dimanche 26 mai 2019

Aljazeera+ nominé pour le prix "Rédaction engagée" par les journalistes LGBT !


L’association des journalistes LGBT a nominé Al Jazeera + dans la catégorie « out d’or de la rédaction engagée ». L’OUT d’or de la rédaction engagée distingue le travail de long cours mené par toute une équipe pour traiter des thématiques LGBTI de manière respectueuse. (http://2019.outdor.fr/)




LGBT : Lesbien, Gay, Bi, Transsexuel ou Le Grand Bordel dans ta Tête ? C'est pas possible d'être aussi bête ! Renseignez-vous, les journalistes LGBT !

C'est comme si les Gilets Jaunes éborgnés nominaient Castaner dans la catégorie "Homme politique engagé".

C'est comme si les écolo nominaient RoundUp dans la catégorie "désherbant bio".

Bref, c'est du grand n'importe quoi.


Mais peut-être que vous n'êtes journalistes LGBT que parce que cela rapporte et que cela permet de se gaver de subventions nationales ou de la part d'organisations mondialistes à la George Soros ?

Petit rappel :

Le Qatar est un pays musulman appliquant la charia, autrement dit un pays où les homosexuels sont pendus, décapités ou jetés du haut d'un immeuble ou exécutés sous diverses autres formes. 

Le Qatar finance l'organisation terroriste des Frères musulmans dans le monde entier pour imposer la charia dans tous les pays, par le djihad ou par l'islamisation douce couplée avec la déstructuration des sociétés cibles. Tariq Ramadan, Marwan Muhammad, Tareq Oubrou, Ali Juppi, Jang Lack, UOIF, et bien d'autres encore. (Voir les livres Qatar Papers, Nos très chers émirs ; voir aussi le site Observatoire de l'islamisation)

Le Qatar finance la chaîne Aljazeera qui donne la parole à des "savants" musulmans qui réclament l'exécution des homosexuels et qui défendent alQaeda ou Daech.

Le Qatar finance aussi depuis quelques années Aljazeera+ rebaptisé AJ+ pour faire plus cool, ce n'en est pas moins une officine émanant d'un pays islamisé et corrompu jusqu'à la moelle depuis son origine. La monarchie qatarie est la descendante d'une tribu musulmane qui pillait et tuait les pèlerins musulmans d'autres pays quand ils se rendaient à la Mecque. Non seulement l'islam demande le djihad de la part des musulmans qui permet de tuer et détrousser les non-musulmans mais le Qatar pratique le djihad sur les musulmans eux-mêmes. C'est-à-dire dans quel degré de perversité et de sadisme règne dans ce pays.

Pourquoi AJ+ est-il financé dans les pays occidentaux à votre avis ? 

Parce que le but du Qatar comme de tous les pays musulmans de l'OCI est de réduire les pays occidentaux à la soumission ou à la mort. Et que le Qatar (Frères musulmans) rivalise avec l'Arabie saoudite (wahabisme) et l'Iran (chiites) pour y parvenir et avoir le maximum de bénéfices lors du pillage qui sera concomitant du jihad.

Le meilleur moyen d'y parvenir pour les conquérir est de les diviser et de les affaiblir grâce 

1) aux luttes des minorités contre la majorité dite persécutante (les fameux mâles blancs hétérosexuels catholiques de plus de 50 ans), ce qui donne un visage juste et avenant à une destruction criminelle de l'histoire et de l'identité de ces pays.

2) à la corruption de beaucoup de politiques, médias, sportifs, associations, entreprises : pots-de-vin, financements, commissions.

3) à l'encouragement de l'immigration présentée comme un enrichissement d'un pays sclérosé, renfermé, triste

4) à la promotion de l'islam présentée comme une religion de paix et d'amour de braves gens persécutés par l'islamophobie alors qu'ils ont le droit de vivre leur religion comme tout le monde

5) à la théorie de l'intersectionnalité des luttes qui permet à l'islam d'avancer de concert avec ces minorités (femmes, "racisés", handicapés, juifs, LGBT) 

jusqu'au moment où les autochtones seront affabilis et divisés, et où les musulmans seront majoritaires et pourront prendre le pouvoir.

Et que se passera-t-il à ce moment-là à votre avis ? 

Je vous le dis : purification ethnique et religieuse sur les non-musulmans, les blancs, les noirs, les chinois, les indiens, exécution de masse des LGBT, mise en esclavage sexuelle des femmes non musulmanes, bref la charia sera imposée par le djihad de gré ou de force. 

Les premières victimes de cette islamisation sont les juifs (12 juifs tués par des disciples d'Allah depuis 2012 en France), les homosexuels (on ne compte plus le nombre d'agressions commises dans les "zones sensibles", les transports, les rues = zones d'immigration extra-européenne = zones islamisées), les femmes, mais aussi en général tous les non-musulmans. Et même les noirs victimes des préjugés racistes de nombreux maghrébins ou arabes. 

Bref, les journalistes LGBT, si vous voulez hâter votre suicide, on ne vous retient pas d'aller vous promener dans les rues du Qatar pour faire la promotion d'AJ+. Mais, s'il vous plaît, merci de ne pas entraîner le reste de la France dans vos délires. 

The Queer Arabs  🏳️‍🌈@thequeerarabs tweetait le 16 août 2018 :
Aljazeera en arabe : L'homosexualité est anormale, les recherches scientifiques le confirment.
Aljazeera en anglais : Le président Trump combat les homosexuels et leur retire leurs droits.
Aljazeera plus : L'homosexualité fait partie de la nature et nous derions protéger la communauté LGBT.



L'homosexualité est contre nature, interdite et punie de mort selon la charia, la loi islamique







Des LGBT luttant contre l'islamophobie sont aussi logiques que des juifs luttant contre la nazismophobie.





Qui sont les Frères musulmans ? Extrait de "Frères musulmans", de Michaël Prazan, aux éditions Grasset (1/2).

Ben Laden était-il un Frère musulman saoudien ?
Il y a quelques mois encore, ils dirigeaient l'Egypte. Aujourd'hui, traqués ou incarcérés, ils ont repris le chemin de la clandestinité. Qui sont les Frères musulmans ? Extrait de "Frères musulmans", de Michaël Prazan, aux éditions Grasset (1/2).

Avec Michael Prazan
Oussama Ben Laden aurait lui aussi été membre de la Confrérie. A l’automne 2012, quelques mois à peine après l’élection de Mohamed Morsi à la présidence de l’Egypte, Ayman al-Zawahiri, numéro un d’Al-Qaïda depuis la mort du chef, affirmait dans une bande vidéo intitulée en anglais « Days with the imam » (« mes journées avec l’imam »), qu’Oussama Ben Laden avait été frère musulman lorsqu’il résidait en Arabie Saoudite. Des allégations embarrassantes pour le Bureau de la guidance au Caire qui les réfuta publiquement via son porte-parole, Mahmoud Ghozlan. Sont-elles pour autant dignes de foi ? Oui et non. Ben Laden a bien fait partie d’une émanation de la Confrérie en Arabie Saoudite, mais cette dernière, semi-clandestine, n’a jamais été pleinement reconnue par la maison mère. Il y a plusieurs raisons à cela. La première date du partenariat passé dès l’origine par le fondateur de la Confrérie et Ibn Saoud d’Arabie. Le roi saoudien, pour qui Hassan al-Banna avait la plus grande admiration, avait exigé contre le soutien sans faille de l’émirat – principalement financier – qu’aucune structure frériste en lien avec Le Caire ne fût installée dans la péninsule arabique. Le roi Saoud avait pris le pouvoir en écrasant d’anciens alliés appelés les « ikhwan », une milice de combattants islamistes qui avaient constitué une sorte d’Etat dans l’Etat, et il craignait que la même chose ne se produise si les Frères musulmans prenaient souche dans son royaume. C’est pourquoi les quatre branches saoudiennes de la Confrérie n’ont jamais été adoubées (du moins officiellement) par le canal historique. Les Frères se sont installés en nombre en Arabie Saoudite à partir des années 1960, principalement pour échapper aux répressions égyptienne et syrienne. Il y eut alors une interaction réciproque ; les Frères se radicalisèrent au contact du wahhabisme saoudien1, et les Saoudiens les plus politisés se trouvèrent à leur tour influencés par l’idéologie frériste. Pour Gamal al-Banna, le frère du fondateur, l’influence saoudienne pèsera de manière plus déterminante à partir de 1973 : « Après la guerre du Ramadan de 1973 (autrement appelée guerre du Kippour) et l’augmentation du prix du pétrole qui passe de 3 à 40 dollars le baril, l’Arabie Saoudite a émergé comme un pays puissant et riche. Elle a fondé l’Alliance des pays islamiques, fait construire des mosquées un peu partout, envoyé des imams et des livres aux minorités des pays de la Communauté européenne et aux pays islamiques les plus pauvres. Ainsi, les pensées wahhabite et salafiste se sont répandues dans le monde entier. Les cent mille travailleurs égyptiens qui ont émigré sous le règne de Sadate en Arabie Saoudite, et dans d’autres pays du Golfe, ont en retour influencé les Frères musulmans. Beaucoup d’entre eux, qui y ont fait fortune, sont ensuite retournés en Egypte, apportant dans leurs bagages la culture de ces pays. »
Si les branches saoudiennes de la Confrérie n’étaient pas reconnues officiellement (leurs membres n’étaient pas tenus de faire allégeance au Guide suprême, comme c’est la règle pour les membres reconnus), cela ne veut pas dire que les relations avec la maison mère étaient inexistantes. Bien au contraire. Par exemple, les Frères musulmans saoudiens participaient à toutes les réunions internationales de la Confrérie. « A titre individuel », précise-t-on au Bureau de la guidance. La prestation de serment des Frères musulmans était incompatible avec celle que les citoyens saoudiens doivent au roi. Les Frères musulmans égyptiens, toujours prudents dans ce qui touche à leur relation au royaume wahhabite, avaient jugé préférable d’éviter une double allégeance. Révélée, elle aurait été bien mal perçue par l’allié saoudien. Or, ceux qui répondent en premier à l’appel d’Abdullah Azzam, ce sont les Frères musulmans saoudiens. Selon Zawahiri, Oussama Ben Laden, qui avait fait connaître son intention de participer au jihad afghan dès 1979, aurait été pour cette raison exclu de la Confrérie. L’assistance autorisée par la maison mère aux moudjahidin (à Abdullah Azzam et son Maktab al-Khadamat) devait se cantonner à l’humanitaire. Un débat a bien eu lieu chez les Frères musulmans (fallait-il s’impliquer davantage sur le théâtre afghan ?), mais il fut tranché dans un sens défavorable à Ben Laden et Azzam. Pas question de les cautionner ou d’envoyer des combattants sous leurs couleurs. C’était l’affaire de la Gamaa al- Islamiya et d’Al-Jihad, pas la leur. Ils n’y voyaient pas de débouchés sérieux. C’est là, entre Frères et salafistes, une vraie divergence stratégique. Les Frères sont depuis longtemps convaincus qu’en accédant aux responsabilités, ne serait-ce que dans un seul pays, selon la théorie des dominos, ils gagneront l’ensemble du monde musulman.
De fait, au long des années 1980, ils étaient montés en puissance dans la plupart des pays du Califat. La prise du pouvoir y était envisageable, en Syrie, au Soudan, en Algérie, en Tunisie. Et, pourquoi pas, à plus long terme, en Egypte. Se compromettre ouvertement en Afghanistan, adopter les thèses violentes du jihad mondialisé, ça n’était pas au programme. Mieux valait jouer la carte des Occidentaux contre les dictatures arabes. Incarner auprès d’eux l’opposition légitime, encourager la démocratie. Avancer en sous-marin et pas à pas.
Extrait de "Frères Musulmans - enquête sur la dernière idéologie totalitaire", Michaël Prazan, (éditions Grasset), 2014. Pour acheter ce livre, cliquez ici.
« Le martyre est notre plus grande espérance. » L’espérance dans le combat et le sacrifice. Le don de soi, le don de sa vie au nom de l’idéal islamique, des valeurs de l’islam. C’est l’un des fondements de la Confrérie ; une rupture radicale avec l’islam traditionnel dont jusqu’alors la devise était : « l’amour de la vie ». Al-Banna veut lui substituer sa perception utopiste et intégriste, sa compréhension particulière, fondamentaliste, du Coran. A l’amour de la vie, l’apologie de la mort : « Tant que la philosophie de la mort contenue dans le Coran ne s’est pas substituée à “l’amour de la vie” qui a englouti les musulmans, écrit-il, ils n’accéderont à rien. » Il ajoute : « La victoire ne vient qu’avec la maîtrise de “l’art de la mort”. » Cette mystique sacrificielle de la bataille guidera les commandos de kamikazes se faisant sauter sur les lignes ennemies pendant la guerre Iran-Irak, dans les casernes militaires américaines françaises en pleine guerre du Liban, dans les bus israéliens de la seconde Intifada, et les tours du World Trade Center, le 11 septembre 2001.
La devise des Frères musulmans est la profession de foi d’un programme plus détaillé, édité en 1936 – le projet politique de la Confrérie –, connu sous le nom du « manifeste en cinquante points ». Hassan al-Banna y propose une liste de cinquante réformes qui devront s’appliquer à tous les aspects de la vie. Elles dessinent précisément les contours d’une théocratie gouvernée par la charia. Un régime autoritaire et répressif rejetant toute forme de mixité dans une société contrôlée par une « police des moeurs ». Une dictature dirigée par un parti unique – le sien. C’est d’ailleurs le sens de l’article premier qui déclare : « Mettre fin aux rivalités de partis et canaliser les forces politiques de la nation dans un front uni et dans une seule phalange. » Le « rétablissement du Califat islamique » (art. 4), qui constitue le but à atteindre, ne pourra se faire sans « insuffler aux jeunes l’esprit du jihad islamique » (art. 3) ni « répandre l’esprit islamique dans tous les ministères du gouvernement afin que les employés se sentent obligés d’adhérer aux enseignements de l’islam » (art. 5). Interdire, surveiller, punir ; voilà les maîtres mots qui filent le programme en cinquante points. Interdire « la prostitution clandestine ou manifeste ; un crime détestable qui mérite la flagellation », « interdire toutes les formes de jeux », « l’alcool et la drogue », « l’usure », « interdire la mixité entre les étudiants des deux sexes », interdire « la danse », « les histoires provocatrices, les livres qui promeuvent le scepticisme d’une manière insidieuse, les journaux qui encouragent l’immoralité et ceux qui profitent de manière indécente des plaisirs lascifs », interdire « les maisons aux influences étrangères qui affectent la langue parlée, les comportements, les façons de se vêtir, les gouvernantes », « surveiller la conduite des employés et mettre fin à la séparation entre la vie privée et la vie professionnelle », surveiller « les théâtres », « les cafés », « la presse » en général, etc. Et puis, « punir ceux qui transgressent ou attaquent la doctrine islamique, tels ceux qui ne se conforment pas au jeûne du ramadan, ceux qui ne font pas leurs prières, ceux qui insultent la foi et ceux qui commettent d’autres méfaits similaires » (art. 20), « inciter les gens à respecter la morale publique et adopter des lois prévoyant de lourdes peines en cas d’infraction », « traiter les fréquentations entre jeunes gens en âge de se marier comme un crime qui doit être puni », etc.
De nombreux points se concentrent sur l’éducation et l’enseignement (n’oublions pas qu’al-Banna était luimême enseignant), réduits pour l’essentiel à l’apprentissage du Coran, « à la surveillance des enfants de façon à inciter les jeunes à la prière et les plus vieux à l’étude », à « la mémorisation du Coran dans toutes les écoles élémentaires ». Un focus tout particulier est enfin réservé à l’éducation de « la femme ». Ses moeurs, ses vêtements, son comportement social ou dans le couple sont passés au crible, soumis à un grand nombre de restrictions, d’interdictions, de mesures d’encadrement et de surveillance. Car, déclare l’article 2, dans les « domaines social et éducatif », « la question de la femme » est « le dossier le plus important ».
Dans la bouche des islamistes, le substantif « femme » est toujours précédé de l’article défini et singulier. Comme si, en utilisant le pluriel (les femmes), on reconnaissait implicitement leur diversité, et par conséquent, leur singularité. Une singularité qui, parce que la grammaire n’est jamais très loin de nos représentations, embarque le sens du côté d’une autonomie de l’individu. Par extension, des choix individuels. De la liberté. Autant de connotations induites, dangereuses, et pour tout dire occidentales. Avec le pluriel, l’individualisme et le féminisme guettent. C’est pourquoi, je pense, les islamistes préfèrent le singulier au pluriel. « La femme », ça fait concept. Une fonction unique. Un mode de vie unique. Un vêtement unique.
Extrait de "Frères Musulmans - enquête sur la dernière idéologie totalitaire", Michaël Prazan, (éditions Grasset), 2014. Pour acheter ce livre, cliquez ici.

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