Dans une stratégie de conquête, le moyen le plus efficace, le moins coûteux et le moins risqué est de réduire l’adversaire à l’impuissance, ou au moins à l’amoindrir, à l’inhiber pour empêcher toute réaction.
Plusieurs moyens s’offrent à l’agresseur pour obtenir cela : la peur (poussée à son paroxysme cela donne la terreur), la sidération, la subjugation, la culpabilité et la honte.
Les accusations de racisme ou d’islamophobie, les « rappels » de prétendus crimes passés (ou carrément imaginaires*) dont on serait coupable jusqu’à la 30000ème génération font appel à ces deux derniers ressorts.
Dans cette stratégie victimaire, il est toujours perdant de tenter de se défendre et de se justifier maladroitement – d’autant plus maladroitement que ces accusations sont en général mensongère, fallacieuse et de mauvaise foi. « Qui s’excuse s’accuse », comme dit le dicton. Être sur la défensive ne permet pas de gagner. La meilleure défense c’est l’attaque, il faut répondre aux attaques par d’autres attaques, en retournant l’accusation et la charge de la faute. Ou au moins une contre-attaque en niant sans hésitation ni concession l’accusation portée : toujours dire « c’est parfaitement faux, c’est un mensonge éhonté, une affabulation, une fabrication, etc ». Si l’on commence à concéder que cela pourrait avoir un début de commencement de vérité, on est perdu, car on crée une brèche face à un adversaire de mauvaise foi.
* comme par exemple l’accusation d’avoir volontairement mis à l’écart les immigrés et d’avoir créé des ghettos, alors que ces prétendus ghettos (qui ne le sont pas puisqu’ouverts et que personne n’est physiquement empêché d’en sortir) résultent de l’action même de ces populations qui cultivent l’entre-soi, préfèrent se regrouper et vivre entre eux et ont fait fuir – souvent volontairement – les français.
___
L’islam et les musulmans ne sont pas des victimes: ils sont coupables. Ce sont des fauteurs de trouble engagés dans une stratégie agressive de conquête et de soumission des Français. Ceux qui ne veulent pas quitter l’islam et devenir Français n’ont rien à faire CHEZ NOUS, ils doivent partir, que ce soit avec la valise ou avec le cercueil, pour reprendre leur formule. Seuls ceux des pays sous le joug de l’islam qui veulent le fuir et s’en libérer – et mieux lutter contre – et qui veulent embrasser notre civilisation ont vocation à être accueillis parmi NOUS, LES FRANÇAIS.
Sinon nous serons bientôt nous parqués dans des réserves indiennes, dépossédés de notre propre pays et asservis chez nous… ou pire.
Adalbert le Grand
https://resistancerepublicaine.com/2020/02/19/francois-burgat-accuse-les-non-musulmans-detre-responsables-du-terrorisme-musulman-et-du-djihadisme/
Plusieurs moyens s’offrent à l’agresseur pour obtenir cela : la peur (poussée à son paroxysme cela donne la terreur), la sidération, la subjugation, la culpabilité et la honte.
Les accusations de racisme ou d’islamophobie, les « rappels » de prétendus crimes passés (ou carrément imaginaires*) dont on serait coupable jusqu’à la 30000ème génération font appel à ces deux derniers ressorts.
Dans cette stratégie victimaire, il est toujours perdant de tenter de se défendre et de se justifier maladroitement – d’autant plus maladroitement que ces accusations sont en général mensongère, fallacieuse et de mauvaise foi. « Qui s’excuse s’accuse », comme dit le dicton. Être sur la défensive ne permet pas de gagner. La meilleure défense c’est l’attaque, il faut répondre aux attaques par d’autres attaques, en retournant l’accusation et la charge de la faute. Ou au moins une contre-attaque en niant sans hésitation ni concession l’accusation portée : toujours dire « c’est parfaitement faux, c’est un mensonge éhonté, une affabulation, une fabrication, etc ». Si l’on commence à concéder que cela pourrait avoir un début de commencement de vérité, on est perdu, car on crée une brèche face à un adversaire de mauvaise foi.
* comme par exemple l’accusation d’avoir volontairement mis à l’écart les immigrés et d’avoir créé des ghettos, alors que ces prétendus ghettos (qui ne le sont pas puisqu’ouverts et que personne n’est physiquement empêché d’en sortir) résultent de l’action même de ces populations qui cultivent l’entre-soi, préfèrent se regrouper et vivre entre eux et ont fait fuir – souvent volontairement – les français.
___
L’islam et les musulmans ne sont pas des victimes: ils sont coupables. Ce sont des fauteurs de trouble engagés dans une stratégie agressive de conquête et de soumission des Français. Ceux qui ne veulent pas quitter l’islam et devenir Français n’ont rien à faire CHEZ NOUS, ils doivent partir, que ce soit avec la valise ou avec le cercueil, pour reprendre leur formule. Seuls ceux des pays sous le joug de l’islam qui veulent le fuir et s’en libérer – et mieux lutter contre – et qui veulent embrasser notre civilisation ont vocation à être accueillis parmi NOUS, LES FRANÇAIS.
Sinon nous serons bientôt nous parqués dans des réserves indiennes, dépossédés de notre propre pays et asservis chez nous… ou pire.
Adalbert le Grand
https://resistancerepublicaine.com/2020/02/19/francois-burgat-accuse-les-non-musulmans-detre-responsables-du-terrorisme-musulman-et-du-djihadisme/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire