samedi 21 juillet 2018

Islamisme et politique 22.07.2018

Australie : manifestation contre la détention des migrants
http://video.lefigaro.fr/figaro/video/australie-manifestation-contre-la-detention-des-migrants/5812105962001/

Des milliers de personnes manifestent dans les principales villes australiennes pour que le gouvernement mette fin à la détention des demandeurs d'asile dans des centres au delà des frontières du pays.

Puisque les économistes vous disent que l’immigration est bonne pour l’Europe… -L'ultralibéralisme nie les frontières
https://www.causeur.fr/immigration-contrepoints-economie-153028

L’immigration clandestine profite aux mafias italiennes et étrangères
https://lesobservateurs.ch/2018/07/21/limmigration-clandestine-profite-aux-mafias-italiennes-et-etrangeres/

Les Italiens d’abord ! L’Italie va réduire le financement des migrants et utiliser cet argent pour les Italiens 
https://www.dreuz.info/2018/07/21/les-italiens-dabord-litalie-va-reduire-le-financement-des-migrants-et-utiliser-cet-argent-pour-les-italiens/

BUILD A THOUSAND MILES OF WALLS ACROSS AFRICA AND EUROPE TO KEEP OUT SIX MILLION WAITING MIGRANTS
http://www.janiceatkinson.co.uk/2018/07/build-a-thousand-miles-of-walls-across-africa-and-europe-to-keep-out-six-million-waiting-migrants/

Allemagne  : des réfugiés allocataires partent en vacances dans le pays qu'ils ont fui
https://francais.rt.com/international/26266-allemagne-refugies-allocataires-partent

HdeBonneVolonté  🐝 @hdebonnevolonte
On apprend que ce serait le Général #Lecointre, nommé après que #Macron ait évincé #Villiers, qui a accepté la nomination au grade de Lieutenant colonel de réserve (excusez du peu) la petite frappe #Benalla.
Une réaction dans l’armée ?

Au Québec, l’ogre antiraciste dévore ses propres enfants - La nouvelle gauche se déchire autour du concept d'appropriation culturelle

Coupe du monde: des casseurs bleu-blanc-rouge - Nous ne devons pas commettre la même erreur qu'en 1998

« Certains politiques veulent officialiser la victoire de l’islam politique en France » - Une tribune de l'imam de Nîmes, Hocine Drouiche

#Paris 🇫🇷 Un juif de 69 ans tabassé par un agresseur « d’origine nord-africaine » qui a crié : « Allah Akbar, vive Hitler, à mort les Juifs »
https://www.news.suavelos.eu/paris-un-juif-de-69-ans-tabasse-par-un-agresseur-dorigine-nord-africaine-qui-a-crie-allah-akbar-vive-hitler-a-mort-les-juifs/

Le Top 5 des pires récupérations de la victoire des Bleus - Certains de nos commentateurs préférés récupèrent moins bien que N'Golo Kanté

Le best-seller Sapiens bientôt adapté au cinéma par Ridley Scott et Asif Kapadia
http://www.lefigaro.fr/livres/2018/07/21/03005-20180721ARTFIG00001-le-best-seller-sapiens-bientot-adapte-au-cinema-par-ridley-scott-et-asif-kapadia.php

Au Maroc, une campagne machiste demande aux hommes de rhabiller leurs femmes
http://madame.lefigaro.fr/societe/au-maroc-une-campagne-machiste-demande-aux-hommes-de-rhabiller-leurs-femmes-210718-149855

Le management de Didier Deschamps en 5 points clés
http://www.lefigaro.fr/decideurs/management/2018/07/21/33007-20180721ARTFIG00051-le-management-de-didier-deschamps-en-5-points-cles.php

Michel Onfray : «À chaque moment pénible de ma vie, Marc-Aurèle était près de moi»
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/07/20/31003-20180720ARTFIG00016-michel-onfray-chaque-moment-penible-de-ma-vie-marc-aurele-etait-pres-de-moi.php

Retour à Alger

Frédéric Taddeï, rebelle, rebelle

Le scoutisme, un mouvement toujours en phase avec la jeunesse






Le best-seller Sapiens bientôt adapté au cinéma par Ridley Scott et Asif Kapadia

  • Publié le 21/07/2018 à 06:00
Couverture de l'ouvrage paru en français aux Éditions Albin MIchel
Sept ans après sa sortie, l'œuvre de l'historien israélien Yuval Noah Harari vendue à huit millions d'exemplaires dans le monde va être adaptée sur grand écran par Ridley Scott et Asif Kapadia.
Le défi est de taille: condenser en moins de trois heures les 500 pages de Sapiens , autrement dit toute l'histoire de l'humanité. Deux réalisateurs britanniques ont répondu à l'appel: Ridley Scott à la production, Asif Kapadia pour la mise en scène. Mais le projet est démentiel: l'œuvre, traduite en plus de trente langues et diffusée dans près de quarante-deux pays, est bien connue du public. Elle avait même été saluée par de nombreuses personnalités telles que Bill Gates, Mark Zuckerberg et Barack Obama. Mais la démence tient surtout à l'ampleur du scénario: une histoire de 2,5 millions d'années, de l'apparition de l'homo sapiens à son évolution actuelle.
Quand Yuval Noah Harari a commencé à écrire, il ne se doutait pas un seul instant que son œuvre rencontrerait un tel succès. Professeur d'histoire à l'université de Jérusalem, ce diplômé d'Oxford s'était porté volontaire pour faire ce que tous ses collègues avaient refusé jusque-là, et que les étudiants continuaient de réclamer avidement: un cours d'Histoire générale. Il l'avait divulgué sous forme de cours en ligne, ou MOOC (Massive Open Online Course) et avait réussi à passionner plus de 80.000 étudiants.
Son œuvre, qui depuis sa parution n'a jamais quitté le palmarès des ventes, reçoit pourtant un tout autre accueil des maisons d'édition. Avant qu'elle ne soit finalement acceptée par Kinneret, quatre éditeurs israéliens refusent de la publier. Aujourd'hui elle paraît dans de prestigieuses maisons d'édition internationales: Penguin au Royaume-Uni, Harper Collins aux États-Unis, Albin Michel en France. Et se vend à plus de huit millions d'exemplaires.

Adapter sans tricher
Il fallait trouver un réalisateur à la hauteur, ils en ont trouvé deux. Expert en sagas à succès, Ridley Scott a de quoi séduire l'écrivain. Il voit grand, loin et ne lésine pas sur les moyens. Après Alien et Blade Runner , ses premiers blockbusters, il marque son retour sur la scène internationale de Gladiator (2000, 2h50), Kingdom of Heaven (2005, 3h15), Prometheus (2012, 2h), Exodus (2014, 2h30) ou encore Seul sur Mars (2015, 2h30). Pour lui, «Sapiens réunit tous les éléments pour être massivement divertissant, tout en étant important historiquement». L'ambition cinématographique d'Asif Kapadia est bien différente et vise davantage la précision des documentations: Amy (2015), récompensée par l'Oscar du meilleur film documentaire, Senna (2010), et bientôt Maradona (novembre 2018).
«Ridley fascine le public depuis des décennies avec des contes allant de la science-fiction au drame historique, tandis qu'Asif a chroniqué le génie humain à son meilleur et à son pire. Nous espérons pouvoir mélanger la science, la fiction, le drame et le génie pour donner vie à l'incroyable voyage de notre espèce, qui a commencé en tant qu'animal insignifiant et qui est maintenant en passe de devenir un dieu» explique Harari.
Il faudra bien les talents croisés des deux réalisateurs pour reproduire sans détruire cette immense frise chronologique de l'histoire humaine. De la découverte du feu à celle de la poudre à canon, en passant par les révolutions agricole, sociale et industrielle, l'œuvre de Yuval Noah Harari brosse à grand trait tous les événements qui ont amené Sapiens à devenir ce que nous sommes. Son deuxième tome, Homo deus: une brève histoire de l'avenir, paru en France en 2017, poursuit la réflexion au-delà, dans un avenir où les nanotechnologies et les manipulations génétiques auront fait de l'homme un être trop éloigné du modèle originel. Il s'agirait pour l'écrivain de la deuxième révolution biologique la plus importante de notre histoire, puisque la création intelligente se substituera aux lois de la sélection naturelle, déjà en voie de disparition. Le dernier volet de sa trilogie, 21 Leçons pour le XXIe siècle, est attendu en France le 26 septembre 2018.
La rédaction vous conseille

Puisque les économistes vous disent que l’immigration est bonne pour l’Europe…
L'ultralibéralisme nie les frontières
 - 21 juillet 2018
https://www.causeur.fr/immigration-contrepoints-economie-153028

Sur le port d'Almeria en Espagne, les nouveaux arrivants se débarrassent de leur gilet de sauvetage, juillet 2018. SIPA. 00867281_000033

La publication en ligne Contrepoints est connue, car elle ne s’en cache pas, pour ses options idéologiques ultralibérales, alors que le nouveau gouvernement américain s’en éloigne. On évolue vers un ultralibéralisme hors-sol.

Voici à présent qu’elle se fait le relais des no-border en diffusant un de leurs articles édité sur The Conversation : « Les demandeurs d’asile ne sont pas un fardeau pour l’Union européenne »

Certes, « la migration internationale est la source d’épineux problèmes diplomatiques en Europe. Ces derniers seraient en partie allégés si l’on parvenait à se débarrasser des idées reçues assimilant migrants et fardeau économique ».

Misère de la déesse Economie

D’emblée, le ton est donné et on perçoit l’angle d’attaque, si ce n’est le parti pris purement économique d’éluder les autres dimensions, démocratiques, culturelles, sociales, historiques, religieuses, psychosociologiques, scolaires, urbaines, pénales… Dès lors le questionnement proposé (« les demandeurs d’asile sont-ils une charge économique pour les pays d’accueil ? ») est partiel sinon partial en se concentrant sur une seule dimension du problème, qui, de surcroît, n’est pas la plus importante.

D’autant que les auteurs se focalisent sur la méthodologie avec les vieux tics habituels de ces discours scientifiques partisans. Entrant d’emblée dans des détails millimétriques les auteurs tentent de se convaincre que « le premier enjeu [serait celui de] l’étude des effets de la migration sur les finances publiques ». Et que dans une telle étude tout ne serait que doute : « Quel mol oreiller que le doute», écrivait Montaigne.

Un oreiller si moelleux qu’on y revient sans cesse : « Le second enjeu, qui est présent dans la littérature scientifique en économie de la migration, est d’établir les effets des flux migratoires eux-mêmes sur les économies d’accueil. Les interactions entre la situation économique ou budgétaire du pays d’accueil et les flux migratoires sont en effet potentiellement bidirectionnelles : les dépenses publiques, par exemple, sont susceptibles d’augmenter avec les flux migratoires mais également d’accroître ces flux. »

« L’augmentation du flux de migrants est positive pour l’économie européenne »

La suite de l’article passe en revue l’ensemble des difficultés que l’économètre rencontre pour évaluer la portée des flux migratoires sur les salaires, notamment en raison du fait que « même si deux instruments [de mesure économique] sont dotés de propriétés statistiques justes, l’interprétation finale peut différer ». Toujours la relativisation. Pourtant, après avoir exposé les difficultés méthodologiques, le doute sur les résultats, la conclusion, elle, est dépourvue d’hésitation. Cette façon de procéder est une constante chez les « chercheurs-engagés » (?) : on déploie toutes les difficultés de l’étude mais la conclusion est péremptoire ; ce sera que « l’augmentation du flux de migrants est positive pour l’économie européenne ».

Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs disent avoir « examiné les implications des flux migratoires sur les performances économiques et sur les finances publiques de quinze pays d’Europe de l’Ouest » qui entre 1985 et 2015 « ont enregistré près de 10,5 millions de demandes d’asile, soit environ 350 000 demandes par an ».

« Il ne faut pas oublier que l’on parle d’êtres humains ! »

Surjouant une invitation à la prudence pour l’analyse des résultats, les auteurs nuancent : « Les personnes immigrées, et a fortiori les demandeurs d’asile, ne sont pas là pour ‘relancer’ les économies européennes. Si les migrations ne représentent pas un coût économique pour l’Europe de l’Ouest, elles ne doivent pas pour autant être envisagées sous l’angle de ce qu’elles pourraient ‘rapporter’. Il ne faut pas oublier que l’on parle d’êtres humains ! ». Les autochtones n’en seraient-ils pas tout autant ?

Enfin, les signataires se disent convaincus « que la réponse adéquate à la question des migrations et des demandeurs d’asile se trouve au niveau européen ». Mais présentée de façon aussi positive reste-t-il encore une « question des migrations » ? Si oui, laquelle ?


Malheureusement, ce genre de travail de recherche prolifère, notamment dans les instances publiques des sciences sociales. La rigueur scientifique n’est surjouée que pour donner une présentation supposée objective de la recherche : on s’attarde sur les doutes quant aux méthodes de questionnement ; puis les conclusions sont, sans lien avec ces contorsions, définitives et nettes sans que l’on ait compris comment on y parvient après tant de détours…

Le Meunier, son fils et l’âne

Or voici que les peuples d’Europe, d’Amérique et d’ailleurs commencent à exprimer autre chose sur la question migratoire. La dimension économique, certes, en des temps où le chômage détruit des familles entières. Avant tout le désir des peuples de choisir par eux-mêmes et pour leurs enfants qui vit dans leur société, pour en préserver les équilibres menacés auxquels ils sont néanmoins fortement attachés. Fût-ce avec un argument supposé simpliste, celui que nous propose La Fontaine dans Le Meunier, son fils et l’âne :
« Je suis Âne, il est vrai, j’en conviens, je l’avoue ;
Mais que dorénavant on me blâme, on me loue ;
Qu’on me dise quelque chose ou qu’on ne dise rien ;
J’en veux faire à ma tête. Il le fit et fit bien. »

Autrement dit, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Quant à l’Europe (lisez Bruxelles) elle est défaite par la rébellion italienne, sur ce sujet, et sur d’autres à venir sans doute encore.

La casse des nations européennes
Pour conclure trois réflexions :
– l’économisme est une maladie intellectuelle qui conduit d’abord à croire que tout est économie, puisque toute économie est économétrique ;
– les dimensions psychosociologiques, culturelles, démocratiques des nations confrontées au flux migratoires sont passées sous silence ;
– l’immigrationnisme et l’ultralibéralisme ont un objectif partagé, avec des motivations différentes : casser les nations européennes. Mais cela, on l’avait déjà remarqué.

Au Québec, l’ogre antiraciste dévore ses propres enfants
La nouvelle gauche se déchire autour du concept d'appropriation culturelle
 - 21 juillet 2018
Manifestation antiraciste au Québec, aout 2017. SIPA. AP22092703_000013

L’antiracisme pour tous, c’est fini. Au Québec, la nouvelle gauche se déchire autour du concept d’appropriation culturelle.

Malgré la chaleur anormale et le début des vacances estivales, que de nouveaux développements dans le monde des idéologies au Québec. Il faut croire que l’extrême gauche antiraciste ne se repose jamais, tellement elle semble motivée à rééduquer un peuple qui ne comprend plus rien à la situation. Et pour cause, les préoccupations de ce peuple sont à des années-lumière de celles de la nouvelle gauche.

Qu’on me permette de revenir sur la dernière controverse qui a secoué le Québec. Celle qui a débuté quand des « antiracistes » ont manifesté à Montréal contre la tenue d’un spectacle visant paradoxalement à promouvoir la culture noire. Depuis, le Festival international de Jazz, qui accueillait l’événement, a annulé toutes les représentations de SLAV, la nouvelle pièce de Robert Lepage, célèbre metteur en scène québécois. Pire encore : son prochain spectacle, qui se veut une relecture de l’histoire canadienne favorable aux peuples autochtones, est déjà dénoncé. Le concept utilisé pour censurer l’art en 2018 : l’appropriation culturelle.

Les « Euro-descendants » sont toxiques

Le précédent est loin d’être banal, et le concept mobilisé pour le créer l’est encore moins. Il y a quelques mois seulement, le multiculturalisme envoyait le message suivant : il n’est pas trop tard, l’Occident peut encore sauver son âme s’il fait son mea culpa et accepte les cultures étrangères. Même celles qui lui sont hostiles. L’apocalypse morale était proche, mais nous pouvions l’éviter. Aujourd’hui, la repentance n’est plus possible. L’Occident est passé du purgatoire à l’enfer. Ses méchants habitants n’ont plus un mot à dire, ils doivent complètement s’effacer devant l’Autre. Il leur est même interdit de mettre en scène leurs propres excuses.

Promouvoir ou défendre une autre culture serait devenu « raciste ». Ce serait la désacraliser, la contaminer, la salir avec les mains toxiques de l’Occident atomique. Pour les curés de la décolonisation symbolique, les personnes de couleur seraient les uniques propriétaires de leur sainte culture, les « Euro-descendants » n’auraient même plus le droit de s’en approcher. Inutile de mettre des gants en latex : la nocivité de l’Occident serait telle que son virus pourrait se répandre malgré toutes les précautions hygiéniques.

L’antiracisme pluriel

Le concept d’appropriation culturelle est si ridicule et mal pensé qu’il est inutile de s’étendre plus longuement à son sujet. Faut-il vraiment rappeler qu’il n’existe aujourd’hui plus aucun peuple dans le monde qui n’a pas emprunté quelque chose à un autre que lui ? Les Occidentaux doivent-ils revenir aux chiffres romains ? Ce concept mène à la ségrégation raciale. Mais ce qui est intéressant chez lui, c’est l’avenir qu’il dessine. Les antiracistes excluent des gens de leur propre cercle sur la base de leur race, une nouveauté dans l’histoire. En Amérique, la gauche inclusive est à un point tournant.
Les antiracistes racistes sont en train de produire un schisme historique. Les chiites se séparent des sunnites. L’antiracisme d’Orient se sépare de l’antiracisme d’Occident. D’un côté, il y a les antiracistes de « race » blanche qui pensaient bien faire en faisant la promotion du multiculturalisme partout où ils le pouvaient. Ce sont essentiellement les bien-pensants qui ont longtemps plaidé pour un vivre-ensemble à l’eau de rose, souvent pour se donner le beau rôle. Mais de l’autre, il y a maintenant les antiracistes de couleur, coalisés avec d’autres blancs, qui veulent faire taire leurs anciens alliés. Les seconds veulent museler les premiers au nom de la lutte contre l’appropriation culturelle.

Guerre civile à prévoir dans les universités

Il est fort à parier que les universités seront dans les premiers lieux affectés par cette guerre interne. Dans les prochaines années, des cas « d’appropriation académique » seront probablement dénoncés par le nouveau mouvement antiraciste. Du haut de leurs « privilèges blancs », les chercheurs ne pourront plus faire l’éloge des traditions ancestrales des peuples d’ailleurs. À ce moment, il sera impossible de ne pas trouver la situation cocasse, ou du moins très ironique… Comme on le sait, les chercheurs et professeurs en sciences sociales ont beaucoup contribué au triomphe du multiculturalisme. Leur responsabilité est entière dans l’imposition du nouvel ordre politico-moral. Mais il fallait y penser deux fois avant de nourrir la bête…

Réagissant à l’annonce du prochain spectacle de Lepage sur les rapports entre les blancs et les autochtones, le grand chef d’une tribu amérindienne du Canada a affirmé qu’il était temps que les « soi-disant spécialistes » et les anthropologues cessent de parler au nom de son peuple. Une manière de dire que les universitaires et les intellectuels de « race blanche » n’avaient plus de légitimité pour travailler sur des peuples autres que les leurs. Dans quelques années, certains en appelleront au boycott de Claude Lévi-Strauss…

Coupe du monde: des casseurs bleu-blanc-rouge
Nous ne devons pas commettre la même erreur qu'en 1998
 - 20 juillet 2018

Près du Drugstore Publicis le soir de la célébration de la victoire des Bleus en Coupe du Monde, 15 juillet 2018. ©GERARD JULIEN / AFP

Les casseurs, des Champs-Elysées et d’ailleurs, ne sont pas des étrangers : comme les joueurs de l’équipe de France, ils sont les fils de la République. Nous ne devons pas commettre la même erreur qu’en 1998.

Après une folle nuit de célébration, la France s’est réveillée, lundi 16 juillet, fière, heureuse mais aussi un peu sonnée. Grisée mais groggie. Au matin de cette première journée sur le toit du monde, ce n’est pas une simple gueule de bois que nous avons éprouvée. En de nombreux points de l’Hexagone, les scènes de liesse et de joie ont parfois été entachées par des actes de vandalisme.
Bris de bleus

Nos existences post-modernes sont désormais vécues deux fois : une fois sur le vif et une seconde fois en captation et en partage numériques. Rares furent les témoins directs de ces échauffourées. Pourtant, personne n’a pu échapper aux images dérangeantes de cette extraordinaire et magnifique communion nationale perturbée par des hordes d’adolescents déchaînés.

Perturbantes, ces séquences le sont à plus d’un titre. L’effet contraste y est saisissant. Sur certaines vidéos, des pillards sortis d’une série de zombies avec, en arrière-plan, un arc de triomphe pavoisé et lumineux qui n’a jamais mieux mérité son nom.

En regardant ces gamins, principalement d’origine africaine ou maghrébine, le Tricolore sur les épaules briser des vitrines, renverser des véhicules et caillasser des CRS, on ne peut se départir d’un malaise.

C’est la faute à Voltaire

Nous ne sommes plus en 1998. Les attentats sont passés par là. Plus personne ne célèbre une France black-blanc-beur, surtout pas les Bleus qui revendiquent leur patriotisme haut et fort. Et les gosses des banlieues qui affluent dans les centres villes pour laisser éclater leur joie leur emboîtent le pas. On assiste à la démonstration filmée de l’assimilation paradoxalement réussie de la jeune génération. Comme si ces casseurs, euphémisme pour parler des bandes de voyous, étaient, sans le savoir, les descendants des sans-culotte, les héritiers de Gavroche, des communards et des étudiants de 1968.


L’émeute et l’affrontement avec les forces de l’ordre font tellement partie de notre ADN historique que cette jeunesse est plus française qu’elle ne le soupçonne elle-même. Y compris et peut être surtout dans sa détestation des forces de l’ordre et dans son anarchisme. Mais il n’y a qu’une piètre consolation à tirer de ce constat. Certes, et ce n’est déjà pas si mal, les oiseaux de mauvais augure du « remplacisme », les obsessionnels de la race qui prophétisaient la sécession ethnique et islamiste en ont été pour leurs frais. Dimanche soir, les indigénistes, censés communier dans la haine de la France, brandissaient fièrement le Tricolore. Ceux que certains décrivaient comme de la graine de djihadistes dévalisaient les supérettes pour se procurer de l’alcool. Peu d’oriflammes algérien, tunisien ou marocain à l’horizon. Les jeunes violents des cités ne se sentent pas étrangers. Les casseurs ne se réclament pas de l’islam pour voler les « koufars ». Les racailles ne se revendiquent pas noirs ou arabes. Ils sont de jeunes français et « en même temps » de jeunes barbares sans foi ni loi.

La France n’a pas le problème qu’elle croit

Pour autant, les béni-oui-oui du vivre-ensemble et les autruches de la société omni-tolérante seraient mal avisés de pavoiser. Les Français d’origine européenne sont très peu nombreux à y prendre part. Refuser de l’admettre confine à l’aveuglement idéologique.

Les classes « dangereuses » ne sont pas seulement des classes populaires mais aussi et peut-être surtout des classes aliénées. La distance religieuse et culturelle et, plus encore, la contradiction entre les valeurs familiales (patriarcales) et les valeurs sociales (celle d’une école et d’une société française livrée au relativisme maternant) jouent certainement un rôle dans cette aliénation. Situation que l’on peut ainsi résumer : la France a un sérieux problème avec une partie de sa jeunesse d’origine immigrée mais elle n’a pas le problème qu’elle croit.


Ce n’est pas la couleur de peau de la racaille, ni son idéologie (laquelle ?) qui pose problème aux Français paisibles (de toutes origines d’ailleurs) mais le complexe de supériorité et le sentiment d’impunité dans lequel elle se berce.

Car, bien qu’isolés, ces actes de vandalisme ne doivent surtout pas être pris à la légère. On serait d’ailleurs bien inspiré de leur appliquer un raisonnement par récurrence cher aux mathématiciens : si ces jeunes sont à ce point agressifs alors qu’ils manifestent leur joie, on redoute la brutalité qui se déchaînerait s’ils étaient réunis par la colère.

« Tout, tout de suite »

Dimanche soir, nos Meursault des cités étaient heureux de se voir si triomphants et si forts dans ce miroir embellissant que leur tendait les médias ainsi que tout un peuple adulant le génie footballistique d’un Mbappé (d’origine moitié camerounaise, moitié algérienne et pourtant si fier d’être Français).

Ces ilotes des quartiers sensibles ne sont pas fondamentalement méchants. Pourtant, dans leur juvénile bêtise, ils représentent un grave danger pour eux-mêmes et pour la concorde nationale. Ils se croient tout puissant. Ils ne comprennent pas ou n’admettent pas les règles du réel. Le rôle du talent, de la chance et du travail ainsi que le caractère totalement exceptionnel d’une réussite comme celle des Bleus leur sont totalement étrangers.

Tout leur est dû. Cela fait 40 ans qu’on leur dit et leur répète qu’ils sont des victimes. Eux se voient comme des dominants. Ces prédateurs à capuche n’entonnent le refrain de la victimisation que comme un rôle appris et dont ils ont compris les bénéfices. Ils croient ce qu’on leur a si bien enseigné : ils pensent avoir droit à une réparation illimitée. Comme dans la télé-réalité, comme dans Scarface, comme dans l’univers du rap ou dans ce qu’ils perçoivent du showbizz, du foot et des start-up, ils veulent « tout, tout de suite ».

Ces barbares ne sont pas hors les murs. Ils sont nos compatriotes et nos enfants.

Marianne vient d’être pelotée

L’un de mes amis m’a rapporté une scène, digne des Choses Vues de Victor Hugo, qui corrobore cette analyse. Dimanche soir, minuit passé sur les grands boulevards, une jeune parisienne élégante appartenant manifestement à la classe moyenne agite un drapeau.

Un jeune passe devant la belle qui sourit, heureuse de cet instant de communion. Le sauvageon s’arrête et malaxe furtivement la poitrine de la fille, en éclatant de rire. L’agresseur repart aussi vite qu’il était venu. Il a agi avec tant de spontanéité que la victime en est restée interdite.

Marianne vient d’être pelotée. Au risque de casser un peu l’ambiance, il est important de regarder cette réalité en face. Sans rien céder de notre fierté retrouvée et de notre joie légitime, il ne faut pas reproduire l’erreur de 1998 et se bercer d’illusions qui seront forcément déçues. Au contraire, cette fois, les promesses de l’unité et de la République doivent être tenues. Partout et quoi qu’il en coûte.


« Certains politiques veulent officialiser la victoire de l’islam politique en France »
Une tribune de l'imam de Nîmes, Hocine Drouiche
Par Hocine Drouiche  - 20 juillet 2018

Hocine Drouiche lors de la Marche des musulmans contre le terrorisme à Paris, juillet 2017. SIPA. 00814272_000006

L’imam de Nîmes, Hocine Drouiche, regrette qu’Emmanuel Macron cherche à réformer l’islam de France avec des personnalités proches de l’islam politique, tout en écartant celles qui s’en sont véritablement distingué.

Monsieur le président, votre engagement pour la réforme de l’islam est importante et intelligente, mais vous vous trompez complètement de chemin et de partenaires.

Les nouvelles propositions dévoilées par Le Monde concernant la nouvelle organisation de l’islam en France sont catastrophiques.

Nous avons soutenu le président de la République pour sa vision réformiste et il doit aider les imams républicains pour reformer l’islam avec courage. Sans cette vision réformiste humaine et républicaine, le président Emmanuel Macron continuera la politique du bricolage voulue par l’islam politique pour gagner du temps et dominer les mosquées et les institutions musulmanes. Malheureusement, ce bricolage risque de se terminer par un bain de sang et une guerre civile à la libanaise souvent souhaitée par les islamistes, qui ne s’empêcheront pas d’utiliser la violence lorsqu’ils ne peuvent plus convaincre.

Certains politiques veulent officialiser clairement la victoire de l’islam politique en France.
Choquant, incompréhensible et humiliant pour les imams, les responsables musulmans et tous les Français musulmans qui combattaient avec courage pour un islam réformé et progressiste.
La majorité des personnalités proposées dans ce triste rapport de Hakim El Karouiattaquaient et condamnaient les imams républicains qui ont eu le courage et l’initiative d’organiser la marche musulmane contre le terrorisme en juillet dernier et combattent la francophobie et l’antisémitisme sans aucune ambiguïté.

L’islam politique était toujours une partie du problème. Il ne sera jamais une solution de la crise de l’islam en France.

L’Etat peut ouvrir ses yeux pour voir les expériences catastrophiques et les résultats de l’islam politique en plusieurs pays étrangers.

Une nouvelle fois, la restructuration de l’islam en France se trompe dans le chemin et dans l’essence. Les politiques s’inclinent devant les islamistes qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser la France et l’Europe entière en mettant notre société dans une guerre religieuse.

Ce choix menace clairement notre avenir en commun, car si le problème n’est pas réglé par les musulmans eux-mêmes, la solution sera violemment imposée par la majorité sociale qui ne cesse pas de déclarer et d’afficher ses inquiétudes et ses craintes envers l’islam et les islamistes sans qu’elle soit entendue ni par les responsables musulmans ni par les politiques.

Les islamistes qui étaient en conflit éternel avec les valeurs de la République et de la société locale pourraient devenir les leaders de la réforme de l’islam selon les propositions actuelles…! Ils n’ont jamais rêvé d’avoir cette chance en France. Cela signifie la disparition totale de certains imams courageux que les Français ont connus et aimés ces dernières années. Ces imams qui n’ont pas cessé de défendre un islam rationnel, fraternel et humain, pas antisémite et pas homophobe. L’imam Chalghoumi, le mufti des Comoriens à Marseille, Saïd Kassim, Ghaleb Ben Cheikh, Hocine Drouiche et tous les imams qui ont osé visiter Israël seront bientôt les premières victimes des islamistes choisis pour gérer la crise profonde que l’islam traverse aujourd’hui en France et ailleurs.

Ce sont les seuls qui ont osé être présents au Bataclan, à Charlie Hebdo, à Nice, à Rouen, à Bruxelles et à Toulouse.


Nos adversaires nous ont accusé de collaborateurs, de traîtres, de vendus pour nous discréditer devant les musulmans ; ils n’ont pas pu nous séparer de notre communauté musulmane. Ils viennent d’avoir un cadeau inimaginable. Ce cadeau vient malheureusement de notre Etat laïque qui devait soutenir ceux qui portaient ses valeurs et pas ceux qui les combattaient et qui rêvent de les changer un jour.
Je demande à toutes les personnes de lumière ainsi qu’à la société civile d’aider les musulmans de France afin qu’ils ne tombent pas dans l’obscurantisme et les projets suicidaires de ces islamistes caméléons qui ne rassurent personne. Ils n’ont jamais clarifié leurs positions haineuses envers les musulmans républicains, l’occident, les juifs, le prosélytisme, le terrorisme l’égalité hommes-femmes et la réforme de l’islam.

Le président de la République voulait finir avec l’anarchie totale du grand souk du CFCM en présentant comme alternative un monstre islamiste qui menace l’avenir de nos valeurs, de notre paix sociale et qui pourrait à moyen et long terme nuire à l’image brillante du président lui-même.



Le Top 5 des pires récupérations de la victoire des Bleus
Certains de nos commentateurs préférés récupèrent moins bien que N'Golo Kanté

 - 20 juillet 2018

Gérard Collomb, François Hollande et Barack Obama. SIPA. 00865897_000004 / 00864251_000019 / AP22226593_000015

Au football, la récupération (du ballon) est un art dans lequel excelle N’Golo Kanté. En politique, celle du football en est un autre, dans lequel se prennent les pieds certains de nos commentateurs préférés…

Il paraît que quiconque est pour le foot s’attire l’approbation des masses ! Selon le consensus de très nombreux experts, le foot, c’est « un peu plus qu’un sport ».

Peu avant le match de dimanche, des esprits chagrins voyaient arriver gros comme un camion la « récupération politique » que l’exécutif pourrait ainsi tirer de la victoire. « Avec moi, ça ne prend pas ces vieux trucs ! », assuraient nos experts et tout journaliste-décrypteur qui se respecte. Alors que le chef de patrouille Yann Barthès est en congés, cette lucidité collective de la profession était à saluer ! Pour calmer le jeu avant la finale, notre pimpant porte-parole gouvernemental Benjamin Griveaux avait même indiqué que si la France gagnait, « le gouvernement n’y [serait] pour rien ». Il ajoutait dans un pur moment de lucidité rustique : « Est-ce que vous pensez que parce que […] nous aurions une issue heureuse à cette finale, les Français […] subitement oublieraient leurs soucis ? » Il n’est pas allé jusqu’à dire qu’il ne regarderait pas le match, mais le résultat lui était apparemment indifférent. « Mais bien sûr ! », comme dirait la bonne dame dans la pub Milka. Reconnaissons-le : dans les faits, la récupération politique est limitée si l’on compare à 1998. Il y a 20 ans, l’ancien président Chirac avait capitalisé sur le succès des Bleus et engrangé 18 points de popularité. De quoi laisser rêveur un heureux possesseur de piscine hors-sol que nous connaissons bien…

Mais c’était plus fort qu’eux : des figures « progressistes » n’ont pas pu s’empêcher de (tenter de) tirer profit de l’exploit sportif. Voici un petit top 5 des meilleures prestations qui ont suivi le coup de sifflet final moscovite :

5. Pascal Boniface
L’impayable directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris) estime que la victoire de notre « équipe multiculturelle » est une très mauvaise nouvelle politique pour la « frange la plus identitaire de l’extrême droite » tant elle démontre la capacité de la France à dépasser ses clivages. La tentation du vote d’extrême droite va donc refluer en France, c’est certain.

4. Thomas Porcher
L’économiste chouchou des chaines d’info, d’Arte et de la gauche radicale se met à rêver que nos milliardaires à crampons lancent la révolution contre l’affreuse société libérale. Et c’est Pogba le nouveau Mohamed Ali, donc ?

Comme toutes les récupérations semblent permises, je me mets à rêver qu’un #bleu refuse l’invitation à l’Élysée pour marquer son opposition à la politique de #macron. Celui-là,en plus d’entrer dans l’histoire du sport,deviendrait une légende à la Mohamed Ali.#championdumonde2018

3. Barack Obama & Trevor Noha
L’ancien président américain et le comique du Daily Show arrivent ex-aequo en petite finale. Il faut dire que les deux ont eu le crampon particulièrement lourd. Le premier se félicite que bien que « tous ces mecs ne ressemblent pas à des Gaulois, ils sont Français, ils sont Français ! ». Compris, bande de racistes, bande de racistes ?


"Ils ne ressemblent pas à des Gaulois mais ils sont Français "

Quand Barack Obama parle de l'équipe de France, en plein discours d'hommage à Nelson Mandela...

A ecouter, à réécouter, à réréecouter sans cesse. (Video @brutofficiel )#fierdetrebleus

De son côté, Trevor Noha ne comprend pas que les Bleus ne puissent pas être Français tout en revendiquant leur « africanité » (après avoir estimé que l’Afrique avait gagné la Coupe du Monde et s’être attiré les foudres des joueurs et de notre ambassadeur…). Et ta soeur ? Aux Etats-Unis, les communautés sont soigneusement séparées par zones façon Sim City 2000 ! Les Français entendent rester encore un peu un peuple uni, si vous le permettez. Non vraiment les amerloques, retournez dans votre pays !

2. Gerard Collomb
Notre ministre de l’Intérieur accède à la finale. Il galère pourtant de plus en plus à recruter de nouveaux flics. Avec son montage croquignolesque de policiers, gendarmes et pompiers en bleu-blanc-rouge, il aimerait que tous les citoyens respectent enfin ces « héros du quotidien » dont il a l’honneur de chapeauter l’action. Le message n’est pas parvenu jusqu’aux Champs Elysées le soir de la victoire.

Ils n'ont pas de crampons et pas de numéro sur leur maillot.
Mais ils portent chaque jour haut les couleurs de la France.
Ce sont, tout simplement, nos héros du quotidien.
Respectez-les, comme vous respectez l'équipe de France.#FiersdetreBleus #FRACRO

1. François Hollande
Sur France Inter, le président normal a partagé sa folle rêverie : « 1998, aujourd’hui… Je ne veux pas faire de comparaison, mais ça montre qu’on peut gagner deux fois. »Au secours ! Se présenter en 2022, il y croit de plus en plus. Champion du monde du message subliminal !
Ce podium ne peut bien sûr faire oublier les récupérations les plus crasses. Celles des identitaires et des indigénistes sur les réseaux sociaux. Les premiers aimeraient chanter « Allez les blancs! » plutôt que « Allez les bleus! ». Les seconds passent leur temps à mettre en avant les « origines » de tel ou tel joueur tricolore et à fantasmer une revanche sur un pays qu’ils qualifient de « néocolonial ».
Je vais suivre les conseils d’Elisabeth Lévy et éteindre mon smartphone quelque temps.


Elisabeth Lévy: "Il faut réapprendre aux êtres humains à ne pas vivre à travers leur téléphone" #Droitdequestion @Polony_tv @Causeur

Et continuer d’admirer la seule récup’ qui trouve grâce à mes yeux : celle qui s’affiche aux fenêtres de nos immeubles, recouvertes de drapeaux de différentes factures et de toutes tailles récupérés à droite et à gauche.


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