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Non, l'islam n'est pas du tout le seul problème qui menace l'Europe. Regardez le Zimbabwe, l'Afrique du Sud, les USA, Londres, regardez les statistiques sur la criminalité en Allemagne. Les massacres d'Européens au couteau, à la machette, au pistolet ne sont pas le fait des seuls musulmans, loin de là.
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Les statistiques ethniques de la criminalité sont parlantes. Ci-dessous, New-York en 2014. Les noirs (blacks) et les hispaniques, bien que minoritaires dans la société, constituent l'immense majorité des infractions criminelles : fusillades (shootings), viol (rape), meurtre (murder).
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Si New York était composé uniquement de blancs, autrement dit si les noirs et hispaniques étaient tous expulsés vers leur continent d'origine, le nombre de viols y chuterait de 83 %, celui des meurtres de 91 % et le nombre de fusillades de 96 %. Les psychologues, les assistantes sociales et les entreprises de sécurité feraient faillite et les gardiens de prison seraient au chômage. Ce serait la catastrophe !
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La culture africaine ou les cultures africaines suffisent-elles à expliquer ce phénomène, comme beaucoup de bonnes âmes antiracistes essaient à tout prix de s'en convaincre ? Non, car même chez les populations noires immigrées dans les pays occidentaux, on retrouve ce même phénomène de surreprésentation dans les statistiques qui concernent l'agressivité, la pauvreté, la drogue, l'agressivité, les viols et la criminalité.
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Le rap qui véhicule la haine des blancs, la pauvreté, la drogue, les films violents, la propagande anti-blanche des associations antiracistes et des médias jouent un rôle dans cette violence prégnante chez la population noire, mais c'est largement insuffisant, car cela n'explique par pourquoi les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets chez les blancs ou les asiatiques.
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Il paraît que le danger suprême est le suprématisme blanc, selon la propagande anti-blanche, anti-européenne qui est diffusée à pleins volumes aux États-Unis comme en Europe.
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Si on enlève les juifs et les hispaniques des tireurs de masse blancs qui sont sur cette liste des fusillades ayant visé plus de 4 personnes, il ne doit plus rester beaucoup de suprématistes blancs, surtout s'il faut encore retirer ceux qui sont démocrates, LGBT ou antifas et qui visaient des Républicains ou des chrétiens.
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La culture et l'environnement n'expliquent pas tout, il faut faire intervenir également des facteurs génétiques.
Le grand Richard Lynn, 89 ans, publie "Race Differences in Psychopathic Personality, an Evolutionary Analysis".
Ce livre montre empiriquement que la fréquence des personnalités psychopathiques est inversement corrélée à l'intelligence au niveau racial.
Les populations au QI plus élevé (Est-Asiatiques ou Européens) ont ainsi une plus faible fréquence de personnalités psychopathiques tandis que les populations moins intelligentes (Africains, Aborigènes d'Australie...) ont une plus haute prévalence de ces personnalités problématiques.
Tableau ci-dessous: QI moyen et fréquence de personnalités psychopatiques (PP) dans différents groupes raciaux comparativement aux Européens (1, par défaut).
Richard Lynn reprend la définition de l'American Psychiatric Association de la "Personalité psychopathique" (ou personnalité antisociale).
Cette personnalité se caractérise par la présence forte de ces 11 traits :
1. Incapacité à maintenir un comportement de travail conséquent.
2. Incapacité à se conformer aux normes sociales concernant le respect des lois.
3. Irritabilité et agressivité, fréquentes attaques physiques.
4. Inaptitudes répétées à honorer des obligations financières.
5. Inaptitude à planifier le futur. Impulsivité.
6. Absence de considération pour la vérité. Mensonges fréquents.
7. Inconscience concernant sa propre sécurité et celle des autres (par exemple conduite sous l'emprise de drogues ou excès de vitesse récurrents).
8. Incapacité à se comporter comme un parent responsable.
9. Incapacité à maintenir une relation monogame plus d'un an.
10. Absence de remord ou de culpabilité.
11. Présence de troubles du comportement dans l'enfance.
Il s'agit d'un ensemble de traits qui se retrouvent dans l'ensemble de la population de façon continue. Seuls les cas sévères de ce continuum seront considérés comme des personnalités psychopatiques (ou antisociales).
Comme dans The Global Bell Curve (2009) Richard Lynn montre que la hiérarchie raciale dans la prévalence de ces traits psychopathiques reste remarquablement inchangée quel que soit le pays, car les causes de ces variations raciales sont principalement génétiques et non culturelles (voir le tableau ci-dessus).
Lynn propose ensuite une explication évolutive à ces différences et se penche sur l'héritabilité des personnalités psychopathiques et sur les différences raciales dans la fréquence de gènes impliqués dans des comportements problématiques (notamment le gène MAOA augmentant fortement l'agressivité).
Richard Lynn signe un nouvel ouvrage remarquable, comme toujours indispensable pour comprendre le monde.
Richard Lynn (2019), Race Differences in Psychopathic Personality, an Evolutionary Analysis.
Chicago : une Polonaise de 18 ans, sauvagement violée dans une ruelle, a dû réapprendre à marcher et à parler après l’attaque
Par Koba le 27/10/2019
18h26
Chicago (États-Unis) – L’adolescente a dû réapprendre à marcher après avoir été sauvagement violée dans une ruelle.
Une adolescente qui a été pourchassée et violée avait besoin d’être aidée pour remarcher et parler à nouveau, a dit le procureur.
L’étudiante polonaise de 18 ans rendait visite à sa famille à Chicago lorsqu’elle a été violée par Rufus Carson, 38 ans, dans une allée.
(…) Carson est accusé de ce que les procureurs qualifient d’attaque « haineuse » contre sa victime, qui avait un visa de travail étudiant à Chicago en 2018.
Selon NBC5, la vidéosurveillance a réussi à capter les cris de la victime pendant environ 20 minutes.
Le procureur Mikki Miller a déclaré que la victime a été retrouvée plus tard par deux ouvriers qui pensaient que la femme était morte, tellement son état était grave. Elle était inconsciente depuis une heure et demie et lorsqu’une ambulance est arrivée, elle a brièvement repris connaissance puis a dit qu’elle avait été violée.
La Polonaise a été dans le coma pendant plusieurs jours et a dû réapprendre à marcher et à parler. Carson a été arrêté 24 heures après l’attaque, portant toujours les mêmes vêtements, tâchés du sang de la victime.
Ce violeur criminel va purger d'une peine de 30 à perpétuité pour son acte aux USA. En France pour le même crime, la Justice Maçonnique pourrait prononcer les peines suivantes :
_ Un non lieu.
_ Interdiction d'approcher la victime d'une distance de 10 mètres.
_ Un acquittement parce qu'il (le criminel multirécidiviste) n'avait pas les «codes culturels» comme pour l'affaire à Coutances (Manche).
_ 1 an de prison dont 8 mois avec sursis,
_ Le relâcher en attendant son jugement qui pourrait prendre des années.
avec en plus le silence médiatique complice pour ne pas dénoncer le caractère raciste de ce viol monstrueux!
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L'ONDRP (Observatoire National de la Délinquance et de la Réponse Pénale) sera fermé fin 2020 par le gouvernement Philippe. Merci Édouard et Emmanuel ! Plus d'observations de la délinquance donc plus de sentiment d'insécurité donc plus de problème. La France retrouvera ainsi la paix.
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C'est comme les chiffres du chômage qui sont bidouillés pour faire croire à un chômage à 9 %, alors qu'il est de 20 % ou plus en réalité.
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Une grande partie des statistiques du livre d'Obertone France Orange Mécanique qui est un long travail de recensement, de compilation et d'analyse d'archives de presse, de comptes-rendus de procès, de témoignages.... venait de l'ONDRP.
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Cela rappelle l'Allemagne où les Blancs qui diffusent des vidéos d'agressions sont poursuivis et condamnés. Cette volonté de censure totale mise en place par nos gouvernements ouest-européens est inquiétante au plus haut point.
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Voici un exemple de données que l'ONDRP pouvait fournir :
110 voitures brûlées chaque jour en France. - Le phénomène est loin de décroître. Le Nord, le Val-d’Oise et l’Isère sont particulièrement touchés.
L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) jette une lumière crue sur les feux de voitures, département par département. Les plus touchés ? Le Nord (avec près de 250 feux par mois en moyenne), mais aussi l’Oise, le Val-d’Oise, l’Isère, la Drôme, le Gard, les Pyrénées-Orientales et le Vaucluse. Tandis que la Lozère (30 sinistres seulement en un an), les Côtes-d’Armor et la Mayenne font figure de havres de paix. En tout cas, si l’on s’en tient aux chiffres des pompiers.
Ce que l'on peut retirer de ce petit paragraphe, si l'on n'a pas plus d'informations, c'est que 3 départements sont potentiellement encore bien préservés dans leur entièreté de la faune qui provoque des incendies de voiture. Une information utile, précieuse, voire vitale. À part Saint-Brieuc, les Côtes d'Armor étaient bien épargnées jusqu'à très récemment. Cela ne va pas durer vu que les Bretons complètement masos ou inconscients ont voté en grande majorité pour les immigrationnistes fous d'extrême-gauche (PS, Verts, EM, LR) et très peu pour le centre-droit RN, et encore moins pour des partis de droite style Dissidence Française.
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Voici deux autres exemples montrant ce que pouvaient être des articles réalisés à partir des statistiques et données de l'ONDRP : L’insécurité, grenade dégoupillée pour la fin du quinquennat Macron ? (RR, 12.09.2019) Macron, c’est aussi la catastrophe en matière de criminalité… (RR, 10.12.2018)
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Déjà que les statistiques ethniques et religieuses sont interdites, si en plus les statistiques de la criminalité deviennent encore plus dures à se procurer car diluées et réparties dans différents services ministériels, on ne va plus avoir d'autres informations globalisantes au sujet de immigration-criminalité que sur fdesouche, voice of europe ou la cartographie des faits divers.
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Ces données statistiques, cette compilation et ce traitement des faits divers sont pourtant une des seules méthodes pour faire sortir quelqu'un de la secte progressiste immigrationniste antiraciste dont le dogme est exactement l'inverse de la réalité.
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Dans l'histoire, le supposé paradis du vivre-ensemble s'est très souvent transformé en enfer du massacre et de la guerre.
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Comme le dit Aristote, "la plupart des pays qui ont intégré des étrangers ont connu des guerres civiles".
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Qui dit immigration de masse venant des trous à merde du tiers-monde dit transformation à court ou moyen terme du quartier ou de la ville en trou à merde du tiers-monde. Les enfants, les femmes et les personnes âgées confrontées à ces populations sont les premières victimes, mais les hommes morflent aussi. À force d’accueillir le tiers-monde, on devient le tiers-monde avec les traditions de respect des femmes qui vont avec. On ne peut pas encourager l’importation d’une culture misogyne et violente et se plaindre ensuite de son résultat dans les rues. Plus de cambriolages, d’agressions, de bagarres ou de violences sexuelles…
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Si l'islam vient se greffer là-dessus, le problème déjà mortel devient doublement une promesse de génocide à moyen-long terme.
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Cette vérité crève les yeux à quiconque a enfin évacué toute la glu bienpensante injectée à dose massive par l'appareil de propagande politico-médiatique depuis 40 ans.
Mais justement tant que cette bouillie de croyances et d'illusions n'est pas déconstruit, on ne voit pas correctement la réalité désastreuse de l'immigration extra-européenne, on ne fait que la fantasmer.
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Cette vérité de bon sens ne peut se constater que si on voit la réalité. Mais encore faut-il avoir accès à cette réalité !
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Quiconque a vécu dans un ghetto du 93, du 95 ou du 78 (Trappes, Montreuil, Sarcelles, Bobigny, Évry, Saint-Denis, Aubervilliers, La Courneuve....), de Tourcoing, de Villeurbanne ou des quartiers nord de Marseille ou dans une autre des 1500 "zones sensibles" en France pourra témoigner de cette réalité.
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Mais encore faut-il pouvoir être réceptif à cette réalité. La bien-pensance martèle sans preuve mais avec beaucoup de conviction que les problèmes criminels sont uniquement liés à la pauvreté ou encore sont causés par le racisme systémique de la société française qui cause des discriminations et donc du ressentiment.
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Tout cela est complètement faux. Les populations immigrées, bien que parfois pauvres, sont immensément plus riches que dans leurs pays d'origine, immensément plus riches que les ouvriers blancs en France du 19e siècle ou du début du 20e siècle, souvent immensément plus riches que beaucoup de Français pauvres des campagnes. Le racisme systémique s'exerce avant tout au détriment des blancs et au bénéfice des populations de couleur via la discrimination positive notamment, comme l'ont démontré Obertone (France interdite, 2018) ou Faye (Guerre civile raciale, 2019).
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Le racisme anti–Blanc, imbriqué avec la haine des Juifs, tue infiniment plus que tous les autres, sous forme de terrorisme ou de criminalité. Et pourtant, l’idéologie dominante répand l’idée que ce sont les Français de souche (ou autres Européens) qui sont racistes alors que tous les actes racistes et antisémites (attentats, agressions, crimes crapuleux et autres) sont commis par des Arabes, Asiatiques ou Africains musulmans. Et pas seulement en France, mais dans toute l’Europe. Et aussi en Amérique.
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Si l'on n'a pas de présupposé raciste sur la dangerosité des noirs ou des arabes ou si l'on n'a pas fait l'effort méthodique de mettre bout à bout les faits divers totalement occultés par la presse et la télé ou si l'on n'a pas multiplié les expériences directes de tels phénomènes, il est fort possible que l'on croit sur parole ou du moins que l'on accepte faute de mieux les bobards classiques des propagandistes : "ce n'est qu'un fait divers, pas d'amalgame, déséquilibré, pauvreté, il faut plus de moyens, violences policières, blablabla".
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Cet endoctrinement est très très profond.
Si l'on est occasionnellement cambriolé, agressé, violé, etc. cela pourra passer pour un fait divers. Et si la propagande médiatique nous a inoculé le virus de la bienpensance antiraciste, on pourra se faire agresser de nombreuses fois avant de se dire que "quand même c'est toujours par les mêmes que je me fais insulter, agresser, voler... Mon copain/tonton/collègue... que je méprisais parce qu'il était vraiment un beauf facho, il ne disait pas que des conneries en fait. Et même il avait bien plus raison que moi."
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Et même alors, la petite musique sournoise "ne sois pas un sale facho ou tu iras en enfer" va revenir incessamment dans vos oreilles et vous rendre malades et honteux. Vous ne pourrez pas quitter si facilement la religion progressiste, vivre-ensembliste, multiculturaliste, qui prône l'ouverture des frontières, le métissage, la confiance dans l'étranger, l'abandon de sa souveraineté aux organisations mondialistes UE et ONU, mais qui en même temps prétend lutter hypocritement contre l'exploitation, l'esclavage et la pollution. Il vous faudra pour certains drogués au progressisme encore beaucoup d'attentats et peut-être une guerre civile raciale avant de s'apercevoir enfin que tout n'était qu'illusion et mensonge.
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Cette propagande est une arme de guerre psychologique visant à affaiblir les défenses immunitaires naturelles du peuple (méfiance de l'étranger, prudence, volonté de défendre son territoire) afin de le déstabiliser, de l'envahir progressivement pour enfin le détruire ou le prendre, comme cela a été le cas pour le Liban ou le Kosovo.
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J'espère qu'on n'en arrivera pas là et qu'on pourra mettre en place d'ici quelques années une remigration à grande échelle de la grande majorité des allogènes, français de papier ou étrangers, qu'ils soient ouvertement hostiles ou non, vers leur continent d'origine, vers la terre de leurs ancêtres et de leurs semblables. On ne doit garder que ceux qui sont ouvertement alliés avec le peuple français de souche, autrement dit les étrangers profondément assimilés, du type Jean Messiha ou Zineb el-Razhoui qui ne sont pas Français de sang mais Français de branche.
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L'islam doit être strictement interdit et tous les musulmans expulsés sans exception, modérément islamistes ou islamistement modérés. Seuls les musulmans qui quitteront ouvertement l'islam, cracheront sur le Coran et combattront pour la France pourront rester, en tant qu'étrangers amis de la France et seront progressivement renaturalisés au fur et à mesure qu'ils feront leur preuve.
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Dites-vous bien que le vrai racisme et la vraie intolérance, c'est ceux de l'ONU, de l'UE et des remplacistes qui n'hésitent pas à sacrifier la race européenne sur l'autel de leur délire eugéniste visant in fine à métisser les blancs, considérés par la propagande mondialiste comme intrinsèquement nazis et mauvais, avec d'autres races, considérées comme intrinsèquement bonnes, afin que la civilisation européenne soit détruite à jamais (le peuple européen en est la condition génétique) et que toute résistance solide à l'établissement du nouvel ordre mondial devienne définitivement impossible.
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Ce n'est plus une question de riposte LAÏQUE ou de résistance RÉPUBLICAINE. On a dépassé ce point depuis très longtemps.
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C'est une question de riposte FRANÇAISE, de résistance EUROPÉENNE et de reconquête de nos terres colonisées par les envahisseurs.
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Et en même temps que nos terres, ce sont nos esprits qu'il faut restructurer. Nos cerveaux et nos esprits sont très souvent endommagés profondément par des années de jachère ou de sous-développement culturel.
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Cela remonte à très loin. La culture de la repentance et de la culpabilité occidentale à l'égard des colonisés a été inoculée par les services secrets américains et soviétiques dès la fin de 1945 afin de préparer la décolonisation et un discours revanchard, victimaire et culpabilisateur servi en masse aux populations des colonies pour qu'elles se soulèvent.
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N'oubliez pas que nous sommes toujours soumis à la propagande américaine via Hollywood, les pubs des multinationales, les clips de chanson, les séries TV.
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Les pays musulmans financent l'islamisation et corrompent les politiques français.
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Le mondialiste Soros, mais d'autres aussi (Gates, Goldman Sachs, Zuckerberg...) financent ou aident des associations, organismes anti-conservatrices donc anti-France.
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Les socialo-communistes sont bien implantés dans les médias, la culture, l'éducation, l'université, les associations.
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Certains juifs, certains francs-maçons, ont des activités éminemment suspectes qui d'ailleurs alimentent la thèse d'un complot englobant tous les francs-maçons ou d'un complot englobant tous les juifs. C'est confondre la partie avec le tout. Il n'empêche qu'il faut mener des enquêtes pour éclaircir tout cela.
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D'autres pays ont intérêt à déstabiliser la France : Chine, pays africains, etc.
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Il ne reste donc plus grand chose de proprement français et de vraiment vrai dans tout le contenu éducatif ou médiatique qu'on avale quotidiennement depuis plus de 50 ans.
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Comme je l'avais montré dans un autre article, le grand remplacement passe par le cerveau des Européens.
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La Reconquête commence aussi dans nos cerveaux.
. "Les êtres humains ont besoin d’une forte identité intérieure pour pouvoir résoudre une crise. Dans les États, l’identité nationale joue un rôle comparable. Les pays qui ont connu les meilleurs résultats dans la résolution de leurs crises sont ceux qui n’ont pas abandonné leurs valeurs culturelles et qui ont eu ainsi la force intérieure de se renouveler."
(Jared Diamond, cité dans Pourquoi vivre ensemble si la même culture n’est pas partagée par tous ?)
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À quoi il faut rajouter qu'il est bon de connaître tous les paramètres d'une crise pour pouvoir résoudre une crise. Et là on revient au sujet initial, mais je poursuivrai dans un autre article, sinon ce sera beaucoup trop long.
Renaud Camus@RenaudCamus
J’appelle Petit Remplacement la substitution de la sous-culture à la culture. Le Petit Remplacement est la condition du Grand.
00:17 - 1 mai 2016
Quel avenir pour l'étude statistique de la criminalité après la fermeture annoncée de l'ONDRP ?
INQUIÉTUDES - L'Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) fermera ses portes fin 2020. La disparition de cet organisme, responsable de la production de statistiques sur la criminalité et ses victimes, inquiète les différents acteurs luttant contre les inégalités. Son activité sera reprise par l'Insee et les ministères de l'Intérieur et de la Justice, sans certitudes toutefois sur l'avenir de certaines de ses missions.
- Mathilde Roche
"Plutôt que de faire disparaître les violences, le gouvernement supprime l'organisme qui les mesure" : Caroline De Haas, du collectif #NousToutes, s’est alarmée sur les réseaux sociaux de la fermeture prochaine de l’Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales, l’ONDRP. Cette structure, indépendante bien que rattachée au Premier ministre, a pour mission de produire des statistiques sur la délinquance et la criminalité. Des études qui permettent de matérialiser les évolutions des phénomènes criminels, comme les violences à caractère raciste ou homophobe, ou encore de mesurer l’ampleur des violences sexistes et sexuelles.
Malgré ses missions essentielles, l’ONDRP sera supprimé à la fin de l’année 2020. Le gouvernement, dans sa logique d’économie annoncée par la circulaire du 5 juin 2019, va fermer l’Institut national des hautes études de sécurité et de justice (INHESJ), qui accueille l’ONDRP. La décision, annoncée par le cabinet du Premier ministre le 4 octobre, a scandalisé les différents acteurs de défense des droits humains, inquiets d’être privés de leur meilleur argument quand il s’agit de démontrer les inégalités : les chiffres.
Dans son communiqué, l’INHESJ avance néanmoins que sa fermeture est conditionnée à "une intégration de ses missions au sein de certains ministères ou institutions partenaires". Au sein même de l’ONDRP, le flou est pourtant total, y compris concernant l’avenir des 11 agents qui y travaillent.
Des missions éclatées entre Insee et ministères
"On ne nous a donné aucune nouvelle, ni sur les types de mission qui seront reprises ni sur les modalités de la reprise ni sur les moyens accordés", explique à LCI Christophe Soullez, directeur de l'ONDRP, qui regrette de voir s’évanouir les fruits d’un travail de plusieurs années. "C’était un espace interministériel qui permettait de sortir des logiques administratives et corporatives des ministères, d’échanger entre monde académique et monde opérationnel. C’est dommage que le gouvernement se prive d’un lieu de réflexion et d’échanges entre tous les acteurs de la sécurité, surtout à l'heure où on s'interroge sur les liens entre police et justice", observe-t-il.
"Peut-être qu'ils arrêteront totalement le travail ONDRP, peut-être qu'ils éparpilleront ses missions entre différents ministères, mais cela pose un problème d'indépendance. Peut-être encore que les missions seront reprises telles quelles par une entité", prospecte M. Soullez. "Mais cela ne sert à rien de recréer un Observatoire bis si on ne lui donne pas les moyens nécessaires, or nous sommes dans une logique de coupe budgétaire. Et même si les enquêtes et analyses menées par l’Observatoire sont reconduites par d’autres organismes, le nouveau dispositif sera forcément de moins bonne qualité."
L'Insee et les services statistiques des ministères de l’Intérieur et de la Justice s’organiseront ensemble pour assurer la continuité- L'Insee
Sollicité par LCI pour trancher ces interrogations, le cabinet du Premier ministre a répondu par une explication pour le moins concise : "L’ONDRP n’est pas supprimé mais transféré à l’INSEE. Cette décision permet de garantir l’objectivité des statistiques en matière de délinquance."
De son coté, l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) dément hériter de la totalité des missions et explique que "sous le contrôle de l'Autorité de la statistique publique, l'Insee et les services statistiques des ministères de l’Intérieur et de la Justice s’organiseront ensemble pour assurer la continuité des activité de l'ONDRP". Selon l’institut, les missions de statistiques seront "exercées avec les mêmes garanties d'indépendances que jusqu'à présent" étant donné que les statistiques sur la délinquance et la justice sont "déjà produites et analysées de façon indépendante par les services statistiques ministériels".
L'enquête "Cadre de vie et sécurité" au cœur du débat
Malgré ces déclarations rassurantes, des inquiétudes demeurent au sujet de la principale enquête publique de statistique de l’ONDRP, nommée “cadre de vie et sécurité” (CVS). Cette étude annuelle de victimation "a permis de faire des progrès très importants en matière de connaissance des violences, notamment des violences faites aux femmes", rappelle Christophe Soullez. Etant co-produite avec l’Insee et le SSMSI (service statistique ministériel de l'Intérieur) ainsi que labellisée par le Conseil national de l'information statistique (CNIS), tout parait réuni pour que l’absence de l’ONDRP soit compensée par ses partenaires.
Pourtant, L’Insee a annoncé en avril 2018 qu’il cesserait prochainement de contribuer à l’enquête CVS pour des raisons budgétaires. Auprès de Checknews, l’Institut de la statistique confirme qu’il "continue de participer au financement et à la réalisation de l’enquête CVS jusqu'en 2021, mais s’en désengagera à compter de 2022". Une décision "prise depuis longtemps déjà" qui a soudainement des conséquences plus dramatiques qu'à l’époque. Sans les services de l'ONDRP et le financement de l'Insee, le délai semble court pour qu’un autre organisme prenne le relais et assure une reprise sans accroc de l’enquête. "Le plus problématique étant la rupture dans les séries de données, rendant impossible les comparaisons et donc les statistiques de progression", appuie Christophe Soullez.
Un flou qui inquiète
Alors coupe budgétaire malheureuse ou volonté de mainmise sur les statistiques nationales ? Les militants travaillant avec l’ONDRP, laissés dans le flou total jusqu'à maintenant, se posent la question. Pour Caroline De Haas, contactée par LCI, la suppression de l'observatoire de la délinquance pose plusieurs problèmes : "Dans notre société ce que l’on ne mesure pas n’existe pas. Donc sans les chiffres, comment convaincre et déclencher des politiques publiques ? Comment évaluer l’efficacité des politiques publiques si on mesure plus les faits ? Les gens qui vont mesurer la réalité des violences sont ceux qui ont la charge de mettre en place les politiques publiques pour lutter contre les violences, il y a un gros problème".
Reprenant l’exemple de l’enquête CVS, devenue un document référent pour mettre les autorités face à leur responsabilité, la porte-parole du collectif #NousToutes continue : "94 000 femmes sont victimes de viols chaque année. Si dans deux ou trois ans il n’y a plus de réelle enquête, comment fait-on pour savoir si cela a bougé ? Cela n’a pas de sens. Sauf s’ils ont décidé que c’était plus efficace d’arrêter de mesurer que de lutter contre les violences."
Peu d’institut de sondages peuvent donner des chiffres sur la traite des êtres humains- Elisabeth Moiron-Braud, secrétaire générale de la Miprof
Sans se prononcer sur les motivations du gouvernement concernant cette décision, Elisabeth Moiron-Braud, secrétaire générale de la mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (Miprof) appréhende la fin du partenariat avec l’ONDRP. "Peu d’institut de sondages peuvent donner des chiffres sur la traite des êtres humains. Or, ils sont essentiels pour penser des politiques publiques car ce sont des données objectives", explique-t-elle auprès de LCI. "L’enquête annuelle que nous avons construite ensemble permet d’avoir une idée de l’ampleur de ce phénomène invisible. Même si nous avons à cœur de la continuer, ils ont une expertise que nous n’avons pas et leur travail complétait le nôtre, il va falloir repenser notre manière de travailler, cela sera plus compliqué".
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