Qui aurait pensé que j'aurais pu
écrire ce genre de chose dans mon pays ? Là, il y a le feu, je suis obligée de
rendre compte de mes expériences.
Cela fait plusieurs fois que l'on
m'approche sur les réseaux sociaux, en ce qui me concerne, Twitter.
Certains
obsédés de l'islam pensent que, puisque je suis chrétienne, athée ou, tout
simplement avec une certaine spiritualité, je dois être plus ouverte au message
d'Allah et de Mahomet son prophète, et pourquoi pas, me convertir à l'islam.
Même pas en rêve !
En plus, ils nous prennent toutes pour des idiotes (JM : et pour des putes) !
D'ailleurs, si on ne se convertit
pas ou que l'on montre de la résistance, comme moi, on se fait traiter de sioniste ; attention, ils manipulent avec maestria...
Les prédateurs islamistes ont une
prédilection pour les femmes ou les jeunes filles, plus facilement malléables,
selon eux, et plus réceptives que les hommes à la douleur des enfants ou leur
guérison. Ils jouent sur la fibre maternelle... Cependant, certains hommes
fragiles se font avoir aussi, ils pensent donner un sens à leur vie, alors
qu'elle peut être ailleurs que dans le Coran.
Ces intégristes islamistes «
invitent » à regarder des preuves que Mahomet peut tout, même guérir.
Si on
veut les « instruire » et partager, il faut leur montrer leur méconnaissance du
christianisme en leur montrant les preuves de Lourdes, certifiées par des
scientifiques. C'est à nous de leur expliquer nos racines et culture
chrétiennes - et non l'inverse - et pourquoi nous préférons la liberté de
conscience.
Les personnes qui nous approchent
veulent nous convaincre du bonheur que peut apporter la soumission au prophète
(déjà, le mot soumission pour les femmes libres est un gros mot) sans expliquer
les contraintes qui viendront plus tard.
La vente du bonheur n'est que le
fait des publicitaires. Le bonheur est un mythe pour toute personne rationnelle
; il ne se concrétise que par bribes mais, pour ce faire, il faut savoir les
reconnaître dans l'instant T. Ce sont ces bribes de mieux-être, mises bout à
bout, qui font que l'on peut dire ce qu'est le bonheur. Même les plus pauvres
savent le reconnaître quand un élément positif arrive dans leur vie. Tout n'est
pas si noir, il suffit de savoir apprécier ces instants fugaces.
Pourtant avare de ma vie privée
sur internet, je me sens obligée de vous faire part d'expériences qui ont
ponctué ma vie. C'est d'ailleurs pourquoi dès que ces gens m'approchent, je
mords (verbalement...) ! Chat échaudé...
1re expérience : comment j'ai tiré une amie de l'enfermement d'un immigré islamiste turc
Il y a quinze ans, j'ai sorti une
amie d'un enfermement d'un islamiste immigré turc. Au début, elle était heureuse,
elle n'avait même pas à faire les courses ; son « homme », musulman, les faisait
pour elle. Elle ne sortait jamais ou peut-être un peu au parc pour prendre
l'air mais accompagnée par des hommes, amis de son homme...
Jusqu'au jour où je suis allée la
voir : elle ne riait plus, elle avait perdu son sens de l'humour, avait toujours
le nez dans ses casseroles, son linge ou son ménage.
Elle ne parlait plus
puisqu'elle n'avait plus rien à dire, hormis ses déboires de machine à laver.
Elle avait interdiction de manger
avec les hommes, elle mangeait seule dans la cuisine.
Boire le café ou le thé
avec eux était « haram » ; c'était une bonne "servante", elle savait
verser le thé comme personne.
Elle s'habillait en djellaba, ne se maquillait
plus, mettait son foulard sur la tête au parc.
Les « hommes » de sa vie me
demandaient si j'étais musulmane car je ne buvais pas et que j'étais «bien
habillée», pas vulgaire, en somme... drôle de vision de la femme...
J'ai été celle qui a ouvert les
yeux à mon amie en lui rappelant qui elle était auparavant ; je lui racontais
ma vie de maman et de femme libre et elle a fini par comprendre tout ce qu'elle
avait perdu.
Il a été très difficile de la
sortir de cet enfermement mais, au bout d'un mois, à plusieurs, nous avions pu
lui trouver de quoi se loger en prenant soin de ne laisser aucune trace
derrière elle.
Aujourd'hui, dire que mon amie va
bien serait mentir ; quand on aborde ce sujet - rarement -, elle paraît encore
traumatisée, elle n'oubliera jamais ce à quoi elle a échappé.
2e expérience : Invitée dans le sud du Maroc par un ami marocain, une proche finit enfermée, maltraitée et rackettée
Un autre expérience date d'il y a
cinq ans environ. Une autre de mes proches avait un « ami » marocain qui
l'avait invitée dans le sud du Maroc. Elle est restée cloîtrée pendant un mois
dans une maison taillée dans le rocher, sans fenêtre, dormant sur la pierre en
guise de lit. Elle prenait sa douche une fois par semaine chez la mère qui la
voyait d'un mauvais œil car française...
Elle était malade, souffrait de
maux intestinaux à cause d'une nourriture rare, souvent épicée et parfois
avariée, le village le plus proche étant à 50 km.
J'ai été obligée d'aller la
chercher pour la sortir de cet enfer, parlementer, faire entendre raison à
cette famille et cet ami qui ne lui ne voulaient pas que du bien.
Elle n'avait
que de maigres revenus en France mais qui paraissaient être une fortune au
Maroc.
Aujourd'hui, Lisa (prénom changé)
ne vit qu'accrochée à ses antidépresseurs et ses somnifères, elle est devenue
un zombie. Je ne peux plus rien pour elle, elle est prise en charge par un
psychiatre et, malgré son traitement, elle devient confuse dans ses
conversations.
Le mal est fait et je suis désemparée.
D'aucuns comprendront la
publication d'articles concernant l'islam, mes outils de prévention.
3e exépérience : Carole, retenue prisonnière et battue au Moyen-Orient, dans la famille de son mari
Je me souviens de Carole (prénom
changé) qui travaillait dans le même service que moi. Elle était mariée à un
militaire originaire du Moyen-orient depuis cinq ans. Ils étaient heureux avec
deux beaux enfants... L'homme, disait-elle, était parfaitement intégré et le
plus charmant et doux des maris.
Il n'avait pas vu sa famille depuis longtemps
et lui a proposé un voyage de deux mois au Moyen-Orient avec leurs enfants afin
de rencontrer sa famille.
Carole n'est pas revenue au bout des deux mois de
vacances.
Les collègues étaient tous en émoi, posant des questions avec
lesquelles la direction était très mal à l'aise.
Deux ans sont passés et nous
étions heureux d'apprendre le retour de Carole dans le service très
prochainement. En effet, elle était retenue prisonnière par la famille et
battue régulièrement par son doux mari et la mère de ce dernier devant sa
rébellion. Après deux ans d'enfermement, elle avait été exfiltrée d'une manière
qui ne sera pas révélée ici. Le nom du pays ni l'époque des événements ne sont
pas indiqués sciemment afin de ne pas livrer des éléments qui pourraient
compromettre sa liberté.
Les prédateurs islamiques abordent en priorité les femmes douces, gentilles, fragiles
Ces femmes avaient en commun
douceur et gentillesse (qualités à réserver aux proches uniquement, le regard
des autres n'est pas important au vu des enjeux) ; elles avaient ce même profil
que les prédateurs abordent.
Ils n'hésitent même plus à cibler les plus
récalcitrantes, comme moi, comme si le fait d'être une fille ou femme nous
rendait plus faibles.
À nous de leur montrer que, bien
que respectueuses, nous ne sommes pas "à prendre", que notre liberté
est un bien précieux pour lequel d'autres, avant nous, se sont battues.
Montrons-leur que les filles et
femmes françaises sont fortes et imprenables, qu'elles n'ont pas besoin d'un
dieu ou d'un prophète pour guider leurs pas, la culture chrétienne les ayant
déjà forgées à une spiritualité supérieure pour les croyantes et à la culture
de la laïcité pour les athées.
Il est donc nécessaire de veiller
les un(e)s sur les autres, la famille, les proches, les amis afin que personne
ne tombe dans une régression qui voudrait détruire des années de lutte pour nos
libertés.
Les intégristes islamistes
n'aiment pas la résistance du pseudo sexe faible et c'est un déshonneur pour
eux de se faire battre, même intellectuellement, par des femmes.
Cependant, l'occasion est trop
belle pour ne pas rendre hommage aux femmes kurdes qui se battent contre l'état
islamique en ayant participé à la reprise de Kobane.
J'avoue que j'ai horreur de cet
exercice : parler de mon vécu, surtout sur internet... mais si cela peut être
utile...
4e expérience : Obligée de se marier au bled avec un cousin beaucoup plus vieux qu'elle
Il y a vingt ans, une jeune fille algérienne mineure avait tenté de se suicider parce que ses parents voulaient l'obliger à se marier avec un cousin, beaucoup plus vieux qu'elle de surcroît ; elle faisait l'objet de violences physiques par son refus. Elle était dans le service de médecine de l'hôpital où je travaillais. Nous n'avions eu que des rapports de soignante à malade, comme le veut le code de déontologie. Elle m'avait raconté son histoire sans je ne fasse aucun commentaire, ce n'était pas mon rôle.
Elle s'était sauvée en plein après-midi afin d'échapper à sa famille, les services hospitalier et policier avaient été alertés.
Quelle ne fut ma surprise de voir qu'elle m'attendait devant chez moi, mon service fini ! (mon nom figurait sur ma tenue, elle m'avait retrouvée dans l'annuaire).
Pourquoi moi ? Je ne le saurai jamais. J'ai prévenu l'hôpital et la police qu'elle était chez moi en attendant sa prise en charge ; la jeune fille a été, ensuite, placée en famille d'accueil.
Je pense souvent à cette jeune fille et me demande ce qu'elle est devenue...
Sachez aussi qu'il n'est pas facile pour moi de revivre ces moments, ne serait-ce qu'en écrivant, mais il y a urgence à rester sur ses gardes.
Alicia France
Article original :
Les musulmans croient que Mohammed était un saint prophète et un homme idéal (Coran 68,4 ; 33,21).
Mohammed, le fondateur de l'islam d'après l'islam, était un pédophile, un violeur et un violeur d'enfant. Il a eu aussi au moins 4 esclaves sexuelles.
À 51 ans il épousa sa fiancée enfant Aïcha âgée de 6 ans. À 54 ans il viola son épouse enfant Aïcha alors âgée de 9 ans. (Bukhari 7, 62, 88)
D'après le Coran, le divorce d'avec un enfant (fille avant ses menstruations), donc son mariage, donc l'acte conjugal (c'est-à-dire étant donné l'âge de l'enfant son viol) est OK (Coran 65, 4).
D'après le Coran, battre sa femme est OK (Coran 4, 23-24).
D'après le Coran, avoir des esclaves sexuelles est OK (Coran 4, 34).
Quelques liens :
Yvelines : le proxénète recrutait ses jeunes victimes à l’Aide sociale à l’enfance
La police démantèle un réseau de proxénétisme dans des cités d’Île-de-France
190 faits divers de proxénétisme sur fdesouche
Les réseaux pédocriminels n’existent pas | Round 38 | Réseau Telford
Tommy Robinson : « Le viol de la Grande Bretagne »… n’oubliez jamais les petites filles violées !
À Roterham, 1400 petites victimes de l’islam avaient souffert pendant 17 ans… Ça recommence à Telford
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