dimanche 15 juillet 2018

Projet Eurabia : colonisation musulmane et islamisation de l'Europe

source : https://uncitoyenindigne.wordpress.com/2013/11/07/cest-bien-la-ligne-de-conduite-du-projet-eurabia-que-leurope-a-signee/

C’EST BIEN LA LIGNE DE CONDUITE DU PROJET EURABIA QUE L’EUROPE A SIGNÉE !!!

C’est une attaque de front de nos libertés individuelles! 
 Les “islamolucides” savent que l’objectif islamiste est de remplacer l’ordre établi par la civilisation occidentale libérale et démocratique, par l’Oumma, gouvernée par la charia. S’ils le savent, ce n’est pas au travers d’une boule de cristal ou par extrême racisme, mais tout simplement parce que les islamistes le répètent avec insistance dans leurs discours publics. Ces islamolucides s’expriment sur internet, qui irrite les gouvernements, peu habitués à voir leur autorité discutée par le petit peuple, leurs contradictions exposées, et sa tentative de reprise en main est inéluctable.
Seuls les idiots utiles de l’islam refusent d’admettre cette vérité. Les dirigeants des organisations islamiques internationales, les différents muftis, les « éminents savants religieux » de l’Université d’Al Azhar du Caire, ont beau le clamer sur tous les tons, ils refusent de l’entendre, et il n’y a pas plus têtu qu’un âne, même s’il est invité à la télévision.

Ils parlent de fantasme, de mythe, de peur obsessionnelle, de rumeurs paranoïaques, répandues par les racistes et xénophobes islamophobes qui ne connaissent rien à l’islam et fantasment sur sa prétendue dangerosité. Ces ignorants prétentieux pensent-ils mieux connaître l’idéologie islamique que les érudits et les savants de l’islam ?
Le logo de l’OCI, cette organisation “si respectable”, si proche des dirigeants de l’UE, qui œuvre à faire appliquer la charia en Occident, représente un croissant de lune qui englobe toute la planète, un pur hasard graphique, je suppose. Ou une interprétation paranoïaque.
Et pendant que les islamistes font l’apologie de la charia, qui limite les droits, les libertés et préconisent des châtiments cruels, tout en nous menaçant ouvertement de nous islamiser et de nous asservir à la loi d’Allah, le Parlement européen se penche sur une proposition visant à « encourager » la tolérance en instaurant un système de surveillance machiavélique pour traquer les « citoyens intolérants ».
Sans dévoiler qu’il s’agit d’une nouvelle tentative d’interdire le blasphème contre l’islam, ils vont promouvoir – en réalité imposer – la tolérance à sens unique, toujours la même.
Ce système de surveillance supra-nationale marquera le début de la fin de la liberté d’expression. Ce « statut de la tolérance » auquel travaille l’UE, à la grande satisfaction de la liberticide OCI, permettra à l’état de pratiquer l’intolérance envers quiconque sera jugé par lui comme intolérant. Georges Orwell était un visionnaire.
L’OCI va nager dans le bonheur. Les islamophobes seront réduits au silence, et eux pourront continuer la conquête de l’Occident, avec l’aide des kouffars de l’Union Européenne.
Ce qui est triste, dans cette proposition en cours de préparation, c’est que les élus de l’UE font semblant d’ignorer que l’idéologie la plus intolérante est l’idéologie islamique, et c’est cette idéologie qui sera protégée par cette loi sur la pensée.
La sharia est la définition même de l’intolérance, envers les Juifs, les Chrétiens, les Hindous et tous les non musulmans. Intolérance envers les femmes. Le jihad définit l’intolérance. Les lois sur le délit de blasphème sont elles-mêmes intolérantes et c’est ce que l’UE se propose d’imposer : sous le couvert de la lutte contre l’intolérance en général, ce sont surtout les critiques de l’islam et du projet Eurabia, qui sont visées.
Tandis que les dirigeants européens expriment publiquement leur indignation sur l’espionnage américain de l’Europe, le Parlement européen examine tranquillement un projet de loi pour espionner chaque européen, pour surveiller et condamner pénalement tout citoyen de l’UE soupçonné d’être « intolérant » ou politiquement incorrect.
Le projet, présenté dans le cadre national du statut européen pour la promotion de la tolérance, a été récemment soumis aux membres du Comité des Libertés civiles et de la Justice du Parlement européen, seul organe directement élu par l’UE.
Des « unités administratives spéciales » pour surveiller tout individu intolérant
Il vise à obliger les gouvernements des 28 Etats membres de l’UE à mettre en place des « unités administratives spéciales » afin de surveiller tout individu ou groupe d’individus qui exprimeraient des opinions jugées « intolérantes » par les défenseurs du multiculturalisme.
Cette proposition a été rédigée par le « Conseil Européen sur la Tolérance et la Réconciliation. » (ECTR) une organisation non gouvernementale, créée à Paris en 2008 par l’ancien président polonais, Alexander Kwasniewski et le président du Congrès juif européen Moshe Kantor (NDLR: un juif embarqué dans une direction profondément contraire à l’esprit du judaïsme qui consiste à douter de tout et de tout discuter). Le Conseil, qui se décrit comme un « chien de garde de la tolérance », rédige et présente des recommandations aux gouvernements et aux organisations internationales, afin d’améliorer les relations interreligieuses et interethniques sur le continent européen, est constitué par plus d’une douzaine de personnalités politiques européennes, dont l’ancien premier ministre espagnol, José Maria Aznar.
Le Conseil européen sur la Tolérance et la Réconciliation avait présenté sa proposition pour la promulgation d’une loi européenne sur la tolérance au Parlement européen en novembre 2008 dans le cadre de la semaine européenne de la Tolérance, qui avait marqué le 70è anniversaire de la « Nuit de Cristal », une nuit de violence antisémite, qui fut le prélude à l’Holocauste.
Après cinq années de lobbying dans les couloirs du pouvoir européen, la proposition du Conseil européen sur la Tolérance et la Réconciliation semble avoir suscité de l’intérêt, comme en témoigne la décision du Parlement européen d’accorder un créneau de 45 minutes au Conseil, ce qui a permis aux membres de présenter leur projet à la Commission des libertés civiles le 17 septembre dernier.
Selon «l’European Dignity Watch » une organisation de défense des droits civiques basée à Bruxelles, la nouvelle proposition, relative à une « directive pour l’égalité de traitement », qui est actuellement en cours de négociation, menacerait très sérieusement les aspects fondamentaux de la liberté des citoyens européens. Les principes de la liberté contractuelle et de la liberté de vivre selon ses options morales personnelles sont en danger d’être remplacés par un nouveau concept « d’égalité ». Ce projet menacerait la liberté et l’autodétermination de tous les Européens, et il assujettirait la vie privée des citoyens à une incertitude légale, ainsi qu’au contrôle par des bureaucrates. Nous parlons du contrôle gouvernemental du comportement social des citoyens. Ces tendances liberticides commencent à nous faire repenser à des principes totalitaires presque oubliés, et constituent une attaque sans précédents contre les droits des citoyens.
Si l’on replace le projet du Conseil européen pour la Tolérance et la Réconciliation dans le contexte plus large de la Directive sur l’Egalité de Traitement, nous remarquons que si son objectif est audacieux, ce projet reste très vague dans la définition de sa terminologie, ce qui permet de dire que s’il était appliqué, il ouvrirait une boîte de Pandore de restrictions et d’interdictions aboutissant à la mort effective de la Liberté d’Expression en Europe..
• Selon l’article 1 (d), par exemple, le terme «tolérance» est généralement défini comme « le respect et l’acceptation de l’expression, la préservation et le développement de l’identité distincte d’un groupe. »
• La section 2 (d) stipule que le but de la loi est de «condamner toutes les manifestations d’intolérance fondées sur le fanatisme et les préjugés ».
Une note explicative de l’article 2 indique que : «L’intolérance religieuse couvre l’islamophobie », mais il ne fournit aucune définition de «l’islamophobie», un terme remis à la mode par les Frères musulmans dans les années 1990.
La conclusion logique de la Section 2 est donc l’interdiction de tout examen critique de l’islam et de la charia. C’est l’un des principaux objectifs des groupes d’activistes musulmans depuis plus de deux décennies, y compris l’OCI, et l’islamiste Erdogan.
Le document déclare également que « la tolérance doit être pratiquée non seulement par les instances gouvernementales mais aussi par les particuliers. »
• L’article 3 (iv) donne des précisions : «La Garantie de la tolérance doit être comprise non seulement comme une relation verticale (de gouvernement à des individus), mais aussi comme une relation horizontale (de groupe à groupe et de personne à personne). Le gouvernement a pour obligation de veiller à ce que l’intolérance ne soit pas pratiquée ni dans les relations verticales, ni horizontales.
• Conformément à l’article 4 (f) (i) du document: « Il n’y a aucune raison de tolérer l’intolérance. Ceci est particulièrement important en ce qui concerne la liberté d’expression.»
• La Section 5 (a) stipule que: «La tolérance (telle que définie à la section 1 (d)) doit être garantie à n’importe quel groupe, peu importe ses racines sociales, qu’elles soient anciennes ou récentes, comme c’est le cas des nouveaux immigrés.
• Section 6: «Il va de soi que l’adoption d’une loi pour la promotion de la tolérance ne suffit pas, son application doit être assurée par la mise en place d’un système de surveillance efficace.”
Une note explicative de l’article 6 (a) stipule que: «Les membres de groupes vulnérables et défavorisés ont droit à une protection spéciale, en plus de la protection générale qui doit être fournie par le gouvernement à chaque personne au sein de l’Etat. »
Une autre note ajoute: «La protection spéciale accordée aux membres de groupes vulnérables et défavorisés peut impliquer un traitement préférentiel. Strictement parlant, ce traitement de faveur va au-delà du respect et de l’acceptation se trouvant à la base de la tolérance.».
• Section 6 (b) exige que chacun des 28 Etats membres de l’UE » mette en place une unité administrative spéciale, afin de superviser la mise en œuvre de la loi. »
Une note explicative ajoute: «L’unité administrative spéciale devrait de préférence fonctionner au sein du ministère de la Justice (bien que le ministère de l’Intérieur soit une autre possibilité raisonnable). »
• L’article 6 (c) appelle à la création d’une «Commission nationale indépendante de la surveillance de la tolérance composée de personnalités éminentes venant de l’extérieur de la fonction publique – investies du pouvoir de promouvoir la tolérance. »
Une note explicative ajoute: «La Commission indépendante sera habilitée à exprimer ses points de vues sur la mise en œuvre de la loi, y compris l’imposition de sanctions pénales, sans être toutefois limitée à cela.”
• La Section 7 (a) stipule : « les délits suivants seront considérés comme des infractions pénales et sanctionnés en tant que crimes aggravés : incitation à la violence contre un groupe et diffamation d’un groupe. La diffamation d’un groupe est largement définie comme la tenue en public de propos diffamatoires et/ou de commentaires visant un groupe ou un membre du groupe, dans le but d’inciter à la violence, de le calomnier, de le ridiculiser ou de le soumettre à de fausses accusations.
• La Section 7 (b) stipule que les « jeunes, accusés de commettre les crimes cités au paragraphe (a) devront suivre un programme de réhabilitation afin de leur inculquer la culture de la tolérance.
Les victimes des crimes cités au paragraphe (a) auront le droit d’intenter une action en justice contre les auteurs de ces crimes et d’exiger une réparation. L’aide judiciaire sera gratuite pour les victimes, indépendamment de leur situation financière.”
• La section 8 stipule que : « le gouvernement doit s’assurer que toutes les écoles, dès l’enseignement primaire, introduisent dans le programme scolaire des cours destinés à promouvoir la diversité et un climat de tolérance envers les différentes cultures.”
Une note explicative ajoute : « il est très important de commencer ces cours dès l’école primaire et de les poursuivre dans l’enseignement supérieur, y compris dans les universités.”
• La section 9 (a) stipule que : « le gouvernement doit encourager les médias audio-visuels à consacrer une partie de leur programme à la création d’un climat de tolérance.”
• La section 9 (b) ajoute que : » le gouvernement doit s’assurer que tous les médias, y compris la presse écrite, fassent la promotion de la tolérance.”
• La section 9 (c) stipule que : « « Le gouvernement doit inciter tous les médias (publics et privés) à adopter un code de conduite éthique, qui permettra d’éviter la propagation de l’intolérance et le respect de ce code sera supervisé par une Commission des plaintes contre les médias. »
Ce document, s’il était adopté par le Parlement européen dans sa forme actuelle, permettrait, en fait, que les libertés fondamentales des citoyens soient supplantées par le « principe d’égalité ».
Or, la liberté d’expression et la liberté de conscience sont à la fois des droits civils clés, et des droits faciles à supprimer par la puissance du pouvoir, sur le modèle soviétique ou chinois.
L’Union Européenne devrait protéger ces droits au lieu des les réduire.
Un prétendu droit de ne pas « être offensé », un prétendu « droit de ne pas accepter de critiques » ou encore un « droit de ne pas être blessé » dans ses sentiments par des critiques sont des notions très vagues et très subjectives, et gageons que, par exemple, l’anti-sionisme sera strictement exclu du champ de cette loi – au nom, bien entendu, de la protection de la liberté d’expression, et au mépris de la tolérance envers les minorités qu’elle entend protéger.
Les définitions très subjectives des termes et concepts tels que « tolérance », « discrimination », « vulnérable » « défavorisé » encourageraient les plaintes et les poursuites, ce qui entraînerait la disparition d’une liberté fondamentale, celle de la liberté d’expression : les individus et groupes s’appliquant l’auto censure, par crainte d’être poursuivis, pour avoir simplement exprimé leur propre point de vue.
Selon l’European Dignity Watch, la directive proposée fait de la « discrimination » une situation dans laquelle une personne est traitée de façon “moins favorable” que d’autres personnes. Ici encore, cela ouvre la porte à de multiples interprétations subjectives.
Le projet de la directive est donc rédigé d’une façon telle que chacun pourrait se trouver dans la situation d’être coupable de « discrimination » à n’importe quel moment, mais que seuls ceux considérés comme déviants seraient poursuivis. La création d’une incertitude légale générale, qui met tout le monde sous la menace de poursuites judiciaires, et l’application sélective de cette loi, qui en découle, éveillent l’esprit d’une Europe qui se dit libre et démocratique, mais qui s’islamise à vue d’œil.
Une telle directive pourrait conduire à des situations aberrantes ou des accusations vagues ou injustifiées seraient portées contre des individus et des groupes sur simple suspicion d’intolérance, si bien que personne ne pourra jamais être à l’abri d’une plainte d’avoir enfreint la loi.
Et comme à l’époque des dictatures totalitaires, des groupes confessionnels, des écoles, des fidèles d’une religion particulière ou même des parents, qui inculquent des valeurs morales à leurs enfants, considérées par certains comme discriminatoires, pourraient être accusés d’intolérance et poursuivis juridiquement.
Les auteurs de cette proposition de loi – sous l’égide d’une ONG internationale pour la tolérance et la réconciliation – ont invité le Comité des Libertés civiles, de la Justice et des Affaires intérieures à approuver ce projet juridique.
L’adoption de cette loi au niveau national des Etats européens signifierait un recul dramatique de nos libertés, et la surveillance supranationale que cela impliquerait, sonnerait le glas de la démocratie européenne et le retour à la dictature.
Et tout cela est orchestré, en fait, pour protéger la sensibilité maladive d’une minorité, dont l’idéologie religieuse est choquée par nos libertés, notre culture, nos traditions.
Des siècles de combats et de souffrances pour la liberté effacés par un simple vote.
Il ne s’agit pas du tout de la lutte contre l’intolérance, dans ce projet, mais de la promotion de la charia. Sous la pression des Organisations islamiques, par la mise en application d’une directive tyrannique, oppressive. Des siècles de combats et de souffrances pour la liberté effacés par un simple vote.
Toujours selon « l’European Dignity Watch », ce projet est actuellement négocié au sein du conseil de l’UE, où il doit être voté à l’unanimité, ce qui signifie que chaque gouvernement national doit l’approuver, afin qu’il devienne une directive européenne.
L’Allemagne s’est pour l’instant fondamentalement positionnée contre cette directive. Mais elle est la seule. Et le Conseil ne lâchera pas prise. Il continue de discuter la proposition. La guerre d’usure est entamée, les pressions sont immenses.
Le fait qu’un seul pays s’oppose à cette directive en dit long sur l’Europe telle qu’elle évolue, et met les européens dans une situation dangereuse : il n’y a aucun débat national, aucune information, aucune consultation populaire – et rien ne filtre des débats. Tout se passe dans les salles feutrées de Bruxelles, où des décisions au nom des peuples sont prises contre ces peuples – qui ont d’autres soucis plus urgents, et aucun moyen ni organe pour s’alarmer et les soutenir.
D’autres pays doivent prendre officiellement position contre cette directive. C’est urgent, car l’Allemagne peut changer d’avis ou accepter un compromis qui conduira en son temps à son approbation.
Les jours les plus sombres de l’histoire de l’Europe sont devant nous et je ne comprends pas pourquoi on veut nous imposer la présence de ces gens et de leur religion….
Source Rosaly  Dreuz.info.

LE PROJET EURABIA

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Eurabia, ou comment comprendre le projet de colonisation de l’Europe par l’islam, sous la direction des socialistes
Le concept a été inventé par Bat Ye’or[7], popularisé en particulier par son livre Eurabia : l’axe euro-arabe sorti en 2005, affirmant l’existence d’une coopération complète entre les pays européens et les pays arabes, tant en politique intérieure qu’extérieure (notamment en matière d’immigration, d’économie, d’enseignement, de diplomatie), une hostilité à Israël et un soutien à l’antisémitisme, un appui à l’Organisation de libération de la Palestine et une soumission aux pays arabes[8]
Depuis sa signification s’est élargie et a évolué, s’articulant également autour de prédictions de prochaine majorité musulmane en Europe (par une immigration et un taux de fécondité beaucoup plus élevés des musulmans), et se trouvant souvent associé aux idées d’incompatibilité entre l’islam et les valeurs de l’Occident, de volonté d’islamiserl’Europe chez la plupart des musulmans, de complicité d’une part de l’élite politique et culturelle européenne[9], d’euroscepticisme puisque l’Union européenne est vue comme réalisant cette stratégie[9]. (Wikipedia)
Le texte ci-joint est une  résolution du parlement européen, résolution entrant dans le projet européen » Eurabia » ce texte nous a été confié au vu d’édification par Bat Y’eor.
Il est certes daté de 2002 mais ce qu’elle expose d’un quasi-programme de colonisation de l’Europe et ce sous la direction des socialistes, (car c’est un socialiste espagnol, Mr Lluis Maria de Puig qui rapporte ce projet) nous vérifions aujourd’hui, 10 après qu’il est réellement mis en œuvre.
Au fond, la seule chose que les socialistes, d’où qu’ils soient en Europe, réussissent c’est le remplacement des peuples européens et l’imposition de cultures et d’histoires en formes de fabliaux pour endormir les peuples et dont la seule fonction est de créer un nouveau peuple européen, métissé, ignorant de sa culture, oublieux de son histoire.
Il est inquiétant mais pas vraiment surprenant qu’il soit question dans ce texte d’exclure le fondamentalisme et non pas l’intégrisme. Le fondamentalisme est l’expression réservée aux chrétiens évangélistes qui, comme aux États-Unis, n’ont pas digéré le politiquement correct, défendent Israël contre les pays arabes, c’est une leçon que nous donne les pays anglophones.
Naturellement l’Histoire va être réécrite, une histoire à l’usage des enfants et des étudiants, de la même façon qu’elle fut réécrite dans les pays socialistes et dans l’Allemagne nazi.
Comme ne le notait en son temps l’Écclésiaste « rien de nouveau sous le soleil ».
Notez que les flux culturels vont dans un sens – Moyen Orient (on a soigneusement évité ce mot) vers l’Europe et non l’inverse.
En réalité, il n’est même plus question de « régions » comme le Moyen Orient ou l’Europe mais tout simplement le nord et le sud, puis… le Nord et le Sud !
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 Les objectifs, dont aujourd’hui nous mesurons les effets délétères sont explicites ;
1) Coopérer pour éliminer les stéréotypes, préjugés et mensonges des différents systèmes éducatifs par une révision collective des manuels scolaires, notamment les livres d’Histoire.
2) Promouvoir l’apprentissage de la langue arabe en Europe et les langues européennes dans les pays sud méditerranéens à tous les niveaux éducatifs.
3) Encourager l’ouverture des sections de culture et de langue arabes dans les universités européennes ; et des sections de culture et langues européennes dans les universités sud méditerranéennes.
Et bien nous y sommes, le projet Eurabia qui était à notre porte est désormais rentrée dans la maison. Remercions encore Bat Y’eor d’être la gardienne vigilante de la liberté démocratique en Europe, même si de plus en plus sous prétexte d’antiracisme, d’antifascisme, de multiculturalisme, triomphe l’indifférenciation des cultures et des peuples, tous unis dans la grande cause commune du vide et du suicide des cultures, l’avenir radieux du goulag universel, sous l’œil de gardiens surveillants nos pensées et nos actes du haut de leurs minarets.
Opérations culturels entre l’Europe et les pays sud-méditerranéens
Rapport
Commission sur la Culture, la Science et l’Education
Rapporteur: Mr Lluis Maria de Puig, Espagne, Groupe Socialiste

Résumé
Les relations entre l’Europe et les pays au sud de la Méditerranée peuvent et doivent être améliorées. Une coopération intensifiée dans les domaines de l’éducation, le patrimoine et les arts, la science, la jeunesse, le sport et les média devraient aider à réduire les tensions actuelles.
L’Assemblée s’adresse en même temps et en parallèle aux autorités habilitées dans les Etats Membres du Conseil d’Europe et dans l’Algérie, l’Egypte, la Lybie, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie, pour proposer des mesures concrètes dans les domaines de l’éducation, la culture, la religion, les média et d’autres.
L’Assemblée recommande également au Comité des Ministres de considérer la coopération culturelle comme prioritaire pour le Conseil d’Europe et avise son Comité à la Culture, à la Science et à l’Education de poursuivre son travail à cette fin.
I.   Ebauche de Résolution
1.   L’Europe se compose de pays de culture et de traditions différentes. L’élément unificateur pour les 44 pays membres du Conseil d’Europe est leur adhésion à une série de valeurs, notamment la démocratie, le respect des droits de l’homme, la gouvernance par la loi, ainsi que leur volonté de participer à un projet future uni, tout en préservant leur spécificités de culture individuelles.
2.   L’Assemblée est convaincue que les valeurs défendues par le Conseil d’Europe sont universelles et croit que la meilleure réaction à la globalisation serait de se servir de ce phénomène comme moyen de coopérer avec les pays non-Européens qui partagent certaines de ses valeurs, à commencer par les états qui sont le plus proches d’Europe sur le plan géographique.
3.   Les relations entre l’Europe et les pays sud-méditerranéens, qui ont tous signé la Charte des Nations Unies et la Déclarations Universelles des Droits de l’Homme, doivent être améliorées et ils le peuvent. La Culture, y comprise dans l’éducation, la patrimoine et les arts, la science, la jeunesse, le sport, et les médias, se prête particulièrement à une telle coopération.
4.   Il y a des tensions culturelles, sociales, politiques et économiques un peu partout dans le monde. Des malentendus et un degré élevé d’incompréhension. L’Assemblée rejette l’explication facile de telles tensions comme une confrontation (« clash ») des cultures. Bien qu’il y ait, en effet, de majeures différences culturelles entre les différents peuples, ces différences devraient nous amener au dialogue et non pas à la confrontation.
5.  Tout en considérant la sécularisation des institutions politiques en Europe comme une réussite, l’Assemblée reconnaît néanmoins la contribution positive apportée à la civilisation européenne par les traditions religieuses diverses, comme le judaïsme, l’islam et, particulièrement, le christianisme.
6.  Le Conseil d’Europe ne prétend pas avoir des solutions compréhensives ou définitives à tous ces problèmes. L’Assemblée est convaincue, cependant, que des relations culturelles améliorées entre l’Europe et les pays sud-méditerranéens fourniraient le début d’une solution à des problèmes plus larges.
7.  Afin de réussir, l’effort pour améliorer les relations doit être soutenu par une forte volonté politique à la fois en Europe et dans les pays sud-méditerranéens. Beaucoup de changements sont encore nécessaires.
8.  Pour sa part l’Assemblée pourrait octroyer des accords coopératifs aux gouvernements des pays sud-méditerranéens comme un premier pas vers un statut d’observateur.
9.  L’Assemblée voudrait en même temps et en parallèle demander aux autorités compétentes des états membres du Conseil de l’Europe et en Algérie, Egypte, Libye, Mauritanie, au Maroc et en Tunisie, de donner la priorité à la coopération culturelle entre l’Europe et les pays sud-méditerranéens et de :-
–  dans le domaine d’éducation
I   – coopérer pour éliminer les stéréotypes, préjugés et mensonges des différents systèmes éducatifs par une révision collective des manuels scolaires, notamment les livres d’Histoire.
II   – promouvoir l’apprentissage de la langue arabe en Europe et les langues européennes dans les pays sud-méditerranéens à tous les niveaux éducatifs.
III   – encourager l’ouverture des sections de culture et de langue arabes dans les universités européennes ; et des sections de culture et langues européennes dans les universités sud-méditerranéennes.
IV   – établir les mécanismes nécessaires pour les échanges étudiant-professeur en développant et en élargissant le concept ERASMUS et en facilitant les arrangements de visa.
V   – mettre en œuvre  les systèmes nécessaires pour reconnaître les diplômes à partir du niveau secondaire en se référant tout particulièrement, en ce qui concerne l’éducation supérieure, aux principes, buts et méthodes du Processus de Bologne ainsi qu’à la Convention du Conseil d’Europe/Lisbon Unesco.
– dans le domaine culturel
VI   – encourager la traduction et l’édition des œuvres fondamentales de la culture arabe en Europe et des œuvres culturelles européennes dans les pays sud-méditerranéens, y compris des écrivains contemporains et des études sur des questions d’actualité.
VII   – établir et développer des contacts et des échanges entre les artistes, avec des expositions communes et des festivals de film, d’art dramatique et de musique.
VIII  – organiser des contacts et des rencontres dans le domaine de la culture folklorique (le folklore, la gastronomie et les costumes traditionnels.)
IX  – coopérer dans le domaine de la politique migratoire afin de s’assurer que les immigrés en Europe des pays sud-méditerranéens deviennent d’authentiques intermédiaires entre les cultures des pays d’origine et d’accueil.
dans le domaine religieux
X  – garantir la liberté de conscience et d’expression religieuse, exclure le fondamentalisme, promouvoir le respect pour les différences religieuses en fournissant les conditions de développement égalitaires pour toutes les religions.
XI  – encourager des rencontres entre les différents dirigeants religieux en promouvant l’œcuménisme et en ouvrant la voie à un dialogue inter-foi authentique.
XII  – nourrir l’organisation de débats entre les intellectuels et les théologiens sur la compatibilité des pratiques religieuses avec les droits de l’homme, y compris l’impacte sur les femmes, comme indiqué dans la Charte des Nations Unies, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Convention Européennes sur les Droits de l’Homme.
XIII  – s’assurer que les systèmes éducatifs pourvoient une connaissance essentielle des diverses religions.
– dans le domaine des medias
XIV  – encourager les corporations de télévision publique d’élaborer des émissions en coopération entre les chaines de télévisions dans le nord et dans le sud et, à long terme, étudier la création d’une chaine de télévision euro-méditerranéenne.
XV  – développer dans les medias publiques des émissions d’information sur les réalités culturelles, sociales, économiques et politiques, afin d’assurer des informations objectives dans le Nord sur les sociétés musulmanes et, dans le Sud, sur les sociétés européennes.
XVI  – favoriser  la coopération entre les journalistes européens et sud-méditerranéens dans le domaine de l’éthique professionnelle.
XVII  – dynamiser un travail en commun sur Internet en créant des sites et des portails partagés ainsi que des espaces virtuels : (universités, salles de presse, entreprises, forums culturels) qui fourniront des exchanges immédiates en continu et supporteront la navigation par satellite GALILEO, les programmes EUMEDIS et les programmes en cours d’expansion EUREKA.
– dans d’autres domaines
XVIII  – encourager la coopération et les rencontres entre les femmes de l’Europe et des pays sud-méditerranéens sur les questions concernant la liberté, les droits de l’homme et l’égalité du genre (homme-femme).
XIX  – mettre en place une liaison jeunesse et des réseaux de coopération divisés en secteurs d’activité pour : de jeunes parlementaires, des étudiants de niveaux différents, des particularités comme des  membres de groupes religieux, des artistes, des athlètes, etc.
XX  – étudier les possibilités d’une organisation commune d’évènements sportifs professionnels ou amateur, par exemple en restructurant les Jeux Méditerranéens.et en leur donnant une nouvelle impulsion.
XXI  – encourager la participation des pays méridionaux dans des programmes de recherches scientifiques dirigés par des gouvernements, universités, laboratoires, industries et entreprises, notamment ceux qui sont disposés à transférer leurs technologies.
XXII  – promouvoir une politique de jumelage entre les autorités sud-méditerranéennes sur place et celles de l’Europe, visant une coopération proche, surtout dans les domaines culturels.
XXIII  – encourager une coopération touristique Nord-Sud, avec une emphase sur le tourisme culturel, connecter les systèmes de promotion touristiques des deux côtés et favoriser la création de routes, des programmes et des exchanges culturelles,
XXIV  – soutenir des initiatives du Processus de Barcelone, telles que l’Euro Med Heritage, Euro Med Audiovisual et Culture 2000, ainsi que le développement du Civil Forum ; inaugurer des corps coopératifs plus larges dan ce domaine en associant tous les pays du Conseil d’Europe aux pays sud-méditerranéens.
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Paris ne sera pas toujours Paris
Ça poussé par le projet RIVKiN et l’hégémonie américaine, ne vous étonnez pas que nous y soyons jusqu’au cou… Dans la mouise…

Source  Michel Ciardi – Traduction : The Scarlet Pimpernel

EURABIA DEVIENT EURISLAM …

C’est plus marketing sans doute, mais le but est toujours le même, phagocyter l’Europe, l’étouffer, l’asphyxier, jusqu’à ce que mort s’ensuive…
« Eurislam », le projet officiel pour islamiser l’Europe. Extraits : « obliger les médias à parler en bien des musulmans, rééduquer les peuples en faveur des musulmans,… »
eurislam.JPG
 L’Union Européenne diffuse son projet officiel « Eurislam » voulu par les élites européennes dont le but avoué est de faciliter l’islamisation de l’Europe sous couvert d’intégration…
La chercheuse Bat Yé’or l’avait décrit dans son livre « Eurabia »  : l’Europe a choisi d’ouvrir ses portes aux populations musulmanes dans le cadre des accords Euro-Arabes.
eurabia.JPG
Gabriel Robin, juriste, analyse le contenu d’Eurislam :
 « Eurislam »… Pas besoin de vous faire un dessin, vous avez compris où ils veulent en venir. À ce titre, le montage illustrant le rapport dit tout : un minaret orné d’un croissant islamique figure au centre du drapeau bleu européen aux étoiles dorées. L’islam n’est pas « inclus », il est central dans le destin historique que comptent bâtir les déconstructeurs qui nous gouvernent.
Récemment, Philippe de Villiers révélait l’existence de ce rapport, qui prévoit notamment un plan formel de partition, à l’identique du constat d’échec formulé par François Hollande dans Un Président ne devrait pas dire ça. Financé par le fonds FP7-SSH, qui bénéficie d’un budget de 623 millions d’euros entièrement consacrés aux recherches en sciences humaines pour l’Union européenne de demain, le rapport Eurislam essaye de donner des clés aux États membres pour qu’ils parviennent à correctement intégrer les populations immigrées, et plus particulièrement les musulmans.
Le rapport propose les solutions suivantes, que je vais m’efforcer de décrypter en expurgeant la novlangue :
– conseiller aux associations musulmanes de s’affranchir de leurs relations avec les États pour privilégier des partenaires privés ;
– renforcer les missions des associations dites « antiracistes », médiatrices idéales pour l’intégration des musulmans en Europe ;
– obliger les médias à parler en bien des musulmans plutôt que de rapporter les drames du terrorisme ou les difficultés que leurs pratiques font naître dans nos sociétés occidentales ;
– rééduquer les peuples qui estiment que la distance culturelle entre eux et les musulmans serait trop importante ;
– promouvoir l’intégration « socioculturelle » ;
– envisager de créer une organisation supranationale représentant les intérêts des musulmans ;
– pratiquer la discrimination positive et offrir des politiques prenant en compte les différences ethniques.
Tout est disponible sur Internet : Source du rapport Eurislam iciSite internet dédié à Eurislam ici. Compte twitter : https://twitter.com/Eurislam
Pendant que les Européens financent ces rapports iréniques, les femmes n’ont plus le droit de prendre un café en terrasse dans la ville de Sevran, comme le montrait un reportage de France 2.
L’Union imposera bientôt aux États membres les politiques d’immigration qu’ils doivent mener, forcément « inclusives » et « multicuturelles ». « À Rome, fais comme les Romains » semble bien loin de leur préoccupation. Quel mensonge envoie-t-on ? À Paris, fais comme à Kaboul. Et c’est ainsi que les civilisations s’effondrent…
Le lavage de cerveaux est permanent…
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La manipulation et la désinformation aussi…
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Lors d’une émission sur Arte consacrée aux agressions sexuelles commises par les migrants, un journaliste de Libération (Jean Quatremer) avoue que les médias modifiaient volontairement les prénoms arabes des violeurs et les remplaçaient par des prénoms français pour ne pas « réveiller le populisme ». « Pour éviter au populisme de se réveiller » les médias français donnent des prénoms français à la place de…
« Je me rappelle d’un article, un truc absolument extraordinaire sur une affaire de tournante en banlieue parisienne. Tous les noms avaient été changés, ce que l’on fait régulièrement, parce qu’on ne sait pas encore les identités. C’étaient tous des Alain, des Frédéric, des Marcel, des Maurice, sauf qu’en réalité c’était des Mohammed, des Ahmed, etc. », rapporte-t-il.
Et celui-ci de souligner la tendance de « la presse bien-pensante », des « bobos parisiens », à masquer l’origine des délinquants lorsqu’ils sont étrangers.
« On cache, mais nous-mêmes [la presse française] en permanence, c’est un élément [l’origine ethnique] qu’on ne donne pas », confesse-t-il le plus tranquillement du monde.
« On cache, mais nous-mêmes [la presse française] en permanence, c’est un élément [l’origine ethnique] qu’on ne donne pas », confesse-t-il le plus tranquillement du monde.
Sources : Europe Israël/Twitter/Youtube

LE PROJET EURABIA N’EST PAS UNE UTOPIE !!!

La « Conspiration du Politiquement Correct » pour Exterminer les Occidentaux et faire de l’Europe une Civilisation Islamique par le Père Boulad.
 « Il y a une conspiration du « politiquement correct » actuellement en Occident. On camoufle la vérité, principalement par des médias qui filtrent les informations.
pere
L’État et les politiciens disent ce qu’ils veulent vous dire. Vous ne savez, de ce qui se passe là-bas, que ce qu’on veut bien vous dire. On trouve que j’exagère, mais je l’affirme haut et fort : l’Europe risque de devenir une civilisation islamique. Les enjeux sont énormes et les Européens sont un peu dépassés. Derrière le discours sympathique et ouvert, il y a toute une stratégie qui se dévoile : la Taqqya, le droit à la dissimulation pour servir les intérêts de l’islam. L’Occident s’est laissé piégé par ces beaux discours. […]
L’islam peut-il se réformer ?
Face au fixisme ou fondamentalisme, notamment de la grande université du Caire, Al Azar, le courant réformiste a échoué à s’imposer en Égypte. Le dialogue islamo-chrétien, ouvert par le concile Vatican II, est un échec dans les faits. C’est une très bonne démarche, mais il y avait un piège, que l’Église n’a pas encore réalisé : on est tombé dans la Taqqya. Les réunions autour de petits fours et les tapes dans le dos n’aboutissent à rien. Depuis 50 ans, le dialogue islamo-chrétien n’a abouti à rien. On se refuse de réfléchir à cela.
Ce que je préconise, c’est un dialogue islamo-musulman. Une nuée de musulmans sont contre l’islam radical et violent. C’est à eux de prendre les choses en main ! »
Source : (via Le Salon Beige & Fdesouche)
L’islam veut-il se réformer ? C’est la vraie question…



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