Attention, les grooming gangs qui ont prostitué, torturé et violé des milliers de jeunes filles blanches en Angleterre, se développent en France.
Les racailles des cités, bien souvent musulmanes, cherchent de la chair fraîche et ils sont habiles à repérer les jeunes filles fragiles, fugueuses pour les appâter puis les réduire en esclavage sexuel.
La justice française ultra-laxiste ne permet pas de lutter contre ce fléau.
Ajoutons à cette justice laxiste des lois ultra-laxistes, et nous avons la certitude de voir des briseurs de femmes recommencer quelques mois plus tard, tout en étant encore plus prudents que la première fois.
Tant que ces violeurs esclavagistes ne seront pas castrés et pendus, il y aura un appel d'air en faveur de cette criminalité qui détruit des vies de la manière la plus horrible et la plus insidieuse.
N'oublions pas que l'esclavage, le viol et la prostitution de femmes non-musulmanes est autorisé par le Coran et donc pas considéré comme un crime selon l'islam.
Exemple récent :
Gentilly, cité du Chaperon-Vert. Les clients des passes rejoignaient un immeuble du quartier après une première prise de contact sur un site de rencontre.
Cinq personnes, dont une mineure à peine plus âgée que la victime, soupçonnées d’avoir participé à cette séquestration à Gentilly, ont été interpellées dans la nuit de samedi à dimanche.
Les deux geôliers qui montaient la garde dans le hall de l’immeuble étaient partis se chercher à manger. Dans la nuit de samedi à dimanche, en ouvrant la porte de cet appartement de la cité du Chaperon-Vert à Gentilly, l’adolescente ne s’attendait pas à voir débarquer les policiers de la brigade anticriminalité de Villejuif.
Cinq jours qu’on lui envoyait des clients à n’en plus finir. Cette fugueuse de 16 ans, originaire du Loiret, expliquera avoir fait près de « 200 passes » pendant sa séquestration.
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L’article dans son intégralité sur Le Parisien
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Val-de-Marne : une ado de 16 ans contrainte à faire «200 passes» en cinq jours
Cinq personnes, dont une mineure à peine plus âgée que la victime, soupçonnées d’avoir participé à cette séquestration à Gentilly, ont été interpellées dans la nuit de samedi à dimanche.
Gentilly, cité du Chaperon-Vert. Les clients des passes rejoignaient un immeuble du quartier après une première prise de contact sur un site de rencontre. LE PARISIEN
Par Denis Courtine
Le 9 décembre 2019 à 13h02, modifié le 9 décembre 2019 à 13h20
Les deux geôliers qui montaient la garde dans le hall de l'immeuble étaient partis se chercher à manger. Dans la nuit de samedi à dimanche, en ouvrant la porte de cet appartement de la cité du Chaperon-Vert à Gentilly, l'adolescente ne s'attendait pas à voir débarquer les policiers de la brigade anticriminalité de Villejuif.
Cinq jours qu'on lui envoyait des clients à n'en plus finir. Cette fugueuse de 16 ans expliquera avoir fait près de « 200 passes » pendant sa séquestration. Un nombre astronomique qui n'a pas pu être confirmé dans cette nouvelle affaire de proxénétisme de cité. Cinq personnes, dont une autre adolescente, à peine plus âgée et soupçonnée d'avoir sous-loué l'appartement de sa mère, ont été interpellées.
Un sac-poubelle rempli de préservatifs usagés
« Ils sont au fond là-bas », murmure en tremblant l'adolescente aux policiers après avoir ouvert la porte. Au milieu du couloir, deux jeunes majeurs, déjà connus semble-t-il pour des affaires de stupéfiants, se présentent. Ils sont arrêtés aussitôt sans opposer de résistance.
Dans cet appartement du dixième étage, situé non loin d'un point de deal, une des deux chambres a été dévolue aux passes. Près d'un matelas pourri, un sac-poubelle déborde de préservatifs usagés. Un livre de comptes et une somme d'argent sont retrouvés sur place.
C’est dans cet immeuble, au 10e étage, que l’adolescente a été récupérée. LP/Denis Courtine
C’est dans cet immeuble, au 10e étage, que l’adolescente a été récupérée. LP/Denis Courtine
La victime raconte son histoire. C'est toujours un peu la même dans ce genre d'affaire. Au départ, l'adolescente en fugue, originaire du Loiret, rejoint un « pote » à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Elle le connaît par les réseaux sociaux. Très vite, elle se retrouve à se prostituer à Montreuil (Seine-Saint-Denis) et à la porte de Montreuil. Était-elle consentante à ce moment-là, si tant est qu'on puisse l'être à cet âge ? « Au début, je pense que oui, avance une source proche du dossier. Mais elle s'est retrouvée dans un engrenage. »
Toujours est-il qu'elle est emmenée cité du Chaperon-Vert. Les clients entrent en contact par un site de rencontre. Une annonce a été mise en ligne. Ils se présentent dans le hall de l'immeuble où deux jeunes montent la garde. Puis ils montent au dixième étage. Dans l'appartement, deux autres personnes surveillent que « tout se passe bien » pendant la passe.
Un texto d'appel à l'aide à sa mère
D'après l'adolescente, il n'y a plus de consentement. On l'oblige à enchaîner les passes. « Ces cinq derniers jours, elle n'avait le droit de dormir que deux ou trois heures par nuit », précise une source proche du dossier.
Elle finit par obtenir l'adresse de l'appartement par un client. Puis elle envoie un texto à sa mère pour qu'on vienne la sortir de là. La maman appelle la police.
En redescendant de l'appartement, les fonctionnaires de la brigade anticriminalité ont interpellé les deux autres jeunes qui rentraient de leur dîner. L'autre adolescente a, elle, été arrêtée alors qu'elle revenait de soirée. Âgés de 17 à 22, les cinq mis en cause ont été placés en garde à vue. Plusieurs d'entre elles se poursuivaient toujours ce lundi matin, nous confiait une source judiciaire.
Depuis 2017, les affaires de proxénétisme de cité se multiplient en France. Au parquet de Créteil, un magistrat est dorénavant dédié pour ce délit. L'année dernière, on comptait 20 dossiers de ce type dans le département contre 3 cinq ans auparavant.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/val-de-marne-une-ado-de-16-ans-contrainte-a-faire-200-passes-en-cinq-jours-09-12-2019-8212899.php
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