Merci le féminisme (D. Zbornak)
Très bon thread.
Tout découle d'une négation profonde de la nature des sexualités masculine et féminine.
Croire que l'anarchie sexuelle est une merveilleuse chose pour les femmes et que la monogamie les oppresse, relève d'un degré délirant de méconnaissance de l'humain.
Le corps d'une femme est biologiquement programmé pour donner la vie, et pour cela il lui suffit d'un partenaire.
Qu'elle couche tous les jours avec le même homme pendant un mois, ou 30 fois avec 30 mecs différents, ça fera toujours un enfant (au mieux) à la fin. Donc l'enchaînement des partenaires, le nombre, ne peut pas être un instinct biologique féminin. Ca ne lui sert à rien.
L'instinct d'une femme sera plutôt la sélection du meilleur mâle, pour produire la meilleure descendance, et éventuellement la protéger ensuite si on est dans un système de famille nucléaire. Qualité plutôt que quantité. D'où l'hypergamie que certains leur reprochent parfois.
De fait, non seulement coucher à droite / à gauche n'a aucun intérêt biologique pour une femme, mais en plus les conséquences peuvent être lourdes pour elle, voire mauvaises pour sa descendance qu'elle portera en elle.
La contraception n'annule pas ce ressenti "primitif".
L'instinct sexuel masculin est évidemment très différent. A l'état naturel, sans contrainte sociale (paternité dans un cadre monogamique, etc), l'homme veut féconder un maximum. Ici, le nombre de partenaires a une utilité pour lui et pour le renouvellement de l'espèce :
Contrairement à une femme, plus il a de partenaires et plus il fera d'enfants. Plus ses gènes, son sang, seront transmis. Logique. Là est son instinct prédominant..
Sa sexualité est donc naturellement plus débridée, plus mécanique, et ça a un sens évident.
Tout ça pour dire qu'en réalité, la monogamie stricte est bien plus un contrôle social de la sexualité masculine que féminine (même si elle l'est aussi). C'est rattacher la sexualité de l'homme à la notion de responsabilité : tu couches avec ta femme = un gosse à nourrir.
Ce qui n'est pas du tout une évidence à l'état de nature (cf le règne animal).
C'est aussi l'astreindre à l'attachement à la femme qu'il féconde, et à la restriction en matière de nombre de partenaires. Des notions naturelles pour une femme, beaucoup moins pour un homme.
Alors oui, si tu supprimes ce système-là et que tu veux généraliser l' "amour libre" et autres conneries, tu libères aussi la sexualité masculine dans ce qu'elle peut avoir de plus brutal pour les femmes. Car l'homme ne vivra et n'exprimera JAMAIS sa sexualité comme la femme.
Sans parler de toutes les autres conséquences d'une anarchie sexuelle sur les rapports sociaux (lire Houellebecq à ce sujet notamment), les frustrations diverses, les inégalités, la violence.
C'est pas Metoo et Marlène Schiappa qui empêcheront ces dérives.
Evidemment il y a toujours des exceptions individuelles dans la manière de vivre sa sexualité, car il existe d'autres facteurs influents. Mais ceux qui pensent que nos sexualités sont totalement détachées de tout déterminisme biologique, sont à la masse.
Si une femme sera bien plus facilement amoureuse de son amant qu'un homme de sa maîtresse, est-ce une construction patriarcale ?
Bref, oui, les féministes qui ont vanté cette "libération sexuelle" et cette absence de contrainte sont responsables de ce que décrit @msdzbornak.
Signé : un homme tradi qui aime et respecte les femmes, qui n'a aucun problème à être "contraint" par la monogamie (c'est un bel idéal, élévateur et utile), et qui pense que le féminisme libertaire est un énorme piège pour les femmes, en plus d'être un désastre social.
PS : Au fait, est-ce vraiment un hasard si les initiatrices (pas les suiveuses endoctrinées) de ces idéologies de rejet de la tradition sont svt des lesbiennes, qui ne savent pas du tout quelle conséquence une "libération sexuelle" peut avoir sur la sexualité des femmes hétéro ?
Très bon thread.
Tout découle d'une négation profonde de la nature des sexualités masculine et féminine.
Croire que l'anarchie sexuelle est une merveilleuse chose pour les femmes et que la monogamie les oppresse, relève d'un degré délirant de méconnaissance de l'humain.
Ms D. Zbornak@msdzbornak"Hot Girls Wanted", le documentaire anti-féministe qui s'ignore. Où des adolescentes disent être mieux traitées sur un tournage porno que par les garçons avec lesquels elles couchent "en dehors". Où elles admettent, en retenant leur larmes, qu'elles auraient voulu passer leur vieComment peut-on penser que notre sexualité et nos désirs ne sont pas du tout déterminés par les réalités biologiques ? Nos ressentis seraient détachés de nos corps ?
Le corps d'une femme est biologiquement programmé pour donner la vie, et pour cela il lui suffit d'un partenaire.
Qu'elle couche tous les jours avec le même homme pendant un mois, ou 30 fois avec 30 mecs différents, ça fera toujours un enfant (au mieux) à la fin. Donc l'enchaînement des partenaires, le nombre, ne peut pas être un instinct biologique féminin. Ca ne lui sert à rien.
L'instinct d'une femme sera plutôt la sélection du meilleur mâle, pour produire la meilleure descendance, et éventuellement la protéger ensuite si on est dans un système de famille nucléaire. Qualité plutôt que quantité. D'où l'hypergamie que certains leur reprochent parfois.
De fait, non seulement coucher à droite / à gauche n'a aucun intérêt biologique pour une femme, mais en plus les conséquences peuvent être lourdes pour elle, voire mauvaises pour sa descendance qu'elle portera en elle.
La contraception n'annule pas ce ressenti "primitif".
L'instinct sexuel masculin est évidemment très différent. A l'état naturel, sans contrainte sociale (paternité dans un cadre monogamique, etc), l'homme veut féconder un maximum. Ici, le nombre de partenaires a une utilité pour lui et pour le renouvellement de l'espèce :
Contrairement à une femme, plus il a de partenaires et plus il fera d'enfants. Plus ses gènes, son sang, seront transmis. Logique. Là est son instinct prédominant..
Sa sexualité est donc naturellement plus débridée, plus mécanique, et ça a un sens évident.
Tout ça pour dire qu'en réalité, la monogamie stricte est bien plus un contrôle social de la sexualité masculine que féminine (même si elle l'est aussi). C'est rattacher la sexualité de l'homme à la notion de responsabilité : tu couches avec ta femme = un gosse à nourrir.
Ce qui n'est pas du tout une évidence à l'état de nature (cf le règne animal).
C'est aussi l'astreindre à l'attachement à la femme qu'il féconde, et à la restriction en matière de nombre de partenaires. Des notions naturelles pour une femme, beaucoup moins pour un homme.
Alors oui, si tu supprimes ce système-là et que tu veux généraliser l' "amour libre" et autres conneries, tu libères aussi la sexualité masculine dans ce qu'elle peut avoir de plus brutal pour les femmes. Car l'homme ne vivra et n'exprimera JAMAIS sa sexualité comme la femme.
Sans parler de toutes les autres conséquences d'une anarchie sexuelle sur les rapports sociaux (lire Houellebecq à ce sujet notamment), les frustrations diverses, les inégalités, la violence.
C'est pas Metoo et Marlène Schiappa qui empêcheront ces dérives.
Evidemment il y a toujours des exceptions individuelles dans la manière de vivre sa sexualité, car il existe d'autres facteurs influents. Mais ceux qui pensent que nos sexualités sont totalement détachées de tout déterminisme biologique, sont à la masse.
Si une femme sera bien plus facilement amoureuse de son amant qu'un homme de sa maîtresse, est-ce une construction patriarcale ?
Bref, oui, les féministes qui ont vanté cette "libération sexuelle" et cette absence de contrainte sont responsables de ce que décrit @msdzbornak.
Signé : un homme tradi qui aime et respecte les femmes, qui n'a aucun problème à être "contraint" par la monogamie (c'est un bel idéal, élévateur et utile), et qui pense que le féminisme libertaire est un énorme piège pour les femmes, en plus d'être un désastre social.
PS : Au fait, est-ce vraiment un hasard si les initiatrices (pas les suiveuses endoctrinées) de ces idéologies de rejet de la tradition sont svt des lesbiennes, qui ne savent pas du tout quelle conséquence une "libération sexuelle" peut avoir sur la sexualité des femmes hétéro ?
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