[...] Avant les invasions
musulmanes, l'Inde jouissait d'une des civilisations les plus élaborées dans le
monde. L'Hindustan du 10ème siècle égalait ses contemporains de l'Est et de
l'Ouest dans les domaines de la philosophie, des mathématiques et des sciences
naturelles. Les mathématiciens indiens avaient découvert le zéro, sans oublier
l'algèbre et d'autres théories, qui furent transmises plus tard au monde
musulman auquel on en attribua faussement le mérite. L'Inde médiévale, avant
l'invasion musulmane, était une culture richement imaginative, une des cinq ou
six civilisations les plus avancées de tous les temps. Ses sculptures étaient
vigoureuses et sensuelles, son architecture richement ornée et envoûtante. Et
tout ceci était une réalisation purement autochtone et non, comme c'est le cas
de nombre des plus fameux hauts-lieux de la culture musulmane, des reliquats de
civilisations pré-islamistes dont les musulmans s'étaient rendus maîtres.
Les envahisseurs musulmans commencèrent
leurs incursions au début du 8ème siècle, sous le règne de Hajjaj, le
gouverneur de l'actuel Irak. [...] En 712, sous le commandement de Mohammed Kasim,
les auteurs des raids démolirent les temples, brisèrent les sculptures,
pillèrent les palais, tuèrent un nombre incalculable d'hommes – le massacre des
habitants de Debal se prolongea pendant trois jours – et emmenèrent les femmes
et les enfants en esclavage, certains réservés aux pratiques sexuelles. Après
la vague de violence initiale, Kasim tenta toutefois de rétablir la loi et
l'ordre sur ces terres nouvellement conquises, et à cette fin, il autorisa même
un certain degré de tolérance religieuse. Mais quand Hajjaj, son maître,
entendit parler de ces usages pleins d'humanité, il objecta : « Il
apparaît dans votre lettre que l'ensemble des règles que vous avez promulguées
pour le confort et le bien-être de vos hommes est en parfait accord avec la loi
religieuse. Mais la manière d'accorder le pardon prescrite par la loi est
différente de celle que vous avez adoptée, puisque vous accordez votre pardon à
chacun, riche ou pauvre, sans faire aucune distinction entre ami et ennemi. Le
Grand Dieu dit dans le Coran [47.4] : “O Vrais Croyants, quand vous
rencontrez des incroyants, coupez-leur la tête.” Ce commandement du Grand
Dieu est un commandement supérieur et doit être respecté et suivi. Vous ne
devez pas être trop indulgent et montrer de la pitié, ceci pourrait anéantir la
portée de l'acte. Désormais, n'accordez de pardon à aucun ennemi et n'en
épargnez aucun, car si vous le faites, tous vous considéreront comme un homme à
l'âme faible. »
Dans une communication ultérieure,
Hajjaj répéta que tout homme valide devait être tué, et que les fils et filles
en bas âge devaient être emprisonnés et retenus en otages. Kasim obéit, et en
arrivant à la ville de Brahminabad, il massacra entre 6 000 et 16 000 hommes.
Voir aussi :
Voir aussi :
L’irruption de l’islam et le « Moyen Âge » indien : huit siècles de génocide et de nettoyage ethnique
par Serge Trifkovic
Adapté de : « Le Sabre du Prophète : Un guide de l'Islam politiquement incorrect »,
par Serge Trifkovic*.
Traduction de l'article « Islam's Other Victims : India »
paru dans « Front Page Magazine.com » du 18 novembre 2002
La portée de ces événements ne se limite
pas seulement à l'horreur qu'inspire le nombre de personnes massacrées, mais
étend sa signification au fait que les auteurs de ces massacres n'étaient pas
les soudards d'une armée désobéissant aux enseignements éthiques de leur
religion, comme l'étaient les croisés européens en Terre Sainte, mais bien
qu'ils faisaient exactement ce que leur religion enseignait. (On peut noter que
le Christianisme a évolué et ne prêche plus les croisades, ce qui n'est pas le
cas de l'Islam. Il est abondamment prouvé que la jihad a été prêchée depuis les
centres officiels de l'Islam et non pas seulement par des groupes marginaux
d'extrémistes fanatiques.)
Les exploits de Kasim le précurseur se
poursuivirent au début du 11ème siècle, quand Mahmoud de Ghazni « traversa
l'Inde comme une tornade, détruisant, pillant et massacrant », appliquant
avec zèle l'injonction coranique qui demande la mort des idolâtres qu'il avait
juré de châtier chaque jour de sa vie.
Au cours des dix-sept vagues successives
de cette invasion, du propre aveu de l'érudit Alberuni que Mahmoud avait emmené
en Inde, « Mahmoud ruina complètement la prospérité du pays, et accomplit
de merveilleux exploits, dignes de figurer dans la mémoire du peuple, telle une
ancienne légende, réduisant les hindous en atomes de poussière éparpillés dans
toutes les directions. Les restes dispersés [de cette population] nourrirent de
ce fait, une aversion invétérée à l'encontre des musulmans. »
Doit-on s'en étonner ? À ce jour, les citoyens de Bombay,
New Delhi, Calcutta et Bangalore vivent dans la crainte du Pakistan, pays
politiquement instable et détenteur de l'arme nucléaire, qui contrairement à
l'Inde (mais comme tout pays musulman), n'a pas réussi à maintenir la
démocratie depuis l'indépendance.
Mathura, la ville sainte du dieu
Krishna, fut la victime suivante :
« Au milieu de la ville se trouvait
un temple plus grand et plus finement ouvragé que tout le reste, impossible à
décrire par un texte ou une peinture. » Le sultan Mahmoud pensait qu'il
avait fallu plus de 200 ans pour le construire. Les idoles, parmi lesquelles
« cinq statues d'or rouge de cinq mètres de haut » avaient les yeux
sertis de pierres précieuses inestimables. « Le sultan donna l'ordre de
brûler tous les temples par le naphte et le feu, et de les raser jusqu'au
niveau du sol. »
Conséquences de cette invasion, dans les
antiques cités de Vanarasi (Bénarès), Mathura, Ujjain, Maheswar, Jwalamukhi et
Dwaraka, pas un seul temple intact ou complet ne subsistait. C'est comme une
armée qui marcherait sur Paris, Rome, Florence et Oxford et qui annihilerait
tous ces trésors architecturaux. Il s'agit d'un acte qui dépasse le nihilisme ;
un négativisme absolu, une haine de la culture et de la civilisation.
Dans son livre « Histoire de la
Civilisation », le célèbre historien Will Durant s'affligeait des
conséquences de ce qu'il nommait « probablement l'épisode le plus sanglant
de l'Histoire ». Il considérait cette invasion comme « une histoire
décourageante, puisque l'évidente morale qui s'en dégage nous assène que la
civilisation est un bien précieux, dont la liberté et l'ordonnancement délicat
et complexe peuvent à tout moment être balayés par des barbares déferlant de
l'extérieur et se multipliant de l'intérieur ».
Les envahisseurs musulmans
« détruisirent et brûlèrent tout ce qu'ils rencontrèrent de beau dans
l'Hindustan », affichant le ressentiment de guerriers sous-développés,
intimidés par la confrontation avec « une culture plus raffinée »,
comme le souligne un commentateur indien. « Les sultans musulmans
construisirent des mosquées sur l'emplacement des temples détruits, et de
nombreux hindous furent vendus comme esclaves. Ils étaient des kafirs, des
païens par excellence. À la différence des chrétiens et des juifs, ils
n'étaient pas des peuples "du Livre", et ils furent les victimes
toutes désignées – les pacifiques bouddhistes également mais dans une moindre
mesure – de l'injonction de Mahomet contre les païens : "Tuez ceux qui
rejoignent d'autres dieux que Dieu, où que vous puissiez les découvrir."
(Non pas que le fait d'être "du Livre" ait beaucoup aidé les juifs et
les chrétiens contre d'autres agressions musulmanes, mais ceci est une autre
histoire.)
Depuis cette époque, les abords
montagneux du Nord-Ouest de l'Inde se nomment Hindu Kush, « le massacre
des hindous » en souvenir du temps où les esclaves hindous du
sous-continent mouraient dans les rudes montagnes d'Afghanistan sur le chemin
de la déportation vers les cours musulmanes d'Asie centrale. La boucherie de
Somnath, sur le site d'un temple hindou célèbre, où 50 000 hindous furent tués
sur l'ordre de Mahmoud, a donné le ton pour des siècles.
Les paisibles bouddhistes furent les
victimes suivantes à être désignées pour les massacres de masse en 1193, quand
Mohammed Khilji incendia également leur célèbre bibliothèque. À la fin du 12ème
siècle, après la conquête musulmane de leur bastion du Bihar, ils perdirent
toute présence significative en Inde. Les survivants se retirèrent au Népal ou
au Tibet ou s'échappèrent vers le Sud du sous-continent. Les restes de leur
culture s'éparpillèrent dans des contrées aussi lointaines que le Turkestan. À
la merci des conquérants musulmans et de leurs héritiers, ces témoignages
furent systématiquement anéantis, comme le furent, de nos jours encore, les
quatre statues géantes des Bouddhas d'Afghanistan en mars 2001.
Le fait qu'une disposition à la culture
et une sensibilité développée puissent aller de pair avec la bigoterie et la
cruauté trouva son illustration avec Firuz Shah, qui gouverna le Nord de l'Inde
à partir de 1351. Ce chef musulman tyrannique, bien qu'éduqué, surprit un jour
une célébration hindoue dans un village, et ordonna que toutes les personnes
présentes soient exécutées. Il raconta fièrement qu'après avoir perpétré le
massacre, il détruisit les temples et fit ériger des mosquées à leur place.
L'empereur Moghol Akbar a laissé le
souvenir d'un monarque tolérant, du moins selon les standards musulmans en Inde
: au cours de son long règne (1542-1605), on ne peut porter à son actif qu'un
seul massacre, quand, le 24 février 1568, il ordonna la mise à mort de près de
30 000 prisonniers rajpoutes après la bataille de Chitod. Mais si Akbar accepta
les autres religions et toléra la célébration publique de leurs cultes, s'il
abolit l'impôt sur les non-musulmans, son intérêt pour les croyances différentes
ne reflétait pas un quelconque esprit de tolérance musulman. Bien au contraire,
cette attitude indiquait une propension à la libre-pensée dans le domaine
religieux qui l'amena finalement à une apostasie complète. Ses plus hautes
actions consistèrent en une déclaration formelle de son infaillibilité en
matière religieuse, sa promulgation d'un nouveau credo et son adoption des
fêtes et pratiques hindoues et zoroastriennes. C'est un modèle dans l'histoire
musulmane que l'on ressasse encore et toujours, y compris à l'heure actuelle :
pour peu que l'on découvre un musulman raisonnable, éclairé et tolérant, un
examen plus minutieux laisse apparaître qu'il s'agit de quelqu'un qui a
commencé par être musulman, et qui progressivement s'est éloigné de
l'orthodoxie de cette foi. En d'autres termes : les meilleurs musulmans sont
souvent les moins musulmans (un théorème qui ne semble pas s'appliquer aux
autres religions.)
Les choses reprirent un cours normal
avec Shah Jahan (1593-1666), un petit-fils d'Akbar le Grand et le cinquième
empereur Moghol. La plupart des occidentaux se souviennent de lui comme le
commanditaire du Taj Mahal, mais n'ont aucune idée de la cruauté de ce roi qui
engagea quarante-huit campagnes militaires contre les non-musulmans en moins de
trente ans. Sur le modèle de ses coreligionnaires ottomans, à l'occasion de son
couronnement, il tua tous les membres mâles de sa famille sauf un qui réussit à
s'enfuir en Perse. Shah Jahan avait 5 000 concubines dans son harem, ce qui ne
l'empêchait pas d'entretenir des rapports incestueux avec deux de ses filles,
Chamani et Jahanara. Au cours de son règne, rien qu'à Bénarès, 76 temples
hindous furent détruits, ainsi que des églises chrétiennes à Agra et Lahore. À
la fin du siège de Hugh (une enclave portugaise près de Calcutta) qui dura
trois mois, dix mille habitants furent « déchiquetés par la poudre,
étouffés par noyade ou brûlés. » Quatre mille captifs furent emmenés à
Agra où on leur offrit de choisir entre l'Islam ou la mort. La plupart refusèrent
de se convertir et furent tués, à l'exception des jeunes femmes qui
rejoignirent des harems.
Ces massacres perpétrés par les
musulmans en Inde n'ont pas de parallèle dans l'histoire. En valeur absolue,
ils sont plus importants que l'holocauste des juifs, la Terreur soviétique, les
massacres japonais sur les Chinois pendant la seconde guerre mondiale, les
dévastations de Mao contre la paysannerie chinoise, le génocide des Arméniens
par les Turcs, ou que tout autre de ces fameux crimes contre l'humanité du 20ème
siècle. Hélas, ils restent pratiquement ignorés à l'extérieur de l'Inde.
Plusieurs raisons expliquent ce fait. À
l'époque où ils dirigeaient l'Inde, les Britanniques, fidèles à leur politique
du « diviser pour régner », blanchirent les archives musulmanes pour
que les membres de cette communauté puissent contrebalancer politiquement le
poids de leurs administrés hindous plus nombreux. Dans la période de la lutte
pour l'indépendance, Gandhi et Nehru minimisèrent l'étendue historique des
atrocités afin de présenter la façade d'une unité hindou-musulmane contre les
Britanniques. (Bien entendu, cette façade s'évanouit immédiatement après
l'indépendance, et plusieurs millions de personnes furent tuées dans les
violences religieuses qui accompagnèrent la partition de l'Inde britannique et
la création du Pakistan.) Après l'indépendance, les écrivains indiens
marxistes, aveuglés par leur idéologie, supprimèrent la vérité des registres
musulmans, parce qu'elle ne correspondait pas à la théorie marxiste de l'histoire.
Aujourd'hui, l'équivalent indien de la mode du « politiquement
correct » passe sous silence les crimes des musulmans qui sont devenus une
« minorité opprimée » dans une Inde majoritairement hindoue. Enfin,
les intellectuels de gauche du pays ne cessent de blâmer l'Inde et haïssent
leur propre civilisation hindoue, de la même manière que leurs congénères de
Berkeley condamnent sans relâche les États-Unis et l'Occident.
À la différence de l'Allemagne qui a
présenté des excuses à ses victimes juives et de l'Europe de l'Est,
contrairement au Japon qui a au moins su se tenir depuis la seconde guerre
mondiale, et même comparé aux États-Unis qui sont allés jusqu'au paroxysme de
la culpabilisation pour les actes commis à l'encontre d'un nombre bien plus
réduit d'Amérindiens, les agresseurs musulmans de l'Inde et leurs successeurs
n'ont même jamais cessé leurs tentatives pour finir le travail qu'ils avaient
commencé. À ce jour, les militants islamistes considèrent encore l'Inde comme
« une affaire non réglée », et le problème est inscrit tout en haut
de l'agenda de certains pays musulmans enrichis par leur pétrole, comme
l'Arabie Saoudite, qui dépensent des millions chaque année pour tenter de
convertir les hindous à l'Islam.
Une petite satisfaction nous est laissée
: ils trouvent que cela avance plutôt lentement.
Robert Locke
(* Serge
Trifkovic a obtenu son Doctorat de Philosophie à l'Université de Southampton en
Angleterre, et a poursuivi ses recherches à l'Institut Hoover de Stanford. Ses antécédents journalistiques
comprennent : « BBC World Service », « Voice of America »,
« CNN International », « MSNBC », « U.S. News and
World Report », « The Washington Times », « The
Philadelphia Inquirer », « The Times of London », et le
« Cleveland Plain Dealer ». Il est rédacteur en chef du
service étranger et chroniqueur à : « A Magazine of American
Culture ». Cet article a été adapté par Robert Locke pour« Front
Page Magazine ».)
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kevin duffey
https://www.youtube.com/watch?v=YJtRnOp7jzQ
dans la conversation qui commence par :
Apprendre Alire : Martyrs in the path of jihad and killing men and women have the best chance to go to paradise, according to Islam.
fidel
catsro I don't know, who? You tell me. If you want to compare atrocities that
Muslims committed against a people you have to tell me who we are comparing
them to!
With the
invasion of India by Mahmud Ghazni about 1000 A.D., began the Muslim invasions
into the Indian subcontinent and they lasted for several centuries. Nadir
Shah made a mountain of the skulls of the Hindus he killed in Delhi alone.
Babur raised towers of Hindu skulls at Khanua when he defeated Rana Sanga in
1527 and later he repeated the same horrors after capturing the fort of
Chanderi. Akbar ordered a general massacre of 30,000 Rajputs after he captured
Chithorgarh in 1568. The Bahamani Sultans had an annual agenda of killing a
minimum of 100,000 Hindus every year.
The history of medieval India is full of such instances. The
holocaust of the Hindus in India continued for 800 years, till the brutal
regimes were effectively overpowered in a life and death struggle by the Sikhs
in the Panjab and the Hindu Maratha armies in other parts of India in the late
1700’s.
We have elaborate literary evidence of the World’s biggest
holocaust from existing historical contemporary eyewitness accounts. The
historians and biographers of the invading armies and subsequent rulers of
India have left quite detailed records of the atrocities they committed in
their day-to-day encounters with India’s Hindus.
These contemporary records boasted about and glorified the
crimes that were committed – and the genocide of tens of millions of Hindus,
Sikhs, Buddhist and Jainist, mass rapes of women and the destruction of
thousands of ancient Hindu / Buddhist temples and libraries have been well
documented and provide solid proof of the World’s biggest holocaust.
Quotes from modern historians
Dr. Koenraad Elst in his article “Was There an Islamic
Genocide of Hindus?” states:
“There is no official estimate of the total death toll of
Hindus at the hands of Islam. A first glance at important testimonies by Muslim
chroniclers suggests that, over 13 centuries and a territory as vast as the
Subcontinent, Muslim Holy Warriors easily killed more Hindus than the 6 million
of the Holocaust. Ferishtha lists several occasions when the Bahmani sultans in
central India (1347-1528) killed a hundred thousand Hindus, which they set as a
minimum goal whenever they felt like punishing the Hindus; and they were only a
third-rank provincial dynasty.
The biggest slaughters took place during the raids of Mahmud
Ghaznavi (ca. 1000 CE); during the actual conquest of North India by Mohammed
Ghori and his lieutenants (1192 ff.); and under the Delhi Sultanate
(1206-1526).“
He also writes in his book “Negation in India”:
“The Muslim conquests, down to the 16th century, were for
the Hindus a pure struggle of life and death. Entire cities were burnt down and
the populations massacred, with hundreds of thousands killed in every campaign,
and similar numbers deported as slaves. Every new invader made (often
literally) his hills of Hindus skulls. Thus, the conquest of Afghanistan in the
year 1000 was followed by the annihilation of the Hindu population; the region
is still called the Hindu Kush, i.e. Hindu slaughter.”
Will Durant argued in his 1935 book “The Story of
Civilisation: Our Oriental Heritage” (page 459):
“The Mohammedan conquest of India is probably the bloodiest
story in history. The Islamic historians and scholars have recorded with great
glee and pride the slaughters of Hindus, forced conversions, abduction of Hindu
women and children to slave markets and the destruction of templescarried out
by the warriors of Islam during 800 AD to 1700 AD. Millions of Hindus were
converted to Islam by sword during this period.”
Francois Gautier in his book ‘Rewriting Indian History’
(1996) wrote:
“The
massacres perpetuated by Muslims in India are unparalleled in history, bigger
than the Holocaust of the Jews by the Nazis; or the massacre of the Armenians
by the Turks; more extensive even than the slaughter of the South American
native populations by the invading Spanish and Portuguese.”