samedi 21 juillet 2018

Le mystère de La Mecque, Le trou noir au cœur de l'histoire musulmane.


Le mystère de La Mecque, 
Le trou noir au cœur de l'histoire musulmane.

1. L'histoire musulmane place La Mecque en plein cœur du commerce arabe. Or l'emplacement de la cité n'est pas du tout proche des routes commerciales existantes.


2. Les plus vieilles copies du Coran diffèrent remarquablement du Coran que les musulmans modernes utilisent (seulement standardisé en 1924).

3. Les récits musulmans sur l'histoire musulmane reposent sur des sources écrites 200 ans après la vie de Mahomet.


4. Les "montagnes" au coeur du pélerinage musulman tiennent entre les quatre murs d'un bâtiment !
Le choix de La Mecque n'est pas très en adéquation avec les premiers récits musulmans.


5. Les premières mosquées de l'histoire, construites après la mort de Mohammed, ne sont pas tournées vers La Mecque. Ça va être dur pour "l'histoire" islamique de fournir des réponses satisfaisantes.


6. L'histoire musulmane prétend que l'Arabie était bloquée dans une période d'ignorance (jahiliya) avant l'apparition de l'islam. C'est complètement faux.


7. Fait amusant : il n'y a pas de preuve historique qu'une ville existait à l'emplacement actuel de La Mecque si ce n'est bien après l'apparition de l'islam


8. La monnaie utilisée après les conquêtes arabes ne contient pas de formules classiques musulmanes et certaines pièces représentent même des croix.



9. Dans l'écriture des débuts de l'histoire musulmane, les sources contemporaines sont systématiquement ignorées en faveur de textes écrits deux cents ans après (Sirat Rasul Allah, Sahih Bukhari, Sahih Muslim, ...).


10. Le texte du "Coran de Birmingham", censé être le plus vieux fragment jamais trouvé est différent du Coran, que les musulmans utilisent aujourd'hui.


11. Des villes à travers toute la Péninsule arabique sont mentionnées de nombreuses fois par des sources contemporaines de la naissance de l'islam. 
La Mecque, elle, est totalement absente de ces comptes-rendus.


12. Le roi babylonien Nabonidus a conquis l'Arabie et a laissé une retranscription minutieuse de ses exploits. Il ne mentionne pas une seule fois une "grande ville" appelée La Mecque.


13. Une lecture attentive du texte coranique révélera rapidement ce qui ne peut être considéré que comme un plagiat de sources judaïques, chrétiennes ou païennes antérieures.


14. Le Coran est "inaltéré"? Le Coran est "inchangé" ?

Seulement si on passe sous silence les preuves historiques claires et indiscutables du contraire.


15. Il s'est écoulé environ 60 ans après la mort de Mohammed avant que le mot "musulman" n'apparaisse dans les sources historiques.


16. La tribu de Mohammed, les Quraychites, est entièrement absente des textes de l'Empire romain d'Orient traitant de l'Arabie.



17. "L'histoire" musulmane est basée sur l'impossible prémisse selon laquelle sept générations de narrateurs transmirent les paroles et les actes des premiers temps de l'islam sans oubli ni erreur.


18. La revendication musulmane de Jérusalem comme une "ville sainte" de l'islam repose sur la croyance que Mahomet (Mohammed) la visita sur le dos d'un cheval volant appelé "bourraq".





2 commentaires:

  1. Les Mystère de la Kabbah (Kaaba, Ka'ba ou Ka'aba)
    Au nombre des cérémonies religieuses, il faut citer les fêtes de la Kabbah, en arabe « al-kabbah ». Pendant l'occupation des Maures, la langue espagnole apporta certaines modifications aux mots barbaresques « al-kabbah » devint alcoba et par la suite « al-cove » en français. Les secrets de l'alcôve correspondent aux secrets de la kabbale, mais ce qu'ils expriment aujourd'hui diffère considérablement de l'origine ; qu'on en juge : ces cérémonies ou mystères sacrés, ont eu pour théâtre principal la ville de la Mecque, dont l'établissement parait remonter à six ou sept cents ans avant notre ère.
    C'est là, sur l'emplacement occupé, dix siècles plus tard, par les adeptes de Mahomet, et depuis consacré à sa mémoire, que se célébraient ces fêtes, dont la réputation attirait une grande affluence de monde. De petites constructions carrées, composées de quatre murs sans toit, étaient, pour la circonstance, recouvertes d'une toile, dont les coins retombant jusqu'à terre étaient retenus par une grosse pierre. Selon les pays et le climat le décor changeait. Tantôt c'était des espèces de cabanes rustiques faites de branchages, ornés de fleurs ; ailleurs on choisissait des anfractuosités de rocher, décorées de verdures…
    C'est là que la femme parée de sa jeunesse, entourée de fleurs et de mystère, attendait celui qu'elle aimait : l'heureux élu devait rapporter, comme preuve de sa victoire, une branche de verdure.
    Comme on peut en juger, la clef de ces cérémonies mystérieuses était l'union naturelle, de la femme avec l'homme, dans l'amour, mais poétisée, embellie du prestige dont le sexe féminin était entouré et du respect qu'inspirait la noble fonction de la maternité.
    Pour terminer cette note sur les « mystères de la kabbah » il convient d'ajouter que tout souvenir n'est pas mort en ce qui les concerne ; il existe encore un témoin authentique quoique muet, dans la principale mosquée de La Mecque. C'est un petit édifice carré appelé « Kaabah », la « Maison sacrée », « Maison de Dieu », dira-t-on, quand on mettra le nom divin au masculin ; c'est le point vers lequel les musulmans doivent se tourner dans leurs prières.
    Rappelons que dans des temps reculés, lorsque les émigrées de l'Inde se répandirent dans toute l'Asie, elles firent un séjour dans la partie de l'Arabie qui touche au Golfe Persique et y laissèrent des souvenirs dont l'histoire a gardé la tradition. Aussi, longtemps avant l'Islamisme la Mecque fut une de leurs stations. Sur les collines voisines de la Kaabah, se trouvait l'habitation des Déesses Icâf et Nayila. C'est dans la Kaaba qu'avaient lieu les réunions secrètes des femmes, c'est là qu'elles célébraient leurs « Mystères ». Primitivement on disait Qoubbah, mot qui signifiait, dit le Coran, lieu d'Abraham. Une fois par an, les femmes y recevaient les hommes pour la fécondation annuelle qui avait lieu au printemps : d'où la Pâque, fête de l'œuf. Cet endroit fut donc consacré par le pèlerinage annuel qui réunissait les hommes et les femmes, dans un temps où la lutte des sexes avait créé le divorce social, les hommes vivant entre eux, les femmes entre elles.
    Un grand nombre d'images de femmes se trouvaient dans la Kaabah ; on prétend qu'on y voyait aussi celle d'Abraham et celle de Jésus.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/islamisme-et-ismaeliens.html
    Cordialement.

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  2. Ouvrage islamophobe véhiculant les poncifs les plus éculés sur l'Islam. C'est si grotesque que cela pourrait bien figurer dans un "must study" des ouvrages (Et sites comme en reference si bas) islamophobes et conspirationistes. Et encore, les prétentions et assertions sont tellement de bas niveau que cela pourrait meme ne pas passer une telle liste...

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https://web.archive.org/web/20190507024549/https://sitamnesty.wordpress.com/europe-2083/ https://web.archive.org/web/20190828001705/https...