Hidalgo a transformé la porte de la Chapelle en un immense bidonville

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“L’enfer aux portes de Paris”, titre le Fig Mag du jour.

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Le quartier de la Chapelle, devenu un bidonville immonde et un coupe-gorge aux portes de Paris, c’est la France de demain, celle que nous prépare Macron avec sa politique mondialiste et ses délires de multiculturalisme.

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Dans cet univers de fin du monde, des hordes de “zombies en guenilles” vous assaillent pour quémander l’argent qui paiera leur dose de crack.

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Et quand ces toxicomanes sont en manque, le pire est à craindre, car le crack rend fou et violent.

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“Les femmes enchaînent les passes en pleine rue” pour payer leur dose. La Chapelle, c’est l’univers de la déchéance, de la violence, de la peur, où les cris de détresse retentissent dans la nuit et où les riverains se cloîtrent chez eux.

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L’immigration sauvage que Macron encourage, a détruit la vie des habitants du quartier. En quelques années, ils se sont retrouvés dans le tiers-monde le plus sinistre et le plus sordide.

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La France avait éradiqué la grande misère et la violence à la fin des Trente Glorieuses. Mais Macron fait tout pour importer ces deux fléaux qui vont détruire la France.

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La pétition de 2017 contre le harcèlement des femmes en pleine rue, par des migrants désoeuvrés, n’a eu aucune suite. Le quartier est devenu une zone de non-droit.

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Les trottoirs sont des dépotoirs. On y vend ouvertement drogue et marchandises volées ou de contrebande. La loi n’y est plus appliquée. Les clandestins sont chez eux. Les faux mineurs, jamais débusqués, sont légion.

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L’insécurité explose. L’association SOS La Chapelle est impuissante à protéger les commerçants et les riverains qui n’en peuvent plus.

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C’est cela la France de Macron. Car c’est lui le responsable, tout comme Hidalgo, car tous deux font tout pour attirer toute la misère du monde. 100 migrants arrivent chaque jour à Paris.

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L’autorité et la loi, qui font la force d’une société, ont disparu du quartier.

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“Menaces, agressions physiques et verbales, attouchements sur les caissières, vols et même les tentatives de meurtre”, sont le lot quotidien des habitants.

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Les bandes s’affrontent à coups de couteau, avec des morts à la clé.

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A la station de métro La Chapelle, c’est le pire au quotidien, dit une employée de la RATP.

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“Il y a du trafic, des vols, des agressions. On a même vu deux personnes se faire égorger sous nos yeux.”

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C’est cela la France de Macron en 2019 !

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Toute cette racaille n’a peur ni des policiers, ni de la justice. A peine arrêtés, ils sont relâchés. Il n’y a plus d’Etat. La violence, Macron l’importe et l’encourage.

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Nous sommes dans le XVIIIe arrondissement, mais la gangrène gagne maintenant le Xe arrondissement voisin.

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Il y a plus de 100 bidonvilles autour de Paris. Que fait Macron ? Rien.

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Aucun clandestin n’est expulsé, 95% des déboutés du droit d’asile restent en France.

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Macron prêche le vivre ensemble, mais à La Chapelle, Soudanais et Tchadiens s’entretuent. Un Afghan n’est pas un Syrien, un Malien n’est pas un Algérien.

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Comment pouvons nous intégrer des populations qui ont le racisme à fleur de peau. Il n’y a pas plus racistes que les Noirs entre eux ou que les Arabes vis à vis des Noirs.

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Le retour des guerres tribales en Afrique en est la preuve. Les populations extra-européennes ne peuvent s’intégrer qu’en petit nombre. Mais avec Macron, c’est l’overdose qui va désintégrer la nation.

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Le 26 mai, n’oubliez pas que la France que nous prépare Macron, c’est celle du quartier de la Chapelle. Le “vivre ensemble” et l’immigration de masse, c’est la mort de la nation programmée, et à terme la fin de la civilisation occidentale.

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Car nos bisounours refusent d’admettre que l’islam politique est en opposition frontale avec la République et ne cesse de gagner du terrain.

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Jacques Guillemain