vendredi 11 janvier 2019

Le coût de l’immigration, c’est 1 500 euros par an et par Français, bébés compris !

Le capitaine du bateau France réalise que les mensonges d’une campagne électorale ne font pas un programme et que l’anesthésie d’un peuple ne dure qu’un temps.
Macron a fait un hold-up sur l’Élysée, après une campagne présidentielle aux rebondissements plus que douteux.

Qui a lancé la torpille qui a atteint Fillon sous la ligne de flottaison ? Mystère.
Les dessous inavouables de cette histoire ahurissante restent à écrire…
Mais en éliminant la droite, qui estimait à juste titre que les élections étaient imperdables pour son champion, ceux qui ont fait le coup plaçaient Macron en position de rafler la mise, quel que soit le candidat en face de lui pour le second tour.
Il est à l’Élysée et la stratégie a payé. Cela dit,  il est rapidement devenu le président le plus impopulaire et le plus malaimé de la Ve République.
En quelques mois, il aura réussi l’exploit de se mettre à dos son principal électorat, à savoir les retraités qui ont voté pour lui à 74 %, voire à 78 % pour les plus de 70 ans.
Voici ce qu’il disait  à longueur de journée durant la campagne :
« L’engagement que je prends ici devant vous, c’est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d’achat protégé. »
 « Je ne veux pas, moi, faire d’économies sur le dos ni des retraités ni de celles et ceux qui sont à quelques années d’aller à la retraite. »
« Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd’hui retraités. Leur retraite sera préservée. Il n’y aura pas de perte de pouvoir d’achat, c’est essentiel ! »
Mais il n’aura fallu que quelques mois pour que le masque tombe chez ce président machiavélique.
Il veut sabrer les pensions de réversion mais continue de payer une retraite aux étrangers qui n’ont jamais cotisé en France !
Après avoir matraqué les retraités avec la CSG puis figé les retraites alors que l’inflation repart, Macron se permet de sermonner une petite vieille :
« Le pays se tiendrait autrement si on arrêtait de  se plaindre. »
En disant cela en octobre, Macron ne pensait pas que les Gilets jaunes allaient lui mener la vie dure. Et ce n’est que le début, car le combat va durer sous d’autres formes.
Un sondage Elabe montre que 92 % des retraités estiment que la politique fiscale de Macron leur est défavorable.
Lui qui avait tant promis avec son « monde nouveau » fait pis que ses prédécesseurs.
Les dépenses de l’État, qu’il devait ramener en 2022 de 55,1 % du PIB à 51,8 % grâce à son plan « Action publique 2022 », ne font qu’augmenter.
« Nous avons voulu faire quelque chose de radicalement différent, à la fois de plus intelligent, de plus respectueux et de plus durable : transformer en profondeur l’action publique », disait Édouard Philippe !
En 2019, la France sera  le seul pays d’Europe qui ne verra pas son ratio dette/PIB diminuer. Dettes et déficits augmentent.
En un an, la croissance a chuté de 2,3 % à 1,6 %.
Le déficit public est passé de 2,4 % à 2,8 %.
Il est où, le Mozart de l’économie ?
Selon les projections, les dépenses publiques devraient atteindre 1 400 milliards en 2022, record absolu.
Les prétendues réformes de Macron n’ont rien donné.
Il n’a fait qu’augmenter la pression fiscale, au point de  paupériser la classe moyenne comme jamais.
Il ne pourra pas redresser la situation car le mal est profond et dure depuis des décennies. Sans fermeture des frontières, redresser le pays est mission impossible.
Les Français triment pour financer l’assistanat des légions de migrants qui débarquent sans interruption, de jour comme de nuit.
Les scènes de guérilla urbaine vues sur les Champs-Élysées, où des milices d’extrême gauche arborant le drapeau du Che s’en donnaient à cœur joie pour tout saccager et tout incendier, ces scènes d’insurrection, nous les reverrons.
Les images ont fait le tour du monde, jusqu’en Chine. L’image de Macron, c’est celle d’un président qui a échoué et provoque la révolte de tout un peuple exaspéré.
Certains commerçants ont tout perdu. Les Champs-Élysées, fréquentés d’ordinaire par 300 000 personnes par jour, sont déserts à la veille des fêtes de fin d’année. Un désastre commercial.
Il faut dire que l’État fait tout pour encourager les destructions.
Il n’y aura aucune sanction, alors que tout casseur, actif ou passif, cagoulé ou pas, devrait perdre tous ses droits sociaux et participer au remboursement des dégâts pendant des années.
Mais il n’y a rien à attendre d’un État aussi laxiste. D’ailleurs, les menaces de Castaner ne s’adressaient qu’aux seuls Gilets jaunes, pas aux casseurs.
Pour calmer la colère du peuple, Macron veut un « discours de la méthode » pour surmonter les résistances.
Le voilà devenu cartésien, alors qu’il est imperméable à tout bon sens et que rien n’est logique dans ses décisions.
Il va installer un Haut conseil pour le climat, encore une usine à gaz qui va coûter des millions, avec 13 « experts », incluant quelques lumières du GIEC, dont on connaît le talent pour tenir un discours apocalyptique, totalement contraire aux avis scientifiques de milliers de vrais experts du climat à travers le monde.
Tout cela n’a qu’un but, calmer les esprits et éviter la débâcle électorale aux européennes de mai 2019.
La loi « mobilités » en préparation sera un simple sparadrap totalement inefficace.
1 milliard sur 10 ans pour désenclaver les zones isolées, alors que les 40 000 mineurs isolés accueillis en 2018 coûtent 2,5 milliards ! Ils seront 50 000 ou 60 000 en 2019, 100 000 dans trois ans, dont les deux tiers sont des fraudeurs majeurs. Mais Macron laisse faire.
800 millions pour entretenir les routes, alors que les taxes sur le carburant rapportent 34 milliards et que toutes les taxes du secteur automobile rapportent 67 milliards. C’est se foutre du monde.
Les caisses sont toujours vides mais on dépense 1 milliard pour soigner 300 000 sans-papiers chaque année, avec une fraude colossale jamais sanctionnée.
Un effort sans précédent pour le réseau routier, nous dit-on !! On croit rêver.
Des miettes pour le peuple, des dizaines de milliards pour l’immigration, comme le rappelle le lien en fin de page.
Toute la misère des Gilets jaunes trouve son explication dans cet article.
Le coût de l’immigration, tous postes confondus, c’est 1 500 euros par an et par  Français, bébés compris.
Et la dette, c’est 35 000 euros par Français, bébés compris.
Par conséquent, 35 000/1 500 = 23 années de dépenses pour l’immigration.
À titre de comparaison, chaque Français dépense 500 euros pour le budget Défense. Nos soldats font la guerre avec des véhicules vieux de 40 ans.
J’entends déjà brailler les immigrationnistes et tous les mondialistes qui servent la soupe à Macron, mais c’est ainsi. Ils sont bien incapables de démontrer le contraire.
Sinon, il faudra m’expliquer pourquoi, en 1975, les Français avaient le 5e niveau de vie au monde, derrière les États-Unis, le Luxembourg, la Suisse et la Suède, alors qu’aujourd’hui des millions de Gilets jaunes crèvent de faim.
Et il faudra m’expliquer aussi pourquoi le plus riche continent de la planète, avec ses gigantesques ressources minières, s’appauvrit d’année en année. L’Afrique produit moins de richesses que la France, avec 17 fois plus d’habitants !
Selon une étude de l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) qui vient de sortir, le pouvoir d’achat des Français a diminué de 440 euros par an entre 2008 et 2016.
Alors que le PIB a augmenté en volume de 7 % et que la population a augmenté de 4 % sur la période, ce qui laisse une marge de 3 % pour le niveau de vie, l’État a augmenté ses dépenses de 4 %. Celles-ci sont passées de 52,7 % du PIB à 56,5 % !
Car l’immigration de pauvres, dont la contribution au PIB ne couvre pas leurs dépenses sociales, coûte de plus en plus cher. Le matraquage fiscal s’amplifie parce que le tsunami migratoire grossit.
On attend que Macron joue la transparence et demande à la Cour des comptes de chiffrer le véritable coût de l’immigration, tous postes confondus.
Mais l’État préfère interdire les statistiques ethniques pour noyer le poisson. C’est plus simple.
Le RN étant déjà le premier parti de France à la proportionnelle intégrale, il ferait 60 % si le peuple français connaissait la vérité.
En 2019, il faut balayer tous ces bons à rien, Macron, Juppé, Raffarin, Moscovici, Bayrou, qui préparent les européennes pour contrer le RN et qui sont tous les acteurs responsables du naufrage de la France et de la détresse des Gilets jaunes.
Une raclée électorale, c’est le seul langage que Macron comprenne.
Jacques Guillemain

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