À l'ombre de l'islam de France, les musulmans qui exercent la liberté de conscience - et les non-musulmans qui critiquent Mahomet - sont-ils à l'abri de la mort que leur promettent les terroristes ? En d'autres termes, est-ce que l'islam de France compte les soutenir ? Tariq Ramadan dit oui. Tareq Oubrou aussi. Le recteur Dalil Boubakeur, la figure officielle la plus importante de cet islam de France, dit oui.
En même temps, Tariq Ramadan défend la décapitation de
sept cents hommes et la vente de leurs femmes et enfants pour le viol et le service. Tareq Oubrou ne s'est jamais repenti d'avoir appelé au djihad pour construire le califat. Et dans l'institut de théologie que préside Dalil Boubakeur, les futurs imams et aumôniers de prison de France, de Belgique, de Suisse et du Canada apprennent à interpréter les textes sacrés de l'islam à la façon de Daech. Ils apprennent à haïr la France, à traiter les Français de croisés haineux et à prétendre que leur haine a été la raison de l'occupation de l'Algérie.
Quelle est la vérité de cette occupation ? Quel est le rôle joué par le gouvernement algérien dans l'islamisation galopante en France ? Laissons parler Tariq Ramadan, Tarek Oubrou et Dalil Boubakeur. Laissons les textes qu'ils citent parler.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur. Ce qu’ils cachent, Lina MurrNehmé, SALVATOR 2017
L’auteur est boycotté par tous les grands médias francophones, mais pas par les arabophones, en Algérie en particulier, car ils savent mieux que quiconque ce qu’est l’islamisme, et qu’elles sont ses pratiques. Ils peuvent, en outre, lire directement dans le texte…
Ce livre est une bombe. Il ne dénonce personne, il se contente de dire ce qui est, ce que ces personnages publics disent et pensent en vérité. Dans leur monde, dicté par le Coran, et protégé par les lois de notre actuelle République.
En 2015 tous trois ont déclaré que l’Etat Islamique ne représentait pas l’islam voire que le jihad devait être intérieur. Pourtant…Tareq Obrou a passé des années de sa vie, en France, à appeler au jihad les musulmans de France, pour les inciter à établir un état islamique en France et dans le monde. Après les attentats, il a indiqué à la mosquée qu’il fallait faire le djihad physique contre les kouffars, c’est-à-dire les mécréants, singulièrement les juifs et les chrétiens.
Ils parlent souvent d’amour mais cet amour ne concerne que les musulmans entre eux, ce qu’ils se gardent bien de dire aux autres.
Lina Murr Nehmé affirme : « Prétendre obliger un pays non musulman à subir la prière islamique aux horaires non compatibles avec ceux du travail, c’est une forme d’invasion », et rappelle également que « céder les églises aux musulmans et en priver les descendants de ceux qui les ont payées prépare une guerre civile ».
Ce livre dénonce, entre autres, « L’Institut pour l’islam » de Dalil Boubakeur qui pratique une violente détestation assumée contre les Chiites, et rappelle, conformément au Coran, que les Mécréants doivent être supprimés et que les apostats ont trois jours pour se reconvertir, faute de quoi …
Elle appelle à ne pas répondre à la haine par la haine et observe que beaucoup de musulmans prient la Vierge, surtout des femmes au demeurant. Elle indique également les saints libanais font des miracles en faveur des druzes comme des musulmans ; l’objectif est de les convertir afin de réaliser un vrai « vivre ensemble ».
Elle nous apprend aussi que la prise de Médine s’est faite, ainsi que l’a reconnu le genevois Frère Tariq, selon les règles de la guerre. Il suffit de se rappeler, ou d’oublier de dire, que, selon le prophète, ces règles consistent à décapiter les hommes à partir de 12 ans, après avoir vérifié la présence de poils, ainsi qu’à esclavagiser les femmes et les enfants. La péninsule était alors peuplée de juifs et de chrétiens : ils ont fait place nette.
Pour bien comprendre ce Tarik, il faut remonter au grand-père : Hassan Al Bunna haïssait son rival Taha Hussein, grand intellectuel aveugle, qui avait obtenu un doctorat de philosophie en France, sur Ibn Khaldoun. Doyen de la faculté de littérature, il vit son adversaire exiger la mise à mort de son livre « De la poésie pré-islamique », en 1936…
Il faut lire ce livre et se rappeler avec Ibn Khaldoum que les pays pris par les Arabes perdent tout progrès. En effet, selon le Prophète : « Le paradis se trouve à l’ombre des épées ». De la sorte, depuis le VIIe siècle et jusqu’à DAECH, ils ont justifié pillages et massacres (p 141).
Nous voilà prévenus.
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