Abbé Rézina 🇫🇷 ن 1⃣ 2⃣ ⛽️ 🚕@Abbe_Rezina
Si un jour c'est avéré on saura qu'il ne faut pas avoir raison trop tôt !
Le #Nobel James Watson perd des titres honorifiques pour avoir dit « il y a une différence entre Noirs et Blancs dans les tests de QI ... la différence existe, c'est génétique »
Aldo Sterone@AldoSterone111
Le nom de Watson, prix Nobel pour avoir découvert l’ADN, est en train d’être effacé de partout. Il perd même ses titres pour ses propos sur l’intelligence et l’ADN. La science revient au Moyen Age avec ses tabous, dogmes et lignes rouges !
https://www.dailymail.co.uk/news/article-6609855/Portsmouth-University-drop-halls-named-DNA-pioneer-amid-race-row.html
Jean-Pierre 75
Francis Crick, avec qui James Watson a découvert la structure de l'ADN, pensait lui aussi que l'écart entre les capacités intellectuelles des Noirs et des Blancs s'expliquait par le matériel génétique propre à ces populations.
Extrait de la lettre en lien, Francis Crick, 22 février 1971:
"Cher John,
J'ai été très peiné de voir la lettre adressée au président de l'Académie nationale par vous et six autres membres de l'Académie concernant une proposition du Dr [William] Shockley [lauréat du prix Nobel de physique].
Comme vous, je n'ai rien publié sur le problème de la population, mais je me suis familiarisé avec la littérature sur le sujet. J'ai également parlé au Dr Jensen lors de sa visite récente à l'Institut Salk.
Contrairement à vous et à vos collègues, je suis de l'opinion qu’il y a beaucoup de substance dans les arguments du [psychologue de Berkeley, Arthur] Jensen.
En bref, je pense qu’il est probable que plus de la moitié de la différence entre le QI moyen des Blancs et des Noirs vivant en Amérique est due à des raisons génétiques, et ne sera éliminé par aucune modification de l'environnement.
De plus, j'estime que les conséquences sociales de tout cela risquent d'être plutôt graves si des mesures ne sont pas prises pour reconnaître la situation."
https://isteve.blogspot.com/2008/01/francis-crick-james-watsons-partner-was.html
Dans la suite de la lettre, Francis Crick rappelle que la politique ne doit pas entraver la science, et menace de quitter son poste si l'Université s'engage sur cette voie.
"While any present conclusions are tentative, it seems likely that the matter could be largely resolved if further research were carried out.
I should thus like to know two things. Would you and your colleagues please state in detail why they think the arguments put forward by Jensen are either incorrect or misleading.
Secondly, would they please indicate what research they think should be done to establish to what extent "intelligence" is inherited. This is surely the important point, and is equally valid for a country without a racially mixed population.
The most distressing feature of your letter is that it neither gives nor refers to any scientific arguments, but makes unsupported statements of opinion. This, I need hardly remind you, is politics, not science.
The voice of established authority, unsupported by evidence or argument, should have no place in science, and I am surprised to find that you, of all people, should put your name to a letter of this character written to the Academy on a matter of scientific research.
I am sure you will realize that if the Academy were to take active steps to suppress reputable scientific research for political reasons it would not be possible for me to remain a Foreign Associate."
sept cent trente-deux
Ce qui est marrant, c'est qu'aucun scientifique ne publie une étude qui montre qu'il a tort et que les noirs sont aussi intelligents que les blancs.
Une étude n'est pas publiée car si on arrivait à un tel résultat il serait enfantin de prouver qu'il est faux.
Mieux vaut donc la bonne vieille méthode totalitaire. : la punition. L'isolement social.
porcinetdenice sept cent trente-deux
"qu'aucun scientifique ne publie une étude qui montre qu'il a tort et que les noirs sont aussi intelligents que les blancs"
ils ne le font pas car pour eux c'est acquis, c'est une certitude, c'est comme remettre en cause que la terre est ronde (et puis ils ont l'exemple de ce qui peu leur arrivé s'ils tentent quelque chose)
alphamega
Le politiquement correct a tué la rigueur de certaines études ou données scientifiques.
Le politiquement correct est assimilable à un dogme. Tout ce qui n'appartient pas au dogme doit être effacé, occulté, nié, combattu.
Les dogmes sont hérités de l'obscurantisme, mais ils existent toujours.
Le dogme islamique qui dit que la religion vraie a commencé avec la naissance du chamelier pédophile en est un exemple. Pour cette raison tout ce qui a existé avant doit être détruit car cela démontrerait la fausseté du dogme.
C'est pourquoi les Bouddha pluri-millénaires de Bâmiyân on été détruits par des obscurantistes déficitaires intellectuellement par tentative de réécriture de l'histoire.
C'est pourquoi la négation des différences morphologiques, physiques et intellectuelles entre les races est niée en Europe.
Essentiellement pour une raison dogmatique.
Et cette négation de la réalité va conduire à une catastrophe en Europe.
En majorant l'importation et la reproduction d'ethnies déficitaires intellectuellement, que croyez-vous qu'il arrivera quand celles-ci même métissées seront majoritaires ?
Le leadership intellectuel de l'Europe aura disparu. Et cela va arriver bientôt, 50 ans tout au plus.
Or l'adaptation aux défis de l'avenir ne peut se faire que par l'application des découvertes faites par la matière grise. L'intelligence sera artificielle et robotique. Les maîtres du code sont déjà les maîtres du monde et ce sera encore plus vrai demain qu'aujourd'hui. Une grande partie des X-mines, Polytechniques et autres anciens élèves des grandes écoles d'ingénieurs partent gagner leur vie dans la Silicon Valley dès le diplôme en poche, car les opportunités de carrière et d'avenir sont sans commune mesure avec ce qui leur est proposé en France.
Ils y sont d'ailleurs très appréciés.
Le dogme actuel conduit donc à un mouvement centripète en Europe, qui attire tous les déficients intellectuels d'Afrique pour la seule et unique raison qu'on offre un pont d'or à leur venue.
Il conduit aussi à un mouvement centrifuge partant d'Europe qui voit toutes les élites intellectuelles fuir ce trou à rat plombé par les subventions aux plus cons, payées par le labeur de ceux qui commencent à franchement se rebeller et où toute extrapolation dans l'avenir est impossible pour les gens qui ont un potentiel à faire fructifier.
Le dogme du politiquement correct ou négation du principe de réalité est donc mortifère à très brève échéance pour la France mais aussi pour l'Europe entière.
Hélas, je pense que le mal est déjà fait et que l'on ne s'en relèvera pas .
L'avenir est donc ailleurs...
ANASTASIA à alphamega
Vous avez raison dans votre analyse. En effet, l'idéologie officielle nie le concept de race mais s'empare de "l'obsession raciale" au travers de l'antiracisme. Cela revient à imposer la négation absolue du fait racial mais cette même négation prouve que la question raciale est primordiale.
Pendant que l'Europe s'enfonce dans sa psychose, l'Afrique tout comme l'Asie revendiquent le fait racial.
L'anthropologie contemporaine refuse de reconnaître le fait racial, refuse de reconnaître la diversité raciale de l'humanité.
Les politiques par le biais d'impostures et de sophismes censurent le fait racial et imposent le mythe du melting-pot. Et c'est ainsi que la notion de race est sorti du champ de l'anthropologie.
Or, une civilisation est la conséquence de la culture et cette culture se distingue par la composition biologique de son peuple, par l'atavisme anthropologique de son peuple. Une civilisation est durable lorsqu'elle est anthropologiquement homogène, à l'inverse toute civilisation hétérogène sombre dans le chaos.
sydaze
Le problème ici ce n'est pas le fait que ce soit vrai ou pas, c'est juste le fait qu'il le dise. D'ailleurs, le fait que ce qu'il avançait était faux n'a pas été démontré. Plus les années passent et plus on va vers une société à la 1984, dans laquelle la vérité n'a absolument aucune valeur.
Cicéron
Tribunal de la Vérité :
_ Accusé, agenouillez-vous et abjurez: « Moi, James Watson, j'affirme désormais que les races n'existent pas, et qu'elles ont toutes le même QI. » Sinon on vous retire vos médailles.
Et dire que les mêmes tapent sur l'Église à propos de Galilée.
Petit rappel sur Galilée :
• il n'est jamais allé en prison et a terminé sa vie en poursuivant ses recherches entourés de disciples;
• ami du Pape, il a surtout été l'instrument d'une querelle de partis au sein de la Curie;
• d'ailleurs son ouvrage incriminé reprenait la thèse de Copernic (que la Terre tourne autour du Soleil et non l'inverse), et Copernic n'a jamais été inquiété;
• et, on entend souvent dire que l'Église lui reprochait d'affirmer que la Terre était ronde (sous entendu qu'en fait elle était plate) : les Européens savaient depuis les Grecs qu'elle l'était.
Sur ce dernier point, l'orbe, ce globe planté d'une croix, est le symbole des rois chrétiens depuis le début quasiment, le globe représentant la terre.
Rémi Gracion à Cicéron
Gallilé n'a pas été en prison ? Dans les années 1620 ses thèses sont censurées, puisqu'il insiste et continue donc à provoquer l'Église, il est entendu du 1er octobre 1632 jusqu'au 21 juin 1633 où, sous la menace de la torture il finit par céder. Accusé d'hérésie il abjure le 22 juin 1633.
La condamnation de Galilée est immédiatement commuée par le Pape en résidence surveillée. En somme, son amitié avec Urbain VIII l'a sauvé de la prison, mais il n'a pas été libre pour autant. On surveillait de prêt ses travaux et s'il advenait qu'il se parjure à nouveau, il savait parfaitement qu'il n'échapperait pas au bûcher
Les Européens et les Grecs le savaient, oui. L'Église est juive et du Moyen-Orient, et n'acceptait pas cette idée.
Copernic pas inquiété ? Effectivement, dans la mesure où il attendu ses 70 ans pour publier ses travaux parce qu'il était très malade, et qu'il mourra dans les mois qui suivent, cela devenant difficile pour l'église de l'inquiéter, et pourtant, elle le combattit à titre posthume, le frappant d'hérésie et d'expropriation...
L'orbe planté d'une croix est le symbole du pouvoir temporel, certes mais il ne représente pas la Terre, la forme du globe crucigère rappelle non pas celle du globe terrestre mais de la voûte de l'Univers conçu à cette époque comme circulaire et englobant, la terre étant le point central, et symbolise ainsi la domination temporelle — et non seulement spirituelle — du Christ sur le monde.
En somme, ou vous êtes bien mal et bien peu documenté, et dans ce cas, évitez de faire la propagande de mensonge pour attirer dans votre odieuse paroisse des brebis égarées.
Ou bien vous mentez éhontément pour attirer dans votre odieuse paroisse des brebis égarées.
Dans les deux cas, mieux vaut pour tout le monde que vous gardiez le silence jusqu'à avoir retrouvé plus d'objectivité.
Cicéron à Rémi Gracion
• L'Église n'est pas juive, c'est une mise à jour du judaïsme avec entre autres bouleversements l'universalisme. L'Église est d'ailleurs aussi le prolongement de Rome (sa composante politique en moins) par la langue, l'architecture, la science, la pompe, etc. comme l'Église orthodoxe est celle de l'empire byzantin.
• Sur l'orbe, je constate que vous avez recopié la page Wikipédia. Je réfute l'argument, qui est d'ailleurs une modification récente de la page et non sourcée (contraire à la règle de Wikipédia). Son nom latin : «globus cruciger» implique l'idée de globe et non de voûte. Les rois auraient très bien pu tenir une assiette (si le monde était plat) ou une demi-sphère (s'il fallait aussi le recouvrir d'un dôme). D'ailleurs il est antérieur aux rois chrétiens, qui l'ont repris aux Romains.
• Sur la rotondité de la terre, on peut admettre que les masses l'imaginaient plate (bon sens trompeur), mais le consensus des savants européens (chrétiens, donc héritiers des Romains et donc des Grecs) l'a toujours tenue ronde. Saint Jérôme, père et docteur de l'Église, a explicitement condamné ceux qui niaient sa rotondité.
• Sur Galilée et Copernic, nous disons plus ou moins la même chose. Dans un contexte de querelle de pouvoir on lui a reproché le ton plus que le fond. L'Église a toujours été du côté de la science. À l'époque de Galilée, les missionnaires jésuites en Chine ont utilisé leur supériorité astronomique (en particulier l'héliocentrisme) et mathématique (l'introduction du calcul logarithmique) pour se faire admettre à la cour de l'Empereur en «battant» les astronomes chinois dans les prédictions d'éclipses.
Voilà pour la propagande.
Ifrane Brunet
La science subit aussi une attaque en règle des moralistes totalitaires depuis une vingtaine d'années. Les universités américaines sont littéralement envahies de cancrelats gauchistes, on y est inclusif, refuse de plus en plus toute parole ou analyse dérangeante et pratique le safe-space.
Le résultat attendu est au rendez-vous ; la science devient un instrument politique et les études bullshit se succèdent avec en pointe celles sur le "changement climatique" qui devient un instrument de contrôle social.
Le professeur Domingos, PhD, renommé en science environnementale, a déclaré : « La propagande actuelle sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante »
Je pense que l'histoire est cyclique, nos civilisations réagissent à ces volontés liberticides et les adeptes de ces âneries se font de plus en plus radicaux ce qui alimente encore la contestation.
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l'ancien
Question raciale essentielle, fondamentale même, à qui veut comprendre, outre les problèmes de compatibilité histologique pour le don d’organes, la crise que traverse notre civilisation. Une
raison principale à cela : la race étant une réalité biologique, elle survient (et impacte) en amont des réalités ethno-religieuses et socio-économiques.
Elle est la première subdivision de l’espèce humaine, bien avant la civilisation, la structure familiale ou le système politique. Prétendre analyser ces facteurs, situés en aval, sans avoir compris le donné biologique dont ils jaillissent revient un peu à jouer au commando de marine sans savoir nager.
3 points principaux pour faire le tour de cette question.
- La réalité de la race. C’est le premier front idéologique sur lequel il nous faut nous battre, d’abord parce qu’il est primordial, ensuite et surtout parce qu’il est déjà enfoncé.
La propagande relativiste en usage depuis 50 ans prétend que la race serait une simple construction socioculturelle, au même titre que la classe pour les marxistes ou le paradigme en épistémologie, et non une réalité biologique. Sur ce point, les progrès de la génétique d’une part, et de la biologie moléculaire d’autre part, ont largement contribué à démolir le modèle officiel.
En particulier, est aujourd’hui totalement admise la réalité de ce que les généticiens appellent les haplogroupes, des séries de marqueurs génétiques qui correspondent avec une étonnante précision à ce que l’on perçoit instinctivement comme les principales races humaines.
Chez l’homme on étudie généralement les haplos du chromosome Y, chez la femme ceux de l’ADN mitochondrial ; c’est par exemple ce type d’étude qui a permis de déterminer l’origine géographique des différentes races et leur répartition démographique dans le temps et dans l’espace.
Les haplogroupes R, qui présentent tous la mutation M45, correspondent assez précisément à l’extension maximale des différents groupes aryens – des scandinaves aux cinghalais de Sri Lanka ; les groupes R1a (mutation M17) et R1b (M343) délimitent plus particulièrement l’essentiel de l’extension des populations européennes indigènes – celto-germains, faces de craie et autres « babtous. » Un enfant reconnait la singularité raciale bien avant de savoir parler, donc bien avant de pouvoir élaborer une quelconque « construction socio-culturelle » ; ce que toute personne de bon sens admet comme une évidence est aujourd’hui prouvé scientifiquement.
Bien entendu les généticiens savent tout cela, mais on continue à le cacher au bon peuple, puisque selon l’establishment coco-médiatique, nous serions tous humains et interchangeables.
Des gens comme Axel Khan ou Steven J. Gould, par exemple, sont des escrocs et des imposteurs. Ils savent que leur position médiatique est de servir de caution pseudo-scientifique à cette mascarade égalitaire, mais ils en sont trop dépendants pour pouvoir changer leur discours. C’est en grande partie pour cela qu’ils ne jouissent d’aucun prestige réel dans la communauté scientifique (Gould en particulier est considéré comme un charlatan par ses pairs.)
Sources : toutes recherches Google (« haplogroupes », « race + biological », etc.), la génétique, Nature, Science, le New England Journal of Medicine pour les travaux en cours. Là c’est vraiment la base.
- La non-équivalence des races. Histoire de ne pas avoir à parler « d’inégalité », expression qui peut valoir des ennuis, on peut néanmoins parler de non-équivalence en se basant sur des faits scientifiquement bien établis.
Il est bien connu que les différentes races correspondent à des caractéristiques biologiques inégales. Outre la couleur de la peau, la forme du crane, du nez, des maxillaires, et la texture des cheveux, qui ne sont que la partie émergée de l’iceberg, on a également constaté de très fortes corrélations raciales avec la largeur des hanches, la longueur relative des membres, la densité en fibres musculaires ‘fast twitch’ et ‘slow twitch’ (qui explique la domination mondiale des noirs ouest-africains sur le sprint et le demi-fond), la densité osseuse (qui explique leur nullité en natation), la sécrétion de testostérone, de salive, de cérumen, la résistance aux pathogènes, la prédisposition à certaines maladies génétiques (sickle cell anemia chez les noirs, compatibilité de moelle osseuse), la fertilité moyenne, l’espérance de vie (corrélée au niveau de revenu et de soins), la probabilité de naissance multiples (2 fois plus de naissances de jumeaux chez les négro-africains que chez les caucasiens, quatre fois plus que chez les asiatiques), le volume crânien, bien entendu le Q.I moyen (corrélé à tous les facteurs imaginables), et même, l’impulsivité.
La liste est, vous l’aurez compris, non-limitative, puisque de nouvelles différences biologiques profondes sont découvertes tous les jours, à mesure que l’on cartographie notre paysage génétique avec de plus en plus de précision. En sociologie également, les chiffres sont éloquents : que ce soit en matière de taux de criminalité, d’alphabétisation, de stabilité des structures familiales, de réussite académique, de conduites à risques les mêmes hiérarchies émergent: caucasiens et asiatiques en haut, noirs, amérindiens et australoïdes en bas. Des chiffres qui se vérifient y-compris a) à niveau économique identique et b) quel que soit le pays et la position relative des différentes races dans le système politique.
Exemple : les Chinois surclassent les noirs dans tous les domaines en Chine, aux Etats-Unis, mais aussi en Afrique du Sud ou à Kinshasa. En terme de Q.I moyen, les asiatiques scorent même mieux que les caucasiens (104-106 contre 100-102 selon certaines études, y-compris parmi les immigrés récents)
C’est exactement ce qu’a dit Watson, prix nobel pour sa découverte de l’ADN, dans sa déclaration de 2007 qui lui a valu d’être mis au pilori par la bien-pensance internationale : les multiples études, année après année, avant et après l’affirmative action, toutes corrélations faites, prouvent bien que « pas vraiment ».
Il avait aussi déclaré que « dans la mesure où les différentes races avaient évolué physiquement en réponse à un environnement donné, il n’y avait pas de raison de supposer que leur évolution mentale ait été, inexplicablement, identique ».
Petit à petit, la conclusion que les races sont bel et bien inégales s’impose dans de petits groupes de chercheurs et de spécialistes. Combien de temps avant que les médias ne retournent leur veste ?
Sources : les chiffres détaillés du Department of Justice, les travaux de Jansen, de Rushton, l’étude de Snyderman et Rothman (1988), google sur race, intelligence, heritability, etc… Et évidemment les travaux remarquables de Shockley.
- L’incompatibilité structurelle entre les races. C’est le dernier front sur lequel il nous faut nous battre. Nous savons tous qu’aucun des thuriféraires de la mixité ethnique ne donne de cette soupe à leurs propres enfants (souvent scolarisés dans de discrets collèges des banlieues cossues) ; le bon peuple, lui sait qu’il vaut mieux avoir un quartier / immeuble / collège ethniquement homogène s’il veut avoir la paix.
De nombreuses études, menées chez l’homme comme chez l’animal, tendent à prouver qu’il existe une préférence intuitive pour l’individu pour de plus grande proximité génétique. La famille avant le clan, elle-même avant la tribu, qui passe avant la nation, la civilisation, la race, l’espèce, le groupe, l’ordre et le règne.
Ces réflexes sont probablement codés en dur dans notre cerveau après des millions d’années d’évolution qui ont privilégié les avantages adaptifs en matière de coopération, de cohésion du groupe et de transmission des caractères culturels. On est plus efficace avec ceux qui nous ressemblent, et tout porte à croire (scientifiquement s’entend) que la ‘diversité’, loin d’être une ‘force’, est un terrible handicap pour une société moderne.
La preuve : diverses études ont montré une corrélation très forte entre homogénéité raciale et réussite socioéconomique. Islande, Norvège, Suède il y a 15 ans, Danemark aussi, Japon, Corée du Sud, Finlande, Nouvelle-Zélande, ces pays occupent tous le haut du classement en matière de revenu par habitant comme de qualité de vie (indice IDH) ; tous sont également extrêmement homogènes. A l’inverse, les pays « ethniquement divers » sont en moyenne plus pauvres, moins compétitifs, et surtout plus violent.
A ce titre il faut lire la brillante étude de Tatu Vanhanen (University of Tampere, Finland) dans laquelle on trouve une corrélation quasi-parfaite entre diversité ethnique et niveau de violence. Sur les 148 pays listés, Japon et Islande présentent les taux de conflictualité les plus bas (et les populations les plus homogènes), Liban et So udan occupant le bas du tableau avec leur admirable diversité ethno-religieuse.
Comme le dit Vanhanen, “In ethnic conflicts, people seem to follow a similar behavior pattern across all existing developmental, civilizational, and cultural boundaries. The more the population is divided into separate ethnic groups, the more they seem to become organized along ethnic lines in interest conflicts, and the more often they tend to resort to violence in ethnic conflicts.”
Sources : Voir études de Rushton encore (Univ. D’Oregon), de Lisa DeBruine (Université d’Aberdeen) , Richeson (Northwestern University), etc.. Tous ces travaux vous mèneront comme d’hab. aux publications connexes, il y a toute une galaxie de travaux peu diffusés voir dissimulés qui vont dans le même sens.
Pour conclure, et pour faire vite, d’un point de vue statistique, les catégories raciales sont plus faciles à manier que les catégories socioculturelles (religion, revenu…), et sont également plus tranchées car plus faciles à définir.
De surcroit, elles se superposent largement aux catégories socioéconomicoculturelles (les noirs en France par exemple corrèlent à la fois avec l’islam, la polygamie, des revenus du travail faibles et une délinquance élevée.)
En clair, on dispose avec l’étude des races d’une grille pertinente, efficace et solidement démontrée pour analyser les problèmes sociaux. Pas étonnant que l’état interdise fermement les « statistiques ethniques ! ». Pour le marxiste, il faut que la société soit coupable des différences : cela donne une bonne raison de la dét ruire… mais si la différence vient de la nature ???
Fontaine l'ancien
Auriez-vous un lien vers l'étude de Tatu Vanhanen concernant la relation diversité-violence?
l'ancien Fontaine
non, mais il y en a 2-3 autres de disponibles :
http://libgen.io/search.php?req=tatu+vanhanen&open=0&res=25&view=simple&phrase=1&column=def
Merci l'ancien !
Ifrane Brunet victor pivert
Le tribalisme africain n'est pas la culture des noirs américains, après la libéralisation des années 60 ils ont totalement adoptés l'américan way of life et le système scolaire était majoritairement donné par des blancs jusqu’à récemment, donc de qualité égale au reste de la population.
Par contre je veux bien vous concéder les dégâts incommensurables que les cancrelats gauchistes ont fait à cette communauté en les victimisants et en pratiquant la discrimination positive, mais ça ne suffit pas à tout expliquer.
Ce qui justifie l'immigration, c'est au contraire la pensée que "nous sommes tous pareils" et que ces gens seront des occidentaux comme les autres ce qui n'est vrai nul part.
Néo- R1b S116 victor pivert
"ayant faits toutes leurs études en France "
Voilà. Tout est dit. Heureusement qu'ils n'ont pas tous un QI bas mais globalement, ce n'est pas le cas. Un africain pur souche ne sera pas au même niveau qu'un afro-américain à quelques exceptions.
Au niveau comportemental, ils restent primaires (manger, boire, baiser, danser en remuant du cul, impulsifs et violents).
Je précise qu'après avoir passé plus de 18 ans en outremer, je sais de quoi je parle. Je vais retrouver des traits communs aussi bien en Afrique qu'aux Antilles et qu'aux USA. Donc, c'est génétique.
L'Ami Gracion victor pivert
De l'origine génétique des capacités intellectuelles.
Il ne s'agit pas d'évoquer des exceptions qui confirment la règle, mais de connaitre un schéma statistique global selon lequel les capacités intellectuelles absolues forment un plafond de verre qu'aucune réforme scolaire ne pourra dépasser. Imaginer le contraire entraine un effondrement des stimuli pour les plus capables, et leur propre effondrement personnel potentiel.
Je parle en connaissance de cause, mon fils ayant été offert en holocauste à cette éducation nationale désormais dédiée à l'afrique.
L'Ami Gracion
Il s'agit avant tout de démonter (ce que l'immense majorité des scientifiques a désormais admis sur la base de plusieurs découvertes archéologique) le mythe "out of Africa" selon lequel l'homme moderne serait issu d'une unique souche ercetus apparue en Afrique.
C'est de ce postulat idéologique que découlent les contre-vérités sur l'(in)existence de races au sein de l'espèce humaine.
Il existe de nombreuses souches autonomes d'hominidés dont les restes fossilisés ont été retrouvées en Europe et en Asie.
Au sein de ces souches raciales l'évolution a fait son œuvre, avec plus ou moins de réussite en effet...
Cet homme ne fait que tenir un discours, certes politiquement incorrect, mais scientifiquement désormais indémontable.
Servante de Dieu et du Roi L'Ami Gracion
Le mythe "out of africa" s'effondre de plus en plus..... "ils" ont du mal à empêcher les fuites(la vérité) sur ce sujet mais les dernières découvertes lui donne des coups de boutoir ! ;)
Pr Sheldon Cooper
C'est une thèse toujours valable. Encore confirmée en 2017 par Jean Jacques Hublin.
L'Ami Gracion Servante de Dieu et du Roi • il y a un jour
Même Yves Coppens en est revenu. C'est dire...
Pr Sheldon Cooper
Yves Coppens : « Quant à la troisième sortie [d'Afrique], celle d'Homo sapiens, si je l'ai mise en doute un certain temps parce que je voyais Sapiens naitre ailleurs, je pense aujourd'hui qu'il y a de bons arguments pour la situer bel et bien autour de 100 000 ans. À ce moment-là, Homo sapiens ou plutôt sapiens sapiens, l'homme moderne, s'installe un peu partout, en Europe vers 50 000 ans, ensuite en Asie - il va probablement s'hybrider avec les populations antérieures - et puis enfin, en Amérique et en Océanie. Ceux que l'on appelle vieux Sapiens en Extrême-Orient pourraient ainsi bien être de jeunes Erectus ! »
Jean-Marc FERRARINI
James Watson est tout simplement un des géants de la biologie, de la génétique et indirectement de la médecine du vingtième siècle, comme par exemple Alexis Carrel, également prix Nobel de médecine, et que la faculté de médecine de Lyon (qui portait son nom) a renié en raison de certaines opinions disons controversées qu'il avait exprimées dans les années 40...
l'apport de ces géants n'est tout simplement pas quantifiable, trop immense pour cela. alors à la limite, que quelques rats d'université obsédés par le politiquement correct tentent de leur infliger ce qu'on appelait jadis une "damnatio memoriae" (pas besoin de traduction) on s'en fout complètement...
Pr Sheldon Cooper Jean-Marc FERRARINI
C'est curieux. Ceux qui ont partagés le prix Nobel avec lui ne l'ont pas suivi sur ce terrain.
Star 6 Team
Encore un ignorant qui n'a pas vu le reportage "black panther" sur le Wakanda.
vz_max Paul Enta
J'étais encore un gamin lorsque j'ai entendu pour la première fois la doxa de l'enrichissement par l'immigration, c'est à ce moment-là que devant le grotesque du propos j'ai compris qu'il ne fallait pas forcément gober ce que disaient adultes et "sachants". Dans ma tête d'enfant je ne pouvais pas comprendre comment des arriérés dont l'apport à l'Humanité est nul pouvaient en quoi que ce soit nous enrichir. Aujourd'hui, je ne le comprends toujours pas.
IVAN
tout indique que les noirs sont moins intelligents que les races blanches. Il suffit de comparer les cultures, les constructions, les oeuvres réalisées aux mêmes époques... l'écart est abyssale. C'est plus que criant.
Comparez chaque siècle - 8e, 10e, 12e 14e ,16e, 18e siècle entre chaque continent, asiatique, européen, américain... c'est flagrant.
Si c'est du racisme bien pourquoi pas. C'est aussi vrai que souligner que les noirs ont en moyenne plus d'aptitudes physiques et sportives que les blancs.
C'est une réalité.
Dixlac
Reconnaître que les Noirs sont globalement moins intelligents que les Blancs (et les Jaunes) remet en cause les concepts de métissage merveilleux, d'interchangeabilité des hommes, ..., défendus par les internationalistes et les mondialistes.
Alors que par définition, tout groupe ne saurait être parfaitement semblable à un autre groupe.
C'est comme avec le RIC, on peut discuter de l'accessoire (taille du sexe, poids, ...) mais pas de l'essentiel.
Abde et Slame
On peut être condamné pour dire que nous avons en moyenne un plus gros QI que les africains. Peut-on être condamné si nous disons que les africains ont en moyenne une bite plus grosse que la nôtre ?
De Souchenaute
Et le problème des blancs c'est cette maladie qui s'appelle gauchisme :
l'ancien De Souchenaute
je ne saurais trop vous recommander la lecture de Richard Lynn sur l'inégalité de l'intelligence moyenne entre les races.
Il n'est pas traduit en Français, mais vous pouvez le télécharger gratuitement ici :
http://mirror1.booksdescr.org/ads.php?md5=2381799f8013cedd05d32d63be6aa381
Ca donne toutes les données sur le sujet... et c'est limpide.
P.S. : petite question complémentaire : quand Lynn affirme que els Asiatiques de l'est ont un QI moyen supérieur à celui des blancs, quelqu'un l'a-t-il accusé de racisme anti-blanc ???
Frontalier74 l'ancien
Encore faudrait-il savoir ce que l'on entend par "Blancs". Le Japon et la Corée du Sud ont une population homogène.
En France, il y a bien 7-8 millions de maghrébins : sont-ils blancs ? (en plus, je ne suis pas sûr qu'une telle expérience soit légale ici, donc, comment a-t-il fait ?) Alors que l'Islande ressemble au Japon pour l'homogénéité de sa population. D'après moi, le QI islandais vaut bien le QI japonais.
Enfin, le livre explique sûrement la méthode d’échantillonnage.
Un pionnier de l'ADN perd des titres honorifiques pour des propos sur le QI des Noirs et des Blancs
© Richard Carson Source: Reuters
James Watson, co-découvreur de la molécule d'ADN, ici en 2007.
Après la diffusion d'un documentaire aux Etats-Unis, James Watson, pionnier de l'étude de l'ADN, a été déchu de ses titres honorifiques par un laboratoire qu'il a dirigé par le passé. Le scientifique avait déjà tenu des propos polémiques en 2007.
Comme le rapporte la presse anglo-saxonne, le scientifique américain James Watson, lauréat du prix Nobel et co-découvreur de la structure de l'ADN, a été déchu de tous ses titres honorifiques du laboratoire de Cold Spring Harbor basé à New York, après avoir réitéré une analyse selon laquelle la génétique est un facteur explicatif d'une différence entre Noirs et Blancs dans les tests de QI, supposés quantifier l'intelligence.Le scientifique avait jugé en 2007, auprès du Sunday Times, être «intrinsèquement pessimiste sur le futur de l'Afrique», dans la mesure où «toutes nos politiques sociales sont basées sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre, alors que tous les tests disent : pas vraiment». Il avait ajouté que, souhaitant que tous les Hommes fussent égaux, «les gens qui ont travaillé avec des employés noirs trouvent que cela n'est pas vrai». Il avait présenté par la suite ses excuses.
Toutefois, dans une interview réalisée l'été 2018 pour un documentaire diffusé par la chaîne américaine PBS le 2 janvier 2019, James Watson, âgé de 90 ans, a réaffirmé son analyse de 2007 : «J'aimerais avoir changé [d'avis], qu'il y ait de nouvelles connaissances qui affirment que la culture est plus importante que la nature, mais je n'ai vu aucune découverte de ce type. Et il y a une différence entre Noirs et Blancs dans les tests de QI. Je dirais que la différence existe, c'est génétique».
Le laboratoire de Cold Spring Harbor a fustigé James Watson, jugeant ses affirmations «non fondées», et annoncé avoir rompu tous liens avec le scientifique. «Les affirmations du docteur Watson sont répréhensibles et n'ont aucun fondement scientifique», a déploré dans un communiqué du 11 janvier le laboratoire que James Watson a dirigé par le passé (entre 1968 et 1993). Celui-ci a partagé le prix Nobel en 1962 avec Francis Crick et Maurice Wilkins pour la découverte en 1953 de la structure en double hélice de l’ADN.
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