreur, avec leur travail, pas avec leurs lamentations et leurs cris. L'humanité doit une majeure partie des découvertes scientifiques des 19ème et 20ème siècle à des scientifiques juifs.
15 millions de personnes dispersées de par le monde se sont unies et ont gagné leurs droits par le travail et la connaissance. Nous n'avons pas vu un seul juif se faire exploser dans un restaurant allemand. Nous n'avons pas vu un seul juif détruire une église. Nous n'avons pas vu un seul juif protester en tuant des gens.
Les musulmans ont transformé trois statues de Bouddha en gravats. Nous n'avons pas vu un seul bouddhiste brûler une mosquée, tuer un musulman ou incendier une ambassade. Seuls les musulmans défendent leurs croyances en brûlant des églises, en tuant des gens et en détruisant des ambassades.
Cette façon de faire ne donnera aucun résultat. Les musulmans doivent se demander ce qu'ils peuvent faire pour l'humanité avant d'exiger que l'humanité les respecte.





Biographie:

Wafa Sultan est une psychiatre américaine d’origine syrienne. Wafa Sultan est surtout connue par son intervention sur la chaine qatariote Al Jazeera, y critiquant l’Islam en ce qu'il prend figure d'idéologie politique préconisant la violence.

Wafa Sultan est née en 1958 dans une famille Alaouites de Syrie à Baniyas, petite ville sur la Méditerranée à deux heures de Beyrouth. Son père, musulman dévot, était un négociant en céréales. Wafa Sultan a suivi jusqu’à l’âge adulte tous les préceptes religieux.
Selon sa propre version des faits, sa vie aurait basculé en 1979. Elle est alors étudiante en médecine à Alep. L’époque oppose les Frères Musulmans et le gouvernement du Président Hafez el-Assad. C’est dans ce contexte qu’elle prétend avoir assisté à l’université, sous ses yeux, à l’assassinat de son professeur, Youssef el Youssef, par des membres des Frères Musulmans. Cet événement l’aurait marquée à tout jamais : « à ce moment précis, j’ai perdu confiance en notre dieu, et j'ai commencé à remettre en question ses enseignements. Cet événement a été le tournant de ma vie ». La réalité de cet incident à été contestée (voir le paragraphe ci-dessous).
En 1989, elle s'expatrie aux États-Unis. Elle s’installe en Californie. Elle y repasse toutes ses qualifications de médecin psychiatre dans le système médical américain.
Elle commence à écrire et s’occupe d’un site réformateur de l’islam « An-naqed » (la critique) crée par un Syrien expatrié à Phoenix. Un de ses essais sur les Frères Musulmans attire l’attention d’Al Jazeera qui l’invite alors à discuter avec un universitaire algérien en juillet 2005. Au cours de l’échange, elle remet en cause les enseignements religieux qui poussent des jeunes à se suicider au nom de Dieu. Ses remarques suscitent des débats dans le monde entier et son nom commence à apparaître dans la presse et les sites Internet arabes. Mais sa réputation devient planétaire lorsqu’elle réapparaît sur Al Jazeera le 21 février 2006.
Wafa Sultan a déjà publié deux livres et travaille actuellement à la rédaction d’un troisième dont le titre prévu est « Le prisonnier échappé : Quand Dieu est un monstre ».


Introduction
"Destruction"
Avant de rebâtir un monde nouveau dans lequel l'humain aurait une vraie place, il faut faire table
rase des anciennes lois et des anciennes croyances qui ont conduit l'humain à tous ces errements.
Ensuite, viendra le temps de la reconstruction d'une société humaine plus juste, plus équitable,
plus harmonieuse et respectueuse des besoins de chaque individu, dans le respect de la vie et
de 
la nature. Ce sera l'oeuvre de tous, une grande oeuvre de sagesse.
Destruction, reconstruction, sagesse.
L'intelligence humaine est tellement développée et la conscience si affûtée que les humains ont également développé de nombreuses craintes, peurs et incertitudes, sentiments qui ont induit de grands besoins de sentiments de sécurité et d'espoir. C'est là que les religions et leurs prêtres respectifs entrent en scène avec leurs mensonges, leurs doctrines et leurs dogmes anesthésiants et aliénants. Par le biais des religions, les prêtres instillent dans l'intellect humain ces pseudo-sentiments de sécurité et d'espoir indispensables à l'humain pour rendre sa vie plus acceptable et supportable. Et plus la vie des humains est infernale et plus ils font appel aux religions pour leur donner l'illusion d'un espoir d'autant plus fort que la vie est douloureuse et plus ils s'enfoncent dans l'erreur. Ce sont tous ces mécanismes de manipulation de l'esprit humain que nous nous proposons d'identifier, analyser, dénoncer et démonter.
Les religions affirment et imposent aux hommes des principes et des croyances basés sur l'existence de dieux multiples ou d'un dieu unique. La croyance religieuse permet aux religieux de dominer et de gouverner les hommes par la peur et de les écraser intellectuellement puis physiquement afin de les asservir, de les réduire en esclavage et de les soumettre à leur volonté. Les religieux se substituent à leurs prétendus dieux pour profiter des hommages, sacrifices et offrandes qu'ils extorquent aux hommes au nom des dieux. Parfois, les prêtres se prennent pour des dieux...
Les doctrines professent les bases de la croyance en des systèmes et des théories inventés par les hommes. Les dogmes, découlant de ces doctrines, imposent des lois iniques et aliénantes aux humains afin de les maintenir dans la servilité, la peur, la souffrance et souvent dans la haine des autres. Plus la religion est ancienne et plus son histoire, ses livres, son exégèse et ses lois donnent aux religieux un outil puissant et d'apparence vénérable pour influencer les masses grouillantes et dépourvues de sens critique.

Mais une analyse simple, pragmatique, scientifique et mathématique permet aux humains les plus éclairés de démontrer définitivement et sans appel qu'il n'existe aucun dieu et de démonter toutes les doctrines et tous les dogmes. La première des raisons est tout simplement que les religieux de toutes les religions du monde n'ont jamais fait la preuve la plus élémentaire, une seule fois, de l'existence de ces dieux et qu'il n'existe, aujourd'hui, en quelque lieu du monde, aucune preuve de l'existence d'aucun dieu.
Les prêtres prétendent que les preuves sont dans des livres qui ont été écrits par des hommes, ce qui leur enlève toute crédibilité en tant que preuve.
D'ailleurs, ces écrits semblent n'être que la compilation de tissus de contes, de fables, de légendes et de mythes accumulés sur des millénaires et issus de la tradition orale, ce qui leur ôte également toute crédibilité.

Les prêtres affirment que des prophètes sont venus et ont apporté ces preuves, mais il n'en subsiste rien et tout laisse à penser que ces prophètes n'étaient que des hommes très ordinaires qui ont juste marqué leurs époques par des paroles aussi peu crédibles que celles de n'importe quel politicien d'aujourd'hui, et par des actions très humaines.
Les religions monothéistes affirment l'existence d'un dieu unique appelé Dieu.
Personne ne sait ce qu'est Dieu, ni où il se trouve, ni d'où il vient, ni ce qu'il fait, ni depuis quand...

Dieu serait le créateur de toutes choses, de tous les univers, de toutes les galaxies, de tous les astres, de toutes les planètes, de toute la vie et de toutes les créatures vivantes...
Mais tout ce qui existe est soumis à la loi universelle de l'impermanence. Rien n'est éternel.

Les religieux prétendent que leur Dieu est éternel...
Dans ce cas, d'où vient ce dieu, quand a-t-il été créé, qui l'a créé, comment peut-il être éternel dans un univers ou ensemble d'univers dans lequel rien ne peut être éternel?

Pourquoi ce dieu serait-il seul? Un multitude de dieux serait plus probable. Comment un dieu pourrait-il être apparu, sorti du néant cosmique, sans avoir d'ascendance? Qui a créé Dieu?
Les religieux affirment que Dieu n'est pas substance. Il est impalpable. Il n'est pas fait de matière. Comment quelque-chose qui n'est pas fait de matière pourrait-il avoir créé des milliards de milliards d'univers de matière, et à partir de quoi?
Les religieux prétendent que Dieu a créé l'homme à son image alors que la vérité est simplement que les hommes ont créé des dieux ou un dieu unique à leur image et que les descriptions et caractères de Dieu, donnés par les écrits et les dogmes, sont ceux de n'importe quel être humain.
Les religieux affirment de même que ce dieu serait partout à la fois et pourrait tout voir de ce qui se passe en n'importe quel lieu de l'infini. Cela semble bien naïf et invraisemblable.
Les religieux affirment que "Dieu" a créé les hommes à son image...
Les religieux prétendent également avec aisance que "les desseins de Dieu sont impénétrables". On reconnaît bien, dans cette formule lapidaire, la marque de l'absurdité permanente impénétrable des comportements humains et donc la confirmation que les hommes ont bien créé Dieu à leur image.
Pourquoi un dieu aurait-il créé des créatures à son image et pourquoi les desseins de ce dieu seraient-ils impénétrables? Si ce dieu existait vraiment, il aurait une logique à lui, une rationalité à lui. Et, par essence, ses desseins n'auraient aucune raison d'être considérés par les humains comme impénétrables...

Les religieux affirment que Dieu demande beaucoup de choses aux humains.
Comment imaginer qu'un dieu capable de créer des milliards d'univers et donc détenteur de tous les pouvoirs de l'univers et faisant ainsi de l'homme, comparé à lui, moins qu'un atome, moins qu'un vermisseau, moins qu'un virus, moins qu'un acarien dans votre moquette, pourrait-il avoir un intérêt quelconque pour si peu de chose. Avez-vous de l'intérêt pour les créatures microscopiques qui vivent dans votre moquette?
Un tel dieu se suffit à lui-même et n'a besoin de rien et surtout pas de la part de virus, ou d'acariens. Les humains n'ont rien à lui apporter et il n'attend rien des humains, en supposant qu'il ait seulement conscience de l'existence de ces parasites dans sa moquette. Alors, en admettant que ce Dieu existe, pourquoi les prêtres prétendent-ils que ce Dieu a besoin des humains, de leurs sacrifices, de leurs offrandes et de leurs prières navrantes et dérisoires?
Pourquoi les prêtres consomment-ils eux-mêmes toutes les offrandes faites aux dieux?
Quant aux prières que les humains adressent à ce Dieu insubstanciel, il semble qu'elles n'arrivent nulle part et soient bien vaines et inutiles.

Si il existe vraiment un Dieu et qu'il ait vraiment créé l'homme et qu'il aime sa créature et qu'il veuille son bonheur (en effet, les religieux prétendent que c'est un dieu d'amour, de bonté, de pardon, de clémence et de miséricorde...!), parce que c'est sa créature et qu'il l'a créée pour qu'elle vive dans les meilleures conditions possibles, pourquoi les prêtres de certaines religions prétendent-ils que les humains doivent se massacrer entre eux, au nom de leur dieu? Ces prêtres et ces religions ne sont-ils pas des insultes et des sacrilèges à DIEU? De quel droit se permettent-ils de prétendre savoir ce que veut Dieu, eux à qui Dieu ne s'est jamais adressé? De quel droit se permettent-ils d'inciter à la destruction de l'oeuvre de DIEU?
Pourquoi existe-t-il plusieurs religions monothéistes qui se défient les unes des autres pour la gloire du même dieu. C'est stupide...!
Quelle est la meilleure? Pourquoi les différentes religions, qui prétendent rendre un culte au même dieu, ont-elles des pratiques et des lois différentes? Pourquoi Dieu se serait-il adressé aux uns et pas aux autres et à tous de façon différente...?

Pourquoi les religieux vous prennent-ils très au sérieux lorsque vous leur dites que vous parlez à Dieu tous les jours et qu'ils pouffent de rire, se moquent de vous et ne vous croient pas lorsque vous leur dites que Dieu s'est adressé à vous...? Pourquoi la ligne ne fonctionnerait-elle pas dans les deux sens. C'est stupide.
On pourrait poser ainsi des millions de questions, en entrant dans le détails des religions, des livres prétendument sacrés et des doctrines et des dogmes qui ne sont que des créations perverses et hypocrites de certains hommes pour dominer et écraser d'autres hommes.
Ainsi, soyez bien sûrs que Dieu n'existe pas, que les religions et les prêtres mentent, que l'âme humaine est une invraisemblance avérée, que les prophètes ont tous été des illuminés, des fous, des menteurs et parfois de grands criminels. Le paradis et l'enfer, des contes et des fables pour endormir les enfants, la vie éternelle une illusion pour vous dominer et vous spolier...
La réalité des choses est que les religions ont toujours été des prétextes pour inciter les hommes à la haine, à la destruction, à la guerre, à la barbarie et à tous les crimes toujours commis au nom d'un dieu qui n'a jamais existé et n'existera jamais.
Les religions sont avant tous des instruments d'asservissement, de pouvoir et d'enrichissement.
Les religions sont surtout des systèmes politiques et des organisations financières et économiques sans scrupules.

Nous mettons quiconque au défi de nous démontrer l'existence de Dieu sans faire appel aux bons vieux trucs habituels des livres "sacrés" écrits par des humains et les affirmations irrationnelles, inconsistantes et absurdes de leurs raisonnements qui n'en sont pas (vous en trouverez des milliers d'exemples sur les sites déistes).
Alors, si votre Vérité est de croire à tout cela, vous restez libre d'y croire mais vous n'avez aucun droit de contraindre qui que ce soit à y croire.
A la mémoire de Lahocine, apostat et victime de l'Islam

Lettre ouverte aux musulmans de France et du monde
Cette page est proposée par un collectif d'étudiants de différentes origines et religions
et invite les musulmans à une réflexion sur le devenir de leur religion dans le monde
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Nanterre 2004



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Réflexion, étude et critique des différents dogmes religieux
découlants des différentes doctrines fondées sur les livres
dits "sacrés". Mise au banc des accusés de ces systèmes
autoritaires d'aliénation de la pensée humaine derrière
lesquels des hommes oppriment, exploitent, fanatisent
et tuent d'autres hommes, notamment dans l'Islam

Est-ce Dieu qui a ordonné d'égorger des hommes avec un couteau, devant des caméras, et de faire passer les images sur la chaine kowétienne Aljazeera? Ceux qui commettent ces actes, pour de simples idées, sont-ils des humains ou des animaux sans intelligence? Un dieu ou une religion qui transforment ainsi des hommes en animaux sanguinaires ne sont-ils pas une abomination?
Les paroles de Benoît XVI
Le Pape Benoît XVI a donné une conférence le 12 septembre 2006 et a donné lecture d'un extrait d'un livre du XIVème siècle. Il a fait un parallèle et a dénoncé le recours à la violence pour propager la foi, tel que le prescrit l'Islam à travers la Dji-Had, la guerre sainte perpétuelle contre les infidèles… Ce que personne n'ignore.

Une fois encore, les Musulmans ont prouvé combien l'Islam était une religion douce, pacifiste et sans histoires, en manifestant avec véhémence et violence, en brûlant des effigies du Pape Benoît XVI et en incendiant des églises dans différentes régions du monde…
Il est bon de rappeler les scènes de liesse publique et de joie malsaine manifestée par les peuples musulmans du monde à toute occasion où des humains d'autres religions se font massacrer, et particulièrement des juifs. Après la seconde guerre mondiale, de telles scènes de liesse ont pu être observées, dans certains pays du Moyen-Orient, lorsque les musulmans ont appris et compris que l'Allemagne nazi et sont chef Adolf Hitler avaient exterminé six millions de Juifs. Ce que les musulmans ignoraient c'est qu'Hitler aurait poursuivi son extermination de tous les peuples du monde ne répondant pas aux critères aryens, grands blonds aux yeux bleus…

Les musulmans soit-disant modérés protestent avec énergie chaque fois que l'on critique l'Islam ou que l'on dénonce son caractère violent, haineux et intolérant. Ces protestations sont généralement suivies d'actes de violence et de destruction, de menaces de mort et de fatwas de mort qui viennent immanquablement confirmer le caractère barbare de cette religion. Les discours apaisants de certains dirigeants islamiques ne trompent personne. Leurs incitations à ne pas confondre Islam et islamisme ne peuvent pas être prises au sérieux. En effet, Le Coran est le livre de tous les Musulmans et la haine et la violence sont bien prescrites dans les versets du Coran, comme on pourra le voir plus bas.
***
L'attitude des talibans (ces fameux " étudiants en religion " qui n'étudient guère que le fonctionnement et l'entretien de leurs Kalachnikovs et des explosifs) , en Afghanistan, démontre une fois encore le pacifisme de l'Islam. Les attentats quotidiens en Irak de même.
La haine et la violence des combats pour le pouvoir entre sunnites et chiites, en Irak, démontre toujours cette incitation à la haine et à la destruction prescrite par Muhammad et dont il a fait une religion. La religion de la haine, de la violence, de la mort, des pillages, des assassinats, des viols et de la barbarie sous toutes ses formes. Les seules dictatures où l'Islam peut s'installer sont des pays totalement déstabilisés ou très pauvres ou très faibles. Personne ne veut de l'Islam et de ses lois abominables et ne l'acceptent que ceux qui n'ont pas la force de s'y opposer. Là est la première violence de l'Islam.
Selon certains sondages, la plupart des musulmans de France ne souhaitent pas voir l'Islam se durcir dans notre pays et encore moins voir imposer la loi islamique, la charia. Et on les comprend. Ils souhaitent pratiquer leur religion de façon modérée et douce et ne pas subir les contraintes aliénantes qu'impose la loi islamique dans d'autres pays très intégristes.
Beaucoup de ces musulmans sont des croyants sincères et pacifiques, mais veulent que l'Islam prenne son virage de la modernité et s'adapte au mode de vie des nations libres du monde sans chercher à imposer des changements durs.
Ils aiment et souhaitent pouvoir continuer à vivre dans nos pays de liberté.
Cependant, ils doivent aussi être les acteurs de ces changements dans l'Islam.
Les autres religions se sont aussi, peu à peu, adaptée aux règles des sociétés.
Les musulmans les plus modérés doivent savoir imposer leur volonté aux musulmans les plus durs et refuser leurs combats fratricides.
A eux de prendre leurs responsabilités et de prouver au monde qu'ils sont effectivement des musulmans modérés et libres.
***
Attention, ce site fait une analyse et une critique dure et sans concession des dogmes
religieux et de leurs aspects les plus négatifs, mais loin de s'en prendre aux simples croyants
des diverses religions, il s'élève pour en défendre les libertés de pensée et les libertés les plus
élémentaires que les dogmes leur dénient. Ici, pas d'intolérance ni de discrimination, sauf contre
ceux qui les pratiquent et les érigent en lois: les chefs religieux.
Voir: Des aspects les plus positifs des religions
***
Les trois grandes religions monothéistes
"Les religions ne sont jamais si bien comprises que par ceux
qui ont perdu leur capacité de raisonnement" 
(Voltaire)

Depuis des millénaires, les hommes commettent les pires atrocités et les actes
les plus barbares au nom et à la gloire de "Dieu clément et miséricordieux..."
Préambule
L'étude pragmatique de la pensée humaine, des agissements des hommes et de l'évolution des civilisations, sous le joug des religions depuis des millénaires, ne peut aboutir qu'à la conclusion que lesdites religions n'ont toujours été que des fléaux pour l'homme et que les rares aspects positifs qui s'en sont dégagés n'ont jamais justifié les peines et les souffrances qu'elles ont engendrées, par ailleurs.
Dans le cadre de cette étude, les auteurs utilisent parfois des mots comme " spiritualité " dans leur sens premier et intrinsèque. La spiritualité étant simplement l'activité spirituelle, celle de l'esprit, celle de notre cerveau qui est le siège de notre pensée et donc de notre "esprit". Le lecteur doit toujours ramener le sens d'un mot de ce genre, en cas de doute, à sa signification la plus intrinsèque et la plus pragmatique. Si les hommes veulent un jour accéder réellement au bonheur, à la sagesse, à la liberté de pensée et à la liberté de vivre, ils devront apprendre les fondements de nouvelles lois, acceptées par tous, qui leur permettront d'exister en acceptant que d'autres existent, de vivre en acceptant que d'autres vivent, d'être heureux en acceptant que d'autres soient heureux et d'être libres en acceptant que d'autres soient libres.
Accepter l'autre et ses différences, apprendre à aimer l'autre avec ses différences, aimer les autres hommes parce qu'ils nous ressemblent malgré leurs différences et non pas les haïr parce qu'ils diffèrent de nous.
Une humanité où chacun aura sa place, dans laquelle les richesses seront réparties le plus équitablement possible, dans laquelle aucun homme ne sera supérieur à un autre de par des principes irrationnels susceptibles d'engendrer la jalousie, la haine ou le dépit. Une société qui sera en mesure de répondre aux aspirations des hommes, de les instruire de toutes choses, de leur donner les chances de gagner leur subsistance dans la dignité. Une société dans laquelle chaque homme ne se sentira pas exploité ou dominé mais simplement participant à l'œuvre commune. Une société où les différences entre les hommes ne seront pas les causes de discriminations de toutes sortes, physiques, intellectuelles, sexuelles, raciales, ethniques… Une société où les plus faibles de par leur mental ou leur physique seront protégés et aidés. Et une société où les plus forts et les plus arrogants seront tenus de rester à leur place et de ne jamais tenter d'écraser les autres.
Mais une telle société et de tels hommes semblent n'être qu'une illusion et un projet du domaine de l'utopie. C'est avant tout l'homme qui doit évoluer, qui doit changer. La société n'est pas un état de fait. Elle est le fait des hommes et elle est à leur image. Exactement comme les hommes se sont inventé des dieux, à leur image, c'est-à-dire éminemment imparfaits.

Les mythes religieux:
Depuis que homo erectus est passé au stade de homo sapiens, puis à celui de homo sapiens sapiens, des hommes ont tenté de dominer d'autres hommes par tous les moyens possibles afin de les réduire à leur merci pour en faire des esclaves, des serviteurs ou des guerriers à leur service.
Dans tout le règne animal, les lois sont simples. Il faut se nourrir, survivre et se reproduire. Les animaux sont purs dans ce sens que leurs comportements leur sont dictés par leurs instincts et qu'ils agissent sans vice, sans passion, sans perversion. Même s'ils nous apparaissent parfois comme extrêmement hostiles, destructeurs ou cruels, ils ne font que ce qu'ils peuvent faire pour leur survie, mais ne commettent jamais d'actions destructrices inutiles ou par pur plaisir.
De son côté, l'homme a suivi une évolution biologique qui a permis un développement exceptionnel de son cerveau, siège des comportements et de la pensée, et de son activité cérébrale. Dans la course à l'évolution, l'homme a donc bénéficié d'atouts majeurs, intelligence et habileté manuelle, qui en ont fait la créature terrestre la plus favorisée. Ces améliorations de la race humaine se sont faites à une vitesse que l'on peut presque qualifier d'arithmétique. Les derniers siècles en ont fait la preuve, à travers les grandes découvertes scientifiques et technologiques.
Les hommes ont toujours cherché à améliorer leur condition et à se dégager des souffrances et des contraintes liées à leurs besoins vitaux. Le revers de la médaille a été que toutes les inventions humaines ont autant servi à faire vivre et à bâtir qu'à semer la mort et la destruction.
Il est douloureux d'imaginer ce que toute l'énergie dépensée par les hommes à travers les siècles pour faire la guerre aurait pu apporter si elle avait été dépensée pour l'amour et la paix.
Mais cette évolution spectaculaire du cerveau humain et de sa complexité a aussi apporté son lot d'anomalies de comportements, de perversions et d'innombrables déviances du psychisme, psychoses, névroses, schizophrénie, paranoïas diverses, etc… L'homme est la seule créature animale capable de faire souffrir ou de tuer par plaisir ou par vice.
Mais s'il a existé des Attila et des Hitler, par bonheur il a aussi existé des Pasteur et des Mère Térésa, toute considération religieuse mise à part.
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Avertissement
Attention, ne confondons pas foi ou convictions métaphysiques individuelles, qui relèvent de la liberté de conscience de chacun, et adhésion plus ou moins forcée, endoctrinement et asservissement des masses par des organisations religieuses ou philosophiques manipulatrices aux buts inavoués.
Ce sont des considérations tout à fait différentes, dans le sens que tout être humain peut être libre d'avoir ses propres conceptions personnelles dans les domaines métaphysiques et ésotériques et avoir des échanges de vues sur ces questions avec d'autres humains, sans que cela soit une nuisance pour la société.
A l'inverse, le fait que des hommes s'érigent en détenteurs de certaines vérités et de certains pouvoirs qui leur auraient été donnés ou conférés par des forces supérieures obscures et improbables, est aliénant pour l'homme et nuisible à la société humaine. Dans ce cas, les libertés individuelles de conscience et de vie sont menacées.

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Introduction
L'actualité nous rapporte régulièrement des faits ou des événements liés à l'islam dans notre pays ou dans le monde. La plupart des gens reçoivent ces informations prédigérées par les médias avec une certaine indifférence. Depuis une trentaine d'années, l'islam s'est implanté en France, s'y est développé et a atteint un niveau d'influence élevé alors que, dans le même temps, le catholicisme, religion traditionnelle de notre pays, a vu sa popularité dégringoler en flèche.
Comment expliquer cela?
Dans un premier temps, concernant la montée de l'islam, l'immigration progressive de populations musulmanes d'Afrique du Nord depuis une quarantaine d'années expliquerait à elle seule l'augmentation du nombre de fidèles de cette religion. La France, terre d'asile, est allée chercher outre méditerranée des bras pour accomplir les tâches que beaucoup de Français refusaient. Ces populations se sont installées et se sont multipliées en s'intégrant plus ou moins à la population nationale. Plus tard, ça a été le regroupement familial et tous les abus qui s'y sont greffés. Pendant ce temps, dans le monde, l'islam se développait et s'implantait un peu partout sans rencontrer grande opposition.
De son côté, le catholicisme d'après guerre, qui se portait bien, a vu le nombre de ses fidèles diminuer de manière drastique pendant les trente glorieuses. L'émergence d'un savoir de plus en plus pointu, de nouvelles sciences éclairantes, de nouvelles technologies, d'un rationalisme cartésien, d'une médecine performante, d'un allongement de la durée de la vie et l'amélioration d'un confort de vie protecteur et rassurant ont joué un rôle défavorable dans le culte et ont clairsemé les fidèles sur les bancs des églises.
Dans ces deux cas d'évolution des pratiques religieuses, on peut tout de même constater que le catholicisme touchait jusqu'alors toutes les couches de la société française et donc, parmi elles, aussi, les plus instruites et les plus cultivées, alors que l'islam montant s'adresse essentiellement, depuis le début, à des classes ouvrières peu instruites et peu à même d'analyser le message qui leur est délivré.
Enfin, globalement, les masses pauvres et incultes sont toujours plus malléables et manipulables que les classes riches et instruites et les religieux islamistes n'ont jamais eu beaucoup de peine à diriger et canaliser les opinions.
Si l'islam, aujourd'hui, commence à faire couler beaucoup d'encre et à engendrer des réactions de méfiance et de rejet, il faut y voir une attitude normale face à la montée d'une religion qui s'est toujours montrée, à travers les siècles, exclusive, intolérante, conquérante et meurtrière.
Cette puissance n'est plus au-delà des mers, ni à nos portes, mais bien dans notre pays et parfaitement installée. Et il est grandement temps de se demander si tout cela ne représente pas une menace potentielle qui pèserait sur notre paix, notre démocratie, nos libertés, nos institutions, nos lois et nos vies.
Certains croient en un dieu ou en plusieurs, Dieu, Jésus, Marie, Allah, Géovah, Vichnou, Brahma, ou bien ils croient en l'astrologie, la numérologie, les tarots de Marseille, les runes, la voyance, la divination, les médiums, les tables tournantes, les sectes, la scientologie, le vaudou, les messes noires, Nostradamus, l'homéopathie, le père Noël, la politique, le Pape, Zidane ou n'importe quoi !
Oui, les hommes ont et ont toujours eu ce besoin frénétique de croire en quelque chose qui leur échappe, mais qui leur donne un peu d'espoir et qui éloigne leurs peurs. Peur de la souffrance, de l'abandon, de la solitude, de la mort et de ce qu'il y a après la mort. Et c'est cette dernière peur qui donne en grande partie la clef des comportements humains religieux.
Mais que sont donc ces religions ? Et pourquoi ces religions ?
Il est temps de faire un retour en arrière, à travers les siècles.
Aussi loin que remonte la mémoire des hommes, les hommes ont eu peur et ont eu besoin de se sentir protégés et rassurés.
Alors, il y a des milliers d'années, les hommes se sont inventés des idoles et des créatures abstraites et impalpables qu'ils rendaient responsables de tout ce qui leur arrivait et auxquelles ils demandaient protection et assistance.
Bien sûr, à l'origine de ces toutes premières superstitions des hommes plus malins que les autres, ou en tout cas plus pragmatiques et plus manipulateurs, se sont arrangés pour détourner à leur profit le culte, les honneurs, les dons et les offrandes qui étaient apportés aux idoles.
Ainsi naquirent, il y a probablement des dizaines et peut-être des centaines de milliers d'années, les premières croyances métaphysiques irrationnelles ancêtres de nos actuelles religions monothéistes. Entre temps, les croyances, les idoles, les divinités se sont affinées, multipliées, perfectionnées, enrichies. Il y eut les religions polythéistes de l'antiquité qui laissèrent peu à peu la place à des courants et à des notions de religions monothéistes.
Quant aux prêtres et peu importe le nom que vous leur donnerez, ils apprirent aussi à mieux manipuler les peuples, à les endormir, à les spolier de leurs richesses et à vivre grassement de cette activité. Les chapitres de la Bible qui concernent la construction du temple et les modes opératoires des offrandes et des sacrifices est parfaitement claire à ce propos. Tous les jours, les prêtres recevaient des offrandes et des sacrifices qui leur permettaient de se nourrir et de nourrir leur tribu et de s'enrichir prodigieusement.
Mais la mémoire des hommes est une chose bien fugace, fragile et volatile. Les documents terrestres écrits les plus anciens que l'homme ait produits sont les manuscrits de la mer morte qui remontent à quelques deux mille ans. Sauf si l'on considère l'épopée épique, en sanscrit, du Mahâbhârata, en Asie, qui remonterait peut-être à mille ans avant notre ère et aurait été mis par écrit entre 200 avant et 200 après Jésus-Christ.
La mémoire des hommes étant ce qu'elle est, après des siècles de transmission orale de la pensée et de l'histoire des peuples, les hommes se sont mis à écrire sur des supports légers et transportables tout ce qu'ils considéraient comme important à transmettre aux générations suivantes. Plus tard, des livres comme la Bible furent constitués de centaines d'écrits épars réunis en un seul et unique ouvrage. Mais la Bible elle-même a subi de nombreuses modifications et transformations avant d'être ce qu'elle est, aujourd'hui, entre nos mains.
Outre le besoin et la propension des humains à croire à tout et à n'importe quoi, il convient de prendre en considération le principe du besoin d'adhésion et d'appartenance à un groupe, quel qu'il soit. L'appartenance à un groupe permet à l'individu de se situer dans la société humaine et d'y être accepté en tant que membre de ce groupe. Il peut s'agir d'une fédération de métier, d'un syndicat, d'une grande entreprise, d'un groupe politique ou militaire ou scientifique ou intellectuel ou religieux, de clubs, d'associations, de sectes…
A un niveau supérieur, l'origine ethnique, la nationalité, la langue pratiquée ou le sexe sont également des groupes. Chacun se reconnaît donc par son appartenance à un ou à plusieurs groupes.
Les dirigeants de groupes connaissent très bien l'importance d'appartenir à un groupe et en jouent en exaltant à l'appartenance à leur groupe et par opposition à l'inconvénient voire même à la déchéance de ne pas y appartenir. Celui qui n'appartient à aucun groupe devient un paria, un rejet de la société et ne représente plus rien. Ainsi, les chefs religieux ont-ils poussé à l'extrême la déchéance de ne pas appartenir à leur groupe et, pour certains, la possibilité de considérer le paria comme un sous-homme, un esclave potentiel ou une créature nuisible.
Ce besoin d'appartenance à un groupe est pour beaucoup dans la fascination qu'exercent les sectes sur des personnes un peu isolées de la vie sociale et un peu faibles et vulnérables psychologiquement.
L'avènement des religions monothéistes a beaucoup plus marqué l'histoire des hommes et des peuples car elles se sont beaucoup plus immiscées et impliquées dans les affaires des cités et des nations. Au point, dans certains cas, de devenir obligatoires, religions d'états, religions des rois.
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Le concept de Dieu
La foi des fidèles:
Elle est gratuite. Elle est soumission, Elle est abandon de soi et abandon de toute forme de critique. Elle est acceptation aveugle de tout ce que l'on vous suggère ou vous impose. Elle existe pour rassurer, pour donner l'illusion d'un espoir, l'espoir d'une vie après la mort, l'espoir d'une force supérieure à invoquer ou à appeler lorsque la vie nous est trop pénible. La foi s'accompagne du besoin de prière. Chez certains croyants, la foi religieuse s'apparente à une sorte de superstition. D'ailleurs, de manière tout à fait "hérétique", ces croyants ne se privent pas de mettre sur un même plan leur foi religieuse et leurs croyances dans les tarots, les runes, les tables tournantes, les médiums, et toutes les niaiseries de l'astrologie, en général. C'est un curieux mélange. La foi en la vie éternelle n'est pas toujours très affirmée. Un vieil ami à moi me disait un jour qu'il n'avait aucun doute quant à l'échéance finale et le fait que son âme irait directement au paradis, à la droite du Père... Je trouve qu'il faut tout de même avoir bien peu réfléchi à la question pour croire en ce genre de choses. D'ailleurs, les plus farouches croyants ne semblent jamais très réjouis de la perspective d'une mort imminente, alors qu'ils devraient nager dans le bonheur de se savoir bientôt reçus dans l'univers de Dieu qu'ils ont prié et consacré toute leur vie...
L'homme commencera à entrevoir la sagesse lorqu'il sera capable d'accepter sans peur et sans artifices sa destinée. La mort est inéluctable et nous devons l'accepter comme une chose naturelle et universelle. Toute chose a un commencement et une fin. L'enfermement dans un système de mensonges rassurants est peut-être plus confortable, en apparence, mais ne conduit qu'à une vie de mensonge, d'ignorance et d'hypocrisie. L'homme devra un jour trouver le courage de regarder les choses en face.

La foi des religieux (de toutes les religions):
Elle découle généralement de la foi des fidèles, la foi populaire. Le jeune prêtre ou religieux est généralement touché par une foi sincère et se sent appelé par une vie de sacerdoce, de service de Dieu et de secours des hommes. Mais de nombreux prêtres, religieux, moines, quel que soit leur ordre monastique, perdent un jour la foi, dans la confrontation avec les réalités de la vie. Certains le reconnaissent, mais pas tous, redoutant des sanctions de leurs hiérarchies ou le jugement de leurs proches, famille ou amis.
Le religieux doit continuer à montrer le visage d'un homme de foi, quoi qu'il arrive. Il ne peut pas y échapper. Les sanctions peuvent être lourdes. Les ressources des ordres et structures religieuses en dépendent. Et le luxe dans lequel vivent certains religieux de "haut rang", en dit long sur les moyens dont ils disposent.
Dans l'histoire de toutes les religions, dans tous les ordres religieux, des dérives ont toujours eu lieu entre la règle édictée par le fondateur de l'ordre et son application dans la vie religieuse. Et des réajustements ont souvent été nécessaires pour compenser ces dérives regrettables.

Dieu:
Lorsque l'on parle religion, on ne peut pas éviter de parler de Dieu.
Lorsqu'on parle avec un religieux, on ne peut pas ne pas remarquer que sa conversation est émaillée d'allusions à Dieu, au pouvoir divin, à la Divine Providence, au châtiment divin, à l'impénétrabilité des Desseins du Seigneur, etc…
On a vraiment l'impression que cette personne rencontre Dieu tous les jours, passe de longs moments avec lui et ne l'a quitté qu'un moment plus tôt.
C'est stupéfiant de voir comment les hommes se sont créé des dieux, puis un seul Dieu unique et comment ce Dieu est partie intégrante de leur vie comme les membres de leur famille, leurs amis, leurs voisins, leur chat ou leur chien.
Les prêtres de quelque religion que ce soit, tout comme les vrais croyants, n'ont aucun doute sur l'existence de Dieu. Enfin à ce qu'ils laissent supposer.
C'est un discours très difficile à admettre pour qui n'est pas croyant.
Généralement, le croyant, le fidèle d'une religion ne croit pas et ne s'intéresse pas aux croyances et aux convictions des fidèles des autres religions.
Si les autres ont des croyances différentes, ils sont probablement dans l'erreur et c'est leur problème. On ne cherche pas plus loin. Personne ne se demande si ses croyances à lui sont bonnes ou non et si la vérité n'est peut-être pas chez les autres. Par orgueil, par commodité, par paresse intellectuelle et par nécessité sociale.
Chaque fidèle est convaincu que sa religion est la meilleure.
Mais comment peut-on prétendre avoir embrassé la meilleure religion alors que la plupart du temps les fidèles d'une religion ne connaissent quasiment rien des autres religions.
Comment choisir une religion parmi plusieurs, sans parfaitement connaître toutes les religions ? Mais qui choisit véritablement sa religion ? Le plus souvent la religion est imposée aux enfants par la famille ou la société.
Tout cela est d'autant plus étrange que les trois grandes religions monothéistes affirment vouer un culte au même et unique dieu qui leur aurait envoyé à toutes les trois son message, ses prophètes et ses livres…
On nage bien en plein paradoxe et en pleine invraisemblance.

La raison et le bon sens ne peuvent se satisfaire de théories bâties sur des principes aussi abstraits et intangibles. La recherche de la sagesse doit se faire en dehors des chemins obscurs des dogmes et des cultes religieux qui aliènent l'homme et font offense à l'intelligence humaine, par ailleurs si prodigieusement féconde et créatrice.
L'humanité ne vivra que lorsque les dieux seront morts.
L'athéisme est la seule clef qui permettra cette avancée.
Essayons d'analyser le principe de la croyance. Les croyants affirment avoir la foi en Dieu. Ils déclarent qu'ils " Croient " en Dieu.
Première constatation, ils " ont la foi ", " ils croient ". C'est-à-dire qu'ils n'ont absolument aucune certitude quant à l'existence effective de Dieu. En effet, croire ou avoir la foi en une chose est admettre implicitement qu'on n'a aucune certitude absolue sur l'existence de cette chose, mais que l'on accepte d'y croire pour des raisons diverses.
La croyance ou la foi impliquent automatiquement la notion de doute qui vient confirmer ce qui précède.
En effet, on ne dit pas que l'on croit ou que l'on a foi dans l'existence du facteur ou du boulanger. Ce sont des personnes que l'on voit tous les jours et on a n'a aucune raison de douter de leur existence.
La croyance ou la foi en Dieu exprime donc bien le doute qui subsiste en l'existence de Dieu.
Les croyants sont des personnes qui ont un besoin (sinon pourquoi croiraient-ils) de croire en Dieu, en une entité, une intelligence ou une force supérieure immatérielle dont la présence supposée les rassure et leur donne l'espoir et la force d'affronter les vicissitudes de leur existence. Cette force et cet espoir résident aussi d'une façon importante dans l'hypothétique probabilité de " quelque chose " après la mort qui leur donne aussi le courage d'attendre et d'affronter cette échéance funeste. La peur de la mort est, en effet, une des grandes peurs et une des grandes préoccupations des humains depuis qu'ils en ont pris une conscience aiguë et aussi depuis que la civilisation a rendu leur vie plus douce et plus longue.
Ainsi, les croyants invoquent-t-ils un Dieu dont ils n'ont pas la certitude absolue de l'existence et en acceptent-ils le fait sans chercher à y réfléchir dans le seul but de se réfugier et de se rassurer psychiquement dans cette croyance parfaitement irrationnelle et sans issue apparente.
En dehors de cela, la démonstration de l'existence de Dieu est un exercice auquel se sont depuis longtemps confrontés des multitudes de penseurs, de religieux et de philosophes sans jamais être parvenus à un résultat probant.
Le problème a été pris et retourné dans tous les sens. On n'a jamais pu produire la moindre preuve de l'existence de Dieu, ni de l'explication de la raison de son existence, ni du lieu où il se situe ni de la raison qui l'aurait poussé à créer l'univers, la vie, l'humanité et de l'intérêt qu'il lui porterait.
Bien sûr, évidemment, on n'a jamais pu prouver non plus " l'inexistence " de Dieu, pas plus que celle du Croquemitaine, du loup-garou ou du marchand de sable…
Les seules prétendues preuves et témoignages sont des écrits humains issus d'une longue tradition orale et qui ont énormément évolué au fil des siècles. Il n'existe sur terre aucune trace de la présence ou du passage éventuel de Dieu. On n'a connaissance d'aucune circonstance où Dieu se serait adressé aux hommes ou serait intervenu dans les affaires des hommes. Les seuls prétendus messagers ou prophètes de Dieu n'ont été que des hommes ordinaires dont les récits, impossibles à authentifier, sont des écrits très anciens, issus de la tradition orale, qui ont été faits par des hommes et probablement adaptés au gré des époques et des circonstances, corrigés et modifiés par d'autres hommes. Il n'est que de voir l'attitude du Vatican à propos des manuscrits de la mer morte pour se convaincre que si le Vatican avait eu en main la totalité des manuscrits ils ne seraient jamais réapparus à la surface et auraient été détruits ou enfermés dans quelque coffre poussiéreux, au fond de quelque cellule sombre de cette sorte de bibliothèque souterraine que l'on nomme là-bas "l'enfer".
Objectivement parlant, les textes anciens, si précieux puissent-ils être, ne permettront jamais à l'homme d'évoluer vers la lumière de la connaissance. Ils peuvent avoir valeur de symboles, mais la vie n'avance toujours que dans une seule direction, le futur.
Une chose encore reste révélatrice de l'invraisemblance des postulats des dogmes des différentes religions monothéistes, le fait que, précisément, il existe trois grandes religions monothéistes dérivées des textes bibliques et de l'histoire des peuples du moyen-Orient.
Pourquoi ces trois grands courants, eux-mêmes subdivisés de multiples façons ?
Il existerait un Dieu unique mais proposé sous différentes formes et différents messages… Cela n'est pas sérieux. Les trois grands dogmes sont véritablement l'expression, dans leur diversité, de la nébulosité dans laquelle les enseignements religieux et donc la parole divine, sont transmis par les prêtres des différentes confessions.
Pourquoi un seul et même Dieu, sous trois concepts différents, Dieu (sans parler des subdivisions : Jésus, Le Saint Esprit, Marie…), Yahvé et Allah, se serait adressé à certains peuples du monde (et pas à d'autres) dans des discours différents et en des lieux différents. Cela remet en question le discours des prêtres des trois religions sur le principe de l'unicité divine et de la cohésion et de l'unicité de l'enseignement divin.
De plus, dans les évangiles, Jésus disait à ses disciples que d'autres viendraient et qu'ils ne faudrait pas les croire et six cents ans plus tard, Muhammad s'autoproclame le dernier des prophètes... 

Parmi les multiples contradictions des religions, on peut observer celle de l'explication des mystères de la vie et de l'univers.
Les peuples se sont toujours posé de nombreuses questions sur les mystères de l'origine de l'univers, sur les origines et les secrets de la vie, sur les mystères de l'infini dans l'espace ou dans le temps, sans jamais pouvoir donner de réponses satisfaisantes à ces questions. En inventant des dieux éternels, omnipotents et omniprésents, les prêtres ont imaginé pouvoir apporter des pseudo-réponses à ces questions par un biais discutable. Les dieux devenaient les acteurs et les auteurs de tout l'univers, ils en possédaient les clefs, ils en étaient les maîtres et les hommes devaient se contenter de cette explication et se soumettre aux dieux sans trop chercher à comprendre, sous peine de risquer d'offenser les dieux et d'encourir leur châtiment.
Ainsi, les prêtres avaient transféré aux dieux les réponses qu'ils étaient eux-mêmes incapables d'apporter aux hommes. Et ils avaient augmenté leur pouvoir et leur ascendant sur les masses en devenant les seuls interlocuteurs des dieux.
En final, les hommes restaient face à leurs éternelles questions sans pouvoir y apporter de réponses et sans avoir le droit d'en chercher. Ils étaient passés à un autre stade de questionnement. Ils ne cherchaient plus de réponse aux mystères de la vie et de la création et se trouvaient confrontés à une nouvelle grande question, le mystère des dieux !


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Entrer dans le jeu des religions…
La conception cartésienne occidentale de la vie et son approche détachée des principes religieux les plus sulfureux ont permis aux peuples de l'occident d'avancer dans tous les domaines de la pensée.
Puisque les croyants affirment que Dieu existe et que les Saintes Ecritures (Bible, Torah, Coran) en sont la preuve incontournable, tentons d'y voir plus clair. Nous ferons d'abord abstraction du fait que ce sont les hommes qui ont écrit ces livres et non Dieu.
Nous essayerons d'admettre que Dieu, puisque c'est son nom, réside quelque part ou partout dans l'univers, qu'il a la faculté de se trouver en tout lieu à tout moment, soit qu'il ait la capacité de voyager à une vitesse prodigieuse soit qu'il soit effectivement partout physiquement à la fois. Le don d'ubiquité.
Nous passerons sur le fait que Dieu est éternel, que son existence n'ait ni début ni fin et qu'il serait vain de se demander quand il est né et comment et ce qu'il y avait avant.
Nous fermerons les yeux sur le fait que Dieu puisse être également dans le cerveau de tout être humain, à tout moment, afin d'y lire ses pensées, se tenant ainsi informé de toutes les pensées de tous les êtres humains.
Nous nous accommoderons aussi du principe biblique selon lequel Dieu aurait créé l'univers et tout ce qui le compose. Nous accepterons que Dieu possède des pouvoirs sans limite dans le temps et dans l'espace. Nous nous inclinerons devant le fait que Dieu est forcément venu d'un univers parallèle infini pour créer notre univers connu et inconnu, puisque notre univers n'existait pas encore. Que surgi du néant, il ait créé à partir de rien tout ce que nos pauvres facultés nous permettent de percevoir de l'univers visible et invisible. Nous accepterons le principe selon lequel Dieu, qui jusqu'à plus ample informé est abstrait, impalpable, inconsistant, immatériel et " pur esprit ", ait pu créer tout ce qui est matière et matériel dans l'univers, de la plus petite particule sub-atomique à la plus gigantesque des galaxies d'étoiles. On peut probablement attribuer à Dieu le fameux Big Bang qui décrit la création de l'univers ou d'une simple partie de l'univers à partir d'un poix chiche de matière primitive qui s'est brutalement expansée et poursuit constamment son expansion. Dieu possède donc la faculté de régner sur la matière tout en étant lui-même immatériel.
Nous apprécierons que Dieu, malgré sa toute puissance et son infaillibilité, ait pu être trahi sans vergogne par un certain archange Lucifer.
Nous admettrons aussi le principe de la perfection absolue et de l'infaillibilité totale de Dieu.
Nous considèrerons comme faisant partie de l'impénétrabilité des desseins du Seigneur le fait que Dieu ait créé le monde, la vie et les hommes à son image. Nous apprécierons que L'homme, pourtant créé à l'image de Dieu, ait pu se montrer si imparfait, cueillant ainsi et mangeant, dans un premier égarement et malgré la claire interdiction faite par Dieu, le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Acte subséquemment condamné par Dieu, dans sa grande infaillibilité, oubliant que l'homme ne pouvait pas savoir qu'il lui désobéissait puisqu'il ne possédait aucune connaissance de ce que pouvait être le bien ou le mal. Et qu'il ne pouvait avoir aucune connaissance de ce que fût la désobéissance et que la désobéissance pût être une mauvaise action.
Nous admettrons de même que Dieu tout puissant, omniprésent et infaillible soit également d'une totale magnanimité, clémence et miséricorde. Nous considèrerons que dans son immense miséricorde et infaillibilité Dieu ait jugé bon de chasser Adam et Eve de la terre qu'il leur avait offerte pour les envoyer errer sur les chemins de la souffrance, condamner Eve et les millions de générations de femmes qui la suivraient à enfanter dans la douleur et l'ensemble de l'humanité à vivre dans le peur, la douleur, la solitude, la haine, la persécution, les guerres, les maladies et la souffrance du travail. Tout ça pour un minuscule et très discutable écart de conduite.
Nous accepterons que l'ensemble de la suite des écritures fondatrices des trois grandes religions monothéistes ne soient qu'une longue suite d'histoires incroyables dans lesquelles les hommes se conduiront tantôt bien tantôt mal face aux commandements divins et en subiront les châtiments et les conséquences. Que Dieu adoptera parfois des attitudes incompréhensibles mais que nous considèrerons qu'elles sont simplement celles d'un savant un peu facétieux qui joue avec la créature sortie de son laboratoire et qui s'amuse à donner un coup de pied dans la fourmilière, de temps en temps, pour voir ce qui se passe.
Nous admettrons que, dans sa grande mansuétude et son immense clémence et miséricorde alliée à une grande équité et un infini sens de la justice, Dieu enverra de temps en temps à son "Peuple élu" quelque prophète ou quelque personnage qui tentera de sortir ce peuple de la mélasse dans laquelle ils se fourvoiera systématiquement.
Nous passerons de même sur le fait que Dieu ait violemment puni les hommes chaque fois qu'ils ont voulu se hisser à sa hauteur, exprimant ainsi sa crainte, malgré sa puissance infinie, que l'homme puisse l'égaler.

Nous remarquerons que l'Ancien Testament de la bible regorge de passages dans lesquels Dieu semble n'avoir jamais prévu ce qui allait se passer, a donné des ordres ou des consignes contradictoires à son peuple élu errant dans le désert, l'a parfois incité au pardon et d'autres fois au massacre et à l'extermination de ses ennemis.
Nous constaterons, un peu étonnés, que ce Dieu qui a créé l'univers et qui possède donc les pouvoirs les plus hallucinants, n'a jamais été capable de régler physiquement le moindre problème terrestre se posant entre son peuple élu et les autres peuples.
Nous apprécierons que Dieu ait envoyé son fils unique, né de la rencontre d'une femme et de l'immatérialité de la nature divine, pour sauver les hommes du péché et d'eux-mêmes, sans protection, sans pouvoirs, se faire massacrer par les hommes qu'il était venu sauver, pour un résultat qui reste toujours assez douteux...
Nous apprécierons que, plus tard, Dieu ait envoyé son ange Gabriel donner ses dernières et ultimes consignes à un certain Muhammad aux moeurs dissolues et à la moralité douteuse, aventurier, rebelle, pillard de caravanes et assassin.
Nous prendrons bonne note du fait que Dieu ait créé les hommes à son image. De cela, nous pourrons déduire, après étude des comportements humains, que Dieu aime beaucoup qu'on le vénère, qu'on l'adore, qu'on lui consacre du temps et de la richesse, des offrandes, des sacrifices (longuement détaillés dans la bible), des prières. Que Dieu n'aime pas les femmes et les considère comme des sous-créatures indignes et juste bonnes à être utilisées pour la reproduction et bonnes à jeter ensuite. Que Dieu aime la guerre et la violence et ait ainsi fréquemment poussé les hommes à faire la guerre et à exterminer leurs opposants à l'occasion de croisades, de guerres saintes de persécutions ou de dji-hâd. Que Dieu soit paresseux et incapable d'accomplir lui-même la tâche la plus basique puisque personne n'a jamais entendu parler d'un travail qui aurait été effectué par Dieu. Que Dieu est jaloux, car il ne supporte pas l'idée que les hommes puissent se tourner vers d'autres créatures pour les adorer, les vénérer et leur offrir des sacrifices et des prières. Que Dieu est vindicatif et rancunier puisqu'il s'est toujours avéré plein de cruauté et d'esprit vengeur pour ses ennemis. Ainsi, Les hommes sont bel et bien à l'image de leur créateur.
On pourrait aussi imaginer que Dieu est un personnage assez bizarre, dans le genre. Par exemple, il est difficile d'imaginer et de comprendre qu'avec toute sa puissance, ses pouvoirs infinis et son infaillibilité absolue il ait pu concevoir et créer une créature aussi bancale, éminemment imparfaite et inutile que l'homme. Et il semble aussi quasiment incompréhensible qu'il ait pu y consacrer autant d'intérêt, alors qu'il lui aurait suffi de le détruire et éventuellement de le recommencer. Comment expliquer cette relation étrange, confinant au malsain et à la morbidité que Dieu a instituée et entretenue avec l'homme, misérable créature insignifiante, ratée et sans valeur. Dieu est-il si malheureux et si désemparé, dans sa solitude cosmique, qu'il n'ait pas d'autre créature dans l'univers avec laquelle entretenir une relation quelconque?
Finalement, si l'on considère que Dieu a fait l'homme à son image et si l'on examine attentivement tous les écrits humains traitant des commandements et des volontés de Dieu, on ne peut qu'en arriver à une observation stupéfiante : Ce que veut Dieu ressemble extraordinairement à ce que pourrait bien vouloir n'importe quel petit potentat humain. De là à porter certaines conclusions, sachant que ce sont les hommes qui ont écrit la totalité des écritures dites saintes, il n'y a qu'un pas. Et ce pas nous amène forcément à l'évidence que tous ces écrits ne sont rien d'autre qu'humain, que l'empreinte de Dieu y est totalement absente, que Dieu est une fiction, une chimère, une pure invention des hommes et que ce ne sont pas les hommes qui sont à l'image de Dieu, mais que ce sont bien les hommes qui se sont créé des dieux ou un Dieu totalement à leur image, avec tous leurs travers, leurs vices et leurs imperfections.
***
Ressortons de cette fiction. Ressortons du jeu des religions. Tout cela n'est que de la littérature.
La vérité est ailleurs. La vérité est dans l'esprit de chaque être humain. Dans chaque cerveau, chaque intelligence. La vérité vient d'un besoin profond et incontrôlé de l'homme de croire en des choses immatérielles et d'espérer en des choses improbables.
L'intelligence humaine est arrivée à un tel degré de complexité qu'elle est capable de créer des concepts d'une abstraction infinie et d'envisager des théories si impalpables que l'homme peut sentir cette intelligence lui échapper, comme si elle lui était subtilisée par une quelconque force supérieure. Mais de force supérieure, il n'est point.
Si des forces supérieures, autres que les forces physiques qui régissent le cosmos et l'univers, existaient, nous en aurions, aujourd'hui, une connaissance évidente.
L'homme ne doit jamais tourner le dos à ses connaissances scientifiques qui sont le substrat principal de toutes les cultures et de toutes les civilisations évoluées.
En dehors des jeux de l'esprit et de l'art poétique, les hommes ne doivent jamais perdre de vue que l'irrationnel ne conduit toujours qu'à l'erreur et à l'échec.
Sur le terrain de la poésie, si l'on veut observer l'univers dans sa globalité en totale fusion, harmonie ou synergie avec toutes les formes d'intelligences que l'évolution ait pu y faire germer, alors, sous cet angle, on peut établir des relations absolues entre la matière et l'intelligence et admettre que, peut-être, cette entité puisse porter le nom de Dieu… ! (ce qui s'approche de la pensée de Spinoza). Le chamanisme serait peut-être la religion la plus proche de ce concept (voir aspects positifs des religions).

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Les grands courants religieux
Deux courants sur lesquels nous ne nous attarderons pas, le Bouddhisme et le Chamanisme :
Le grand courant Bouddhiste qui est la philosophie de Bouddha Sçakyamouni, édictant des principes assez sains et qui ne fait pas appel à un dieu omniprésent et omnipotent. Plus proche de la nature et de la terre, le bouddhisme invite à la méditation et au travail sur soi. Le but à atteindre est l'illumination. La religion bouddhiste s'est formée à partir du VIème siècle avant J-C et s'est fixée vers le début de l'ère chrétienne. Le Bouddhisme est subdivisé en diverses branches. Le Bouddhisme n'est pas hégémonique.
Le Chamanisme, la plus ancienne religion du monde, est un ensemble de cultes, de gestes, de traditions et de superstitions toujours proches de la nature et qui prétendent canaliser et positiver les forces qui la régissent. A travers cela les chamanes affirment pouvoir soigner et guérir certaines maladies. De Sibérie en Amérique du nord, en passant par les coins les plus reculés de la planète, le Chamanisme compte pourtant de nombreux adeptes. La Chamanisme n'est pas Hégémonique.
Nous ne parlerons pas des sous-branches des différentes religions : Catholiques, protestants, orthodoxes, témoins de Géovah, mormons, brahmanes, confucianistes, shintoïstes, etc…
Ils existent, ils sont nombreux, mais leur énumération est sans objet ici.

Nous approfondirons davantage les trois grandes religions: Christianisme, Judaïsme et Islam.

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Les trois grandes religions monothéistes
Les écrits dits " bibliques " qui évoquent et glorifient pour la première fois un dieu unique furent les premiers du genre et il est difficile de dater les plus anciens.
Dans ces écrits, Dieu s'est révélé et s'est adressé aux hommes à travers les personnages d'Abraham, Isaac, Jacob et Moïse.
Antérieurement, la tradition orale était le seul moyen de transmettre ces enseignements. Il est évident que ce mode de transmission ne peut que s'altérer au fil des siècles et que les informations originelles sont déformées (par exemple, l'âge des patriarches pour lesquels on peut supposer que les années étaient en fait des lunaisons). Et ce d'autant plus que les porteurs de ces enseignements devaient les adapter à leur époque et aux événements de leur temps.
La Bible se divise en Ancien et Nouveau Testament ou Ancienne et Nouvelle Alliance.
Les écrits bibliques qui retracent l'histoire d'un peuple plus de quatre milles ans en arrière ne peuvent être considérés que comme très approximatifs, dans le meilleur des cas, historiquement parlant.
Les écrits que l'on désigne sous les termes de "livres sacrés", concernant les trois grandes religions monothéistes, La Bible, la Torah et le Coran, sont les écrits de référence des trois religions. Cependant, les prêtres ne les considéraient pas suffisants et complets pour en tirer toute la substance nécessaire à leur autorité sur les peuples. C'est pourquoi de nombreux autres écrits les ont suivis et en ont découlé, écrits philosophiques, juridiques et analytiques, qui ont servi à leur tour à asseoir l'autorité des prêtres. Mais ces derniers écrits n'ont rien de véritablement sacré. Ils sont des écrits humains et on ne peut leur attacher que le crédit que l'on peut attacher à toute oeuvre humaine, c'est-à-dire peu de chose.

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Le christianisme fut la première religion monothéiste de grande envergure à s'imposer à des nations et à des rois. Il convient de souligner l'ambiguïté propre aux trois religions chrétiennes à propos du monothéisme. En effet, les chrétiens adorent ou vénèrent et prient indifféremment Dieu, la Sainte Vierge ou le Christ. Sans parler des centaines de saints qui reçoivent leur lot de prières. Tout cela revêt les apparences de l'idolâtrie la plus ordinaire. On peut alors parler d'une certaine forme de polythéisme. D'ailleurs, les musulmans qualifient ainsi la Trinité (le Père, le Fils et le Saint-Esprit) et probablement à juste titre.
Le Christianisme se divisa en trois branches qui entraînèrent forcément son affaiblissement, les Catholiques, les Orthodoxes et les Protestants. Ces divisions furent dues à des raisons purement politiques et à des luttes de pouvoir.
Le premier schisme d'orient entre chrétiens et orthodoxes et donc entre l'église romaine et l'église byzantine eut lieu de 863 à 886 et la rupture fut définitive en 1054, sous le pape Léon IX.
Puis, la division entre l'église catholique et l'église réformée ou protestante fut initiée par Martin Luther de 1517 à 1520 et soutenue par Jean Calvin à partir de 1533.
Le Christianisme fonde ses principes sur les textes bibliques de l'ancien et du nouveau testament (les évangiles) et sur les règles établies par les dirigeants de ses trois branches. Le dogme chrétien engendra de nombreuses crises de pouvoir, de luttes fratricides, de croisades, de persécutions, inquisitions et de génocides. D'ailleurs, les textes les plus anciens relatent de nombreuses situations et actes de trahison et de violence. De l'histoire des deux premiers frères que relate la Bible, l'un devint un assassin et l'autre fut sa victime. Ce qui augurait effectivement mal de l'avenir de l'humanité.
Et que penser, par ailleurs, d'un dieu qui accueille ses créatures dans son paradis en leur interdisant seulement de toucher au fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. A ce moment-là, Adam et Eve n'avaient aucune idée du bien et du mal et ne pouvaient donc pas savoir qu'ils agissaient mal en ignorant les recommandations du créateur. Il ignoraient le principe même de désobéissance. Ce dieu inique leur a tendu un piège dans lequel ils ne pouvaient que tomber. Ce Dieu d'amour, de clémence et de miséricorde qui a condamné les millions de générations de descendants d'Adam et Eve à vivre une vie de souffrance à cause de leur dérisoire faute originelle.
Par la suite, Dieu abandonne et fourvoie allègrement, à plusieurs reprises, son peuple " élu " sur les chemins de l'errance avec une indifférence incompréhensible !
Dans chaque branche du christianisme des libertés ont été prises avec les règles fondamentales de la doctrine chrétienne. Par exemple, chez les catholiques, le célibat des prêtres qui est une disposition contre nature, propre à engendrer des mécanismes de frustration et de perversion, ou encore le principe des "indulgences", très prisé par les dirigeants religieux et leur permettant de gagner beaucoup d'argent sans trop se fatiguer. Vous donnez une certaine somme à l'église pour bâtir une cathédrale ou entretenir des bâtiments religieux et vous bénéficiez d'une remise de peine de dix, vingt, cinquante ou cent ans de purgatoire. Un peu comme les coupons d'achat dans les grandes surfaces...
Durant des siècles, les tenants des différentes branches de la chrétienté ont volontairement maintenu les peuples dans des conditions d'ignorance propres à un despotisme intellectuel efficace. Il fallut des hommes tels que Copernic ou Galilée ( http://www.infoscience.fr/histoire/portrait/galilee.html ) qui dut souffrir des menaces de l'église et de l'inquisition.
Il existe des courants intégristes dans les trois branches du christianisme.
Le Christianisme est évangélique ou diffusionnel et à tendance hégémonique.
Le Christianisme a été à l'origine de nombreuses guerres entre les nations, guerres politiques, guerres "saintes" (croisades) et persécutions diverses (inquisition). Aujourd'hui encore, des conflits entre courants religieux chrétiens perdurent, comme en Irlande, entre catholiques et protestants (catholiques romains et catholiques anglicans), et sont prétextes à des actes de terrorisme barbares.

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Le judaïsme, la plus ancienne religion monothéiste, prend ses racines plus profondément dans des textes anciens qui sont communs au christianisme.
La Torah contient les cinq livres bibliques composant le Pentateuque, c'est-à-dire : la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome. Les juifs n'ont pas inclus dans leur canon les livres de Tobie ou des Macchabées, entre autre. La Bible hébraïque comprend donc le Pentateuque, puis les Prophètes et enfin les Hagyographes.
Mais la religion juive fait appel à des principes différents dans l'exercice du culte et dans la vie. Le Talmud est le livre de la tradition orale. Il ne s'agit pas véritablement d'un livre, mais d'une somme monumentale d'écrits, d'études, de commentaires et de discussions.
L'histoire du peuple juif est racontée dans les premiers chapitres de la Bible. Mais si la tradition juive est restée fidèle à son histoire, elle a aussi su s'adapter aux époques et aux lieux.
Grâce au Talmud, la loi orale, qui est une interprétation constante des textes et des lois, le Judaïsme est une pensée en perpétuelle mouvance, elle est évolutive. Les décisionnaires de la loi, les rabbins, se penchent constamment sur les aspects les plus modernes possibles.
La tradition juive a su intégrer toutes les composantes de la modernité et de la science dans tous les domaines de pointe, ce qui est loin d'être le cas des autres religions monothéistes et tout particulièrement de l'Islam.
Malgré les persécutions, les exils, holocaustes et autres tentatives d'extermination, la tradition juive a conservé toute son intégrité et sa force de résurgence face à toutes les tentatives de destruction. Les textes n'ont jamais été altérés à travers les siècles.
Le peuple juif se répartit dans toutes les régions du monde (la dispersion ou diasporah) et la terre d'Israël qui lui a été attribuée en 1948.

La foi juive s'apparente plus à une philosophie de la vie, assimilant chaque geste du quotidien à une montée spirituelle. Le Juif doit agir éthiquement, non par peur ou par quête d'une récompense, mais par amour de Dieu et horreur du mal. Le juif pratiquant vit véritablement sa foi au quotidien. Le judaïsme est une religion pacifique. Le judaïsme exclut toute forme d'idolâtrie. La foi en un dieu unique et inconnaissable est la base des deux premiers des dix commandements. Il n'y a pas de "Saints", comme dans le christianisme. Le mot " Tsadik " signifie " Juste " et qualifie un homme qui a atteint un certain degré de spiritualité. Tandis que la " Kedoucha ", ce qui est " Kadosh ", signifie " saint " dans le sens de sanctifié, sacré, mais ne s'applique jamais à une personne. Seulement à une façon d'être ou à une action.
Il existe dans le Judaïsme des courants intégristes très virulents, en Israël et dans le monde. Ils sont structurés en réseaux et sont, pour la plupart, des juifs orthodoxes dont la majorité adhèrent à la secte de Habade Loubavitch.
Le christianisme et le judaïsme ont engendré une forme de morale que l'on désigne sous le vocable de "morale judéo-chrétienne" qui fonde la morale universelle des peuples de l'occident. Cette morale est pacifique et peut être considérée comme très positive.
Le Judaïsme n'est pas hégémonique, mais plutôt replié sur lui-même.
Cependant, les récits bibliques de l'Ancien Testament relatent clairement que le peuple "élu" a tout de même massacré une douzaine d'autres peuples de la région avant de prendre possession de la fameuse "terre promise" vers laquelle Yahvé l'a conduit.
Le Judaïsme a conservé le rite abrahamique de la circoncision, au 7ème jour, qui doit être considéré, aujourd'hui, comme un rite barbare mutilant, inutile et complètement dépassé. Il n'est pas le seul. La circoncision est également pratiquée dans l'Islam, entre 5 et 15 ans, selon les pays, et n'est pas obligatoire. Mais il ne faut pas oublier l'excision et l'infibulation qui sont des pratiques tribales abominables pratiquées sans aucune hygiène ni asepsie dans certaines tribus africaines.
Le judaïsme se transmet de génération en génération selon une tradition matriarcale, donc, par les femmes.
Le Judaïsme est une religion moins guerrière que le Christianisme et l'Islam, mais le contentieux qui existe depuis des millénaires au sujet de la terre d'Israël ou Palestine, la "Terre promise", cadeau empoisonné de son dieu de miséricorde, semble être une cause permanente et éternelle de situation de guerre.

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L'islam est apparu beaucoup plus tard, en 622 de notre ère (équivalant à l'an 1 de l'Hégire ou début de l'ère islamique) et le Coran se fonde en partie sur les textes bibliques anciens et sur les enseignements donnés par Muhammad (ou Mahomet) sous forme de chapitres nommés "sourates" divisées elles-mêmes en versets au nombre total de 6240. Les cent quatorze sourates égrènent de façon lancinante une litanie de principes, d'interdictions et de commandements divins alternants avec des menaces de vengeance divine, de châtiments éternels et effroyables et d'incitations à la foi et à la fidélité en un dieu unique. A aucun moment n'est évoqué clairement l'amour du prochain, le pardon ou la tolérance. Parfois, une allusion à des événements locaux de l'époque, une référence aux personnages de l'ancien testament ou aux personnages de Marie et de Jésus. Les musulmans modérés semblent très attachés à la première partie de la Bible. J'ai pu l'observer, curieusement, lorsque je vivais dans le sud marocain, à l'affluence exceptionnelle à l'unique cinéma de la région, lorsque l'on projetait le film " Les dix Commandements " de Cecil B. de Mille, c'est-à-dire tous les 4 à 6 mois… La répétition est l'essence de la force du texte coranique dépourvu, par ailleurs, de toute originalité. Chaque sourate porte un titre spécifique, le plus souvent sans rapport avec le contenu et commence par les mots : "Au nom de Dieu clément et miséricordieux", sauf la neuvième sourate, on ne sait pas pourquoi. Les sourates ont été "données" par Muhammad sous forme de poèmes en vers pour en faciliter la mémorisation et le rythme. Elles sont faites pour être récitées à haute voix, psalmodiées.
Chaque sourate est une révélation reçue de l'archange Djibril (Gabriel) par le prophète, généralement dans l'une des deux grandes villes saintes de l'islam, Médine ou La Mecque.
A noter que c'est un archange et non Dieu lui-même qui s'est adressé à Muhammad, contrairement à Abraham, Isaac, Jacob et Moïse.
Les sourates peuvent aborder un nombre important de sujets, apparemment sans aucun rapport entre eux. Un même sujet pouvant être traité dans diverses sourates, sous des aspects différents, et parfois contradictoires. Il faut bien connaître et comprendre le principe des " abrogeants-abrogés " dans lequel les versets postérieurs annulent les versets les plus anciens, lorsqu'ils se contredisent. De ce fait, quelques 235 versets seraient ainsi abrogés. Les versets qui prêchent la tolérance (période mecquoise) sont ainsi dans une large mesure abrogés par les versets qui prônent la violence et l'intolérance (versets révélés à Médine). C'est ainsi que des non-musulmans se laissent induire en erreur. Il faut avoir une vue globale du Coran et bien en connaître les règles. La sourate IX, verset 5 "Tuez les infidèles, partout où vous les trouverez…" annule ainsi 124 versets qui invitent au pardon et à la mansuétude ! Enfin, une centaine de versets auraient été supprimés, les "versets sataniques", mais également, par exemple, le verset prescrivant la lapidation pour adultère.
Le mot Coran vient de l'arabe "al Qûran" qui signifie "La lecture", "La récitation", "La prédication religieuse", sous-entendu dans les trois cas "Par excellence".
On remarque que les sourates les plus longues sont au début du Coran et qu'elles sont de plus en plus courtes au fur et à mesure que l'on approche de la fin. On a constaté que l'ordre initial était probablement l'ordre inverse. Mais il est probable que cet ordre soit encore discutable.
Dans l'Islam, l'école coranique, équivalent du catéchisme des catholiques, est une vraie machine à laver les cerveaux des jeunes enfants. C'est là qu'on instille, dès l'âge de 4 ans, dans leurs jeunes esprits innocents, les bases de cette religion.
Dans sa globalité, l'enseignement coranique exclut toute forme de discussion ou de critique qui sont considérées comme des fautes graves et offensantes pour Dieu et pour la communauté islamique. Le musulman ne doit pas réfléchir. Il doit se soumettre totalement aux préceptes de la religion. Une telle méthode de domination des esprits aboutit progressivement à un désengagement total du sens critique et de l'intelligence. Ce qui entraîne une grande frustration et une démotivation complète à toute forme de travail de créativité ou de productivité. Lorsque on connaît les problèmes que nous avons dans le monde du travail dans nos pays on imagine mal quelle économie de marché pourrait sortir d'un système entièrement contrôlé par la loi islamique.
Il n'existe aucune place dans l'Islam pour une notion de démocratie, puisque la démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple et que cela serait parfaitement antinomique avec le principe même fondamental du modèle théocratique imposé par Dieu et par la loi divine. Au même titre, on peut considérer que tout état islamique qui se déclare république est en contradiction avec le principe fondamental de la république qui suppose que la république soit fondée sur une constitution voulue et votée par le peuple et gouvernée par un chef d'état élu par le peuple.
La pauvreté du discours islamique est affligeante. Les écrits islamiques qui traitent de sciences, astronomie ou médecine sont d'un niveau qui ne serait même pas classifiable dans nos pays (disons école primaire...) Le paradis d'Allah est présenté comme une sorte de lupanar où coulent des ruisseaux d'eau pure, de lait, de miel et de vin doux, où des "houries" (femmes ravissantes et outrancièrement maquillées) se donnent à tous les hommes, tout en conservant intacte leur virginité.
Tout au long de son existence, le musulman est assuré que Dieu pourvoira à tous ses besoins, ce qui ne va pas vraiment dans le sens d'une incitation au travail et à se prendre en charge.
Il existe une branche mystique musulmane connue sous le nom de " Soufisme " (de l'arabe "suf", qui signifie "laine", parce que les premiers Soufis portaient un froc de laine) dont les adeptes pratiquent une spiritualité plus intériorisée et plus méditative.
Le Soufisme s'inscrit dans l'une des trois grandes traditions abrahamiques, l'Islam et, comme chacune de ces traditions, il part d'un acte de foi. Mais, s'inscrivant dans cette tradition il est aussi et essentiellement une voie de connaissance, de transformation intérieure. Les intégristes musulmans considèrent cependant le soufisme comme une secte et en condamnent les déviances.
L'islam se subdivise en de nombreux courants dont les plus importants sont le courant sunnite fondé sur la sounnah (la tradition), courant majoritaire et traditionaliste et le mouvement chî-îte qui prit naissance à la fin du 7ème et au début du 8ème siècle de notre ère, à la suite d'un schisme de pouvoir. Le Chî-îsme est la doctrine des musulmans qui considèrent que la succession d'Abu-Bakr au califat était illégale et que le califat aurait dû revenir aux descendants d'Ali, gendre de Muhammad.
Les principes de l'islam sont plus vagues et plus interprétables, par les musulmans eux-mêmes, que ceux des deux autres religions monothéistes. Mais l'Islam est néanmoins figé et incapable d'évoluer. Il n'a jamais été capable de prendre les virages de la science et de la modernité. Plus que les autres grandes religions, l'islam inhibe la possibilité d'une réflexion individuelle et impose des lois dures à ses fidèles. L'islam prêche la prière, l'adoration d'un dieu unique et la charité tout autant que la destruction des infidèles. C'est une religion hautement hégémonique. Sa relative jeunesse est peut-être une des causes de son caractère violent et intolérant. Mais à la lecture du Coran on se rend compte que l'incitation à la violence et au meurtre est parfois présente de manière très subtile. Et le statut de la femme y est extrêmement précaire. La virginité de la femme est un sujet grave qui semble préoccuper les musulmans d'une façon quasi névrotique. Les seuls droits de la femme sont de servir les hommes qui l'entourent. Les musulmans ont manifestement très peur des femmes et très peur de devoir admettre un jour quelles sont leurs égales, en dehors de simples considérations physiques. Peur, aussi, de ne plus pouvoir asservir les femmes.
Les Hadiths
Le Coran n'est pas la seule source des philosophes, juristes, exégètes et prêtres islamiques. En effet, il existe des milliers de petits textes que l'on appelle des " Hadiths ".
Contrairement aux Evangiles, où sont consignés la vie et le message du Christ, le Coran n'est pas le récit linéaire de la vie de Muhammad, même s'il en évoque de nombreux épisodes. Les Hadiths, ces petits récits de quelques lignes, se rapportent à une action ou à une parole de Muhammad. Ils ont été transmis d'après un garant qui les tenait d'un autre et ainsi de suite à travers les siècles, jusqu'à un témoin oculaire direct qui a approché le Prophète. Le plus grand rassembleur de ces Hadiths, Al Bukhari, les a répertoriés méticuleusement en effectuant une enquête auprès de mille personnes. On recense environ 75.000 hadiths. Des points de vue parfois contradictoires trouvent ainsi toujours de quoi s'alimenter à la source.
Les Hadiths complètent et précisent le sens du message coranique.
L'ensemble des Hadiths, peu connus du public occidental, composent la tradition islamique, la "Sunna" d'où est dérivée la branche traditionaliste de l'islam, les sunnites.
Il est clair que l'abondance des textes composés par le Coran et les Hadiths permet à n'importe qui de faire des interprétations libres du message du prophète en faveur de n'importe quelle cause que l'on voudrait étayer par ces écrits. C'est le cas de la " Charia ", la loi islamique utilisée dans de nombreux pays musulmans totalitaires.
Quelques exemples de Hadiths :
1. "Je vous laisse deux choses : aussi longtemps que vous vous y conformerez , vous ne vous égarerez jamais du droit chemin; il s'agit du Livre d'Allah et de la Sunna de Son Messager".
2. "Celui qui est satisfait d'Allah comme Seigneur, de l'Islam comme religion et de Muhammad comme Messager, a goûté à la douceur de la Foi".
3. "Les croyants qui ont la foi la plus parfaite sont ceux qui ont les meilleures manières".
4. "Ce monde est une prison pour le croyant et un paradis pour l'incroyant".
5. "Quiconque imite les pratiques religieuses d'un peuple en fait partie".
6. "Le musulman qui se mêle aux gens et supporte leurs torts avec patience est meilleur que celui qui ne se mêle pas à eux et qui n'est pas patient".
Les cinq piliers de l'Islam
L'islam prescrit à ses fidèles le respect minimum de cinq valeurs fondamentales réunies sous les termes des "Cinq piliers de l'Islam" et qui sont :
--- La foi en un Dieu unique dont Muhammad et le dernier prophète.
--- La prière quotidienne, cinq fois par jour.
--- L'obligation du jeûne annuel ou Ramadan, pendant un mois.
--- L'obligation de l'aumône légale à payer à l'Imam.
--- Le pèlerinage à la Mecque (pour ceux qui en ont les moyens).

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L'islam et les femmes
Il est fascinant d'observer toute la problématique que la femme et les femmes posent aux musulmans, dans leur ensemble. Comme je le précisais antérieurement, il semble que les musulmans aient très peur des femmes. Leur propension a considérer la femme comme une créature inférieure, à la limite de l'être humain, à l'isoler, à la cacher et à la cantonner à une vie quasi-végétative en dit très long, psychologiquement parlant, sur les sentiments complexes qu'ils éprouvent pour elles. En dehors des moments où les musulmans ont besoin des femmes pour des raisons sexuelles ou de service, on sent qu'ils aimeraient pouvoir les emmurer vivantes et les ressortir à la prochaine occasion.
Inconsciemment, ils savent que la femme est leur égale, à l'exception de performances physiques mesquines. Quelque part, ils ont aussi conscience que si eux savent très bien semer la destruction, engendrer la haine et donner la mort, la femme seule sait et peut donner la vie. Et cela les rend fous d'impuissance, car "Dieu" seul est censé pouvoir donner la vie et cela donne à la femme, et à elle seule, un pouvoir égal à celui de Dieu. La femme est plus "proche" de Dieu que l'homme. Ils savent aussi que seule la femme sait donner aux enfants et aux hommes tout l'amour dont ils ont besoin. Qu'elles soient filles, épouses ou mères, c'est un don qu'elles possèdent et que les hommes n'ont pas.
Et puis, une femme n'aura jamais aucun doute sur ses enfants, alors qu'un homme restera toute sa vie dans le doute. Et cela les rend fous de jalousie et de haine et on voit comment cela se traduit dans l'Islam où la femme adultère est purement et simplement sauvagement et barbarement assassinée.

Le mépris des musulmans pour les femmes cache mal leur jalousie et leur peur.
Dans la mesure ou la religion contribue à accentuer et à encourager un penchant naturel chez la plupart des hommes machos et arrogants, on ne voit pas pourquoi ils s'en priveraient. Ainsi, de misogynes ils en sont devenus gynophobes. Les premiers peuples islamisés ont été des peuples d'Afrique du Nord et de la Péninsule Arabique. Ce sont des régions où les hommes ont toujours eu le sang chaud et où la violence était une façon naturelle de régler les affaires. Muhammad était certainement un homme très violent et il est improbable qu'il ait eu une grande sensibilité en ce qui concernât la condition féminine.
La loi islamique donne très peu de droits à la femme et lui donne beaucoup d'interdictions et d'obligations aliénantes. Les marques de mépris, de soumission et d'avilissement sont nombreuses.
Les femmes vivent à part, mangent à part, doivent cacher leur corps, leurs cheveux, leur visage, leurs mains, leurs chevilles. Elles ne peuvent accéder à aucune fonction importante, ce qui pourrait être considéré comme humiliant pour les hommes et offensant pour Dieu. Elles sont impures par définition et le sont doublement au moment de leurs règles. De toute façon, elles sont impures à toute occasion que décident les hommes qui les entourent.

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L'Islam et les sciences
Comme il est longuement expliqué dans ce site, les fondements même de la religion islamique sont des éléments bloquants et inhibant de l'intelligence. Les préceptes de l'Islam dénient à l'homme le droit à la créativité intellectuelle, scientifique ou artistique. Seul Dieu est un créateur et aucune invention, découverte ou création scientifique, technologique ou artistique ne peut être attribuée à l'homme sans le secours de l'intervention divine. Dans les siècles passés, les seules inventions et découvertes qui ont pu être faites dans des nations islamisées l'ont probablement été par des hommes qui n'étaient pas de vrais musulmans. Ces hommes étaient des déviants ou simplement des artistes, artisans ou chercheurs venus d'autres pays et insoumis à l'Islam. Mais les musulmans se sont attribué leurs travaux.
Le cas d'Averroès est parfois cité ( http://mctran.free.fr/averroes.htm ).
Mais Averroès était un homme remarquable qui avait bien compris l'incohérence du discours islamique. Il préféra se tourner vers l'oeuvre d'Aristote, ce qui lui valut d'être renié par le monde musulman qui lui tourna le dos. Ce sont des chrétiens et des juifs qui ont conservé son souvenir et son oeuvre. 
Depuis des siècles, déjà, le monde musulman n'a rien produit en matière de sciences, arts et technologies. Il est intéressant de voir comment les dirigeants des pays musulmans se ruent sur les produits des sciences et technologies occidentales, et donc sur les "inventions du diable", et en font un usage forcené dans leurs différents pays. Médecine, médias, communications, techniques d'armement, voitures, avions, etc...
Référence est donnée d'un site internet sur lequel on peut découvrir la conception particulière et aberrante que les musulmans peuvent avoir des sciences dans leur ensemble : Site "Le Coran": http://islamfrance.free.fr/coran.html

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Hypocrisie et manipulation
Si l'on prend en considération l'ensemble des obligations, contraintes, lois et menaces de châtiments divers que fait peser l'Islam sur ses fidèles dans le cadre de la pratique normale de la religion, on a vraiment du mal à imaginer que la croyance et la pratique de cette religion soient véritablement l'expression d'un acte de foi libre, spontané et profond de la part des fidèles musulmans. L'islam est une religion qui ne laisse aucune liberté de choix cultuel à ses fidèles et qui exclut même la notion de choix.
Si on n'a jamais pu constater de conversion de l'Islam vers une autre religion, on a fréquemment pu observer le processus inverse. Par exemple, chez le célèbre boxeur Cassius Clay qui est devenu Muhammad Ali, dont la conversion a été une subtile manipulation destinée à convaincre les masses de l'opportunité de se tourner vers les bienfaits de la religion musulmane.
D'autres se sont convertis pour des raisons de pur opportunisme stratégique, affairiste ou commercial, tel ce modeste commerçant d'une zone socialement sinistrée de la région parisienne dont le local commercial ne valait plus rien et qui a eu la brillante idée de devenir musulman et d'ouvrir une librairie islamique, sauvant de la sorte et valorisant son patrimoine et ses revenus.

Dans un autre ordre d'idée de la manipulation, on peut évoquer le cas de cet imam intégriste de la ville de Vénissieux, dans la banlieue de Lyon, qui a déclaré en avril 2004, à un organe de communication médiatique qu'il était très favorable à la lapidation des femmes adultères et à l'expansionnisme de l'Islam. Cet homme avait bien misé sur le fait que ses déclarations seraient portées à des sommets et seraient entendues par les masses, touchant ainsi toute une faune d'extrémistes, d'illuminés, de psychopathes et de gros machos qui ne rêvent que d'une société dans laquelle ils pourraient légitimement et impunément traiter leur femme en esclave et disposer d'elle par le sexe et la violence, sous la menace de la lapidation. Parmi ceux-là, certains n'hésiteraient pas à embrasser la religion musulmane pour bénéficier de ces "bienfaits".
Evidemment, la bêtise, la barbarie et l'irresponsabilité de ces déclarations n'ont pas échappé à nos dirigeants qui ont expulsé le nuisible individu vers son pays d'origine, bien que cette expulsion apparut par la suite illégale.
Il n'en demeure pas moins que cet homme a eu des propos qui ont porté atteinte au droit et à la dignité du peuple français et à celui des femmes, en particulier.
Ses déclarations étaient en contradiction ou en opposition avec nos lois nationales et européennes.
Elles échappaient à tout cadre légal en exhortant à la violence, à la haine et à la discrimination en invoquant la possibilité d'une peine de torture suivie de mort, toutes choses abolies dans nos pays.
Elles étaient discriminantes et sexistes, puisque ne s'appliquant qu'à un sexe.

Cet imam a introduit une nouvelle notion de doute malsain qui semble même avoir été condamné par la communauté musulmane dans son ensemble.
Il ne faut pas oublier que la mort ou la peine de mort sont des choses courantes et futiles dans le système islamique, que le respect de la vie n'est pas une priorité, puisque c'est Dieu qui décide de la vie et de la mort. La Dji-hâd et la Kalashnikov sont les instruments que Dieu a choisis pour que l'Islam recouvre le monde.
J'ai vu des cimetières musulmans qui ressemblent à de simples terrains vagues où l'on comprend que la mort et le culte des morts est une chose absente de la culture musulmane. Quand Dieu a repris la vie, l'âme du défunt est auprès de Dieu et le culte des morts serait un affront à Dieu.
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Islamophobie
L'islamophobie (islamophobe) est un mot inventé par les musulmans (et défendu par des intellectuels gauchistes ineptes et irresponsables) pour caractériser tous ceux qui n'adhèrent pas à leurs théories fumeuses: l'ensemble des mensonges sur lesquels se fonde leur dogme. Un peu comme "anticommunisme" ou "antiaméricanisme", des mots propagandistes.
Il est cependant bon de souligner qu'à cela de nombreux musulmans modérés ont vivement réagi en déclarant qu'il n'était vraiment pas utile de créer une nouvelle motivation au rejet de l'Islam dans une conjoncture plutôt tendue. Par ailleurs, les agissements des intégristes islamistes ont engendré dans notre pays la naissance de nombreuses associations de musulmans modérés tournés comme nous vers le principe de laïcité qu'ils défendent de leur mieux. On peut citer, par exemple, le Mouvement des Maghrébins Laïques de France et l'Association des Musulmans Laïques de France. Ces gens ont une action courageuse et défendent les mêmes valeurs de la laïcité d'état que nous. On peut saluer également les efforts de l'association" ni pute ni soumise ".
L'établissement de ce principe d'islamophobie est donc aussi une façon commode de retourner une situation de culpabilité en rendant les musulmans victimes et "martyrs" de ceux qui tiennent des discours qui ne leur agréent pas. En effet, l'Islam ne peut que provoquer des réactions de rejet et de méfiance lorsque l'on voit ce qui se pratique à travers le monde. L'islamophobie est une réaction naturelle contre un danger potentiel. Les peuples libres doivent s'unir pour opposer un front puissant à l'Islam conquérant. C'est l'Islam qui est l'agresseur et le semeur de mort et de destruction à travers le monde. Les nations libres doivent ériger la laïcité en loi absolue dans le fonctionnement de toutes leurs structures gouvernementales afin de stopper la progression rampante du fléau. Le problème n'est pas religieux, mais politique. L'Islam ayant pour but la domination politique du monde ne doit plus être considéré comme une religion mais comme un parti politique qui pratique le terrorisme pour parvenir à ses fins. Tous les humains veulent vivre libres et heureux dans un monde de paix et de concorde des peuples. Tous les humains aspirent à vivre dans des systèmes qui leur garantissent ces conditions de vie. Tous les humains vomissent des systèmes qui érigent en lois la haine de l'autre, l'intolérance, l'inégalité des personnes, l'absence de liberté, l'absence de libre arbitre, l'oppression physique et morale, le conditionnement des consciences des jeunes enfants, la persécution des femmes, l'esclavagisme, la torture, l'assassinat et le terrorisme, tout cela uniquement pour défendre des idées. Voilà pourquoi les musulmans ont inventé ce terme d'islamophobie, tant leur cause est indéfendable et va à l'encontre de tout principe rationnel et humaniste.
Nous, peuples libres de l'occident, nous avons une histoire au cours de laquelle nos ancêtres se sont battus contre toutes les oppressions, les persécutions, les asservissements physiques ou moraux.
La liberté et la paix, nous en connaissons la valeur et le prix. Nous avons toujours lutté contre les envahisseurs de tous poils, fussent-ils les Huns d'Attila, les Goths, les Romains, ou déjà les Sarrasins sous Charles Martel, les Anglais, les Allemands, les Nazis... Et dans le domaine de la liberté, la lutte n'est jamais achevée. L'histoire nous apprend que dès que nous avons bouté un envahisseur hors de nos frontières, un autre arrive pour piller nos richesses, violer nos femmes et tuer nos hommes. C'est une lutte éternelle et elle nécessite une vigilance constante. Mais parfois l'envahisseur est déjà là et il faut agir de l'intérieur avant qu'il ne soit trop tard.
Il est donc temps de légiférer afin que le fléau ne grandisse pas en notre sein.

La laïcité sera un cadre à une législation plus rigoureuse, mais elle ne suffira pas. Le législateur devra tenir compte de certaines spécificités de certaines religions qui sont ce qu'elles sont parce que les enfants sont soumis dès leur plus jeune âge à un "conditionnement" religieux qui est un véritable lavage de cerveau et un véritable viol du cerveau conscient et inconscient, entraînant une altération du jugement, un désengagement de l'intelligence et une aliénation totale de la conscience et du libre arbitre. Le principe se retrouve dans le judaïsme, dans l'islam et, à moindre effet, dans le christianisme.
Tôt ou tard il faudra interdire l'enseignement des religions aux enfants mineurs (ou ne le limiter qu'à quelques heures par an de connaissance des religions et de toutes les religions) et ne l'autoriser qu'aux adultes majeurs et des sanctions pénales lourdes devront être prévues à l'encontre des contrevenants, qu'ils soient les parents ou toute autre personne de l'environnement de l'enfant. Les enfants pourront être retirés de l'environnement familial et confiés aux organismes publics pour l'enfance et les coupables condamnés à des peines de prison ferme. L'aliénation mentale contrainte sur enfant devra être déclarée comme crime majeur au même titre que les crimes de sang. Et tout conditionnement religieux sur mineur devra être considéré comme tel. Les études psychiatriques sont suffisamment nombreuses et explicites pour démontrer les graves dangers du matraquage mystico-religieux sur de petits enfants pour que l'on n'en tienne pas compte.
Dans le même ordre d'idée, considérant tous les crimes passés des religions et leur persistance à vouloir toujours asservir les corps et les esprits, un véritable esprit laïc devra aller plus loin et statuer sur les aspects les plus citoyens des droits des personnes en matière de mutilation des enfants en bas âge (circoncision, excision, infibulation et autres), de même qu'en ce qui concerne toutes sortes de manifestations susceptibles de corrompre l'indépendance et la liberté de jugement des enfants durant leur éducation. Le choix d'une religion devra seulement être fait, en toute liberté, par les citoyens adultes et majeurs civilement. A chacun, dès ce moment, d'assumer ou non sa propre intégrité physique et morale. Mais il faudra bien parvenir un jour à ce que les enfants ne subissent plus ces crimes odieux contre la vie et la nature que sont les mutilations sexuelles contraintes et le viol imposé brutalement de consciences innocentes.
Si l'humanité veut avancer vers les voies de la grande sagesse, elle devra éradiquer de la Terre toutes ces pratiques violentes, nuisibles et barbares.
La notion d'islamophobie semble pourtant encore justifiée dans nos pays de liberté et de défense des droits de l'homme, par opposition à la nature dégradante pour l'humain de certains préceptes de l'Islam. L'Islam ne reconnaît pas l'égalité des sexes, affirme le principe de l'esclavage et de la mise en position de sous-hommes (dhimmitude) de tous ceux qui n'appartiennent pas à cette religion. Le droit islamique, qui n'est pas d'émanation populaire est totalement incompatible avec les principes de démocratie, de liberté et d'égalité de droits tels que nous les concevons dans nos pays.
Tous les musulmans qui affirment que ce ne sont pas ces principes qui prévalent dans la plupart des pays musulmans font abstraction du fait que ces lois sont écrites, qu'elles sont dans le Coran, dans les Hadiths et dans la charia et qu'elles ont donc forcément force de loi et peuvent être appliquées à tout moment par n'importe quel dirigeant politico-religieux qui en trouvera la nécessité.
On ne peut de même pas ignorer les lois pénales de l'Islam et leurs châtiments barbares, toujours en application dans les pays où a cours la loi islamique, torture, flagellation, bastonnade, amputation des membres et lapidation.
Si les Musulmans qui se disent "modérés" veulent se faire entendre, alors, ils devront se battre, à l'intérieur de l'Islam, pour que soient abolies à l'échelle planétaire toutes ces lois barbares.
Nos pays sont parvenus à un certain niveau de non-barbarie, bien que nos lois soient encore loin d'être parfaites, et nous ne pouvons pas accepter que des immigrés dans nos pays prétendent établir chez nous et nous imposer leurs coutumes sanglantes. Là aussi, nous avons le pouvoir et le devoir de légiférer afin de laisser à nos enfants un système législatif totalement fondé sur le respect des droits inaliénables de l'homme inscrits dans la déclaration des droits de l'homme de 1789.

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En conclusion
Cette étude n'a pas la prétention de faire un exposé complet sur les religions et sur l'Islam, car il faudrait des milliers de pages pour en faire le tour.
Mais il faut bien se rendre à l'évidence que l'Islam est plus qu'une religion, un dogme totalitaire dont l'ambition est de dominer le monde.
D'ailleurs, son ambition hégémonique est clairement affirmée dans le Coran à travers de nombreux versets. Et on ne discute pas du Coran avec un musulman et on ne traite pas et on ne négocie pas avec l'Islam. Le pur musulman est totalement à la dévotion et au service de Dieu et de son livre : le Coran. Il donnera sa vie pour Dieu si le Livre lui dit que telle doit être sa destinée.
On ne voit pas très bien ce qu'il peut y avoir de bon pour l'homme, aujourd'hui, dans l'Islam et ceux qui croient que les musulmans sont tous beaux et gentils sont dans l'erreur. En vérité, tous les musulmans ne sont pas des monstres qui veulent dominer le monde. Mais de par leur naissance ils appartiennent à cette religion et doivent au moins faire semblant de se plier à ses règles. En cela, l'hypocrisie est particulièrement présente chez de nombreux fidèles Musulmans, par peur de sanctions. Mais ne nous y trompons pas. Parmi ces braves musulmans se cachent aussi des intégristes et des dirigeants religieux très jaloux de leurs pouvoirs et de leurs prérogatives qui ne sont pas prêts à renoncer à leur position et à leurs privilèges de fonction.
Il n'existe pas dans l'islam de pouvoir central localisable et identifiable comme c'est le cas pour les Juifs ou les Chrétiens. Ce qui fait que l'on ne peut pas déclarer la guerre à l'Islam et que l'on ne peut pas combattre l'Islam dont la politique a toujours été de jouer l'humilité en position de faiblesse et la tyrannie en position de force. Mais chaque musulman, pénétré de son devoir de prosélytisme, sera le modeste artisan du développement, de la gloire et de l'hégémonisme de l'Islam. Car chaque musulman puise sa force et sa conscience sociale et religieuse dans le Coran dont les préceptes ont annihilé son sens critique et ses capacités de réflexion.
Ceux qui pensent que les problèmes sporadiques d'apparition de voile islamique à l'école ne sont que des événements anecdotiques anodins se trompent. Non, il ne s'agit pas de jeunes filles qui agissent librement (pas toujours) de par leur propre bon vouloir, mais cela entre dans le cadre d'opérations menées à distance avec beaucoup de subtilité qui ont pour but, à travers leur répétition, de lasser les pouvoirs scolaires et publics, d'habituer les populations à voir des jeunes filles voilées à l'école, d'introduire un doute insidieux sur l'opportunité de l'interdiction, d'engendrer des polémiques toujours nuisibles pour la liberté et le respect des lois, de répandre des relents de répression et de martyr de l'Islam… Peu à peu, l'Islam s'installe, change nos habitudes et tentera de changer nos lois. Les droits de l'homme seront les premiers discutés et peu à peu modifiés et altérés. La déclaration islamique des droits de l'homme de 1981 est une insulte à l'intelligence humaine. Il ne s'agit que d'une compilation de la loi islamique et certains articles renvoient carrément à l'interprétation des textes. On croit rêver, en la lisant.
Du voile islamique aux attentats du 11 septembre 2001 et aux attentats de Madrid, on retrouve le tissage lent de la toile islamique à travers le monde.
La tolérance et la naïveté des peuples libres de l'occident sont leurs plus grandes faiblesses.
L'islam en tant que religion, chacun est libre de s'en faire une opinion.
L'islam totalitaire, en tant que doctrine expansionniste érigée en dogme et imposée par la force brutale dans certains états et à l'origine de nombreux actes de terrorisme et de barbarie à l'échelle planétaire, est un poison subtil et un cancer pour l'ensemble du genre humain.
D'ailleurs, l'Islam n'est pas une religion au sens latin de " religere " relier, réunir, mais seulement un système d'aliénation et de soumission des masses. Islam signifie "paix, soumission et obéissance". Ce qui définit bien le principe selon lequel si vous voulez la paix vous devez être soumis et obéissant à la loi islamique.
Dans son principe immuable de soumission totale et aveugle à la parole d'un supposé dieu ou de ses représentants, l'Islam n'a jamais su se libérer du joug de l'asservissement intellectuel auquel étaient soumises les peuplades primitives de l'humanité et n'a pas su s'adapter aux besoins des époques et de l'évolution naturelle et inéluctable des civilisations. L'Islam est resté, de par ce fait, une religion rétrograde et totalement décalée de l'avancée prodigieuse des sciences et des cultures du dernier millénaire, dans le monde libre.
Dans le monde musulman, une vie humaine n'a aucune valeur. Seuls comptent la foi en Dieu et son adoration, la foi en son prophète Muhammad et en son livre : le Coran. 
Le pouvoir musulman se met en place depuis des décennies dans notre pays, sans faire de vagues, sans bruit, tout en douceur, avec sourire et onctuosité, avec gentillesse et hypocrisie, comme il l'a toujours fait dans les pays qu'il écrase aujourd'hui de sa loi islamique et où il n'a apporté que la désolation, la misère et la mort.
Pourtant, nous, peuples libres, n'avons pas le droit d'ignorer la souffrance et la peur de ceux qui vivent dans ces pays soumis à la Charia, aliénés par des lois rétrogrades, barbares et inhumaines. Ce sont nos frères humains avant toute chose.
Nous avons le devoir de nous battre, en ayant recours au droit international, pour introduire de nouvelles notions juridiques tendant à faire condamner et sanctionner les états gouvernant dans le mépris de toute notion de droits de l'homme.
Des centaines de millions d'êtres humains attendent qu'on les délivre de cette loi qui permet encore d'emprisonner, de torturer, d'amputer, de lapider, d'assassiner et de tenir en esclavage des hommes et des femmes pour la seule raison qu'ils refusent la croyance qu'on leur impose ou simplement pour des délits ou comportements mineurs tels que l'adultère, la consommation d'alcool, le non-port de la barbe, du voile ou de la burka.
Les nations libres ont le pouvoir et le devoir d'agir pour faire pression sur les gouvernements de ces états par les moyens les plus classiques, politiques, diplomatiques ou financiers.
Les religions sont issues du passé. Elles sont le reliquat d'une culture passéiste. Elles sont le passé. Les livres "sacrés" sont d'un autre millénaire et leurs principes sont ceux de temps et de cultures révolus. Toutes les religions s'opposent, par définition, au principe de tout progrès et de toute avancée de l'esprit humain de par leur caractère figé et statique. Les religions représentent le négativisme et l'obscurantisme de la pensée humaine et ne peuvent conduire les hommes qu'à s'égarer vers des chemins qui n'aboutissent à rien.
Les religions nous assènent des mensonges et tentent de les faire passer pour des vérités révélées. Nous, nous prétendons que les religions mentent toutes et ne prouvent jamais rien, que leurs écrits, tous d'origine humaine, n'ont aucune valeur, que leurs prophètes ne furent que des illuminés et des menteurs et que toutes les doctrines et tous les dogmes sont des instruments de pouvoir destinés à asservir les humains.
La vérité, parfaitement vérifiable, est qu'il n'existe aucun dieu, ni d'amour ni de haine. La haine n'est que dans l'esprit des gens haineux. Il n'y a jamais eu de prophètes, ni de textes sacrés. L'âme n'est qu'une pure invention, le paradis ou l'enfer des concepts ridicules et la vie éternelle une absurdité qui ne résiste pas une seconde à une analyse rationnelle. La foi n'est que l'abandon de toute liberté de jugement et de conscience à des principes qui ne reposent sur rien et ne sont que le fruit de milliers d'années de mensonge, de manipulation, de menaces et d'aliénation.
Nous invitons tous les croyants, Chrétiens, Juifs et Musulmans, à réfléchir à cela, à chercher d'autres voies de vérité, de paix et d'amour, à renier leurs religions aliénantes, à s'en détourner complètement et à tout faire pour tenter de libérer leurs frères de cette prison de l'esprit, afin de retrouver leur dignité, leur libre arbitre et leur liberté de conscience.
Qu'importe comment vous serez jugés par ceux de votre famille, de votre nation ou de votre race, si l'on peut parler de race. Par votre attitude, vous accèderez à la vraie liberté de l'esprit et vous découvrirez comment on vous a menti et spoliés depuis que vous êtes venus au monde. Alors, vous nous rejoindrez et tiendrez bientôt le même discours. Et peut-être un jour, libérés de ce joug effroyable de l'oppression des dogmes, tous les humains pourront-ils enfin vivre heureux leurs vies d'humains, loin des chimères et des illusions des discours des prêtres-parasites.
Et si ceux de votre religion vous disent que vous méritez la mort, alors fuyez-les, abandonnez-les ou bien défendez-vous ou faites leur subir le sort qu'ils vous réservaient. Car eux seuls sont dans l'erreur et ont voulu vous y inclure et vous y noyer, en vous retirant la liberté de penser, la liberté de vivre selon votre conscience et selon votre droit inaliénable d'être humain.
Nous invitons tous nos frères humains à rejeter toutes les religions et obscurantismes liberticides et aliénants, à rétablir la vérité sur toute la Terre, à travailler et à se battre pour un monde véritablement meilleur et plus éclairé et à combattre jusqu'à l'élimination totale de tous ceux qui voudraient encore soumettre l'humanité à des lois absurdes et infondées dans le seul but de la maintenir dans l'ignorance, l'esclavage et la barbarie.
Au même titre, les humains libres devront lutter âprement pour que les grands et nobles principes de la laïcité
 soient progressivement appliqués dans tous les états du monde afin que les influences des dogmes et des cultes soient définitivement bannies des affaires des états. Les affaires des états ne concernent que les hommes et les dieux n'ont rien à y voir. Les religions, dangereuses pour la paix sociale et la paix dans le monde, devront être soumises au droit laïque et strictement encadré des nations, au même titre que n'importe quelles associations et leur fonctionnement et leurs finances étroitement surveillés par les états.
La vérité, la paix et l'amour sont des valeurs qui se trouvent au fond du coeur des hommes et pas dans les discours des religieux de tous poils. Ces valeurs peuvent exister par d'autres moyens, d'autres voies, en dehors de tout concept religieux ou divin.
Les religions ne sont capables que d'exalter les hommes à la haine et à la destruction.
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A la mémoire de Lahocine, apostat et victime de l'Islam
Vous trouverez dans la page des liens de nombreux
sites traitant des religions et de tout ce qui s'y rapporte.

Vous voulez tout de suite plus de réponses, plus de réflexions, rendez-vous sur un site très étoffé et très pertinent:
http://french.faithfreedom.org


Suite des textes
La religion est un commerce. Le jour ou l'on pourra chiffrer les montants (soigneusement dissimulés) astronomiques de "l'impôt" (denier du culte catholique, aumône obligatoire musulmane, etc...) et de la vente de tous les produits dérivés de chaque religion (supérieurs au PNB de nombreux états du monde), on comprendra beaucoup mieux les véritables raisons des luttes meurtrières qui ont toujours résulté de ce pouvoir financier.
     Autres textes:
Le discours religieux
Les prêtres des trois grandes religions monothéistes tiennent généralement des propos assez semblables. Il est extrêmement difficile d'avoir des échanges constructifs et positifs avec eux, dans la mesure où leurs seules références sont celles des Ecritures Saintes et de la tradition religieuse. Ils n'ont généralement pas d'avis personnel et se réfèrent toujours à la parole ou à la volonté de Dieu ou de ses prophètes.
Il est indéniable que lorsqu'un homme de culture scientifique, cartésienne, pragmatique et matérialiste se plonge dans les différents livres des religions, il se sent égaré dans un univers d'où la rationalité soit totalement absente tout autant que la logique et la démarche scientifique. Pour lui, la pauvreté des textes en question suffit à expliquer l'indigence du discours religieux, en général.
En ce qui concerne l'Islam, aucun homme adulte intelligent un tant soit peu instruit qui lirait le Coran ne pourrait en admettre ni en accepter les termes. Que ce Muhammad ait existé ne pose pas de problème. Qu'il fut un homme intelligent et ambitieux soucieux de s'investir dans la vie publique de sa région et de son pays est tout à fait naturel. Qu'il ait fait appel, pour asseoir sa réputation et son mythe, à toutes les ficelles de la diplomatie, de la manipulation, de la trahison, de l'art de la guerre, de la destruction, du pillage et de l'assassinat ne fait aucun doute, c'est banal. C'était en des lieux et à une époque où tout se réglait de cette façon. Astucieux, tout en respectant et en conservant les textes initiaux de tradition abrahamique qui avaient alors cours, Muhammad a imaginé une histoire d'archange le visitant dans son sommeil et lui délivrant le message de Dieu. Pas très subtil, mais direct et incontournable. Dieu m'a dit ça, vous ne pouvez pas le vérifier, alors vous devez m'obéir.
Argument massue, Muhammad affirme que Dieu l'a désigné comme le sceau (dernier) des prophètes, ce qui devait lui donner une aura beaucoup plus importante, car il n'était plus un prophète parmi toute une lignée, mais bien un prophète au moins aussi important que le premier : Abraham. Et donc, pas des moindres… Mais Muhammad reconnaît que Dieu ne s'est jamais adressé à lui directement et que c'est bien Djibril qui l'a fait. Ainsi, Muhammad ne se classe pas lui-même parmi les interlocuteurs directs de Dieu.

Il n'y avait aucune idée généreuse dans la démarche de Muhammad. Muhammad travaillait pour lui, pour sa famille et pour ses amis. Muhammad n'était qu'un habile tribun, mais aussi un imposteur, un menteur et un manipulateur. Le Coran n'est que le fruit d'une totale affabulation et personne au monde ne peut croire que le message d'un criminel et d'un menteur puisse être interprété sérieusement comme le message venu d'un dieu prétendument clément et miséricordieux. Tout ce qui a découlé, par la suite, de ce qu'il avait mis en place, n'a été que le résultat d'une suite interminable de complots, de coups d'état, d'assassinats et de manigances de pouvoir.
Deux versets des sourates 2 et 8 incitant à la Dji-hâd, au nom d'Allah :
Sourate 2 verset 216: "Le combat vous a été prescrit alors qu'il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas."
Sourate 8 verset 15: "Ce n'est pas vous qui les avez tués: mais c'est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais: mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part!"
Le Dieu des musulmans ne semble pas être le même que celui des chrétiens. Le Dieu des musulmans incite à la violence, à l'esclavage, à la soumission servile de la femme, à la guerre sainte, à la conquête du monde, à l'extermination de tous les opposants, à la mise en semi-esclavage de tous les infidèles, à la lapidation, à l'assassinat, à l'amputation…
Le Dieu des musulmans et la loi islamique sacralisent l'assassinat par discrimination religieuse et exalte chaque fidèle au meurtre des infidèles.
Aucun valeur telle que l'amour du prochain, le pardon, la compassion, le respect de l'autre et de ses différences, la paix.
En comparaison, le Dieu des juifs et des chrétiens, qui semble assez indécis au début de la Bible, tente au moins de racheter l'humanité (et donc ses propres erreurs) en envoyant plus tard son fils, Jésus Christ (Christ=Messie=Sauveur), issu de la fusion du corps d'une femme pure et de l'esprit de Dieu (engendré du corps de Marie fécondé par l'Esprit-Saint…) Le principe reste opaque mais présente l'attrait de la poésie dans une idée généreuse d'amour et de pardon. Marie, mère du fils de Dieu apporte un symbole de réhabilitation de la femme qui en avait bien besoin.
Le Coran décrit l'annonciation comme suit (Coran, 3-42-7 ) :
" (Rappelle-toi) quand les Anges dirent: " Ô Marie, certes Allah t'a élue au-dessus des femmes des mondes. Ô Marie, obéis à Ton Seigneur, prosterne-toi, et incline-toi avec ceux qui s'inclinent ". Ce sont là des nouvelles de l'Inconnaissable que Nous te révélons. Car tu n'étais pas là lorsqu'ils jetaient leurs calames pour décider qui se chargerait de Marie! Tu n'étais pas là non plus lorsqu'ils se disputaient. (Rappelle-toi) quand les Anges dirent: " Ô Marie, voilà qu'Allah t'annonce une parole de Sa part: son nom sera " al-Masih " " Hissa ", fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l'au-delà, et l'un des rapprochés d'Allah ". Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr et il sera du nombre des gens de bien ". - Elle dit: " Seigneur! Comment aurais-je un enfant, alors qu'aucun homme ne m'a touchée? " " C'est ainsi! " dit-Il. Allah crée ce qu'Il veut. Quand Il décide d'une chose, Il lui dit seulement: " Sois " et elle est aussitôt.

Il est également assez étrange de constater que ce Dieu, dans son infini infaillibilité, se soit tout d'abord adressé à un " peuple élu ", le peuple Juif, puis lui ait envoyé un Messie, en sacralisant la femme aux yeux du monde à travers l'Immaculée Conception, afin de racheter les fautes et les péchés des juifs et de tous les hommes et en annonçant que toute personne qui viendrait après lui parler aux hommes au nom de dieu serait un usurpateur… (réf. Evangiles). Après quoi, Dieu s'adressa à Muhammad (et donc pas au peuple élu) par l'archange Gabriel pour lui signifier ses volontés, dont celle de tenir la femme en semi-esclavage, annulant ainsi sa sacralisation antérieure, et lui préciser qu'il serait le sceau des prophètes. Les préceptes donnés à Muhammad étant généralement très contrastés par rapport au message transmis par le Christ.
Aucun idée généreuse d'amour et de pardon, ni de glorification de la femme n'apparaît dans aucun verset d'aucune sourate du Coran. Le Coran insiste essentiellement sur trois points : le musulman doit adorer Dieu et lui seul, vénérer son ultime prophète Muhammad et apprendre, réciter et appliquer tous les préceptes de son livre, le Coran. En dehors de ça, Dieu décide tout, surveille tout, récompense et punit tout. L'homme n'a rien à faire ni à décider. Il doit se soumettre totalement à Dieu et à l'Islam (Islam=paix, soumission et obéissance).

Les cinq piliers de l'Islam ne sont là que pour compenser un peu la violence du discours islamique. Mais qui les met en pratique ? La religion musulmane est sans doute aussi celle qui est pratiquée avec le plus d'hypocrisie de la part de ses fidèles.
Une des preuves de l'invraisemblance du dogme islamique réside bel et bien dans la pratique du lavage et bourrage de cerveau systématique de tous les enfants à partir de l'âge de trois ou quatre, dans les écoles coraniques. Le procédé est simple, dans un premier temps les enfants sont contraints d'apprendre le Coran par cœur, au début sans en comprendre un traître mot. Déjà, ces enfants ont l'esprit encombré et pollué par cet apprentissage et ne sont donc plus disponibles pour les préceptes d'une éducation plus pertinente. Par la suite, l'apprentissage continue par l'explication et la compréhension des 114 sourates et de tous leurs versets. L'enseignement se poursuit dans la répétition de la récitation des versets et dans leur compréhension dogmatique jusqu'à ce que le jeune adulte ait l'esprit totalement aliéné par les principes du dogme et ne soit plus capable de la compréhension de toute chose autrement que par référence à un verset du Coran, à un Hadith ou à une loi de la charia.
A ce stade, le jeune musulman ne peut plus accepter le moindre terme ou le moindre propos allant en contradiction ou en déviance avec ce qui fait sa profonde conscience religieuse et ne peut plus accepter aucune explication d'un phénomène autrement que par référence à la religion et aux écritures.
L'enseignement religieux ainsi pratiqué sur des enfants si jeunes est un véritable viol de la conscience individuelle, du libre arbitre et du libre jugement et une atteinte très grave à sa faculté d'utiliser plus tard librement sa propre intelligence en dehors de tout contexte religieux. La réflexion et le jugement individuels sont interdits par Dieu et par l'Islam.
Quant à celui qui aurait échappé au lavage de cerveau et à l'enseignement forcé et aurait des velléités de dénoncer ou de contredire la religion, il risquerait la mort tout autant que s'il décidait d'abjurer la religion musulmane, puisque le crime d'apostasie est clairement puni de mort.
Quoiqu'il en soit, dans un système où Dieu décide tout ce qui est permis comme tout ce qui est interdit et où la loi divine gère tous les gestes de tous les instants de la vie quotidienne, l'échec finale est garanti. Aucun être humain ne peut accepter longtemps et sans réagir un tel arbitraire. Tout cela va totalement à l'encontre du caractère humain qui n'aspire qu'à la liberté et à la paix. L'hégémonisme planétaire inscrit dans la loi islamique est une pure chimère. Aucun empire n'a jamais pu régner sur la terre entière et les principes islamiques sont loin de faire l'unanimité. L'islam mettra peut-être la planète à feu et à sang, mais ne parviendra jamais à établir sa loi sur toute la terre.
Cependant, nous, peuples de l'occident, avons un devoir de secours moral et matériel envers les peuples qui souffrent de l'oppression de systèmes politico-religieux totalitaires.
Nous devons leur offrir notre aide. Nous devons participer au démantèlement progressifs de ces gouvernements dont la légitimité est toujours douteuse et contribuer à permettre la mise en place, dans ces états, de gouvernements républicains, démocratiques et laïques.
Nous devrons leur apporter aide et assistance aussi longtemps qu'ils en auront besoin et que la paix publique n'y sera pas garantie.
Mais il est aussi de notre devoir de permettre que dans nos propres états européens, ceux qui sont encore sous le joug de religions aliénantes puissent avoir la possibilité de s'en soustraire et d'être rééduqués convenablement afin de devenir des citoyens dignes et responsables. Enfin, il faudra légiférer pour que les systèmes d'enseignement religieux aliénants comme celui de l'Islam soient proscrits et interdits dans nos états. L'enseignement religieux devant être un enseignement accessoire et un choix de la part de l'élève. Il serait souhaitable que le choix d'une religion ne puisse se faire qu'à l'âge de la majorité.
En attendant, des centaines de millions de musulmans dans le monde ont besoin de notre soutien et de notre secours afin d'échapper à l'emprise psychologique et matérielle de leurs geôliers religieux. Nous devons œuvrer à leur future libération et à ce que plus jamais, dans l'avenir, des hommes ne soumettent et n'aliènent d'autres hommes à un pouvoir spirituel et au pouvoir des armes au nom de quelque créature terrestre ou pseudo-divine que ce soit, dans le seul but de les exploiter, de les pressurer et de les tenir en esclavage.
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Le fanatisme religieux
On sait que les comportements humains poussés à l'excès peuvent prendre une tournure particulière qualifiée de fanatisme.
Le fanatisme religieux existe. Des études très sérieuses ont démonté les mécanismes de ces comportements. A un certain niveau de mysticisme, il semblerait que la croyance religieuse portée à l'extrême agirait sur le cerveau comme une sorte de drogue engendrant une dépendance totale et annihilant toute volonté d'y échapper. Dans ce cas, on assiste à un désengagement de l'intelligence, de la rationalité et de tout sens critique. Dieu ou la religion donnent les réponses à toutes les questions et le fidèle n'a plus qu'à se laisser guider par la loi divine.
Nous avons tous pu voir à la télévision les débordements de simples fanatiques d'une équipe de football à l'occasion de la victoire ou de la défaite de leur équipe favorite. Dans ce cas, on a pu observer que non seulement des houligans, des voyous, mais aussi des gens apparemment normaux, s'adonnaient à des activités d'un délire et d'une frénésie stupéfiantes. Les comportements de ces supporters en groupe tournaient à des manifestation de violence verbale et physique anormales.
Le fanatisme religieux de masse relève du même principe et les risques sont les mêmes. Les dirigeants religieux ont appris à canaliser et à utiliser cette violence potentielle à des fins précises, prises de pouvoir, guerres, révolutions, massacres ethniques.
Le fanatisme religieux est une chose dangereuse qui fait fi de la raison et fait appel aux instincts et aux pulsions refoulées les plus barbares des hommes.
L'Islam fait appel au fanatisme, par la soumission à la charia, la loi divine qui régit tous les instants de la vie sociale ou privée des fidèles.
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La liberté d'opinion en Islam
Bien qu'il soit particulièrement inutile et redondant de le préciser, la liberté d'opinion n'existe pas dans l'Islam puisque la liberté même de pensée en est exclue. Le musulman n'a pas à avoir d'opinion, puisque tout ce qui régit son existence est le fait de Dieu et qu'il est hors de question d'avoir une opinion sur les agissements de Dieu, ce qui serait une grave offense à Dieu et à la communauté musulmane qui s'identifie à Dieu... N'ayant aucune possibilité de libre pensée, il n'existe donc également aucune liberté d'expression dans l'Islam qui considère toute forme de liberté de pensée et d'expression comme une déviance par rapport à la loi islamique et une offense à Dieu. Dans toutes les religions, le conditionnement intellectuel religieux est pris en charge dès le plus jeune âge afin que l'enfant n'ait pas le temps de subir des influences étrangères à la religion de ses parents. En effet, tout enseignement autre que celui du dogme de la religion de la famille pourrait altérer le message religieux dispensé ultérieurement par les religieux chargés de cet enseignement.
Dans la plupart des cas, l'enseignement religieux est fondé sur l'apprentissage de concepts, de principes et de lectures dérivés des livres dits sacrés, et la répétition est l'instrument de ce conditionnement assimilable à un véritable lavage de cerveau. Le cerveau des tout petits étant propre à recevoir et à assimiler très rapidement tout ce qu'on leur dit et répète sans aucune capacité ni liberté de le critiquer ou de le rejeter. Ce type d'enseignement étant en opposition avec toute forme de véritable culture ou savoir librement et volontairement reçu et ne pouvant qu'altérer les facultés de jugement de ceux qui le reçoivent. A ce titre, on peut donc estimer qu'il n'existe aucune liberté de pensée, d'opinion et d'expression dans les pays soumis et écrasés par la loi islamique.
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L'indigence et la stérilité du discours islamique
L'Islam se déclare religion universelle des hommes. Le message de Dieu transmis aux hommes par Muhammad, le dernier prophète (le Sceau des Prophètes) doit être diffusé à l'humanité tout entière afin que tous les hommes se convertissent à l'Islam et adoptent les principes fondamentaux qui régissent l'Umma-Cité (la cité de l'Islam).
Principes qui sont : N'adorer qu'un seul Dieu, ne vénérer qu'un seul prophète et n'obéir qu'aux commandements de son livre, le Coran. La vie entière d'un musulman doit être vouée au culte de Dieu et l'organisation totale de sa vie de musulman et d'homme est entièrement régie par des principes, des règles et des lois qui sont puisés ou inspirés du Coran et des Hadiths interprétés par des légions d'exégètes, de juristes et de philosophes musulmans totalement soumis et asservis par l'Islam.
Le terme Islam signifie " paix, obéissance et soumission ".
Dans l'Islam, la réflexion personnelle, l'intelligence, la capacité d'imaginer ou de concevoir n'existent pas. Toutes les réponses à toutes les questions que l'homme peut se poser ne peuvent et ne doivent trouver leur réponse que dans le Coran et dans les Hadiths et dans les interprétations qui ont pu en être tirées.
Dans l'Umma-Cité, tout est fondé sur la religion et l'homme ne possède de droits que ceux que la loi islamique veut bien lui accorder.
Dans l'Umma-Cité, tout est religion, tout est figé immuablement dans la position où cela s'est trouvé à la naissance de l'Hégire, voilà quatorze siècles, et rien ne pourra jamais changer, car ni Dieu, ni Muhammad, ni le Coran, ni les Hadiths, ni les interprétations des écritures ne peuvent changer, car le seul fait de changer quoi que ce soit à tout cela est un crime à la face de Dieu et à la face du monde musulman.
En s'autodéclarant le " Sceau des Prophètes ", Muhammad a commis un acte d'une gravité supérieure à ceux des plus grands criminels de l'humanité, car il engageait un processus irréversible dont on peut, aujourd'hui, apprécier l'étendue en observant à quel point l'Islam et le monde musulman se trouvent confinés et prisonniers d'un système aliénant psycho-névrotique d'envergure planétaire.
Muhammad était vraisemblablement un de ces hommes ambitieux, arrogants, irresponsables et sans états d'âme, comme on en trouve, aujourd'hui, en quantité à la tête des partis politiques de tous bords. C'était donc un homme très ordinaire qui a eu une idée de génie en se faisant passer pour un prophète et qui en a tiré les bénéfices que l'on peut imaginer. En dehors de cela, il n'était qu'un aventurier et un pillard de caravanes sans aucune moralité, ce qui se retrouve parfaitement dans les versets du Coran où la moralité, le bon sens, l'amour du prochain le respect de l'autre et de la personne humaine sont désespérément absents.
Comme tous les hommes qui ont voulu changer le monde, il n'a pas su le faire de manière positive et a laissé derrière lui le chaos, la haine, la destruction, de nombreux assassinats et une religion reposant sur des principes troubles, équivoques et mal formulés qui ont donné les résultats que nous connaissons aujourd'hui, de nombreux états islamistes où règnent l'obscurantisme, la misère et la mort.
Muhammad pratiquait déjà une politique de violence, de chantage et d'oppression pour obliger les populations à se convertir à l'Islam. L'Islam doit dominer coûte que coûte. Les autres religions sont tantôt tolérées, tantôt interdites et leurs représentants persécutés, emprisonnés ou assassinés. L'Islam ne supporte aucune entrave à sa propagation et à ses conquêtes. Les ennemis de l'Islam doivent être massacrés ou réduits à l'esclavage. Ceux qui tentent de détourner un musulman de l'Islam sont passibles de la peine de mort. Le musulman qui abandonne l'Islam est coupable du crime d'apostasie qui est puni de mort. Les droits des femmes sont inexistants. La femme est seulement une sous-créature, un animal utilisé pour le plaisir des hommes et pour la reproduction. La plupart du temps, elles sont traitées comme des esclaves. La loi islamique explicite clairement la supériorité de l'homme sur la femme, parce que " Dieu l'a voulu ainsi ".
Il est d'ailleurs tout à fait remarquable que Muhammad se soit montré assez subtile dans sa paranoïa pour que dans le Coran et dans la loi qui en découle rien ne soit jamais du fait de l'homme, mais uniquement du fait de Dieu. L'homme n'a d'ailleurs aucun droit de légiférer et toutes les réponses à des questions de type juridique se trouvent dans les interprétations très libres que font les exégètes, les philosophes et les juristes islamiques du Coran et des Hadiths.
On se rend compte que l'Islam est une religion sans nuances qui ne supporte aucune forme d'opposition, aucune forme de critique ou de remise en question. Les écarts sont invariablement sanctionnés par l'emprisonnement, la mutilation ou la mort.
Muhammad a donc bâti sa vie et sa fortune personnelle sur un mensonge qui a engendré l'aliénation et la misère de nombreuses nations durant 1400 ans.
Aujourd'hui, une grande question se pose aux peuples libres de l'occident.
Doit-on laisser les choses se faire et l'Islam progresser et détruire encore plus de nations et de peuples à travers le monde ? Ou bien les peuples libres ont-ils le devoir et même l'impérieuse obligation humanitaire d'aller à la rencontre de ces peuples qui souffrent du joug de cette pseudo-religion qui les opprime et les martyrise et de leur apporter aide et assistance tout en luttant politiquement pour faire reculer ce fléau.
C'est l'éternel conflit entre le problème de la non-ingérence dans les affaires des états et l'obligation humaniste d'assistance à personnes ou à peuples en danger. On a laissé faire en Iran, en Afghanistan, en Irak et dans des tas d'autres états. Avons-nous le droit de perpétuellement fermer les yeux ? Pendant ce temps, les intégristes islamistes, par le bras de leurs commanditaires fous, tel Oussama Ben Laden, sèment la terreur et la destruction sur toute la planète.
Par ses principes primitifs vieux de 14 siècles et ses préceptes barbares, aliénants et rétrogrades, l'Islam veut régner sur le monde entier mais n'a jamais été capable de gouverner un état sans que cela tourne à la dictature meurtrière. L'Islam n'a jamais été capable de nourrir des populations, d'apporter la paix, la santé, la sécurité et l'instruction à aucun peuple. L'Islam est incapable de gouverner un pays dans le sens de la paix et du progrès puisque ses principes font systématiquement appel à la violence pour régler les problèmes et que toute forme de progrès intellectuel, scientifique ou technologique est considéré comme une corruption de l'esprit interdite par Dieu et par le Coran.
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Informations complémentaires sur l'Islam

Statistiques par religion, en 2002 :
Population mondiale en l'an 2000 : 6 055 049 000
Alors que nous entrons dans le nouveau millénaire avec six milliards d'humains,
plus d'1,3 milliard vivent avec moins d'un dollar par jour ;
plus d'1,4 milliard n'ont pas d'accès direct à l'eau potable ;
900 millions sont analphabètes,
et 800 millions souffrent de la faim ou de la malnutrition.

MONDE ENTIER :
Chrétiens………………..2 000 000 000
Juifs………………………….17 000 000
Témoins de Jéhovah………10 000 000
Musulmans…………… ..1 190 000 000
Boudhistes……………...…800 000 000
Brahmanes…………… …..300 000 000
Confucianistes…………….343 000 000
Shintoïstes…………… …….70 000 000
EUROPE :
Catholiques romains………250 000 000
Protestants…………………125 000 000
Musulmans……………………9 000 000

2001 : Toutes confessions réunies, les chrétiens - pratiquants ou non - rassembleraient 33% de la population mondiale, et les catholiques romains à eux seuls 17,5%. Les musulmans, en grande majorité sunnites, comptent 19,6% des habitants de la planète. Les hindous représentent 13,4% et les bouddhistes 5,9%. Les autres traditions religieuses ont des effectifs plus modestes. Et il ne faut pas oublier les athées et "non religieux": tous réunis, plus de 15% de la population mondiale.
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Cinquante crimes de l'Islam à l'époque de Muhammad :
618 : Massacre des ennemis à la bataille de Bu'ath.
620 : Bagarre à coup de pierre et d'os de chameaux entre musulmans et infidèles.
622 : Mahomet reçoit le verset:"tuez les infidèles où vous les trouverez, faites les prisonniers..."
622 : Sad fils d'Abou Waqqash lance la première flèche tirée par un musulman.
623 : Combat de Nakhla; premières morts violentes; quatre bédouins tués par huit musulmans.
623 : Mahomet aurait construit une mosquée à Médine en coupant des arbres et en exhumant les         sépultures d'infidèles.
623 : Meurtre d'Amrou ben Al Hadhrami chef de caravane, contre l'avis de Mahomet: premier tué         notable par les musulmans.
623 : Avis de Mahomet: "ce sont des infidèles, envers lesquels il n'y a pas lieu d'observer une         interdiction sacrée".
624 : Bataille de Badr; première victoire sur les infidèles.
624 : Razzia sur la Mecque, pillage et prise de captifs.
624 : Après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs.
624 : Décapitation du poète Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet.
624 : Bataille de Badr: Mahomet à Oqba: "je fais à Dieu le voeu que si je te saisis en dehors de la         Mecque, je te ferai couper la tête".
624 : Bataille de Badr; Abou Bakr à Mahomet: "l'infidélité sera exterminée dans le monde".
624 : Bataille de Badr; défaite des infidèles: "les musulmans les tuèrent à coup de sabres et firent         des prisonniers".
624 : Bataille de Badr; Mahomet à ses hommes: "quiconque d'entre vous rencontrera Djahl, tranchez         lui la tête et apportez la moi".
624 : Révélation de Mahomet: "il n'a pas été donné à un prophète d'avoir des prisonniers sans faire         de grands massacres sur la terre.
624 : Décapitation de Kab ben Asraf, poête critique.
624 : Décapitation de deux poêtes anonymes après la bataille de Badr.
624 : Après la bataille de Badr, Mahomet à Oqba: "ta place et celle de tes enfants est en enfer. s'ils         ne deviennent pas croyants, je les ferai tuer..."
624 : Décapitation du poète Abu Afak en Arabie pour avoir critiqué l'islam.
624 : Exécution d'Asma Bint Marwan femme ayant critiqué Mahomet.
625 : Expulsion du clan juif des Al Nadir.
625 : Destruction de l'idole Oubal.
626 : Massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.
626 : Expédition contre les juifs beni Qoraizha, insultés par mahomet: "O vous, singes et cochons..."
626 : Massacre des 700 juifs Beni Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d'un         fossé, avec les jeunes garçons.
626 : Meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poête satiriste, et de sa femme qui s'était moquée de         Mahomet.
626 : Expédition contre les juifs de Kaihbar.
626 : Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam abou rafi.
626 : Tentative de meurtre d'Abou Sofyan ordonné par Mahomet.
626 : Mahomet fait couper les palmiers de l'oasis des juifs Beni Nadhir.
626 : Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme du butin.
627 : Elimination du clan juif des Qurayza à Médine.
627 : Massacre des juifs de Médine; partage des familles et des biens.
627 : Début de la politique d'agression systématique des autres tribus.
627 : Agression de la tribu des Bani Moustalik.
628 : Attaque par Mahomet de l'oasis de Khaybar.
628 : Caravane d'infidèles pillée par Mahomet.
628 : Mahomet aux juifs Beni Qainoqa: "si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre.
628 : Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik.
628 : Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers.
628 : Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet.
628 : Soumission des juifs de Wadil Qora.
629 : Destruction des idoles d'Allat, Manat et Al Uzza en Arabie.
630 : Prise de la Mecque; 30 exécutions.
630 : Première agression contre la Perse à Tabuk.
630 : Bataille de Honaïn contre les Bédouins païens.
630 : Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba.
630 : Décapitation à la Mecque de Abdallah ibn Abou Sahr apostat.
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La circoncision :
Selon différents auteurs, la circoncision est pratiquée à l'âge de 5 à 8 ans en Algérie, entre 9 et 10 ans en Egypte, à quelques semaines après la naissance en Arabie Saoudite. Elle n'a pas de lien particulier avec l'âge de la puberté biologique.
Il semblerait que la circoncision soit désirée et attendue par le jeune garçon. Elle ne leur est pas imposée par les adultes, mais elle représente une sorte d'épreuve, d'initiation, qu'ils doivent accomplir pour devenir des hommes et pour être accepté dans le cercle des hommes adultes.
Alors que l'obligation de la circoncision n'apparaît nulle part dans le Coran et dans la loi islamique, contrairement à la Bible, le jeune garçon la considère néanmoins comme un devoir religieux qu'il doit accomplir. Les musulmans la pratiquent donc librement, sans aucune obligation. Elle relève du signe de la simple appartenance à une communauté.
Chez les juifs, la circoncision est imposée par la religion et se pratique le septième jour après la naissance.
Scientifiquement, la circoncision reste toujours un acte médical pratiqué, la plupart du temps, dans des conditions douteuses d'hygiène et d'asepsie. Elle demeure un acte de mutilation barbare et inutile.
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Le pèlerinage à la Mecque :
Le musulman doit faire au moins une fois dans sa vie le pèlerinage à la Mecque (un des cinq piliers de l'Islam). Le lieu où se déroule le pèlerinage est le temple du
" Masjid al-Haram ", la grande mosquée de la Mecque. Au centre de la mosquée se trouve la Kaa-ba, le Saint des Saints de l'Islam. C'est un petit édifice de forme cubique érigé au centre de la grande cour de la mosquée. Ce sanctuaire n'est pas d'origine spécifiquement musulmane, puisque largement antérieur à l'existence du culte musulman. Il était probablement dédié à des rites païens.
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La Kaa-ba :
De nombreuses légendes courent à propos de la Kaa-ba. Pour l'une, elle aurait pu être bâtie par des anges envoyés par Dieu pour édifier un édifice semblable à celui qui se trouve sous son trône et autour duquel tournent les anges, afin que les hommes puissent également tourner autour. Pour une autre, Dieu aurait envoyé Adam à la Mecque où il aurait retrouvé Eve, sur le mont voisin d'Ararat. Adam aurait alors bâti la Kaa-ba. Une autre encore raconte que Noë aurait tourné quarante jours sur l'eau au-dessus de l'emplacement actuel de la Kaa-ba avant d'aller s'échouer non loin sur le mont Ararat, à la baisse des eaux. Selon le Coran, Abraham et son fils Ismaël auraient bâti la Kaa-ba sur l'emplacement de la " maison de Dieu ". Abraham aurait alors eu besoin de se hausser sur une grosse pierre pour poursuivre son œuvre. Cette pierre, connue sous le nom de " Station d'Abraham " se situerait aujourd'hui sous une petite coupole proche de la Kaa-ba.
Abraham aurait alors ordonné le pèlerinage à la Kaa-ba et désigné Ismaël comme gardien de la Kaa-ba. Tous les deux creusèrent une sorte de puits afin que les pèlerins puissent y déposer leurs offrandes.
On peut constater que toutes ces légendes et pseudo-explications des origines de ce petit édicule de pierre sont peu vraisemblables et n'en donnent aucune origine historique. La Kaa-ba reste un ancien temple païen dans lequel les bédouins d'Arabie pratiquaient un culte aux pierres et à la Lune. Aujourd'hui, dans l'un des angles de cette bâtisse se trouve la " Pierre noire ", objet de culte et de toutes les dévotions des musulmans en pèlerinage à la Mecque. Cette fameuse pierre noire d'origine météoritique, tout comme la pierre de la " Station d'Abraham ", fait l'objet d'un culte fétichiste qui répond à tous les critères du paganisme le plus primaire. Fétichisme puisqu'il s'agit de l'adoration ou de la vénération pour lui-même d'un objet inerte qui ne représente rien. Paganisme puisque s'agissant de l'adoration ou de la vénération d'une idole de pierre.
Le pèlerinage à la Mecque est un événement important dans la vie d'un musulman. Les plus pauvres économisent toute leur vie l'argent du voyage et du séjour. Lorsqu'ils en reviennent, ils ont droit au titre de " Hadj ", " Celui qui a fait le pèlerinage ". Nous ne donnerons pas, ici, les détails du déroulement du pèlerinage, mais nous pouvons en dire que c'est un protocole assez compliqué d'innombrables et successifs déplacements à pieds sur les lieux saints, entrecoupés de prières et d'ablutions rituelles.
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La pierre noire :
La " pierre noire " se trouve enchâssée dans un cadre support angulaire en argent massif inséré dans l'un des angles, dit " de la pierre ", de la Kaa-ba. Elle se trouve à proximité de la seule et unique porte d'accès de la Kaa-ba, à un mètre du sol, environ. De la sorte, les pèlerins qui veulent la toucher ou la baiser doivent s'incliner en signe de soumission. La soumission est un des mots clefs de l'Islam, ne l'oublions pas.
Il existe aussi différentes légendes concernant l'origine de la pierre noire.
Adam aurait emporté du paradis une pierre blanche et brillante qu'il aurait lui-même enchâssée à l'un des angles de la Kaa-ba et ce seraient les innombrables contacts des mains et des lèvres de pèlerins qui auraient peu à peu noirci la pierre de leurs péchés déposés là.
Ou bien, Abraham lui-même aurait découvert la pierre noire dans une grotte des environs et l'aurait déposée là pour marquer le point de départ de la circumambulation déjà amorcée par Adam.
Ou encore, elle aurait été donnée à Ismaël (personnage mythique de l'Islam), fils d'Abraham, par l'ange Gabriel.
Enfin, Allah aurait lancé lui-même la pierre noire sur la Mecque et les Mecquois en récompense de leur dévotion et de leur fidélité.
Toutes ces explications brillent encore par leur obscurité et leur invraisemblance.
Le culte des pierres ainsi que celui de " l'huile de pierre " (naphte, pétrole bitumineux)fut couramment pratiqué dans toute ces régions du proche-orient depuis la plus haute antiquité.
La pierre noire fut dérobée au Dixième siècle par des religieux d'un autre bord, puis récupérée. Au 19ème siècle, les Wahabites reprirent la Mecque aux Ottomans, saccagèrent la Kaa-ba et profanèrent et foulèrent au pied la pierre noire. Ces mêmes Wahabites, qui avaient également profané le tombeau de Muhammad à Médine et les lieux saints chî-îtes à Kerbala, s'érigent aujourd'hui en
" protecteurs des lieux saints de l'Islam ". Il est vrai que les " lieux saints " rapportent beaucoup d'argent à l'Arabie saoudite… Car, outre la richesse pétrolière de l'Arabie Saoudite, il convient de rappeler que le pèlerinage à la Mecque par des millions de fidèles, chaque année, est une source de revenus fantastiques pour ce pays.
Antérieurement, le culte musulman ne se tournait pas vers la Mecque, mais bien vers Jérusalem, troisième ville sainte de l'Islam (La Mecque, Médine et Jérusalem). Ce n'est qu'après avoir rompu toutes relations avec les juifs, en 624, que Muhammad décida qu'une nouvelle " révélation divine " lui avait imposé que les musulmans élisent désormais la Mecque comme nouvelle ville sainte de l'Islam et direction des prières des fidèles.
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Ordre supposé réel des sourates:
Num. Sourate / Num. Chrono / Titre

1 5 Prologue (Al-Fatiha)
2 87 La vache (Al-Baqarah)
3 89 La famille d'Imran (Al-Imran)
4 92 Les femmes (An-Nisa')
5 112 La table servie (Al-Maidah)
6 55 Les bestiaux (Al-Anam)
7 39 Al-Araf
8 88 Le butin (Al-Anfal)
9 113 Le repentir (At-Tawbah)
10 51 Jonas (Yunus)
11 52 Hud
12 53 Joseph (Yusuf)
13 96 Le tonnerre (Ar-Raad)
14 72 Abraham (Ibrahim)
15 54 Al-Hijr
16 70 Les abeilles (An-Nahl)
17 50 Le voyage nocturne (Al-Isra)
18 69 La caverne (Al-Kahf)
19 44 Marie (Maryam)
20 45 Ta-Ha
21 73 Les prophètes (Al-Anbiya)
22 103 Le pèlerinage (Al-Hajj)
23 74 Les croyants (Al-Muminune)
24 102 La lumière (An-Nur)
25 42 Le discernement (Al Furqane)
26 47 Les poètes (As-Shuaraa)
27 48 Les fourmis (An-Naml)
28 49 Le rècit (Al-Qasas)
29 85 L'araignèe (Al-Ankabut)
30 84 Les romains (Ar-Rum)
31 57 Luqman
32 75 Le prosternation (As-Sajda)
33 90 Les coalisès (Al-Ahzab)
34 58 Saba
35 43 Le Crèateur (Fatir)
36 41 Ya-Sin
37 56 Les rangés (As-Saffat)
38 38 Sad
39 59 Les groupes (Az-Zumar)
40 60 Le pardonneur (Gafir)
41 61 Les versets détaillés (Fussilat)
42 62 La consultation (Achoura)
43 63 L'ornement (Azzukhruf)
44 64 La fumée (Ad-Dukhan)
45 65 L'agenouillée (Al-Jathya)
46 66 Al-Ahqaf
47 95 Muhammad
48 111 La victoire éclatante (Al-Fath)
49 106 Les appartements (Al-Hujurat)
50 34 Qaf
51 67 Qui éparpillent (Ad-Dariyat)
52 76 At-Tur
53 23 L'étoile (An-Najm)
54 37 La lune (Al-Qamar)
55 97 Le Tout Miséricordieux (Ar-Rahman)
56 46 L'evénement (Al-Waqi'a)
57 94 Le fer (Al-Hadid)
58 105 La discussion (Al-Mujadalah)
59 101 L'exode (Al-Hasr)
60 91 L'éprouvée (Al-Mumtahanah)
61 109 Le rang (As-Saff)
62 110 Le vendredi (Al-Jumua)
63 63 Les hypocrites (Al-Munafiqun)
64 108 La grande perte (At-Tagabun)
65 99 Le divorce (At-Talaq)
66 107 L'interdiction (At-Tahrim)
67 77 La royauté (Al-Mulk)
68 2 La plume (Al-Qalam)
69 78 Celle qui montre la vérité (Al- Haqqah)
70 79 Les voies d'ascension (Al- Maarij)
71 71 Noé (Nuh)
72 40 Les djinns (Al-Jinn)
73 3 L'enveloppé (Al-Muzzamil)
74 4 Le revêtu d'un manteau (Al-Muddattir)
75 31 La résurrection (Al-Qiyamah)
76 98 L'homme (Al-Insan)
77 33 Les envoyés (Al-Mursalate)
78 80 La nouvelle (An-Naba)
79 46 Les anges qui arrachent les âmes (An-Naziate)
80 24 Il s'est renfrogné (Abasa)
81 7 L'obscurcissement (At-Takwir)
82 82 La rupture (Al-Infitar)
83 86 Les fraudeurs (Al-Mutaffifune)
84 83 La déchirure (Al-Insiqaq)
85 27 Les constellations (Al-Buruj)
86 36 L'astre nocturne (At-Tariq)
87 8 Le Très-Haut (Al-Ala)
88 68 L'enveloppante (Al-Gasiyah)
89 10 L'aube (Al-Fajr)
90 35 La cité (Al-Balad)
91 26 Le soleil (Ach-Chams)
92 9 La nuit (Al-Layl)
93 11 Le jour montant (Ad-Duha)
94 12 L'ouverture (As-Sarh)
95 28 Le figuier (At-Tin)
96 1 L'adhérence (Al-Alaq)
97 25 La Destinée (Al-Qadr)
98 100 La preuve (Al-Bayyinah)
99 93 La secousse (Az-Zalzalah)
100 14 Les coursiers (Al-Adiyate)
101 30 Le fracas (Al-Qariah)
102 16 La course aux richesses (At-Takatur)
103 13 Le temps (Al-Asr)
104 32 Les calomniateurs (Al-Humazah)
105 19 L'éléphant (Al-Fil)
106 29 Koraïsh
107 17 L'ustensile (Al-Maun)
108 15 L'abondance (Al-Kawtar)
109 18 Les infidèles (Al-Kafirune)
110 114 Les secours (An-Nasr)
111 6 Les fibres (Al-Masad)
112 22 Le monothéisme pur (Al-Ihlas)
113 20 L'aube naissante (Al-Falaq)
114 21 Les hommes (An-Nas)
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Les fatwas
Les fatwas peuvent être définies comme des sortes de décrets, d'ordonnances, de recommandations, qui sont émis par un dirigeant religieux islamiste, généralement un mufti (savant, juriste), dans certaines situations particulières. Les fatwas précisent le plus souvent des points de droit islamique sur la vie quotidienne des fidèles, la vie familiale, les époux, l'éducation, le comportement religieux, la prière, etc... Lorsque la fatwa est prononcée, tous les représentants de l'Oumma, c'est-à-dire tous les musulmans du monde, peuvent être appelés à la faire appliquer ou à veiller à son application ou son exécution.
Un fatwa peut concerner n'importe quel point de la vie musulmane.
Il peut arriver que des fatwas de recherche ou de mort soient prononcées contre des personnes qui ont été condamnées par les tribunaux et le droit islamique pour des raisons diverses.
Ainsi en a-t-il été contre l'auteur indien résident en Angleterre, Salmane Rushdie, à la suite de la publication de son livre "Les versets sataniques", dans lequel l'auteur évoquait une polémique possible à propos de l'interprétation de certains versets du Coran. Une fatwa de mort avait également été lancée contre son éditeur japonais qui a été exécuté. Des fatwas sont prononcées tous les jours par des dirigeants religieux du monde entier, à propos de tout et de n'importe quoi, et il est difficile d'en faire la liste.

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Le péril islamique
Les agissements des musulmans dans le monde, leur politique hégémoniste et leur volonté affirmée de gouverner la planète en des temps futurs démontrent bien que l'Islam est bien moins une religion qu'une idéologie politique qui use du mensonge comme d'autres l'ont fait avant. A ce titre, il ne faut plus considérer l'Islam comme une religion, mais comme une idéologie ou un parti politique dangereux pour l'humanité, comme l'ont été le nazisme ou le communisme. Et cela aussi longtemps que l'Islam conservera dans ses textes des incitations à la barbarie, peine de mort pour apostasie, lapidation pour adultère, extermination des opposants, esclavage, non-reconnaissance des droits de la femme et des droits de l'homme, en général, rejet de la démocratie.

Faire le point sur les véritables perspectives planétaires de l'Islam, ses buts, ses enjeux et les risques qu'il fait peser sur la paix mondiale, est une nécessité.

L'Islam n'a pas de pouvoir central, ce qui le rend incontrôlable et absent de l'échiquier des négociations légitimes internationales.
Les dirigeants islamiques locaux ou nationaux des états dans lesquels il est implanté ont des ambitions autres que la simple propagation d'un culte religieux.
Les véritables enjeux, comme dans tout système humain, sont économiques.

Il ne faut pas voir le problème à l'envers, alors que les musulmans atteignent le nombre de 1 milliard et 100 millions de fidèles. Si l'Islam conquiert des pouvoirs politiques, ce n'est pas pour la diffusion de la religion, mais c'est bien la diffusion de la religion qui lui permet d'accéder aux pouvoirs politiques.
Ces chiffres sont propres à rendre n'importe quel dirigeant religieux particulièrement ambitieux et arrogant et le conduire à des comportements et à une politique de plus en plus expansionniste.

L'Islam n'est pas monolithique. Ses différentes divisions, ses schismes et les conflits qu'il entretient entre branches rivales donnent une idée de la diversité des idées, des courants, des pouvoirs et des enjeux. La violence, omniprésente dans le Coran, est supposée être la volonté de Dieu. Justifier ainsi la violence en fait un outil dont on a forcément envie de se servir souvent, fréquemment, à tout propos.
Ce qui est dangereux, dans l'Islam, ce ne sont pas, bien sûr, les braves croyants musulmans de base qui ne comprennent rien à tout ça, qui ne cherchent pas à savoir et qui ne veulent que vivre tranquilles dans leur coin. Non, ce qui est dangereux, ce sont, comme partout (les sectes, chez nous, par exemple), des illuminés, des intégristes, des extrémistes, des " fous d'Allah ", des " Combattants de Dieu " et toutes sortes de psychopathes prompts à jouer de la Kalachnikov en tous lieux et toutes circonstances. Les différents attentats qui ont été perpétrés contre des intérêts américains, dans différents pays musulmans d'Afrique du nord, les attentats du 11 septembre, ceux de Madrid et, plus récemment, la menace d'exécuter deux journalistes français si on ne retire pas la loi sur les signes extérieurs d'appartenance religieuse, tout cela relève de la folie meurtrière pure. Il n'y a aucune religion là derrière. On sait que le terroriste international Oussama Ben Laden, humilié et abandonné par les Etats-Unis auxquels ils avait apporté son concours, n'a fait que réaliser une vengeance personnelle contre les USA en frappant plusieurs fois cette nation. Cet homme n'a d'ailleurs pas revendiqué ses crimes. Mais la communauté internationale n'a pu que constater que Ben Laden et l'Islam étaient étroitement liés. On ne peut que rester perplexe en ce qui concerne les rapports entre les grands terroristes planétaires et les états du monde libre. Le seul fait d'avoir attribué un prix Nobel de la paix à Monsieur Yasser Arafat, un des plus grands chefs terroristes de l'histoire de l'humanité, peut laisser songeur. Ce genre de maladresse est d'autant plus grave qu'elle a pu, en quelque sorte, donner des ailes à de nombreux terroristes qui se sont vus reconnus et encouragés dans leurs activités.

S'il existe des musulmans (et ils existent) pacifistes, honnêtes, civilisés, raisonnables, désireux de vivre dans la paix, en coexistence harmonieuse avec d'autres peuples, d'autres religions et d'autres nations, ils doivent prendre leurs responsabilités, s'affirmer comme tels, dénoncer les abus et les crimes des autres. Sinon, ils ne devront pas s'étonner d'être l'objet de la vindicte des peuples non musulmans qui seront touchés par le terrorisme, dans l'avenir.
On ne peut pas toujours feindre d'ignorer ce qui se passe.
La violence, c'est bien connu, est l'arme des faibles et des lâches. Si des hommes prennent Dieu pour prétexte à leurs déchaînements de haine et de violence, ils doivent s'attendre à ce qu'on les considère, eux, comme des lâches, et non pas leur dieu. Et ils devront en répondre, eux seuls, et en subir les conséquences, contrairement à leur dieu qui ne répond jamais de rien.

Dieu n'a pas droit de cité dans les nations libres. Dieu est une image, une figuration personnelle que les hommes peuvent avoir dans leur tête. Dieu n'est pas un homme politique avec lequel on peut traiter ni un soldat que l'on peut combattre (encore que Jacob semble s'être battu avec Dieu toute une nuit...!) ni un homme responsable capable d'assumer ses actes. Il n'a donc aucune place dans le gouvernement des affaires des hommes et ne doit jamais y être cité, évoqué, pris en compte ou considéré de quelque façon que ce soit.
Qu'importe ce que racontent les livres prétendument sacrés. Nous pouvons affirmer, sans vergogne et avec la même effronterie que les prêtres de toutes les religions et sans en fournir aucune preuve ni témoignage absolu et incontestable, que Dieu n'existe pas, que l'âme n'existe pas, que le paradis ou l'enfer n'existent pas, que les anges n'existent pas, que les prophètes n'existent pas, qu'il n'y a pas de vie après la mort, que tout ce qui est écrit dans la Bible, dans la Torah ou dans le Coran n'a aucune valeur puisque ce ne sont que des écrits humains et que rien de tout cela ne peut être pris en considération ou en compte par des hommes sensés pour régler les problèmes des hommes qui sont des problèmes matériels et purement terrestres.
Et l'on peut et l'on doit ajouter que la plupart des problèmes humains, des tourments, des souffrances, des persécutions, des crimes, des guerres, des tortures, des exterminations, des génocides, des assassinats, des pillages et des violences de toutes sortes n'ont existé qu'à cause des religions ou des problèmes engendrés par les religions ou des problèmes psychiatriques engendrés chez certains hommes par les concepts sulfureux, destructeurs, violents et nuisibles qui émanent des doctrines et des dogmes religieux et de l'application de ces dogmes par d'autres hommes atteints, de par leur position de pouvoir dans les structures religieuses, de folie mystique et d'aliénation totale de l'esprit et des sens.
A tout cela, nous le savons, les musulmans ne connaissent qu'une réponse : le meurtre. Supprimer celui qui n'est pas avec eux.
Toute cette violence leur est légitime puisque commandée par leur Dieu " clément et miséricordieux… "

Historiquement, toutes les avancées de l'humanité en terme de connaissances et de progrès, se sont faites en opposition et contre l'avis des prêtres et des tenants du pouvoir des différentes religions. Pourquoi ? Simplement parce que les théories sur lesquelles reposent tous les dogmes religieux sont fondées sur l'irrationnel et le néant et qu'elles peuvent être démontées et réduites à rien par toute personne faisant preuve d'un minimum d'intelligence, de clairvoyance et de pragmatisme. Ainsi, les religions ont toujours tout fait, et continuent de le faire, pour maintenir les peuples dans l'ignorance et la vacuité intellectuelle afin de les contrôler et de les pressurer. L'immobilisme religieux est le plus grand frein à l'accession des hommes à la connaissance, au progrès et au bonheur.
Ce dieu qui est supposé avoir créé l'univers est donc supposé posséder tous les pouvoirs possibles et imaginables. Or, que voit-on ? Des hommes combattre au nom de ce dieu. C'est bien la preuve que ce dieu ne possède aucun pouvoir et, donc, n'existe pas. Sinon, il ferait les choses lui-même.
Question : Dieu est-il de bonté ou de malignité ? S'il est de bonté, il est impossible qu'il ait pu donner aux hommes, sa création, autant de haine, de violence et de capacité à l'autodestruction et encore moins de leur envoyer des " prophètes " pour les inciter à se battre en son nom et à exterminer tout ce qui n'est pas d'accord avec lui. Ou alors, pourquoi aurait-il créé l'homme? Pour en faire un jouet et s'amuser à le détruire. Dans ce cas, c'est un dieu de malignité.
S'il est de malignité, alors tout s'éclaire. Il est bien à l'image des hommes et ce sont donc les hommes qui l'ont inventé. Donc, il est totalement nocif pour les hommes et les hommes n'ont aucun besoin de lui. Il ne peut que nuire aux hommes et les hommes doivent lui tourner le dos…
La plus grande probabilité, dans un délire d'imagination, serait que s'il existe un Dieu, il ne montre aucun intérêt pour le genre humain et ne s'en occupe absolument pas. Voire même n'ait aucune idée de l'existence de l'homme. Encore une façon évidente de concevoir l'invraisemblance du postulat de l'existence de Dieu.
Quant au bras vengeur de Dieu, on a beau chercher, on ne trouve jamais que la barbarie habituelle des hommes ou des événements sanitaires, climatiques ou sismiques tout à fait naturels et sans aucun rapport avec un quelconque dieu.

Voilà pourquoi, malgré les appels au calme et à la paix de certains imams ou mollahs ou présidents de divers conseils et organisations du culte musulman que l'on peut voir à la télévision, on doit redouter le pire. Ces dirigeants religieux locaux, en supposant qu'ils soient sincères, ne possèdent aucun pouvoir sur les masses les plus excitées et les plus dangereuses des courants les plus intégristes de l'Islam.
Si les musulmans veulent pouvoir être acceptés un jour librement parmi nous, peuples pacifiques et nations libres du monde, ils devront modifier leurs lois religieuses et en retirer tous les principes nocifs et aliénants qui peuvent être interprétés dans le plus mauvais sens. C'est à eux de faire le ménage dans leurs lois.
Bien sûr qu'il y a de bons musulmans et de mauvais musulmans, comme il en existe de bons et de mauvais chez les juifs ou les chrétiens. Mais si de mauvais musulmans sèment la destruction et la mort par le terrorisme à travers le monde, qu'est-ce qui peut nous permettre de faire la distinction entre un bon et un mauvais musulman ? Si les bons musulmans supportent sans rien dire ni rien faire que de mauvais musulmans discréditent tout ce qui touche à l'Islam, les bons musulmans sont aussi responsables que les mauvais. Exactement comme les populations corses se taisent face aux agissements de quelques mafieux psychotiques qui se prennent pour de grands libérateurs
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Si la déclaration des droits de l'homme et la constitution précisent que les hommes ont le droit d'exercer librement un culte, ces textes fondateurs ne disent pas que la loi française doit permettre l'inégalité des droits, la discrimination par le sexe, l'obligation d'être musulman, la guerre sainte, l'interdiction de quitter la religion, le viol, l'esclavage, l'amputation, la lapidation et la peine de mort. Toutes ces choses sont illégales en France. Lorsque les musulmans auront retiré de leur loi ces différentes choses, on pourra alors revenir à un dialogue ouvert sur la tolérance.
L'imam de Lyon devait être sanctionné pour avoir édicté comme une chose légitime le fait de frapper sa femme, ce qui est illégal en France.

85% des musulmans vivant en France ne souhaitent que vivre heureux, dans la paix, le calme et la sécurité. Ils veulent pratiquer leur culte tranquillement.
Reste 15% d'illuminés, de manipulés et de fous qui représentent le vrai danger de cette religion chez nous. Il faut en tenir compte et les surveiller.

Il est important de savoir que certains intégristes religieux islamistes ont inventé et diffusé le néologisme et le concept d'islamophobie (intolérance envers l'islam), afin de créer une atmosphère de martyr de l'Islam. A cela, de nombreux musulmans modérés ont vivement réagi en déclarant qu'il n'était vraiment pas utile de créer une nouvelle motivation au rejet de l'Islam dans une conjoncture plutôt tendue. Par ailleurs, les agissements des intégristes islamistes ont engendré dans notre pays la naissance de nombreuses associations de musulmans modérés tournés comme nous vers le principe de laïcité qu'ils défendent de leur mieux. On peut citer, par exemple, le Mouvement des Maghrébins Laïques de France et l'Association des Musulmans Laïques de France. Ces gens ont une action courageuse et défendent les mêmes valeurs de la laïcité d'état que nous. On peut saluer également les efforts de " Ni pute ni soumise ".
Rien n'est laissé au hasard, dans l'Islam. La pauvreté des pays soumis au joug de l'Islam n'est pas sans raisons. Gouverner des peuples pauvres et le plus souvent incultes convient bien à cette religion fondée sur l'obscurantisme. Par ailleurs, la pauvreté engendre le désespoir sur lequel les religions ont toujours édifié leur puissance. Enfin, la pauvreté est un catalyseur de la violence. Il ne reste qu'à canaliser cette violence par des prêches et des discours savamment dosés.
Pauvreté et incitation à la violence sont donc une des recettes de l'islamisme intégriste galopant. Certes, il existe des musulmans riches et quelques pays islamiques colossalement riches. Cette richesse leur est d'ailleurs due au pétrole qui jaillit naturellement de leur sol. Naturellement, ils n'ont jamais rien fait pour exploiter ce pétrole, puisque la totalité des prospections, des implantations de puits, des installations de terminaux, des raffineries et autres ont été réalisés par les pays occidentaux, dont les USA et avec " l'argent du diable américain "… L'Amérique et l'Europe ont besoin de pétrole et les "princes" du pétrole ont besoin de leur protection pour se maintenir au pouvoir totalement artificiel, illusoire et provisoire, dans leurs pays.
Seuls, ces pays n'auraient jamais été capables d'exploiter et de profiter de la richesse qui dormait sous leurs pieds. Aujourd'hui, seuls quelques princes arabes profitent de cette richesse fabuleuse et la dilapident allègrement en se faisant bâtir des palais dans le monde entier, en collectionnant des milliers de voitures de luxe, en flambant des fortunes impensables dans les casinos du monde entier, en subventionnant des coups d'états, des révolutions et des groupuscules terroristes.
Mais que font-ils pour leurs frères arabes qui souffrent et sont dans la pauvreté tout près d'eux et dans de nombreux états islamiques… ? Rien. Et c'est là qu'on retrouve cette absence totale d'incitation à l'amour du prochain, à l'altruisme et à la charité dans le Coran, contrairement, par exemple, au message du Christ dans les évangiles, à titre de comparaison uniquement.

Pour les musulmans qui attachent une certaine importance aux écritures, je rappelle ceci:
Coran 05-35:"C'est pourquoi nous avons écrit cette loi pour les enfants d'Israël (et les héritiers de l'Alliance d'Abraham): celui qui tuera un homme n'ayant commis ni meurtre ni désordre (brigandage) dans le pays sera considéré (regardé) comme un meurtrier du genre humain; et celui qui aura rendu la vie à un homme, sera regardé comme s'il avait rendu la vie à tout le genre humain."
Se pourrait-il qu'il existe sur terre des musulmans qui croient échapper aux lois et aux châtiments du dieu au nom duquel ils prétendent commettre tant de méfaits, de crimes et d'actes monstrueux...?

Autres documents d'intérêt, de sources internet diverses
(Nous n'en sommes pas les auteurs)


Liens vers les parties du texte:
Judaïsme
Documents sur les fondamentalistes et intégristes juifs… : (autres sources internet)
" Les Loubavitchs sont une des branches orthodoxes du judaïsme, ce sont des juifs Ashkénaze, de l'Europe de l'est en général, leur chef de fil était le Rabbi Habade Loubavitch avait édifié que le messie amènerait tous les juifs en Israël et ainsi tout les peuples auraient dû se prosterner devant le peuple juif pour l'accomplissement de sa mission divine.
Le mouvement Loubavitch est une immense organisation qui agit selon un triumvirat entre New-York, Paris et Jérusalem. Une puissante organisation qui tient à sa tête des hommes d'affaires, certains politiciens, médecins, hommes de lois et autres. Le seul et unique but de l'organisation est de raviver la flamme divine au sein du peuple dans une opération mondiale de pénitence des juifs peu pratiquants. Leur objectif est de ramener le plus de juif à l'orthodoxie, le judaïsme originel et voir de convertir si cela est possible (mais ce n'est pas leur but premier). C'est un judaïsme messianique qui vit dans un perpétuel passé, ils opèrent sournoisement dans les écoles en conditionnant dès l'enfance les petits à concevoir le monde en juif et non juif, c'est-à-dire à admettre l'élection divine des juifs et ne pas accepter de mélange avec les non juifs, ce qui serait pour eux abomination. Et j'en ai le triste exemple par mes neveux que je vois au fil du temps s'endurcir, le Judaïsme n'a rien d'une religion d'amour ou le respect de la famille et de la vie est prioritaire, oui, bien sûr que les juifs respectent la famille, bien sûr qu'ils sont altruistes, bien sûr que le judaisme possède des valeurs humaines universelles, mais le problème est que ces valeurs sont uniquement pour eux-mêmes, pour leurs peuples et refusent toutes unions à leurs semblables. Les juifs sont victimes de leurs écritures religieuses qui édictent au nom d'un temps révolu l'unité religieuse du peuple contre les ennemis passé du temps des hébreux. Ils prennent tout au pied de la lettre, ils sont dominés par la peur de l'autre, conditionné par les rabbins depuis l'enfance, tous cela dans le but de conserver leur pouvoir sur les masses ignorantes. Il faut être très prudent avec ce genre d'orthodoxie, c'est à mon sens un danger que l'on sous-estime trop, et qui avance en silence dans nos ville ".
(Auteur inconnu).

" Emmanuel Haymann nous convie à un voyage au sein du monde ultra-orthodoxe, en France, en Israël et aux Etats-Unis. Le terme " intégrisme " prête un peu à confusion, car il recouvre deux courants distincts et, jusqu'à un passé récent, violemment opposés. L'un mêle la foi religieuse à l'ultranationalisme. Sioniste à outrance, il voit dans l'Etat d'Israël le début de la rédemption et s'oppose farouchement à tout compromis avec les Palestiniens. L'autre, traditionnellement antisioniste, a fini par s'accommoder de l'existence de cet Etat dont il tire des avantages. Gardien vigilant d'une tradition immuable depuis le haut Moyen Age, il veut en renforcer le caractère juif et mène une lutte opiniâtre contre les laïcs et la gauche. Plus descriptif qu'analytique, le livre n'en est pas moins instructif sur un monde qui reste méconnu, mais exerce une influence considérable en Israël et, dans une moindre mesure, sur la Diaspora.
Le Judaïsme comme toute religion possède différents courants religieux, du plus souple au plus rigide. On peut qualifier de plus souple les courants libéraux et traditionalistes qui pratiquent le Judaïsme comme une fête familiale prétexte à un repas généreux et échanges chaleureux. Puis, il y a les branches dures, très rigide du Judaïsme, un Judaïsme comme le montre le cinéaste Amos Gitai dans son film "Kadosch" (Pureté), vivant en autarcie totale, se réfugiant dans une bulle idéologique afin de se protéger des réalités de la vie qui les effraient tant. On peut avoir une certaine compassion en voyant ces hommes et surtout ces femmes prisonniers de leurs peurs dans un carcan religieux fermé et coercitif. Mais, ne nous y trompons pas sous la fausse modestie et les sourires révérencieux se cache une idéologie meurtrière, un fanatisme virulent qu'il faut à tous prix dénoncer. Ce même fanatisme qui a endoctriné pendant des années Igal Amir le meurtrier d'Isaac Rabin façonne encore aujourd'hui par milliers les mêmes intégristes en Israël, mais aussi aux Etats-Unis chez les Hassid Loubavitch, en Europe, et directement en France. Au sein des écoles juives françaises un véritable endoctrinement est en train de prendre forme, il convient donc de démasquer au plus vite ce type de fondamentalisme.
Certains juifs de la diaspora ont tout quitté pour se retrouver colons en territoire palestinien, avec comme stimulant les versets bibliques galvanisateurs. Ils sont prêts à mourir pour servir la cause divine, un Uzi à la main. Leur attachement à la Torah est total. Le conditionnement religieux est effrayant, leurs vies se basent sur un passé éternel, ce repli lamine les valeurs de progrès dans l'éducation, les modes de vie, la condition des femmes. Pour ces fous de Torah la vie ne vaut la peine d'être vécue qu'uniquement en l'attente du messie qui redonnera l'entière souveraineté au peuple juif, pour eux l'état d'Israël est une hérésie totale car ce sont les hommes et non Dieu qui l'on conquis. Cet intégrisme rejette tout ce qui est étranger, c'est-à-dire le non-juif, mais aussi le juif accusé d'être déjudaïsé. Cet intégrisme présente pas mal de similitudes avec l'intégrisme islamique. Il a la volonté de peser sur la politique et c'est ce qui le rend très dangereux. Les rabbins intégristes expliquent très sérieusement que l'humanité étant entrée dans une période pré-messianique, pour préparer le peuple juif à cette arrivée, il faut être présent dans ce qu'ils appellent, en référence à la Bible, la Judée et la Samarie. Ils apportent ainsi une justification religieuse au maintien dans les territoires occupés, rejoignant les Sionistes qui, dans le même temps, font mouvement vers les religieux, en considérant que là est la vérité, en adoptant les mêmes comportements d'enfermement et d'observance névrotique du texte. Parmi la jeunesse orthodoxe, la majorité est prête à se battre pour imposer un Etat complètement religieux. L'endoctrinement est sans cesse perpétré de la naissance à la mort, les enfants depuis l'âge de 3 ans sont conditionnés à un véritable ethnocentrisme destructeur. D'importants ravages psychologiques sont perpétrés sur la psyché de l'enfant, et bon nombre de déséquilibres les pousses à des actes violents par la suite. Les Bal Téchouvah (les repentis) sont aussi dangereux, ces juifs qui n'ayant pas reçu d'éducation religieuse, reviennent après de longue période de troubles identitaires à la religion, ils croient trouver dans le Judaïsme orthodoxe un soulagement à leurs névroses personnelles. Le problème psychique est occulté par l'étude des textes et ils opèrent une forme de sublimation envers dieu qui les pousse à se durcir dans un dogmatisme innommable, un égocentrisme affligeant, et une haine dévorante des Arabes ".
" Le fondamentalisme juif est aussi dangereux pour les droits des hommes et la démocratie que l'Islamisme. En France, les communautés orthodoxes gagnent silencieusement du terrain. A Paris s'est créé un tribunal rabbinique ultra-orthodoxe et les écoles religieuses fleurissent et se consolident, la laïcité ne fait pas son travail correctement, la loi de 1905 de séparation de l'église et de l'Etat est constamment violée. Les politiques se préoccupent plus de leur électorat que de l'avenir de la démocratie. En effet, bon nombre d'électeur échangent des voix en contre-partie du financements de leurs édifices religieux. C'est inadmissible, il faut que le monde laïque se positionne rapidement contre ce problème majeur qui est en train de gangréner de l'intérieur les valeurs démocratiques françaises. En aucun cas l'Etat ne doit privilégier la religion au bon fonctionnement d'une société cosmopolite et ouverte. N'autorisons aucun clivage ethnico-religieux qui séparent et détruisent l'harmonie entre les humains ".
(" Au coeur de l'intégrisme juif ". France, Israël, Etats-Unis. Emmanuel HAYMANN).

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Islam (histoire)
Le califat
Le mot calife est une romanisation de l'arabe khalîfa, littéralement " successeur du prophète ". Le porteur du titre garde l'unité de l'Islam et tout musulman lui doit obéissance: c'est le dirigeant de l'Oumma (la cité de l'Islam).
À la mort du prophète Mahomet en 632, l'Islam est uni et un successeur du prophète est désigné. Abou Bakr, beau-père de Muhammad, accède ainsi au titre de Calife.
Abou Bakr fait la conquête de l'ensemble de la péninsule arabique. À sa mort, en 634, son Premier ministre Omar lui succède. Celui-ci conquiert la Palestine, la Mésopotamie, l'Égypte et la Perse. En 644, il est poignardé par un esclave persan chrétien. Avant de mourir, il désigne un comité de six personnes qui devront choisir parmi eux le troisième calife.
C'est le calife Othman qui lui succèdera. Plein de bonne volonté mais dépourvu d'énergie, Othman doit faire face à une opposition grandissante, conduite par son rival, Ali, époux de la fille aînée du prophète : Fatima.
Le calife Othman, à 82 ans, est assassiné à Médine par une foule de musulmans en colère, le 17 juin 656.
Sa mort est à l'origine de la plus grave crise de l'islam. C'est Ali qui lui succède enfin.
Ali, époux de Fatima, la fille de Muhammad, fut calife de 656 à 661 et assassiné à Kufa, sa capitale. Le chî-îsme le vénère. Le Chî-îsme est la religion nationale de l'Iran depuis le XVIème siècle. Le courant chî-îte semble plus intégriste dans ses principes.
L'élection du nouveau calife, très controversée, marque le début d'une bataille ouverte au sein de l'islam. Le nouveau calife doit s'enfuir de Médine et de La Mecque. Les deux villes saintes ne joueront désormais plus aucun rôle politique dans le monde musulman.
Tandis que les partisans d'Ali (les Chî'îtes) entrent en dissidence, les Omeyyades de la famille d'Othman font de Damas, en Syrie, le siège d'un nouveau califat appelé à un glorieux mais éphémère essor. Plus tard, Bagdad deviendra pour longtemps le centre de l'Islam.

Le principe de dhimmitude
La dhimmitude dépend d'une loi divine, appliquée à tous les peuples conquis par dji-had (guerre sainte) pendant plus d'un millénaire, sur trois continents. Les " Infidèles " se convertissaient ou devenaient dhimmis et étaient réduits à une condition humiliante et sous-humaine.
La dhimmitude est née des décrets de Muhammad au VIIIème siècle. Elle impose l'infériorisation du dhimmi, chrétien ou juif, et sa différenciation avec le musulman. Seul un adulte musulman peut être témoin. Les cultes doivent se passer en silence, les dhimmis doivent porter des signes distinctifs (ça rappelle l'étoile jaune des Juifs sous les nazis), toute critique du Coran ou des lois islamiques est punie de mort, le dhimmi ne peut posséder d'armes. De plus, le dhimmi doit être humble et reconnaissant à la loi islamique qui lui épargne la vie. La perfection de l'Oumma (la cité islamique) implique la perfection de son histoire, de ses conquêtes, de ses lois. Par là-même, elle légitimise le statut de dhimmi.
Cette vulnérabilité, imposée par la loi, a induit peur et servilité dans la mentalité dhimmi.

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Le personnage de Mahomet ou Muhammad
(Abou Ibrahim Mouhammad ibn Abd Allah ibn al-Mouttalib ibn Hicham) !
Les sources relatant la vie de Muhammad sont des textes écrits en arabe par des érudits musulmans, dont le plus ancien date d'une centaine d'années après la mort du Prophète. Ce récit fut compilé par Ibn Ishaq, mort en 768. Les autres biographies classiques furent rédigées au IXe siècle. La tradition rapporte différents événements miraculeux dans la vie de Muhammad.
Le Coran édicte qu'il n'est qu'un Dieu unique et que Muhammad est son prophète et le dernier des prophètes. De la sorte, Muhammad se mettait à l'abri d'un éventuel usurpateur à venir. Si l'on observe la vie de Muhammad, on constate que c'était un homme intelligent, rusé et combatif. Vue de notre époque et sous un angle historique, la vie de Muhammad n'a rien de celle d'un enfant de chœur.
Confessant la foi monothéiste d'Abraham, le Prophète de l'islam prêche aux tribus arabes polythéistes une conversion à un dieu unique, Allah, qui leur délivre sa parole par son intermédiaire. Son message a contribué à l'unification de la péninsule Arabique. Homme remarquable, issu d'une communauté en marge des grandes sociétés de l'époque, il a su faire une synthèse idéologique capable de s'imposer de l'Atlantique au Pacifique.
La prédication de Muhammad va cependant se heurter à la volonté de statu quo de ses compatriotes Mecquois. Son action, dès lors, ne se limitera plus à la simple exhortation, mais se transformera en un engagement total, dans le domaine religieux, politique et militaire. S'appuyant sur la création d'un mini-État, à Médine, il fera triompher localement sa communauté, avant d'en étendre l'influence sur les nomades et d'obtenir l'unification des Arabes.


Première étape, à la Mecque

Muhammad naquit à La Mecque, dans la province du Hedjaz. Le jour et l'année de sa naissance ne sont pas établis avec certitude, mais selon une tradition communément admise le Prophète naquit l'" année de l'Éléphant ", ainsi appelée en raison de l'expédition manquée contre la Kaaba, le temple de La Mecque, conduite par Abraha, le prince éthiopien du Yémen, monté sur un éléphant blanc. Les récentes recherches situent l'événement en 570 apr. J.-C.
La famille de Muhammad appartenait au clan des Hachémites, de la tribu des Qoraychites, laquelle était prédominante à La Mecque dont elle constituait la quasi-totalité de la population. Les Hachémites ne comptaient pas parmi les familles les plus illustres, mais ils jouissaient d'un prestige religieux du fait de leur droit héréditaire à certaines charges attachées au pèlerinage de la Kaaba. Abdallah, le père de Muhammad, mourut avant d'avoir vu naître son fils, et sa mère, Amina, décéda alors qu'il était encore un enfant.
Muhammad fut embauché par une riche commerçante veuve de La Mecque, nommée Khadija, pour gérer ses affaires. Séduite par l'honnêteté et l'habileté du jeune homme, elle lui proposa le mariage. Muhammad avait vingt-cinq ans lorsqu'il épousa Khadija, du vivant de laquelle il ne prit d'autre femme. Après sa mort, il eut plusieurs épouses dont la plus célèbre fut la jeune Aïcha.
Muhammad avait quarante ans lorsqu'il reçut sa première révélation. Pendant une retraite solitaire dans une grotte sur la montagne de Harra, aux alentours de La Mecque, il eut une vision de l'archange Djibril (Gabriel) et ressentit une telle douleur qu'il crut en mourir. Il reçut l'ordre de " réciter " et ne sut quoi dire. Il finit par réciter ce qui est devenu le début de la sourate 96.

L'ordre selon lequel ces révélations lui furent inspirées permet de comprendre comment s'est développé l'enseignement de Muhammad. En effet, lorsqu'elles furent toutes réunies après sa mort pour former le Coran, elles n'étaient pas organisées selon l'ordre chronologique : on assembla donc en chapitres celles dont on crut qu'elles dataient des différentes époques de la vie du Prophète. Les exégètes musulmans réussirent à établir la relation entre les sourates du Coran et la vie de Muhammad, et l'on sait maintenant que les premières révélations, courtes et formulées dans un langage vif et imagé, avertirent l'homme qu'il serait jugé par Dieu pour ses actes et sévèrement puni pour n'avoir pas rectifié sa conduite. Avec le temps et au fur et à mesure que l'autorité de Muhammad s'imposait sur la première communauté de musulmans fondée par lui à Médine, les révélations s'allongeaient, perdant de leur caractère d'urgence et portant davantage sur les solutions aux problèmes pratiques auxquels étaient confrontés le Prophète et ses disciples.
Les diverses sources sur les premiers disciples de Muhammad à La Mecque ne s'accordent que sur le fait que ces derniers n'étaient ni nombreux ni puissants et qu'ils étaient farouchement combattus par la majorité des Mecquois, qui les accusaient de détrôner la religion de leurs ancêtres.
Un des épisodes rapportés par des sources traditionnelles et généralement considéré par les musulmans comme une pure invention concerne ce que certains exégètes modernes ont appelé les " versets sataniques " (expression inconnue des récits traditionnels). Désespéré de ne pouvoir rallier à lui les Mecquois, Muhammad aurait été tenté par Satan pour proclamer comme révélation divine des versets pervers qui reconnaissaient dans l'islam trois déesses du panthéon des Mecquois comme des intermédiaires entre les hommes et Dieu. En apprenant cette nouvelle, les Mecquois se réjouirent et embrassèrent la nouvelle religion. Plus tard, l'archange Gabriel apparut à Muhammad et lui apprit que ces révélations lui avaient été inspirées par Satan et il lui dicta les véritables versets divins, que l'on trouve aujourd'hui dans la sourate 53, dans lesquels ces déesses sont démystifiées et présentées comme n'étant " que des noms " sans aucune puissance ni réalité. Lorsque ces versets rectifiés furent annoncés aux Mecquois, ces derniers abandonnèrent l'islam et revinrent à leur paganisme originel.

Deuxième étape, à Médine

L'opposition à Muhammad était si forte à La Mecque qu'un grand nombre de ses disciples avait dû se réfugier en Abyssinie, chez les chrétiens éthiopiens, de l'autre côté de la mer Rouge. N'ayant pas réussi à trouver d'appui dans la ville de Taïef, le Prophète quitta La Mecque et trouva refuge, avec ses disciples, dans la petite oasis de Yathrib, à 350 kilomètres au nord de La Mecque. Cet événement, qui date de 622, fut appelé l'Hégire (l'" émigration "). Il inaugura l'établissement de la première communauté musulmane (oumma) à Yathrib, qui prit le nom de Médine, et marqua plus tard le début du calendrier musulman de l'ère de l'Hégire.
Muhammad aurait été invité par les habitants de Yathrib pour servir de médiateur entre les factions de la ville, qui se combattaient par les armes. C'est la seule explication plausible à la notoriété qu'il acquit si vite auprès de la population. Sa communauté comprenait au départ des païens, des musulmans et un grand nombre de juifs qui vivaient dans la région. Plus tard, la communauté ne fut plus composée que de musulmans, mais tous ses membres n'avaient pas adopté l'islam par conviction. On appela ces derniers les hypocrites ou les douteurs. Les tribus juives, qui avaient été au départ acceptées au sein de la communauté, en furent chassées ou décimées sur l'ordre du Prophète au fur et à mesure que leurs relations avec les musulmans se détérioraient. Ils furent accusés de soutenir les ennemis de Muhammad.
Ses succès militaires représentent l'une des principales raisons de l'autorité grandissante du Prophète à Médine. L'attaque qu'il lança sur les caravanes qoraychites à Badr, en 624, lui assura une victoire écrasante sur ses ennemis mecquois, pourtant supérieurs en nombre. L'année suivante, il engagea une nouvelle bataille contre les Qoraychites à Ohod (625), qui se termina par la déroute des musulmans. Il réussit à repousser définitivement ses ennemis Mecquois en 627, en creusant un fossé autour de Médine, qui les empêcha de pénétrer dans la ville. Son prestige s'en trouva renforcé au point que les tribus des régions avoisinantes commencèrent à sceller des alliances avec lui et à se convertir à la nouvelle religion. En 628, il put conclure avec les Mecquois le traité de Hudaibiya, par lequel il parvint, au prix de certaines concessions, à conférer à sa communauté un statut équivalent à celui des Mecquois. En 630, il réussit même à s'emparer de La Mecque sans coup férir. Les Mecquois, qui s'étaient opposés à lui depuis longtemps, finirent par se convertir à l'islam. Le temple de la Kaaba, qui était devenu le centre de l'islam, était dès lors accessible à tous les musulmans.
Après la conquête de La Mecque, l'autorité et le prestige de Muhammad se répandirent dans toute l'Arabie et les forces musulmanes parvinrent jusqu'au sud de la Syrie. En 632, le Prophète fit le voyage de Médine à La Mecque pour accomplir son dernier pèlerinage (hadj), appelé depuis visite d'adieu. Il mourut peu de temps après son retour à Médine et fut enterré dans sa maison. Une mosquée fut élevée au-dessus de son tombeau. Elle est considérée aujourd'hui comme la seconde mosquée la plus importante de l'islam.

La perception moderne de la vie du prophète

De nombreux exégètes modernes reconnaissent la véracité des faits rapportés par la tradition sur la vie de Muhammad, mais émettent des réserves sur les éléments miraculeux et surnaturels qui y sont rattachés. Tentant d'expliquer la vie et les activités de Muhammad par des facteurs économiques, politiques, sociologiques et psychologiques, les chercheurs non musulmans ont souligné le rôle des routes commerciales de l'ouest de l'Arabie dans le développement des conditions sociales favorables à l'émergence d'une nouvelle religion, ainsi que dans la pénétration des influences juives et chrétiennes dans cette région.
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Textes critiques sur l'Islam (diverses sources internet)

Islam et démocratie
Il convient avant tout de rappeler que le Coran n'est pas, comme la Bible ou les Evangiles, un récit humain, mais serait la parole parfaite d'Allah transmise par l'archange Djibril à Muhammad. Le Coran ne pourrait donc être critiqué ni adapté : il est immuable et intemporel. Bien mieux, en proclamant Muhammad le dernier ou le " sceau " des prophètes, l'islam interdit toute évolution ultérieure.
Autre point important, l'islam n'est pas une religion spirituelle, mais une religion rituelle et formelle : ce qui compte n'est pas ce qui se passe dans le cœur (ou l'esprit) du musulman, mais si des rites ou les actes de la vie quotidienne ont été ou non accomplis dans les formes prescrites. L'islam définit très précisément ce qui est " licite " et " illicite ". La conscience et le raisonnement humain n'y trouvent aucune place : il faut s'y soumettre parce qu'Allah le veut et les voies d'Allah sont impénétrables. L'obéissance est exigée à la lettre mais non dans l'esprit : de nombreux artifices permettent de tourner les règles de manière fort hypocrite. Certes, il existe de la spiritualité en islam, mais il s'agit alors d' " innovations " (formellement interdit) ou de " sectes " comme le soufisme.
Enfin, le prophète Muhammad est le modèle que doit tenter d'imiter tout musulman. Et si Muhammad était un chef religieux et un prédicateur, il a été surtout le chef pervers d'une bande de pillards qui pratiquaient la razzia sur les caravanes des incroyants, avant de devenir un chef de guerre et un conquérant usant de la ruse, du mensonge, de l'assassinat politique et appliquant largement les leçons de Machiavel neuf cents ans avant le maître italien. Vraiment rien de commun avec le Christ ou Bouddha ! Le fait que Muhammad soit le modèle ultime à suivre par tout musulman devrait déjà suffire à convaincre que l'islam est non seulement incompatible avec nos valeurs, mais représente une grande menace pour la paix mondiale.
L'islam est comme les autres grandes religions monothéistes une révélation: le message divin a été révélé aux hommes et il n'est pas question de le modifier par un vote humain ou par la négociation. Mais contrairement au christianisme qui prévoit la séparation de l'Eglise et de l'Etat " rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ", l'islam interdit toute séparation entre la religion et les autres aspects de la vie sociale.
A noter que le catholicisme a souvent dévié par rapport à ce principe.
L'idée qu'il puisse exister des êtres, des activités ou des aspects de l'existence humaine qui échappent à l'emprise de la religion et de la loi divine est étrangère à la pensée musulmane. L'islam est donc une doctrine totalitaire qui englobe tous les aspects de la vie sociale et de la sphère privée. Bien plus, le Coran fixe de manière précise nombre de règles de droit. Celles-ci sont complétées par les Hadiths et constituent la Charia, la loi divine. La Charia veut contrôler dans leurs moindres détails les activités politiques et sociales des individus, sans aucune restriction la vie des fidèles et s'assurer que les autres religions ne puissent pas gêner l'islam. La Charia prime le droit des hommes et ne peut être adaptée par un quelconque parlement ou par la volonté du peuple. Selon la doctrine musulmane, l'homme n'a pas le pouvoir de légiférer. Pour les croyants, il n'existe qu'une seule loi: la sainte loi révélée par Dieu. La loi des hommes ne peut qu'aller à l'encontre de la loi d'Allah, qui est infaillible. L'islam impose donc un régime théocratique, totalitaire et donc incompatible avec toute démocratie et, bien évidemment, toute notion de laïcité...

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Une religion intrinsèquement inégalitaire
La Charia (la loi d'Allah) institue explicitement l'inégalité entre les êtres humains. D'abord, il y a des hommes libres et des esclaves : c'est Allah qui le veut et l'a précisé dans le Coran. " Abolir l'esclavage relevait quasiment de l'inconcevable. Interdire ce que Dieu permet est un crime presque aussi grand que de permettre ce qu'Il interdit ". Si l'esclavage n'existe plus du point de vue du droit international, il n'est toujours pas aboli dans les faits : il subsiste encore en Mauritanie et dans d'autres régions musulmanes.
Une seconde discrimination est instituée entre musulmans et " gens du livre " (ceux dont la religion est fondée sur la Bible), polythéistes ou athées : ces derniers n'ont même pas le droit de vivre. Un non musulman ne peut, par exemple, jamais témoigner contre un musulman en l'absence de témoin musulman. Un musulman peut voler en toute impunité un non-musulman. En terre musulmane, l'athée n'a aucun droit, sinon celui de se convertir ou d'être exécuté.
La seule discrimination que rejette l'Islam est celle qui se fonde sur la couleur de la peau ou la nationalité. Quant à la discrimination entre hommes et femmes, c'est une chose normale, naturelle, qu'il n'y a pas lieu de rejeter, elle fait partie de l'Islam. Mais comment peut-il en être autrement dès lors que le Coran, c'est-à-dire Allah lui-même, impose des discriminations sur la base du sexe. Par exemple, une femme peut être battue ou unilatéralement répudiée par son mari. Une musulmane ne peut en aucun cas épouser un non musulman. Le Coran et la Sunna regorgent de prescriptions défavorables ou dégradantes à l'égard des femmes.

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L'islam refuse la notion de citoyenneté
Dans l'islam, la notion de citoyenneté n'existe pas, mais celle de communauté est très importante. Par delà les frontières, l'islam ne connaît que l'Oumma, la communauté des croyants : l'ensemble de ceux qui sont soumis inconditionnellement à la volonté d'Allah.
L'islam ne conçoit pas que des citoyens responsables puissent prendre en main leur destin en agissant sur la politique, sinon pour propager la parole d'Allah et instaurer sur le monde l'ordre islamique. L'Islam n'est qu'abandon à la volonté d'Allah.
L'appartenance à l'Oumma non seulement prime l'appartenance à toute autre communauté, mais le plus souvent s'y oppose. Il est par ailleurs significatif que pour obtenir la nationalité dans la plupart des pays musulmans, la première condition est d'être musulman!
Par extrapolation, on pourrait considérer que l'Oumma serait une sorte d'immense état islamique réparti dans tous les pays du monde.

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L'Islam religion sectaire
L'islam interdit à un musulman de se convertir à une autre religion et tout musulman apostat doit être condamné à mort. Ceci explique notamment que les pays musulmans colonisés n'ont jamais été convertis au christianisme. Le fait d'empêcher un croyant de quitter une communauté religieuse est le principal argument pour condamner les sectes. Pourquoi ne considère-t-on pas l'islam comme une secte nuisible ? Parmi les 17 péchés capitaux de l'islam, le plus grave est l'incroyance, largement avant le meurtre et le vol.
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La dji-hâd (guerre sainte)
Les relations entre l'Islam et le monde non musulman sont, par définition, conçues sous un angle fondamentalement conflictuel dans la doctrine islamique classique. L'obligation de soumettre les populations qui refusent l'Islam se trouve encore affirmée sans ambiguïté dans le hadith suivant: " J'ai reçu l'ordre de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils disent: "Il n'y a d'autre divinité que Dieu" Le devoir assigné à la communauté musulmane par la révélation et les paroles du Prophète est clairement énoncé: elle a pour mission de propager la parole de Dieu afin d'établir sur le monde l'ordre voulu par Lui. Et l'instrument par excellence de cette propagation sera la dji-hâd. La dji-hâd est donc la justification et le prétexte à toutes les violences.
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L'islam incompatible avec les droits de l'homme
Les quelques éléments ci-dessus devraient suffire pour nous convaincre de l'incompatibilité de l'islam avec les droits de l'homme. Mais le sujet mériterait un livre à lui seul. Il suffit pour s'en convaincre de savoir que les musulmans ne peuvent accepter la déclaration universelle des droits de l'homme. Une déclaration islamique universelle des droits de l'homme, conforme aux prescriptions du Coran et de la Sunna, existe. C'est la Déclaration universelle des droits de l'homme en Islam proposée par le Conseil Islamique d'Europe, organisme ayant son siège à Londres. La Déclaration a été promulguée le 19 septembre 1981, à Paris, lors d'une réunion organisée à l'Unesco.
Il va de soi que cette déclaration islamique des droits de l'homme est fondamentalement différente de celles des pays libres d'occident, dans les termes qui suivent :

La nature de l'homme:
La pensée islamique sur la nature de l'homme s'affronte à la philosophie des droits de l'Homme. La théorie des droits de l'Homme développée par Locke, Rousseau et surtout par Saint Thomas d'Aquin, suppose une nature humaine c'est à dire une connaissance de soi, de l'essence même de l'homme. Cette nature est la reconnaissance de l'existence d'une nature des choses et donc de l'homme, et de l'aptitude de la raison humaine à la découvrir.

En Islam, selon un strict volontarisme divin, l'homme ne peut découvrir la nature des choses : elle n'existe pas. Un droit de la nature humaine est une absurdité car les actes humains ne sont beaux et laids que parce que Dieu les a voulus tels. Slim Laghmani dit clairement qu' "une théorie des droits de l'Homme est impossible. L'homme a strictement parlé, n'est pas un sujet de droit. " . Dans l'islam traditionaliste, l'homme n'est pas le référant des normes qui s'appliquent à lui, il n'en est que l'objet.
" Dans cet Islam traditionaliste, aucune théorie des droits de l'Homme ne peut dériver, pour la simple raison que l'homme en est absent ".
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Des raisons de tenir l'Islam à distance
-- Les pays majoritairement musulmans, quel que soit leur niveau de vie, ne connaissent ni élections libres ni liberté d'expression ni liberté religieuse : Islam et démocratie semblent contradictoires. Comparons deux pays jumeaux un demi-siècle après leur indépendance, l'Inde hindoue est une démocratie, le Pakistan, qui s'est voulu musulman, est une dictature. Seule exception à la règle : la Turquie soi-disant laïque, où l'armée veille au grain face à l'Islam.
-- A l'époque contemporaine, chaque poussée islamique, du Nigeria à l'Afghanistan, signifie une extension de la charia, c'est à dire de moindres droits pour les femmes, pour les non-musulmans et même pour les musulmans (dans certains pays, lapidation de l'adultère, amputation du voleur, etc).
-- Aujourd'hui, en Islam, les minorités non-musulmanes se réduisent comme peau de chagrin, non seulement parce que leur fécondité est plus faible, mais parce que, victimes de discriminations, même après des siècles d'assujettissement, elles ne voient souvent plus d'autre solution que dans l'émigration. L'évolution des populations autour de la Méditerranée depuis un siècle est éloquente. Tandis que, à l'exception d'Israël, juifs et chrétiens disparaissent des terres d'Islam (massacre de 1.000.000 d'Arméniens en 1915, expulsion de 1.200.000 " Grecs " (en fait Turcs chrétiens) de Turquie en 1923, départ de 2.000.000 de chrétiens d'origine européenne et de juifs du Maghreb de 1948 à 1962), dans le même temps les colonies musulmanes se multiplient en Europe.
-- De Chypre à l'Indonésie en passant par le Cachemire, les frontières de l'Islam sont sanglantes. Et observons que tout changement local de rapport de forces entre musulmans et non-musulmans, souvent induit par l'évolution naturelle et les mouvances de la démographie, est un facteur de propension au conflit.
-- L'Islam est un risque permanent pour le non-musulman, car en son cœur, on trouve l'islamisme, seule idéologie contemporaine ouvertement opposée aux droits de l'homme, fermement installée dans plusieurs états, et désireuse de s'imposer à la planète par n'importe quel moyen. Cette doctrine possède un grand pouvoir de conviction, car elle est simple, elle veut le retour à la charia, tradition principale de l'Islam héritée du temps de sa grandeur. Et pour la réformer, il faudrait une véritable révolution : réintroduire le raisonnement indépendant dans les écoles juridiques de l'Islam, alors qu'il en est banni depuis onze siècles.
-- Même un pays dit modéré comme le Maroc discrimine franchement le non-musulman. Est puni d'emprisonnement quiconque ébranle la foi d'un musulman ou tente de le convertir à une autre religion (article 220 du code pénal) , tout musulman qui rompt publiquement le jeûne pendant le ramadan (article 222). Le code de la famille infériorise la femme (répudiation, etc.) et empêche qu'un non-musulman épouse une musulmane. Une personne née au Maroc d'un père étranger lui-même né au Maroc ne pourra demander la nationalité marocaine suivant une procédure ordinaire que si son père se rattache à la communauté arabe ou musulmane (art. 9 code de nationalité)

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Libération humaine et religion
ATELIER FORUM SOCIAL EUROPEEN :
Libération humaine et religion

C'est peu dire que le monde a besoin d'un sursaut spirituel et que les êtres humains sont assoiffés de "sens". Mais dans un monde où la mondialisation d'une pensée unique a enfermé les hommes dans le cercle vicieux d'une économie entièrement dévouée au Dieu Argent, ce nouveau Dieu unique auquel tout un chacun doit se soumettre, on peut légitimement se demander si la première urgence pour les croyants de toutes les religions n'est pas d'abord de s'unir par delà leurs Eglises, de se libérer de leur croyances ou de leurs dogmes archaïques en vue de créer un sursaut mondial face à un libéralisme matérialiste croissant qui envahit le monde et écrase les hommes, bref, de "libérer le spirituel du religieux."
Tous les fondateurs de toutes les religions n'eurent-ils pas une commune ambition: promouvoir l'amour universel et faire en sorte que cet amour soit d'abord vécu personnellement par chacun? Car, comment changer le monde sans commencer par changer soi-même. De fait, tous les fondateurs de toutes les religions, Bouddha comme Jésus, ont mis personnellement en pratique ce qu'ils enseignaient. Ils faisaient ce qu'ils disaient : l'altruisme, la tolérance, l'entraide, le partage, la paix ...
C'est dire que toutes les religions ont poursuivi théoriquement un seul et même but, qu'on le nomme fraternité, compassion ou amour universel. On sait malheureusement que, pour l'atteindre, les institutions religieuses ont été loin de compte! Combien d'hommes et de femmes ont été massacrés au nom de la divinité!... Et combien n'ont vu dans la religion qu'un remède à leurs angoisses et qu'un moyen d'évasion de leurs responsabilités!
On peut seulement se demander si le "contenu intellectuel" de ces religions et le projet sociétal de ces "communautés de croyants", tels qu'ils se présentent encore actuellement dans les trois grandes religions monothéistes, le judadisme, le christianisme et l'islam, ont aujourd'hui quelque impact dans la construction d'un monde plus fraternel et plus juste.
Quel est en effet aujourd'hui le "contenu intellectuel" de l'amour universel, quelle forme prend-il concrètement, socialement, politiquement? Quelle est la nouvelle "communauté de croyants" qu'attendent aujourd'hui les hommes pour retrouver l'espérance?
Ne serait-ce pas l'analyse lucide et rationnelle de l'état actuel de la planète et des peuples qui l'habitent, où 20% des humains consomment et dilapident à eux seuls 80% des richesses de la planète ? Ne serait-ce pas le rassemblement politiquement structuré de ceux qui, devant les conclusions de cette analyse, se décideraient à inverser l'actuel courant d'une pensée unique meurtrière et aveugle qui a fait de l'Argent le nouveau Dieu unique et la planète ? Ne serait-ce pas la croyance en l'Homme?
Pour la "plus grande gloire de Dieu"?! - Oui, pourquoi pas, si cela peut faire plaisir à ceux qui croient en Dieu! A condition de se rappeler que la "plus grande gloire de Dieu, c'est que l'homme vive"!
N'est-il pas grand temps pour tous les croyants, ceux qui croient en Dieu et ceux qui croient tout simplement en l'Homme, de quitter leurs chapelles et leurs certitudes doctrinales ?

Une telle révolution ne peut pas venir des clercs, eux qui ont fait de la religion leur fonds de commerce et leur moyen de subsistance. Que tous les croyants de base de toutes les religions sortent enfin des sentiers battus de leurs institutions moribondes ou de leur sectarismes fondamentalistes ! Qu'ils prennent le large et inventent cette nouvelle "foi" en l'Homme, celle dont l'humanité a aujourd'hui besoin, celle du partage et de la fraternité universelle! Qu'ils laissent les morts enterrer les morts ! "On ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres !"
Mais pourquoi une telle foi, pourquoi une telle "croyance" en l'homme est-elle nécessaire ? La science ne suffit-elle pas à permettre à l'homme de se connaître et d'évoluer vers un monde plus solidaire, d'apporter à tous les hommes le "pain" nécessaire à son développement et à son épanouissement ? Produire et consommer autrement …la science et la raison ne suffisent-elle pas à en établir l'impérative obligation sous peine de suicide collectif ? La croyance n'implique-t-elle pas toujours quelque régression dans un irrationnel suspect ? C'est que précisément "l'homme ne vit pas seulement de pain", mais aussi (surtout ?) de ces "valeurs" sprituelles qu'aucun raisonnement scientifique ne peut à lui seul fonder mais qui sont nées au fil des siècles dans le "cœur" de l'homme. C'est peu dire qu'aujourd'hui l'homme, esclave d'un matérialisme désséchant, est assoiffé de "spirituel". La fuite dans les sectes les plus échevelées ou dans le fondamentalisme religieux le plus rigoureux en sont hélas les conséquences les plus visibles et les plus négatives. Ce que l'on a pu appeler le "retour du religieux" est gros d'un retour à l'obscurantisme, à l'Ordre moral, et à l'oppression politique. Il est liberticide.
Et pourtant, l'homme a besoin de "croire" et non pas seulement de "savoir". Pour donner un sens à sa vie, à son histoire individuelle comme à son histoire collective. Qu'est-ce que l'amour sinon la foi en l'autre ? Qu'est-ce qu'aimer sinon croire en l'autre ? Qu'est-ce que croire qu' "un autre monde est possible" sinon vouloir mettre en œuvre "politiquement" ces "valeurs" supra-rationnelles, d'aucuns diront "irrationnelles", que sont la fraternité, la solidarité, l'égalité, la liberté qu'aucun impératif scientifique n'a jamais exigé et n'exigera jamais de développer parcequ'elles prennent leur origine dans le cœur de l'homme et non dans sa seule raison, parce qu'elles relèvent de l'esprit de finesse et non de l'esprit de géométrie, parce qu'elles fondent la spécificité humaine sans quoi la vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
Les religions surnaturalistes, et très particulièrement les religions monothéistes, ont sans doute constitué des étapes nécessaires de l'histoire de l'humanité vers l'âge adulte, l'âge de la rencontre et du don. Elles ont fondé la Loi morale dans la transcendance du Tout Autre. Elles sont devenues aujourd'hui des obstacles à l'édification d'une humanité plus responsable et plus solidaire.
Sans illusion! Car d'une part, on sait que le changement commence d'abord en chacun de ses acteurs. Et d'autre part, ces nouveaux croyants universalistes construiront sans doute à leur tour de nouvelles institutions dont de nouveaux clercs seront de nouveau tentés de dire à tous le vrai de tout ... Mais peut-être feront-ils au moins franchir à l'humanité une nouvelle étape sur la voie de la réconciliation entre le spirituel et le politique, entre l'homme et la femme, entre l'esprit et la matière, entre le dire et le faire, entre le vivant et son environnement naturel et... lui éviteront-ils de s'anéantir!
L'humanité est en devenir.
La "guerre" que veut mener aujourd'hui l'Occident contre le "terrorisme international" n'est pas plus une guerre du Bien contre le Mal que ne l'est la Djihad engagée par les islamistes contre un Occident vautré dans le consumérisme. Il s'agit en réalité d'une lutte entre deux idéologies totalitaires qui voit s'affronter deux intégrismes : celui d'un système économique qui se présente comme le seul et unique modèle de société fondé sur un seul modèle de développement, engendrant une seule culture, une seule civilisation et prétendant s'étendre à la planète entière (fut-ce au prix de son auto-destruction); celle d'une religion monothéiste, aujourd'hui l'islam, hier le christianisme, qui se présente comme la seule vraie et doit engendrer un seul type de société et n'a de cesse que de conquérir l'humanité entière (fut-ce au prix du suicide de ses fidèles) ?
Un dieu unique a engendré une pensée unique. En Occident, ce que n'avait pas réussi à faire le monothéisme religieux chrétien, conquérir le monde, le "monothéisme profane" est en train de le réaliser : un nouveau dieu unique, le Marché, aussi mythique que put l'être Yahvé, régente le monde entier et tient sous son implacable férule la quasi totalité des êtres humains. Il terrorise et asservit l'humanité. A cet égard, le monothéisme religieux semble avoir été le prototype de la pensée idéologique dont le propre est de prétendre s'imposer à l'ensemble des hommes (scientisme, rationalisme, racisme, nationalisme). La prégnance dans l'inconscient collectif occidental d'une croyance en un dieu unique a engendré une conception totalisante, puis totalitaire, actuellement d'ordre économique, hier d'ordre religieux, de l'être humain. C'est ce même monothéisme, par essence patriarcal, qui a soumis l'humanité au seul pouvoir masculin. La pensée unique est aussi une pensée machiste réduisant la femme à sa fonction sociale de reproductrice au service du pouvoir des hommes et emputant par là-même l'humanité de sa moitié féminine et partant de sa dimension spirituelle.
La pensée unique est la principale cause, chez les Occidentaux, de cette prétention à être les uniques détenteurs de la vérité universelle. A ce titre, la religion chrétienne, elle-même issue du monothéisme juif, peut être considérée comme l'archétype de toutes les idéologies occidentales modernes, dans leur volonté de dire le vrai de tout l'homme à tous les hommes de tous les temps.
Pour la première fois de son histoire, l'humanité se trouve affrontée au gigantesque défi de sa propre survie. Dépassant les clivages religieux d'un autre âge, n'est-il pas temps pour tous "les hommes de bonne volonté" d'unir leurs efforts pour inverser la course mortelle dans laquelle l'a jeté à tombeau ouvert, la nouvelle religion matérialiste consumériste/productiviste du Dieu Argent.
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Citations diverses
Ibn Warraq
Ibn Warraq, chercheur et islamologue américain d'origine indo-pakistanaise
Voir une présentation de "Pourquoi je ne suis pas musulman" de Ibn Warraq
"Expliquer toute chose par Dieu, cela revient à couper court à toute question, à réprimer toute curiosité intellectuelle, à étouffer tout progrès scientifique. On n'est guère avancé en disant que la merveilleuse variété et l'impressionnante complexité des organismes vivants sont un miracle. C'est encore moins une explication scientifique...
Seul un scientifique en proie à un sentiment d'émerveillement sent que l'extraordinaire complexité a besoin d'être expliquée. En formulant des hypothèses qui seront testées, il essayera de démystifier les prétendus mystères de l'univers. Au contraire, l'homme religieux se contentera de remarquer platement que tout fut créé par Dieu."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"C'est en promettant une récompense au paradis aux martyrs qui meurent en combattant pour l'islam que Muhammad fut capable de développer l'un des legs les plus maléfiques du Coran, la notion de guerre sainte... Les fanatiques ont été utilisés d'une manière effrayante tout au long de l'histoire de l'islam. Les martyrs ont été employées pour commettre des assassinats politiques bien avant ceux des XIe et XIIe siècles."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Nous pouvons aussi nous demander comment une loi dont les premiers principes furent établis il y a plus d'un millénaire, et dont la substance n'a pas évolué depuis, pourrait encore être d'actualité au XXe siècle. La charia ne reflète que les conditions sociales et économiques des premiers abbassides et on l'a conservée sans tenir compte des développements ultérieurs de la société. ...aussi longtemps que nous penserons que le Coran est éternellement vrai et qu'il apporte une réponse à tous les problèmes du monde moderne, il n'y aura aucun progrès. Les principes contenus dans le Coran sont antithétiques au progrès moral."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"...il n'existe pas de différence entre l'islam et l'intégrisme islamique."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Les militants islamistes n'ignorent pas que l'islam est incompatible avec les principes de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Ils se sont réunis à Paris en 1981 pour rédiger une Déclaration Islamique des Droits de l'Homme qui occulte toutes les libertés qui contredisent la loi islamique. Plus préoccupant encore est le fait que sous la pression des États musulmans, l'article 18 de la Déclaration des Nations-Unies a été révisé en novembre 1981. La liberté de religion et le droit de changer de religion ont été supprimés et seul le droit d'avoir une religion fut conservé."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"N'y a-t-il meilleur symbole [...] d'impérialisme musulman que l'image [d'un peuple] qui se prosterne cinq fois par jour vers [...] l'Arabie?"
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"L'islam décourage toute innovation et tout problème est traité comme un problème religieux même s'il est purement économique ou social."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"L'islam, en particulier l'islam politique, s'avère totalement incapable de faire face aux problèmes du monde moderne."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"L'obstacle majeur au développement des droits de l'homme dans l'islam, c'est Dieu ou, pour être plus précis, [...] c'est la vénération du Coran et de la sunnah."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Le plus nocif des legs de Muhammad est peut-être d'avoir soutenu que le Coran est la parole même de Dieu, vraie à jamais, faisant ainsi obstacle à tout progrès intellectuel et oblitérant tout espoir de liberté de pensée qui seuls permettraient à l'islam d'entrer dans le XXIème siècle."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Avant même de pouvoir lire ou écrire ma langue maternelle, j'avais appris le Coran par coeur, en arabe, sans en comprendre un traître mot; ainsi en est-il pour des centaines de millions d'enfants musulmans. Dès que j'ai été capable de raisonner par moi-même, j'ai rejeté tous les dogmes religieux que l'on m'avait fait ingurgiter. Je me considère aujourd'hui comme un humaniste laïc, qui croit que toutes les religions sont des rêves d'hommes débiles, de toute évidence fausses et pernicieuses."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Alors qu'on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l'impérialisme occidentaux [...], l'impérialisme arabe est au contraire présenté comme un objet de fierté pour les musulmans. [...] Personne ne s'avise de faire remarquer que l'islam a colonisé des territoires qui appartenaient à des civilisations anciennes, et que ce faisant, il a écrasé et réduit à néant de nombreuses cultures."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"La nature totalitaire de l'islam n'est nulle part plus apparente que dans le concept de Jihad, la guerre sainte, dont le but final est de conquérir le monde entier et de le soumettre à la seule vraie religion, à la loi d'Allah. [...]. Les musulmans ont le devoir de se battre et de tuer au nom d'Allah."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Il est difficile pour l'Occident d'imaginer le pouvoir qu'exercent les mollahs sur les masses, les poussant à perpétrer les actes les plus vils, au nom de Dieu. Un groupe de musulmans hystériques, manipulés par un mollah, a lapidé un enfant abandonné, au motif qu'il était probablement le fruit d'une union illégitime et donc qu'il ne pouvait pas être toléré. Une autre foule a coupé la main d'un homme parce que le mollah qui la menait avait prétendu que cet homme était un voleur, sans preuve, sans procès, juste sur la parole du mollah."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Même si nous concédons que les musulmans conservateurs ont interprété la charia à leur façon, qu'est-ce qui nous donne le droit de dire que leur interprétation est fausse et que celle des musulmans libéraux est authentique? Qui peut dire ce qu'est l'islam authentique? Pour beaucoup de spécialistes, la charia demeure l'essence de la civilisation islamique. En fin de compte, on peut interpréter la charia avec une certaine souplesse, mais elle n'est pas pour autant indéfiniment élastique."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"La vérité, c'est que l'islam ne parviendra jamais à la démocratie ni au respect des droits de l'homme aussi longtemps qu'il s'en tiendra à la charia et qu'il n'y aura pas de séparation de l'Église et de l'Etat. Mais, comme Muir le fait si justement remarquer : "Une religion réformée qui remettrait en question l'autorité divine sur laquelle elles (les institutions de l'islam) reposent ou qui essayerait, par des choix rationnels ou des compromissions, de mener à bien un changement, ne serait plus l'islam"."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"L'essor du fascisme et du racisme en Occident est la preuve que tout le monde n'est pas amoureux de la démocratie. Par conséquent, la bataille finale ne sera pas nécessairement entre l'islam et l'Occident mais entre ceux qui attachent du prix à la liberté et ceux qui n'en attachent aucun."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Tous les musulmans, et pas seulement un petit groupe d'intégristes, croient fermement que le Coran est réellement la parole de Dieu! Et leur clergé a torturé, exterminé tous les penseurs qui ont tenté de réformer ce message. Il n'y a hélas pas eu de Luther dans l'islam, et la pression sociale et politique exercée sur les musulmans modérés les a empêchés d'imaginer, d'oser une sorte de Vatican II où l'on aurait humanisé, modernisé cette religion en tenant compte du droit à l'éducation, de l'égalité entre hommes et femmes, du droit de tous les peuples à vivre leur foi en paix."
(Ibn Warraq / interview "Le Matin" 14 octobre 2001)

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Des liens vers des sites traitant du même thème
(critique ou étude des religions, cartésianisme, athéisme, sagesse, laïcité)

http://www.voltaire-integral.com/17/atheisme.htm
http://agora.qc.ca/mot.nsf/Dossiers/Atheisme
http://www.sceptiques.qc.ca/SD/atheism.html
http://www.bribes.org/atheisme.htm : Nombreuses définitions de l'athéisme.
http://wouaa.lautre.net/amicaleathee.html : L'Amicale athée.
http://www.atheisme.ca : Vivre sans religion: un excellent site sur l'athéisme et de très nombreux liens vers des sites traitant du sujet.
http://perso.wanadoo.fr/atheisme/listeislam-ie.html : Les crimes de l'islam des origines à l'époque actuelle. L'islam est désormais rangé à la même place que le christianisme. L'un comme l'autre n'ont pu se propager que par le secours d'un bras armé qui vouait à la mort l'expression de l'incroyance ou d'autres croyances.
http://l.a.c.free.fr : Ligue pour l'abolition de la circoncision.
http://www.lemanlake.com/french/links_engages.htm : Liens francophones pour l'athéisme, la laïcité et la libre pensée.
http://atheisme.free.fr/index.html : Athéisme. L'homme majuscule.
http://atunion.free.fr : Union des athées.
http://critique.judaisme.free.fr : Un site qui analyse en profondeur la religion juive, une réflexion humaniste et progressiste sur le fait religieux juif. Un travail remarquable.
http://www.atheisme.org : Critique du religieux
http://www.geocities.com/atheisme : Ce site se veut la promotion d'un athéisme critique qui s'exprime en combat philosophique, qui s'approfondit en matérialisme naturaliste et qui exulte en sagesse et en joie de vivre.
http://www.christianisme.ch/atheisme.htm : Une introduction à l'athéisme. Ce site présente l'athéisme avec simplicité et clarté.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ath%E9isme : L'athéisme désigne l'ensemble des attitudes ou des doctrines fondées sur la négative de l'existence de Dieu et des divinités.
http://spoirier.lautre.net et également
http://spoirier.lautre.net/opinion.html#mesopinions : Site à découvrir avec passion, pour son intérêt et sa générosité. Celui de Sylvain Poirier, mathématicien, physicien, philosophe et observateur du genre humain.
http://associations.midiblogs.com : Association des athées des Pyrénées-Orientales. Association populaire à but culturel et social rassemblant les personnes qui ne reconnaissent aucune divinité, désirant professer une philosophie humaniste.


Etude des textes:

http://users.telenet.be/thomasevangelie/index_fr.htm : Un site consacré à l'évangile selon Thomas, texte "apocryphe" non reconnu par l'église. Sa présentation révèle une approche différente du "phénomène religieux" et donc de l'enseignement d'un certain Jésus.
http://www.unisson06.org/dossiers/ecrits_spirituels/ecrits_spirituels.htm : Ce site propose une étude approfondie des diverses religions et des courant qui les composent, dans une grande clarté et sérénité.


Sites de critiques des religions:
Critiques du christianisme:
Histoire critique du christianisme romain:
http://srg.hereses.chez.tiscali.fr
Site d'Enrico Riboni sur le christianisme:
http://www.christianisme.ch
Citations sur le christianisme:
http://atheisme.free.fr/Citations/Christianisme.htm
Témoignages d'ex-chrétiens : il est trop facile de les balayer d'un revers de main en disant qu'ils ont abandonné Dieu. Beaucoup moins facile d'avoir la lucidité et l'honnêteté intellectuelle de renoncer à cette hypocrisie pour analyser et reconnaître leurs vraies raisons faces aux aberrations de la doctrine biblique et de ce qui est proclamé dans les églises:
http://www.users.bigpond.com/pmurray/exchristian
Le gros mensonge de la Bible:
http://www.bible.chez.tiscali.fr
"Pourquoi je ne suis pas chrétien":
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La critique du fait religieux dans la littérature française des Lumières:
http://www.eduscol.education.fr/index.php?./D0126/fait_religieux_menant.htm
Sites anti-chrétiens référencés chez dmoz:
http://dmoz.org/Society/Religion_and_Spirituality/Opposing_Views/Christianity
Nombreux liens:
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Critiques du judaïsme:
Un site qui analyse en profondeur la religion juive, une réflexion humaniste et progressiste sur le fait religieux juif. Un travail remarquable: 
http://critique.judaisme.free.fr

Critiques de l'Islam:
Faith Freedom francophone : " Ce site a été créé par d'anciens Musulmans pour aider les Musulmans à sortir de l'Islam. L'islam est un mensonge - ce site en apporte la preuve.":
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Le Coran: message divin ou mensonge badouin ? Etude réalisée par un groupe d’historiens, de spécialistes des religions et des sectes ainsi que par des experts en sciences politiques et militaires, qui s’adresse à un public ouvert à la critique et à l’analyse dialectique:
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L’A.I.M.E., pour d’Ailleurs ou d’Ici Mais Ensemble (portail des esprits libres d'afrique du nord ou d'ailleurs), est une association culturelle et apolitique créée en août 1997, pour faire face à la montée de l’intégrisme islamiste dans le monde:
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