https://twitter.com/msdzbornak/status/1022512670090690560
"Hot Girls Wanted", le documentaire anti-féministe qui s'ignore. Où des adolescentes disent être mieux traitées sur un tournage porno que par les garçons avec lesquels elles couchent "en dehors". Où elles admettent, en retenant leur larmes, qu'elles auraient voulu passer leur vie avec leur premier amant, mais qu'aujourd'hui ça n'existe plus et que "le sexe, c'est devenu anodin". Où une mère écoute sa fille encore boutonneuse lui expliquer que tout va bien, elle ne risque pas d'être enceinte, "ils éjaculent jamais dedans, toujours dessus".
Et ces gamines assises autour de leur "agent" au sourire satisfait, comme des esclaves de harem, qui s'entendent parfois dire qu'elles doivent perdre un peu de poids pour mieux se vendre. Quelle éclatante victoire de la liberté sur l'étouffante morale de l'ancien monde !
Mais eh, au moins aucun "patriarche" ne leur interdit de faire tout ce qu'elles veulent au lit (parce qu'elles le veulent, pas vrai? Ça semble les rendre si heureuses). Et on ne peut pas dire qu'elles soient entravées par les lourdes chaînes de la conjugalité.
Bon, quand il faut commencer à faire du kink pour continuer à être embauchée, se faire enfoncer un gode géant dans la gorge jusqu'au vomissement et ensuite lécher son propre vomi face caméra, on peut se demander si elles ne seraient pas mieux sous le joug tyrannique du couple.
Evidemment la réalisatrice du docu, féministe, expliquerait qu'il faut blâmer les hommes, ces affreux pervers, pour cette horreur. Mais qui a réclamé tout ça? Qui a craché sur le "mythe" de la virginité et l'"oppression" de la fidélité? Qui a orchestré la "libération sexuelle"?
Qui a soutenu dur comme fer qu'il n'y avait aucune différence entre la sexualité des hommes et celle des femmes, que les femmes pouvaient et voulaient baiser librement sans sentiments, sans engagement, sans protection? Les hommes n'ont rien demandé, mais maintenant ils profitent.
Enfin, certains hommes profitent. Les autres subissent les tentatives des mêmes féministes pour limiter les dégâts du désastre qu'elles ont provoqué, à coup de "men are trash", de MeToo, de "tous des violeurs", de contrats de consentement à chaque étape du rapport sexuel.
Merci le féminisme pour ce monde où les gamines doivent jongler entre les injonctions au sexe Tinder déshumanisé (avec le porno comme suite, si elles veulent, puisque tout est permis) et le ressentiment furieux envers les hommes qui, qu'on l'admette ou non, en est la conséquence.
Merci le féminisme pour ce monde où les filles ne comprennent pas pourquoi elles souffrent, pourquoi elles n'arrivent pas à faire ce qu'on attend d'elles, à savoir se comporter comme si elles étaient des hommes - baiser, se faire du fric parfois, et ne jamais rien ressentir.
Merci le féminisme d'avoir voulu nous "libérer" en détruisant méthodiquement toutes les institutions qui nous protégeaient depuis des siècles, par caprice ("Moi j'veux faire tout comme les garçons!"), pour ensuite rejeter la faute sur ceux que vous vouliez imiter.
"Hot Girls Wanted", le documentaire anti-féministe qui s'ignore. Où des adolescentes disent être mieux traitées sur un tournage porno que par les garçons avec lesquels elles couchent "en dehors". Où elles admettent, en retenant leur larmes, qu'elles auraient voulu passer leur vie avec leur premier amant, mais qu'aujourd'hui ça n'existe plus et que "le sexe, c'est devenu anodin". Où une mère écoute sa fille encore boutonneuse lui expliquer que tout va bien, elle ne risque pas d'être enceinte, "ils éjaculent jamais dedans, toujours dessus".
Et ces gamines assises autour de leur "agent" au sourire satisfait, comme des esclaves de harem, qui s'entendent parfois dire qu'elles doivent perdre un peu de poids pour mieux se vendre. Quelle éclatante victoire de la liberté sur l'étouffante morale de l'ancien monde !
Mais eh, au moins aucun "patriarche" ne leur interdit de faire tout ce qu'elles veulent au lit (parce qu'elles le veulent, pas vrai? Ça semble les rendre si heureuses). Et on ne peut pas dire qu'elles soient entravées par les lourdes chaînes de la conjugalité.
Bon, quand il faut commencer à faire du kink pour continuer à être embauchée, se faire enfoncer un gode géant dans la gorge jusqu'au vomissement et ensuite lécher son propre vomi face caméra, on peut se demander si elles ne seraient pas mieux sous le joug tyrannique du couple.
Evidemment la réalisatrice du docu, féministe, expliquerait qu'il faut blâmer les hommes, ces affreux pervers, pour cette horreur. Mais qui a réclamé tout ça? Qui a craché sur le "mythe" de la virginité et l'"oppression" de la fidélité? Qui a orchestré la "libération sexuelle"?
Qui a soutenu dur comme fer qu'il n'y avait aucune différence entre la sexualité des hommes et celle des femmes, que les femmes pouvaient et voulaient baiser librement sans sentiments, sans engagement, sans protection? Les hommes n'ont rien demandé, mais maintenant ils profitent.
Enfin, certains hommes profitent. Les autres subissent les tentatives des mêmes féministes pour limiter les dégâts du désastre qu'elles ont provoqué, à coup de "men are trash", de MeToo, de "tous des violeurs", de contrats de consentement à chaque étape du rapport sexuel.
Merci le féminisme pour ce monde où les gamines doivent jongler entre les injonctions au sexe Tinder déshumanisé (avec le porno comme suite, si elles veulent, puisque tout est permis) et le ressentiment furieux envers les hommes qui, qu'on l'admette ou non, en est la conséquence.
Merci le féminisme pour ce monde où les filles ne comprennent pas pourquoi elles souffrent, pourquoi elles n'arrivent pas à faire ce qu'on attend d'elles, à savoir se comporter comme si elles étaient des hommes - baiser, se faire du fric parfois, et ne jamais rien ressentir.
Merci le féminisme d'avoir voulu nous "libérer" en détruisant méthodiquement toutes les institutions qui nous protégeaient depuis des siècles, par caprice ("Moi j'veux faire tout comme les garçons!"), pour ensuite rejeter la faute sur ceux que vous vouliez imiter.
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