Faut-il rappeler aux Black Blocs et autres Antifas qu’en agressant les patriotes qui résistent à la mondialisation voulue par le système capitaliste, il se comportent en miliciens, parfaits auxiliaires du régime ? Comment expliquer autrement l’extraordinaire mansuétude dont ont bénéficié ces fils de famille, pour la plupart vivant dans les quartiers protégés de la capitale?
Faut-il rappeler à la CGT, qui ne survit que par les subventions du pouvoir et les nombreux postes que lui offrent les organisations patronales, par le paritarisme, pourchasse de ses rangs les patriotes qui, en refusant l’invasion migratoire, en période de chômage de masse, défendent les intérêts des salariés français ? Immigrationniste jusqu’au bout des ongles, contrairement à sa ligne des années 1980, la CGT est le meilleur relais, comme toutes les autres centrales syndicales, du capitalisme et de la mondialisation libérale, qui cherche à détruire les nations pour imposer le « sansfrontiérisme ».
Faut-il rappeler aux Insoumis et à l’extrême gauche, Besancenot en tête, qui jouent les fiers-à-bras et essaient de se refaire une santé en court-circuitant le mouvement des Gilets jaunes, qu’ils ont, eux aussi, fait campagne pour Macron entre les deux tours, qu’ils défendent, comme le chef de l’État, l’invasion migratoire, l’Union européenne, l’islamisation de notre pays, et sont donc sur la ligne de Juncker et des mondialistes, en faisant semblant d’en réclamer un peu plus pour les travailleurs, qu’ils trahissent quotidiennement par ailleurs?
Quant aux Gilets jaunes qui croient trouver une culture de radicalité en s’associant à ces manifestations, ils sont les idiots utiles de leurs pires ennemis, les fossoyeurs de gauche, qui les insultaient au début du mouvement, avant, devant le succès rencontré, de le pourrir de l’intérieur, pour le plus grand bonheur de Macron, et ce ceux qu’ils appellent les capitalistes, sans la moindre nuance. Faut-il rappeler à ces Gilets jaunes que le prix de l’essence est au plus haut depuis six ans, et que cela est aux antipodes des revendications des Gauchistes, Zadistes, anticapitalistes et autres No Borders ou Propalestiniens ?
Alors, des anticapitalistes, vraiment, ces manifestants du 1er mai ? Non, mais tout simplement les dignes descendants de ceux que Lénine appelait « les bandes armées du capital », les nouveaux fascistes du XXIe siècle, qui se disent anticapitalistes, mais sont payés par le pouvoir pour empêcher une alternance patriotique au mondialisme d’émerger.
Martin Moisan
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