L'islam est un incendie, par Amil Imani
Amil Imani est un Iranien expatrié aux États-Unis. Chroniqueur, traducteur, essayiste et militant pour la démocratie et les droits de l'homme, il s'est donné pour mission de tirer le signal d'alarme sur le danger que pose l'islamofascisme expansionniste pour le monde libre. Il invite l'Occident à abandonner le multiculturalisme - une "tromperie pour naïfs généreux" - afin de stopper l'avancée de l'islam, une monoculture sans compromis qui détruit la liberté sur son passage.
Sur son site Internet, Imani invite les Iraniens à se libérer du joug de l'islam et de leurs maîtres enturbannés et à renouer avec le riche patrimoine de la civilisation perse pré-islamique.
Sur son site Internet, Imani invite les Iraniens à se libérer du joug de l'islam et de leurs maîtres enturbannés et à renouer avec le riche patrimoine de la civilisation perse pré-islamique.
Aussi posté sur Bivouac-ID et Muslims Against Sharia
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L'islam est un incendie, par Amil Imani
L’incendie islamique, alimenté par les immenses revenus du pétrole, fait rage dans plusieurs régions du monde ; ailleurs, il couve ; ailleurs encore, il est prêt à s’allumer. Il faut absolument que les peuples libres du monde abandonnent toute illusion sur l’islam et éteignent ce feu une fois pour toutes. Le multiculturalisme, le « droit à la différence », est une tromperie pour naïfs généreux. L’islam, si divisé soit-il, est une monoculture sans compromis, la culture cruelle apportée il y a 1400 ans par Mahomet à un peuple primitif.
En vérité, la plupart des religions ont pour but d’atténuer les peurs des hommes. Elles s’appuient sur les peurs naturelles, dont beaucoup sont irrationnelles mais n’en sont pas moins naturelles. Ainsi, beaucoup de pratiques religieuses païennes étaient centrées sur le cycle des saisons et son lien aux récoltes. Pourquoi ? Parce que si la récolte était mauvaise, toute la civilisation pouvait périr, ou s’affaiblir au point de risquer d’être détruite par une tribu voisine. Ces populations ne comprenaient pas les bases scientifiques du climat, et ont ainsi bâti des croyances religieuses naturelles (mais irrationnelles) sur le climat et les récoltes. En ce sens, les religions étaient psychologiquement utiles et inévitables pour faire face aux conditions naturelles.
Mais certaines religions créent elles-mêmes la peur de choses qui n’existent pas, qu’elles inventent afin de créer et de perpétuer la crainte, après quoi elles s’y attaquent de manière artificielle dans le but d’instaurer un régime politique. La nature politique de l’islam l’emporte de beaucoup sur la spiritualité personnelle, et il devient un culte d’oppression. C’est une imposture. C’est malsain. C’est l’islam.
En pratique, l’islam invente l’idée que les chrétiens, les juifs et les païens sont des abominations qui offensent Allah, et que leur seule existence constitue une attaque contre le droit que l’islam s’auto-attribue de régner sur le monde. Allah recrute donc les croyants musulmans pour éradiquer par la force ceux qui l’offensent et qui, en ne croyant pas, l’empêchent de régner. Les vrais musulmans deviennent ainsi les hommes de main et les mercenaires de leur dieu, afin d’instaurer un califat global tenu par les parasites qui forment leur clergé. Leurs cibles sont des adversaires artificiellement construits. On ordonne aux croyants de craindre le « grand Satan » et on leur dit que s’ils ne sont pas à la hauteur des appels d’Allah au djihad ils offensent eux-mêmes Allah et leurs familles. C’est la stratégie du « si vous n’êtes pas pour moi, vous êtes contre moi ».
En vérité, la plupart des religions ont pour but d’atténuer les peurs des hommes. Elles s’appuient sur les peurs naturelles, dont beaucoup sont irrationnelles mais n’en sont pas moins naturelles. Ainsi, beaucoup de pratiques religieuses païennes étaient centrées sur le cycle des saisons et son lien aux récoltes. Pourquoi ? Parce que si la récolte était mauvaise, toute la civilisation pouvait périr, ou s’affaiblir au point de risquer d’être détruite par une tribu voisine. Ces populations ne comprenaient pas les bases scientifiques du climat, et ont ainsi bâti des croyances religieuses naturelles (mais irrationnelles) sur le climat et les récoltes. En ce sens, les religions étaient psychologiquement utiles et inévitables pour faire face aux conditions naturelles.
Mais certaines religions créent elles-mêmes la peur de choses qui n’existent pas, qu’elles inventent afin de créer et de perpétuer la crainte, après quoi elles s’y attaquent de manière artificielle dans le but d’instaurer un régime politique. La nature politique de l’islam l’emporte de beaucoup sur la spiritualité personnelle, et il devient un culte d’oppression. C’est une imposture. C’est malsain. C’est l’islam.
En pratique, l’islam invente l’idée que les chrétiens, les juifs et les païens sont des abominations qui offensent Allah, et que leur seule existence constitue une attaque contre le droit que l’islam s’auto-attribue de régner sur le monde. Allah recrute donc les croyants musulmans pour éradiquer par la force ceux qui l’offensent et qui, en ne croyant pas, l’empêchent de régner. Les vrais musulmans deviennent ainsi les hommes de main et les mercenaires de leur dieu, afin d’instaurer un califat global tenu par les parasites qui forment leur clergé. Leurs cibles sont des adversaires artificiellement construits. On ordonne aux croyants de craindre le « grand Satan » et on leur dit que s’ils ne sont pas à la hauteur des appels d’Allah au djihad ils offensent eux-mêmes Allah et leurs familles. C’est la stratégie du « si vous n’êtes pas pour moi, vous êtes contre moi ».
Par opposition, voyons par exemple les peurs des chrétiens. Eux aussi craignent d’offenser Dieu, parce qu’ils croient qu’il jugera leur vie après la mort du corps. Pour apaiser ces craintes, ils cherchent à se repentir en se pliant personnellement aux enseignements de la Bible.
Ainsi, en tant que religion politique, l’islam crée artificiellement une peur à l’égard de groupes étrangers, puis il élimine cette peur par la guerre et la contrainte. L’islam plaît à Allah par la brutalité et le djihad. Il cherche à instaurer un régime politique pour faire appliquer ses prescriptions. Quand une telle doctrine proclame que « la résistance est vaine », elle fait allusion au fait que la religion est imposée physiquement, par des gens.
Les religions personnelles reconnaissent les peurs naturelles puis elles font appel à la lumière intérieure, à la sagesse et à l’aspiration des hommes à la noblesse pour éliminer ces craintes par une démarche spirituelle positive. D’autres religions encouragent une attitude spirituelle volontaire et personnelle. La seule « contrainte » dans une religion fondée sur la spiritualité personnelle est la transmission de la notion naturelle de l’existence de l’âme et du jugement. Si vous croyez à ces choses, vous changez et vous repentez, peut-être par crainte. Sinon, vous accusez l’évangéliste d’être un imposteur... mais une imposture est une tromperie démontrable, pas une opinion, et celui qui ne croit pas en une religion personnelle ne peut démontrer son point de vue, de sorte que l’imposture n’entre pas en jeu comme moteur de la spiritualité personnelle. Quand une religion personnelle déclare que « la résistance est vaine », elle fait allusion au fait que la religion est imposée spirituellement, par Dieu.
C’est toute la différence entre le jour et la nuit, entre le bien et le mal. L’islam croit au règne de l’islam, le califat aux sunnites et l’imamat aux chiites. Du coup, pour les musulmans, toutes les autres formes de gouvernement ne sont que des bricolages de Satan et des infidèles. Et tous les systèmes de gouvernement non islamiques doivent donc être purifiés par le feu islamique.
L’islam est et a toujours été politique, sous la forme de l’imamat ou du califat, ou par procuration, lorsque l’islam contrôlait l’état par l’intermédiaire de théologiens religieux. L’Arabie saoudite, par exemple, n’a même pas de constitution. Sa constitution est le Coran. Le pays a un roi, mais celui-ci n’est que l’exécuteur suprême des lois dictées par l’islam.
L’islam est tellement radical que même ce terme de « radical » ne décrit pas bien sa véritable nature. Le fondateur de l’islam, Mahomet, se comportait de manière extrême chaque fois qu’il le pouvait. À ses débuts, à la Mecque, dans sa tribu des Koraish, il était tourné en ridicule et tenu pour un poète fou. Les habitants ordinaires de la Mecque lui vouaient le mépris habituellement accordé aux malades mentaux. Qu’a fait Mahomet ? Il a incarné la douceur même. Il a accepté des indignités extrêmes, n’a pas riposté et a supporté des abus.
Mais le temps jouait en sa faveur. En peu de temps, il a attiré des disciples, dont certains étaient des hommes de pouvoir et d’influence, comme Omar, Othman et Abu Bakr. Et puis le pendule a basculé. Le tolérant qui avait beaucoup souffert est devenu le vengeur tyrannique. Il a ordonné la destruction de toutes les idoles de La Mecque, à l’exception de celle qui s’appelait Allah. Et il a choisi ce nom pour une divinité immatérielle qui aurait fait de lui son messager. Ensuite, le messager d’Allah, Mahomet, s’est mis à exterminer systématiquement tous ceux qu’il percevait comme ses ennemis et tourmenteurs, parmi lesquels les juifs de Médine.
Le Coran est plein de versets définissant le noir et le blanc, le juste et le faux, l’acceptable et l’inacceptable. Les hommes qui ne se convertissaient pas à l’islam étaient étiquetés infidèles et massacrés ; leurs femmes et leurs enfants étaient saisis et emportés comme butin, avec tous leurs biens. C’était la voie de l’islam ou la fuite. Ce radicalisme est encore tout à fait présent aujourd’hui.
Dans un autre pays islamique, l’Iran, où ce sont les mollahs qui font la loi, la constitution est clairement basée sur le Coran. De nombreuses lois sont textuellement tirées de la charia. La mosquée est l’état, et aucune autre idéologie n’est autorisée. Mais marier la religion avec le pouvoir politique c’est tisonner le feu avec des explosifs. Dans les démocraties libres, les gouvernements sont responsables devant le peuple et dépendent du peuple. Dans la théocratie islamique, les gouvernements n’ont de comptes à rendre qu’à Allah et le peuple doit se comporter selon les volontés du gouvernement. Et les résultats obtenus sont visibles dans les quelque cinquante-quatre pays où l’islam détient le pouvoir en totalité ou en partie et qui se classent parmi les premières nations du monde en termes de misère.
Ne serait-ce pas merveilleux que l’Iran se débarrasse de son régime théocratique oppressif et instaure un gouvernement « du peuple » donnant une place à toutes les croyances ? Le pays pourrait devenir une nation puissante et pacifique, un exemple illustrant aux yeux du reste du monde en développement comment il est possible de prospérer sans la politique islamique. Cependant, la route qui mène à la liberté est pleine de dangers. Quelque chose d’aussi précieux que la liberté n’est pas facile à obtenir. Mais c’est une cause qui en vaut la peine.
Bien que je désire la liberté en Iran, je suis un anti-islamiste convaincu et je suis anticommuniste d’une manière générale. Je pense que le communisme, expression de la philosophie naturaliste matérialiste, est athée et représente le désir de l’homme de dominer la nature et l’homme. Pour moi, c’est la pièce où Satan met en scène le « déni », celle dont le thème est que Dieu n’existe pas. Mais Satan et ses laquais jouent simultanément dans plusieurs théâtres. L’islam est la principale des pièces où Satan joue la « tromperie ». Au lieu de nier l’existence de Dieu, cette pièce affirme que Dieu existe vraiment mais qu’il ne désire pas que les hommes l’adorent par amour ou par libre choix, mais par automatisme, par peur et par culpabilité, et à travers les péchés d’orgueil, d’envie et de fanatisme.
C’est un esprit d’esclavagisme qui anime l’islam... la « soumission » où l’homme soumet d’autres hommes afin d’instaurer sur terre un royaume d’oppression et de haine. L’athéisme, le matérialisme et l’islam paraissent mutuellement contradictoires, mais quand on gratte le vernis on s’aperçoit qu’ils ont les mêmes objectifs. Le fascisme est le fascisme.
Nous vivons dans une société qui vénère les « experts » et spécialistes. Pourtant, notre société dévoyée « d’experts » nous a tout le temps trompés. Pratiquement rien de ce qu’elle nous a annoncé ne s’est révélé vrai. En ce sens, je suis un révisionniste puisque, selon moi, beaucoup de choses que nous croyons vraies sont totalement fausses. Je crois aussi au bien et au mal, une notion tristement obsolète en ces temps de nihilisme. Je ne crois pas que Satan soit davantage une métaphore que Dieu.
L’islam est une théocratie, gouvernement par les religieux. L’autorité descend du sommet vers la base d’une manière strictement hiérarchisée : en haut, Allah, puis le prophète, puis les califes ou les imams, et enfin les derniers religieux le long de la chaîne de commandement. Nul n’est autorisé à contester ou mettre en doute les paroles et les actions des autorités. L’islam et la démocratie, par conséquent, sont intrinsèquement irréconciliables. Dans certains cercles islamiques, les musulmans parlent de « démocratie islamique » : c’est un oxymore.
Les djihadistes sont l’armée d’Allah. Le recours à la violence comme instrument politique a été et continue à être central dans l’islam. Les musulmans font la guerre au nom des idées militaristes enragées qu’ils aiment et auxquelles ils croient fermement. Peu importe de quel côté sont les morts, c’est l’islam qui sort vainqueur : « Vous les tuez, vous allez au paradis ; vous êtes tué, vous allez au paradis », voilà deux exemples d’exhortations au djihad et à la guerre.
Pour en venir à l’essentiel, il faut éradiquer la désinformation et les mythes qui entourent la « guerre contre la terreur » :
1. Nous ne combattons pas le terrorisme. Nous sommes engagés dans un combat idéologique entre d’un côté la liberté, le conservatisme, la démocratie, les droits de la personne, le capitalisme et l’éthique « chrétienne », et de l’autre l’islamo-fascisme, le socialo-communisme, la théocratie et la tyrannie. Il y a aussi des forces internationalistes, dictatoriales, mondialistes qui cherchent à utiliser le conflit pour créer un gouvernement mondial et une unification de toutes les religions par la destruction du nationalisme, du patriotisme, des droits de la personne et du sectarisme.
2. Ce n’est pas l’islam « fanatique », « radical » ou « extrême » que nous combattons, mais l’islam normal, orthodoxe, canonique, typique, admis, traditionnel, tel qu’il a été annoncé par la bouche de Mahomet. L’islam est violent en proportion directe de sa mission et de ses écritures. Les prétendus fanatiques ne font que se comporter en conformité à leurs principes. Il y a aussi ceux qui ne s’engagent pas ouvertement dans le terrorisme ou la guerre mais qui soutiennent ces actions ou qui s’activent par d’autres moyens pour répandre l’islam par la force ou par la ruse.
3. L’islam est mauvais, quel que soit la définition que l’on donne à ce mot, et il doit être perçu comme tel par tous les non-islamistes rationnels. La « paix » n’existe pas en islam, sauf celle qui s’installe après une guerre gagnée contre les infidèles.
4. L’islam peut fonctionner par la force brute et par les extrémités auxquelles les croyants seront prêts à consentir pour le perpétuer. Sa théologie et ses pratiques le rendent intrinsèquement malfaisant et dangereux pour l’humanité tout entière. Il s’est déjà répandu partout dans le monde et l’a envahi comme un cancer. Pourrait-on l’anéantir par le feu nucléaire ? Ce n’est pas possible, ils vous vitrifieront les premiers, je peux vous le garantir. Quand cela se produira, ce sera l’enfer sur terre et la plupart des libertés disparaîtront en fumée. Demandez-vous comment le problème palestinien pourra jamais être résolu. Il n’y a que deux solutions : ou bien les Palestiniens quittent la terre d’Israël ou bien ils renient l’islam. Autrement, la guerre ne finira jamais. La guerre israélo-palestinienne ne porte pas, et n’a jamais porté, sur la terre. Elle vise à l’éradication des juifs, jusqu’au dernier, parce que Mahomet l’a ordonné et qu’il est éternel.
Nous devons commencer à déclarer que l’islam est malfaisant, et cela non pas dans un esprit sectaire mais d’un point de vue universel et humaniste. Toute avancée de l’islam en tant que religion doit être rejetée, harcelée et découragée par tous et partout. Toute tentative gauchiste de fournir de l’aide et de faciliter les choses à cette religion de haine doit être dénoncée et déjouée systématiquement. Sinon, accoutumez-vous à votre tenue antiradiations et à votre abri contre les retombées, et à un niveau de vie et de liberté dix fois moins élevé que celui dont vous jouissez aujourd’hui.
Avis aux hommes et femmes libres : si vous restez simples spectateurs, c’est à vos risques et périls. Il est impératif de prendre position et de jouer votre rôle pour dénoncer l’imposture de l’islam et pour faire tout ce qui vous est possible pour empêcher l’incendie islamique de dévorer notre système démocratique civilisé.
Ainsi, en tant que religion politique, l’islam crée artificiellement une peur à l’égard de groupes étrangers, puis il élimine cette peur par la guerre et la contrainte. L’islam plaît à Allah par la brutalité et le djihad. Il cherche à instaurer un régime politique pour faire appliquer ses prescriptions. Quand une telle doctrine proclame que « la résistance est vaine », elle fait allusion au fait que la religion est imposée physiquement, par des gens.
Les religions personnelles reconnaissent les peurs naturelles puis elles font appel à la lumière intérieure, à la sagesse et à l’aspiration des hommes à la noblesse pour éliminer ces craintes par une démarche spirituelle positive. D’autres religions encouragent une attitude spirituelle volontaire et personnelle. La seule « contrainte » dans une religion fondée sur la spiritualité personnelle est la transmission de la notion naturelle de l’existence de l’âme et du jugement. Si vous croyez à ces choses, vous changez et vous repentez, peut-être par crainte. Sinon, vous accusez l’évangéliste d’être un imposteur... mais une imposture est une tromperie démontrable, pas une opinion, et celui qui ne croit pas en une religion personnelle ne peut démontrer son point de vue, de sorte que l’imposture n’entre pas en jeu comme moteur de la spiritualité personnelle. Quand une religion personnelle déclare que « la résistance est vaine », elle fait allusion au fait que la religion est imposée spirituellement, par Dieu.
C’est toute la différence entre le jour et la nuit, entre le bien et le mal. L’islam croit au règne de l’islam, le califat aux sunnites et l’imamat aux chiites. Du coup, pour les musulmans, toutes les autres formes de gouvernement ne sont que des bricolages de Satan et des infidèles. Et tous les systèmes de gouvernement non islamiques doivent donc être purifiés par le feu islamique.
L’islam est et a toujours été politique, sous la forme de l’imamat ou du califat, ou par procuration, lorsque l’islam contrôlait l’état par l’intermédiaire de théologiens religieux. L’Arabie saoudite, par exemple, n’a même pas de constitution. Sa constitution est le Coran. Le pays a un roi, mais celui-ci n’est que l’exécuteur suprême des lois dictées par l’islam.
L’islam est tellement radical que même ce terme de « radical » ne décrit pas bien sa véritable nature. Le fondateur de l’islam, Mahomet, se comportait de manière extrême chaque fois qu’il le pouvait. À ses débuts, à la Mecque, dans sa tribu des Koraish, il était tourné en ridicule et tenu pour un poète fou. Les habitants ordinaires de la Mecque lui vouaient le mépris habituellement accordé aux malades mentaux. Qu’a fait Mahomet ? Il a incarné la douceur même. Il a accepté des indignités extrêmes, n’a pas riposté et a supporté des abus.
Mais le temps jouait en sa faveur. En peu de temps, il a attiré des disciples, dont certains étaient des hommes de pouvoir et d’influence, comme Omar, Othman et Abu Bakr. Et puis le pendule a basculé. Le tolérant qui avait beaucoup souffert est devenu le vengeur tyrannique. Il a ordonné la destruction de toutes les idoles de La Mecque, à l’exception de celle qui s’appelait Allah. Et il a choisi ce nom pour une divinité immatérielle qui aurait fait de lui son messager. Ensuite, le messager d’Allah, Mahomet, s’est mis à exterminer systématiquement tous ceux qu’il percevait comme ses ennemis et tourmenteurs, parmi lesquels les juifs de Médine.
Le Coran est plein de versets définissant le noir et le blanc, le juste et le faux, l’acceptable et l’inacceptable. Les hommes qui ne se convertissaient pas à l’islam étaient étiquetés infidèles et massacrés ; leurs femmes et leurs enfants étaient saisis et emportés comme butin, avec tous leurs biens. C’était la voie de l’islam ou la fuite. Ce radicalisme est encore tout à fait présent aujourd’hui.
Dans un autre pays islamique, l’Iran, où ce sont les mollahs qui font la loi, la constitution est clairement basée sur le Coran. De nombreuses lois sont textuellement tirées de la charia. La mosquée est l’état, et aucune autre idéologie n’est autorisée. Mais marier la religion avec le pouvoir politique c’est tisonner le feu avec des explosifs. Dans les démocraties libres, les gouvernements sont responsables devant le peuple et dépendent du peuple. Dans la théocratie islamique, les gouvernements n’ont de comptes à rendre qu’à Allah et le peuple doit se comporter selon les volontés du gouvernement. Et les résultats obtenus sont visibles dans les quelque cinquante-quatre pays où l’islam détient le pouvoir en totalité ou en partie et qui se classent parmi les premières nations du monde en termes de misère.
Ne serait-ce pas merveilleux que l’Iran se débarrasse de son régime théocratique oppressif et instaure un gouvernement « du peuple » donnant une place à toutes les croyances ? Le pays pourrait devenir une nation puissante et pacifique, un exemple illustrant aux yeux du reste du monde en développement comment il est possible de prospérer sans la politique islamique. Cependant, la route qui mène à la liberté est pleine de dangers. Quelque chose d’aussi précieux que la liberté n’est pas facile à obtenir. Mais c’est une cause qui en vaut la peine.
Bien que je désire la liberté en Iran, je suis un anti-islamiste convaincu et je suis anticommuniste d’une manière générale. Je pense que le communisme, expression de la philosophie naturaliste matérialiste, est athée et représente le désir de l’homme de dominer la nature et l’homme. Pour moi, c’est la pièce où Satan met en scène le « déni », celle dont le thème est que Dieu n’existe pas. Mais Satan et ses laquais jouent simultanément dans plusieurs théâtres. L’islam est la principale des pièces où Satan joue la « tromperie ». Au lieu de nier l’existence de Dieu, cette pièce affirme que Dieu existe vraiment mais qu’il ne désire pas que les hommes l’adorent par amour ou par libre choix, mais par automatisme, par peur et par culpabilité, et à travers les péchés d’orgueil, d’envie et de fanatisme.
C’est un esprit d’esclavagisme qui anime l’islam... la « soumission » où l’homme soumet d’autres hommes afin d’instaurer sur terre un royaume d’oppression et de haine. L’athéisme, le matérialisme et l’islam paraissent mutuellement contradictoires, mais quand on gratte le vernis on s’aperçoit qu’ils ont les mêmes objectifs. Le fascisme est le fascisme.
Nous vivons dans une société qui vénère les « experts » et spécialistes. Pourtant, notre société dévoyée « d’experts » nous a tout le temps trompés. Pratiquement rien de ce qu’elle nous a annoncé ne s’est révélé vrai. En ce sens, je suis un révisionniste puisque, selon moi, beaucoup de choses que nous croyons vraies sont totalement fausses. Je crois aussi au bien et au mal, une notion tristement obsolète en ces temps de nihilisme. Je ne crois pas que Satan soit davantage une métaphore que Dieu.
L’islam est une théocratie, gouvernement par les religieux. L’autorité descend du sommet vers la base d’une manière strictement hiérarchisée : en haut, Allah, puis le prophète, puis les califes ou les imams, et enfin les derniers religieux le long de la chaîne de commandement. Nul n’est autorisé à contester ou mettre en doute les paroles et les actions des autorités. L’islam et la démocratie, par conséquent, sont intrinsèquement irréconciliables. Dans certains cercles islamiques, les musulmans parlent de « démocratie islamique » : c’est un oxymore.
Les djihadistes sont l’armée d’Allah. Le recours à la violence comme instrument politique a été et continue à être central dans l’islam. Les musulmans font la guerre au nom des idées militaristes enragées qu’ils aiment et auxquelles ils croient fermement. Peu importe de quel côté sont les morts, c’est l’islam qui sort vainqueur : « Vous les tuez, vous allez au paradis ; vous êtes tué, vous allez au paradis », voilà deux exemples d’exhortations au djihad et à la guerre.
Pour en venir à l’essentiel, il faut éradiquer la désinformation et les mythes qui entourent la « guerre contre la terreur » :
1. Nous ne combattons pas le terrorisme. Nous sommes engagés dans un combat idéologique entre d’un côté la liberté, le conservatisme, la démocratie, les droits de la personne, le capitalisme et l’éthique « chrétienne », et de l’autre l’islamo-fascisme, le socialo-communisme, la théocratie et la tyrannie. Il y a aussi des forces internationalistes, dictatoriales, mondialistes qui cherchent à utiliser le conflit pour créer un gouvernement mondial et une unification de toutes les religions par la destruction du nationalisme, du patriotisme, des droits de la personne et du sectarisme.
2. Ce n’est pas l’islam « fanatique », « radical » ou « extrême » que nous combattons, mais l’islam normal, orthodoxe, canonique, typique, admis, traditionnel, tel qu’il a été annoncé par la bouche de Mahomet. L’islam est violent en proportion directe de sa mission et de ses écritures. Les prétendus fanatiques ne font que se comporter en conformité à leurs principes. Il y a aussi ceux qui ne s’engagent pas ouvertement dans le terrorisme ou la guerre mais qui soutiennent ces actions ou qui s’activent par d’autres moyens pour répandre l’islam par la force ou par la ruse.
3. L’islam est mauvais, quel que soit la définition que l’on donne à ce mot, et il doit être perçu comme tel par tous les non-islamistes rationnels. La « paix » n’existe pas en islam, sauf celle qui s’installe après une guerre gagnée contre les infidèles.
4. L’islam peut fonctionner par la force brute et par les extrémités auxquelles les croyants seront prêts à consentir pour le perpétuer. Sa théologie et ses pratiques le rendent intrinsèquement malfaisant et dangereux pour l’humanité tout entière. Il s’est déjà répandu partout dans le monde et l’a envahi comme un cancer. Pourrait-on l’anéantir par le feu nucléaire ? Ce n’est pas possible, ils vous vitrifieront les premiers, je peux vous le garantir. Quand cela se produira, ce sera l’enfer sur terre et la plupart des libertés disparaîtront en fumée. Demandez-vous comment le problème palestinien pourra jamais être résolu. Il n’y a que deux solutions : ou bien les Palestiniens quittent la terre d’Israël ou bien ils renient l’islam. Autrement, la guerre ne finira jamais. La guerre israélo-palestinienne ne porte pas, et n’a jamais porté, sur la terre. Elle vise à l’éradication des juifs, jusqu’au dernier, parce que Mahomet l’a ordonné et qu’il est éternel.
Nous devons commencer à déclarer que l’islam est malfaisant, et cela non pas dans un esprit sectaire mais d’un point de vue universel et humaniste. Toute avancée de l’islam en tant que religion doit être rejetée, harcelée et découragée par tous et partout. Toute tentative gauchiste de fournir de l’aide et de faciliter les choses à cette religion de haine doit être dénoncée et déjouée systématiquement. Sinon, accoutumez-vous à votre tenue antiradiations et à votre abri contre les retombées, et à un niveau de vie et de liberté dix fois moins élevé que celui dont vous jouissez aujourd’hui.
Avis aux hommes et femmes libres : si vous restez simples spectateurs, c’est à vos risques et périls. Il est impératif de prendre position et de jouer votre rôle pour dénoncer l’imposture de l’islam et pour faire tout ce qui vous est possible pour empêcher l’incendie islamique de dévorer notre système démocratique civilisé.
Traduction Poste de veille