Je comprends qu'il faille de nos jours prendre des pincettes pour nous exprimer mais soyons clair et arrêtons avec ces termes comme "islamisme, islamiste". La vérité c'est que l'islam et le coran est une doctrine abominable ! et pour cela il suffit de lire la biographie du faux prophète et les hadiths sahih (reconnu véridique par les plus grand "savant" musulmans) pour ce rendre compte que c'est parfaitement en accord.
Cette doctrine est directement inspiré des tréfonds de l'enfer.
Voilà le véritable musulman : N’est musulman que celui qui est fidèle à son engagement et tue et se fait tuer dans le sentier d’Allah (S. Al-Thawba, le Repentir,V.111).
Le musulman n’est pas celui qui reste blotti chez lui, à rêvasser, qui se contente de ses 5 obligations à ne rien faire pour la gloire d’Allah et la propagation de l’islam qui se veut un message pour toute l’humanité (S.Ennissa, V.95) à l’image de ces musulmans pseudos modérés, il est celui qui a troqué sa vie sur terre en échange de sa vie dans l’au-delà (S.4, V.74).
L’islam est clair avec lui-même contrairement à ces musulmans qui fantasment sur ses vertus de paix, seuls ceux qui payent de leurs biens et de leurs personnes pour le triomphe de sa cause ont grâce à ses yeux.
Les musulmans n’ont pas à discuter de ses mots d’ordre, la guerre totale aux mécréants leur est enjointe et ils ne peuvent s’y soustraire, sauf s’ils sont infirmes ou vieillards: » Le combat vous a été prescrit alors qu’il vous est agréable » (S. Al Baqara, la Vache, V.216) celui qui ne l’est pas ne peut être que dans la voie mécréante stipule en substance ladite sourate. Le vrai musulman doit se préparer à fourbir ses armes force contre le camp d’en face, jugé comme l’ennemi d’Allah et le sien (S.Al-Infal, le Butin, V.60).
Le combat est un devoir qui pèse sur tous les musulmans. Considéré par le Coran comme la guerre entre le bien et le mal. Il y va du salut et de la pérennité de l’islam et des musulmans qui doivent veiller à protéger l’intégrité physique de leurs femmes,les faibles, les enfants et les vieillards (S.Annissa, les Femmes, V.4).
Les croyants sont ceux qui combattent dans la voie d’Allah et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du Taghut » (S.Annissa, V.76). Il suffit de ne pas se soumettre à ses dogmes pour être un criminel avéré, un assassin, un pilleur, un voleur, un violeur, un conspirateur, un suppôt de diable, un pervers, un dépravé, un luxurieux, un renégat, un magouilleur, un pédophile, un corrompu, colonisateur, un monstre d’inhumanité que des qualificatifs abominables qui ne sont en réalité que ses propres tares et vilenies projetées sur autrui.
Les prescrits de Coran sont suffisamment éloquents quant à sa nature guerrière, hyper agressive et mortifère, son bellicisme dogmatique, ses préjugés haineux et ses délires de persécution. Tout ce qui est non-musulman est forcément une source de danger mortel pour l’islam et qu’il faut combattre jusqu’à la victoire finale. Pour être dans la voie de l’islam et ne pas servir de combustibles à l’enfer d’Allah, les musulmans n’ont pas l’embarras du choix, le djihad et rien que le djihad. Toute autre voie leur fera fermer les portes du paradis. Allah n’aime pas les frileux et les tièdes. « Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense. » (S.4 , V.95). Soit le combat soit l’enfer.
Pour les autres musulmans qui ne font pas le djihad, allah les vois comme des mécréants qui iront en enfer “ALLAH AIME CEUX QUI VONT JUSQU’À TUER POUR SA CAUSE. (Coran 61.4)”
https://www.youtube.com/watch?v=_eZLpPCTC0M
Ce que dit le Coran sur le djihad
Contre soi, ou contre les autres ? La notion de "la guerre sainte" est à géométrie variable, et l'on oublie trop que c'est d'abord un effort contre soi-même.
PAR CATHERINE GOLLIAU
Modifié le - Publié le | Le Point.fr
« Ceux qui croient combattent sur le chemin de Dieu », dit le Coran (sourate Les femmes, IV, 76). La lutte contre les ennemis de l'umma, la communauté des croyants, est un devoir religieux exigé du Coran sans être pourtant obligatoire, contrairement aux affirmations de certains penseurs. Généralement traduit par « guerre sainte », « djihad » signifie littéralement « effort », « combat ». L'islam traditionnel distingue entre djihad mineur et majeur. Le « djihad mineur » vise les ennemis de l'islam. « Seule rétribution de ceux qui combattent Dieu et son prophète (…) : les tuer, ou les crucifier, ou leur couper les mains ou les pieds en diagonale, ou les bannir. Que ce soit leur ignominie en ce monde, outre un terrible châtiment dans la vie dernière », affirme encore le Coran (sourate V.33). Le « djihad majeur » ou « grand djihad » est celui que l'on mène contre soi-même.
Selon l'imam Al-Bayhaqî (994-1066), le Prophète a ainsi dit à ses compagnons au retour d'une expédition militaire « Nous voici revenus du Djihad mineur pour nous livrer au Djihad majeur » ; et quand les compagnons lui demandèrent de quoi il s'agissait, il répondit : « Celui du cœur ! » D'après le grand compilateur de hadiths Al-Tirmidhi (824-892), le Prophète aurait dit également : « Le vrai combattant (moujahid) sur le chemin de Dieu est celui qui lutte contre son ego. » Très belle définition, que la littérature soufie, le courant mystique de l'islam sunnite, va exalter et tenter d'approfondir, mais qui est de plus en plus masquée par le développement d'un islam radical et violent, prétendant revenir à la pureté de l'islam traditionnel. Qui a tort ? Qui a raison ?
Extrapolation
Dans les faits, la notion de djihad a beaucoup évolué dans le temps et l'espace. Et il n'est pas sûr que Mahomet reconnaîtrait pour sienne la définition d'un Azzam ou d'un Zarqaoui, les théoriciens du djihad contemporain. Pour Jacqueline Chabbi, auteur de Le Seigneur des tribus, l'islam de Mahomet (éditions du CNRS, 2013), la théologie de la guerre sainte et ses corollaires – la notion de combat pour Dieu, le martyre et la rétribution au Ciel –, n'apparaissent que vers le IXe siècle. « À l'origine, il ne s'agit nullement d'appeler à la guerre sainte – notion alors inconnue dans la société du Prophète –, mais de respecter la règle tribale qui veut que tout engagement dans une action collective soit basé sur le volontariat : les Médinois et les compagnons de Mahomet qui l'ont suivi depuis La Mekke sont incités à s'engager dans chaque action qu'il entreprend, qu'elle soit guerrière ou non », explique-t-elle. Il s'agit toujours d'un engagement individuel, volontaire et temporaire. « C'est par extrapolation et avec un sens totalement déconnecté du substrat social initial que s'est organisée la théologie de la guerre sainte », ajoute encore l'anthropologue.
L'idée de la recherche du « martyre » était absente d'une société bédouine confrontée à un environnement difficile. Ce « suicide » dans un but religieux aurait en effet risqué d'affaiblir le clan. Initialement dans le Coran, le terme « shahid » signifie « témoin de dieu ». Il ne sera traduit par « martyr », celui qui meurt pour Dieu, que sous les Abbassides, qui arrivent au pouvoir à partir de 750. C'est sous cette dynastie, installée à Bagdad, que va lentement s'élaborer le dogme sunnite, l'orthodoxie majoritaire.
Les ennemis extérieurs comme intérieurs
Mais le djihad va aussi évoluer quant à son objet. Initialement orienté contre les ennemis de l'islam, il va s'élargir à ceux qui agissent mal au sein de la communauté musulmane. « Corriger ce qui est blâmable et en protéger les musulmans, voilà le plus méritoire des djihad (…), plus impératif que celui contre les infidèles », écrit ainsi vers 1448 l'érudit algérien Abdelkrim al-Maghili (1425-1505) à l'empereur songhai Mohammed de Gao (1443-1548). Sur cette base, il va servir de justification à l'élaboration de nouveaux empires en Afrique au XIXe siècle. C'est à cette époque que les opposants à la colonisation et à la civilisation occidentale vont réactiver la notion de djihad.
Traumatisé par ses deux ans de formation en droit aux États-Unis où il découvre une société de consommation qui lui fait horreur, l'Égyptien Sayyid Qutb (1906-1966) va chercher son salut dans un retour vers les racines de l'islam et devenir le grand propagandiste des Frères musulmans, élaborant une théorie de l'islam de la troisième voie, entre un « marxisme soviétique athée » et un « capitalisme violent, égoïste et dépravé ». Dans son monumental Fi Zilal al-Quran (Dans l'ombre du Coran), devenu l'un des textes phare des mouvements islamistes, il entend démontrer la supériorité des préceptes de l'islam pour se défendre de « la société hérétique », fondée sur le verset coranique : « Ceux qui ne jugent pas selon les préceptes de Dieu sont des impies. » Pour lui, les sociétés modernes sont revenues au temps de la jâhiliya, l'Arabie pré-islamique, et pour en sortir, il faut déclarer le djihad ! Comme le démontre Bernard Rougier, professeur de civilisation de l'islam contemporain à Paris-3, dans Penser l'islam, hier et aujourd'hui (Point Références, sortie le 29 octobre), la pensée de Qutb va nourrir directement des maîtres du djihad contemporain comme Azzam, Zawahiri ou Zarqawi.
Un guide de la pensée en islam
L'islam est-il une religion de la soumission ou de la liberté ? Le retour au VIIe siècle des Bédouins d'Arabie, prôné par les musulmans radicaux, est-il une obligation fondée sur le message coranique, ou une exigence conjoncturelle liée au rejet de l'Occident ? L'islam n'a jamais été « un », et parce qu'il n'existe pas d'autorité centralisatrice, nombreux sont les courants de pensée qui s'y expriment, et s'y opposent. Dans Penser l'islam, hier et aujourd'hui, Le Point explique, en partant des textes fondamentaux, les principes qui ont dominé l'évolution de la pensée islamique, pourquoi les djihadistes se réclament de la Tradition, qui sont ceux qui, aujourd'hui, dans le respect de leur foi, luttent contre le salafisme et ses dérives.
Penser l'islam, hier et aujourd'hui, sortie le 29 octobre, 120 pages, 7,5 euros
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