jeudi 28 mars 2019

Au nom de la liberté de défendre sa peau, celle de ses proches et ses biens (Jacques Cassain)

C’est en n’étant pas armé qu’on devient une victime facile pour la racaille et a fortiori quand celle-ci est exonérée par une justice gauchiste. Une évidence que découvrent maintenant des catégories de professionnels du quotidien, tels les pharmaciens agressés et dont les plaintes explosent. Samuel Colt et le Deuxième amendement US ont pourtant réglé la question depuis des lustres, avec le port d’armes et la légitime défense pour les personnes et pour leurs biens.


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La radio d’Etat subventionnée France infos et la meute médiatique anti armes ont instrumentalisé un fait divers américain
Les journaleux avaient même déniché leur idole : une lycéenne rageuse avec beaucoup de temps laissé libre par ses études pour faire la leçon au président Trump. En réalité une propagandiste de plus qui feint de ne pas comprendre qu’une riposte armée aurait sérieusement limité les dégâts. Une hystérique de plus qui devrait garder sa haine contre l’agresseur :  https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/video-honte-a-vous-crie-une-lyceenne-americaine-contre-donald-trump-lors-d-une-manifestation-anti-armes_2615956.html
Fort heureusement, il se trouve qu’un contributeur du site Contrepoints le nivellement par le haut a une vision beaucoup plus pointue du phénomène hoplophobe. Maladie de la peur des armes. Les mauvaises langues ne manqueront pas de s’esclaffer sur un parallèle psychiatrique entre pacifistes béats malades et terroristes islamistes désaxés. Si tous devaient se retrouver en clinique…
Heureusement il reste des gens sains depuis des temps immémoriaux pour savoir que la légitime défense armée est mère de sûreté. A fortiori lorsque force ne reste plus à la loi ou quand la loi protège la racaille, comme en France aujourd’hui, en jetant en prison les victimes qui se sont défendues.
Port d’arme : allons contre les préjugés, par Gabriel Delauney
« Je suis, au regard de l’actualité, favorable plus que jamais au droit au port d’armes citoyen, tant pour les Américains que pour nous autres, civils d’outre-Atlantique » voilà qui augure bien.
« Les hoplophobes – personnes hostiles aux armes – me diront que je suis un insensé et me jetteront à la figure des chiffres entendus à la télévision ou à la radio.
Si France Info s’amuse à jouer les outrés avec un article qui comptabilise le nombre de drames causés en une journée par des personnes armées chez l’Oncle Sam, et si BFMTV comptabilise plus d’Américains morts par arme à feu entre 1968 et 2015 qu’au cours de toutes les guerres auxquelles les États-Unis participèrent, les journalistes ne prennent guère la peine d’y réfléchir de manière sensée. »
Les chiffres que taisent les journaleux de la République à Macron
« En moyenne, les États-Unis subissent près de 30 000 décès annuels par armes à feu.
D’abord, près des deux tiers de ces décès sont des suicides (21 386 en 2014 selon le Gun Policy, Centers for Disease Control and Prevention), donc en rendre responsable le port d’arme est idiot, un suicidaire n’ayant pas le droit de posséder une arme à feu utilisera une corde, se tranchera les veines ou se jettera sous un véhicule, mais il est évident qu’il utilisera une arme s’il a envie d’abréger ses jours.
Ensuite, près de 11 000 personnes – 11 008 selon la même source à la même année – décèdent par homicides. Là encore il faut savoir faire la part des choses.
En effet, combien de ces personnes tuées furent abattues par les autorités ou par des citoyens en état de légitime défense ? Elles sont plusieurs milliers chaque année. Il me semble nécessaire de les retirer des comptes officiels car elles sont les propres responsables de leur sort.
Combien de ces personnes tuées furent abattues lors de guerres de gangs ou autres frasques ne relevant pas de l’honnête citoyen armé ?
Combien d’entre elles furent abattues dans un cadre purement intimiste – disputes conjugales par exemple –, meurtres qui auraient tout aussi bien pu avoir lieu avec des armes blanches et dont le cadre exclut toute exaction en pleine rue à l’encontre des autres citoyens ? Pour l’année 2015, l’ONG Mass Shooting Trackers comptabilise 68% des 355 fusillades qu’elle recense dans le domicile du tireur.
Enfin, combien de ces homicides – tuant d’honnêtes personnes, insistons là dessus – sont réalisés avec des armes acquises légalement ?
Pour finir, près de 1 000 personnes décèdent par accident avec une arme à feu. Là on pense à des enfants malchanceux, ou des mineurs et adultes n’ayant pas pris toutes les précautions nécessaires. S’il faut protéger l’enfance et plus largement les gens à tout prix, blâmons les parents irresponsables pour leur négligence et poussons le vice prohibitionniste jusqu’à interdire la détention de médicaments à domicile car eux aussi ont un potentiel létal sur les enfants ou sur les adultes ne respectant pas la posologie.
Quelle que soit la réponse que l’on accepte, 30 000, 11 000, ou même beaucoup moins, il faut reconnaître que c’est peu pour un pays de 320 millions d’habitants où circulent 270 millions d’armes légales. »
Ce que l’article de André Girod  sur RL ne précise pas : les gun free zone 
« les meurtriers ciblent en général des lieux publics dans lesquels les civils n’ont pas l’autorisation de porter une arme, qu’elle soit dissimulée ou non ; les gun free zone.
La loi fédérale restreint en effet le port d’arme à moins de 300 mètres de la ligne de propriété de toute école publique ou privée. À ces zones « libres d’armes à feu » s’en ajoutent d’autres qui concernent les bâtiments officiels et d’autres types de lieux publics selon les lois locales, comme par exemple les campus universitaires qui peuvent ainsi refuser le port d’arme y compris aux titulaires d’un permis. Bon nombre de massacres censés nous horrifier à propos du droit au port d’armes eurent comme théâtres des gun free zone, cela a été le cas à Virginia Tech. »
Des biens et des vies sauvés par le droit au port d’armes civil
« Une arme sert bien évidemment – et heureusement – à faire respecter sa propriété bien plus souvent qu’à protéger sa vie.
Un cas d’école qui démontre l’utilité du port d’arme dans cette optique est celle de la ville de Kennesaw, dans la banlieue d’Atlanta. Cette ville adopta en 1982 une loi qui obligeait les chefs de foyer à disposer d’au moins une arme à feu dans la maison. Le taux de cambriolages résidentiels chuta de 89%. »
« Selon l’étude « Armed Resistance to Crime », les armes à feu sont utilisées 2,5 millions de fois par an par des citoyens américains en état de légitime défense, pour la protection des biens et personnes.
N’imaginez pas toutefois que le pays est un immense parc de tir où les balles perdues volent au vent : les citoyens ne doivent se résoudre à tirer sur leurs adversaires que dans 2% des cas, exhiber leurs armes ou tirer un coup de semonce étant en général suffisant pour avoir la paix. La paix suppose de préparer la guerre, et comme aux tréfonds des âges »
La totalité de cet article sur : 
A noter que Contrepoints publie de nombreux dossiers sur la question du port d’arme à feu et de la légitime défense : https://www.contrepoints.org/?s=armes
Pour information, le président du Parti de la France, Carl Lang, est favorable à une garde civile nationale en armes ; à partir de 1h 16’ 15 : Vive L’Europe – Carl Lang, président du Parti de la France – Conversano, février 2018 http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/les-agressions-de-pharmaciens-ont-triple-en-un-an-1037589.html
Jacques CHASSAING 

Légitime défense pour tous contre les racailles
Publié le 3 janvier 2018 - par Jacques Chassaing - 66 commentaires - 2 940 vues
Tant que l’ordre de faire feu sur les racailles qui les agressent ne sera pas donné aux forces de l’ordre, toute énième jérémiade de leurs syndicats restera lettre morte. Tant que les honnêtes citoyens ne pourront pas faire usage de leur arme légalement détenue pour se défendre et défendre leur famille, les agresseurs auront le dessus. Au risque de rabâcher une évidence : les conditions d’exercice de la légitime défense sont à desserrer de toute urgence.
Comme prévu, dès début 2018, les délinquants continuent de régner en maîtres
De jour, comme de nuit, la racaille peut continuer à bomber le torse. Elle ne craint pas grand-chose.
La faute à qui ? A une certaine justice laxiste qui permet sans cesse l’émergence et la sécurité de la pègre. En son temps, le juge Pierre Michel avait mis son nez dans d’étranges complicités (1).
La faute à qui ? Au plus haut niveau des gouvernements successifs qui ont fait du policier de terrain une cible vivante terrorisée à l’idée de dégainer son arme de poing, terrorisée non par la racaille qui veut sa peau, mais par sa hiérarchie suprême, prête à l’envoyer en prison, tant les conditions de la riposte sont inadaptées.
La faute à qui ? Aux syndicats de policiers pas vraiment virulents. D’ailleurs, éloquent est le nombre de manifestants qu’ils drainent par rapport au nombre de ceux qui l’an passé, non syndiqués, ont crié leur ras-le-bol plusieurs jours dans Paris.
Saint – Sylvestre : feu d’artifice de violences
AGRESSION D’UN POLICIER A AULNAY SOUS BOIS
LOIRE
+42% d’outrages et de victimes chez les policiers en 2017 (vidéo)
Plusieurs dizaines de fonctionnaires eux se sont rassemblés, mardi, devant le commissariat central de Saint-Etienne, pour protester contre les violences exercées à leur encontre.
LOIRE encore
Roche-la-Molière : un policier frappé alors qu’il arrête un cambrioleur
Pour mémoire, policiers attaqués à Paris : quatre arrestations
Légitime défense, un droit absolu bafoué par les politicards
Collomb a trouvé les coupables : les barres HLM
Comme Mgr Bataille tient le chômage pour responsable de l’action des terroristes islamistes https://ripostelaique.com/pour-mgr-bataille-le-terrorisme-cest-le-chomage-et-lexclusion.html, le ministre de l’Intérieur a identifié les causes des assassins en puissance des policiers : les tonnes de béton armé des années 60. CQFD. « Pour lutter contre la violence, outre la police de la sécurité du quotidien (PSQ) dont l’expérimentation débutera en février, « ce sont ces quartiers qu’il faut changer », a-t-il estimé. « J’étais à Champigny hier [lundi, NDLR]. Lorsque l’on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence. Ce sont des réformes de fond qu’il faut mener, de politique de la ville »   http://www.lepoint.fr/societe/agression-de-policiers-collomb-veut-briser-une-mecanique-infernale-02-01-2018-2183476_23.php
Champigny : Gérard Collomb dénonce « des actes sauvages totalement inadmissibles »
Sauf que :
Les priorités Macron-Collomb :
Les priorités Macron-Parly :
Et parmi tant d’autres priorités des politicards français, celle de l’association des maires de France :
Des chiens de police dressés à l’attaque. Bien mais insuffisant car on remarquera que récemment un chien policier a été neutralisé par la racaille, en région parisienne
« L’Unité canine légère (UCL) à Saint-Étienne est un service destiné à apporter son soutien aux policiers de terrain. « « Le chien a un effet dissuasif, explique le brigadier-chef en charge de l’unité. Ça calme très vite les personnes agressives. » Les chiens sont requis pour des individus armés, ou hostiles à une intervention, des personnes alcoolisées, en état d’énervement, ou lors des bagarres à la sortie des établissements de nuit. Si la dissuasion n’est pas suffisante, les chiens de l’unité peuvent être utilisés de façon plus offensive.
« On passe alors de l’attaque avec un chien muselé, à l’attaque au mordant. Là, le chien est crocs dehors », indique un maître-chien. Cette année, ce type d’attaque n’a été utilisé que deux fois.
Outre les chiens de patrouilles, l’unité dispose également de quatre chiens de recherches. Ils sont formés à débusquer les armes et les munitions, les stupéfiants et les fumigènes… »   http://www.leprogres.fr//loire-42/2018/01/02/des-chiens-de-police-dresses-a-l-attaque
A l’époque de la Police de proximité, j’ai réalisé deux reportages pour le compte du journal Le Progrès. Pour le premier, j’avais suggéré de passer une journée avec un équipage de Police secours. Autorisation accordée, le menu de la journée a été consacré à la visite du PC et du commissariat central de Saint-Etienne. Puis après traitement des appels au 17, départs pour diverses interventions. Déjà, une pseudo fugueuse ado à rechercher dans un centre commercial. Plus tard, passage éclair dans l’un des quartiers sensibles – Montreynaud – : insultes, bras d’honneurs… la routine, déjà.
Second reportage : un après-midi avec la brigade canine dans un stade du même quartier. But : une démonstration auprès des jeunes (sic) des performances des chiens. A la manœuvre, un rottweiler muni d’une muselière carénée en acier. Course à plein allure et percussion d’un fût en ferraille. Même pas mal, et le fût bien cabossé.
Ensuite un berger allemand qui ne lâchait pas d’une semelle son maître lors d’un simulacre de contrôle. Puis un malinois muselé qui, tel un boxeur frappait du museau le buste d’un agresseur d’exercice. Le malinois arrivait, à coups répétés rapidement, à renverser l’agresseur. Puis vint le tour de cacher de la drogue dans tout un dédale de poubelles, de planches, sous une pierre.
Reniflant partout, l’animal a vite trouvé la planque. Les jeunes, massés derrière les grillages exultaient. On les comprend, quelle belle leçon à domicile, et gratos. Etrangement, l’un d’eux dit au maître de chien de ce malinois : « m’ssieur y va te mordre ton chien ».
Les démonstrations terminées, chaque chien sautait dans sa cage à l’arrière du break de la canine. Soudain aïe! Le malinois avait sévèrement mordu son maître au poignet.
L’histoire ne dit pas la réelle portée pédagogique des enseignements de cette feue Police de proximité et de ses personnels détachés, copains-copains avec le public des lieux mais la future et déjà raillée PQ, pour Police de la Sécurité du Quotidien, augure mal d’une rupture avec l’ancienne.
L’AGRIF appuiera systématiquement les policiers agressés qui déposeront plainte pour violences racistes envers eux
Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :
Comme chaque nouvelle année, et en d’autres occasions aussi, des milliers de Français ont retrouvé leurs voitures incendiées par des voyous quasiment jamais arrêtés et jamais condamnés.
Mais désormais, plus grave encore, se développe la pratique criminelle, plus que du tabassage, du lynchage des policiers.
Cette violence sauvage à laquelle se livrent des extrémistes de l’ultra-gauche et de l’islamo-gauchisme est l’expression de la haine raciste contre les policiers qui motive ces groupes, le plus souvent aussi anti-blancs et notamment anti-juifs.
L’AGRIF appuiera donc systématiquement les policiers agressés qui déposeront plainte pour violences racistes envers eux.
L’alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne http://www.lagrif.fr
Jacques CHASSAING
(1) Pierre Michel, assassiné à Marseille en 1981. Le juge Michel. Alain Laville. Presses de la Cité. 545 pages en quatre parties et fac-similés de documents des dossiers. 1982.
Sécurité : Pour un permis de port d’arme de poing dissimulée
Publié le 28 février 2018 - par Jacques Chassaing - 18 commentaires - 2 186 vues
Le citoyen constitue une « cible molle » que les forces de l’ordre sont matériellement dans l’impossibilité de protéger immédiatement. Il doit donc devenir un primo intervenant, acteur à part entière d’un dispositif global de production de sécurité. Le Chef d’escadron Rémi Noël, stagiaire à l’École de Guerre vient d’en faire une éblouissante démonstration dans son « concept de Nation en armes face à nos enjeux de sécurité ». Explications, en commençant par la conclusion de son mémoire : « Comme l’écrit Alexis de Tocqueville dans De la Démocratie en Amérique, « Les Français comptent toujours, pour se sauver, en un pouvoir qu’ils détestent, mais se sauver par eux-mêmes est la dernière chose à laquelle ils pensent. »
Le permis de port d’arme dissimulée
Le CCW (concealed carry weapon) est un dispositif mis en œuvre et éprouvé dans plusieurs pays. Le Chef d’escadron Rémi Noël en multiple les exemples dans la seconde partie de son mémoire. Il s’agit du port dissimulé d’une arme de poing, autorisé aux citoyens satisfaisant un certain nombre de critères drastiques et fermement contrôlés pour : « détenir sur soi un permis de port d’arme dissimulé et un brassard identifiant. Porter l’arme approvisionnée et armée dans un étui adapté ; la porter, et non pas la transporter, ce pour éviter de la perdre, de se la faire voler et pour pouvoir la mettre en œuvre sans délai. Le caractère dissimulé du port est un impératif, car dans un État de droit, toutes les opinions doivent être respectées et le fait pour un citoyen de porter une arme de manière ostentatoire dans l’espace public peut-être perçu comme du prosélytisme agressif, au même titre que certains signes religieux qui n’ont d’autres but que la revendication politique. »
« A n’en pas douter ce dispositif s’il est mis en œuvre devrait connaître un fort engouement, à en juger ne serait-ce que par la réaction des français en général et des parisiens en particulier qui, au lendemain des attentats de 2015, ceux de novembre en particulier, se sont précipités dans les armureries de la capitale pour y demander à acheter une arme à feu. Ce jour-là, les armuriers ont passé peu de temps à vendre des armes et beaucoup à expliquer qu’en France on ne pouvait pas acheter une arme comme cela. Ce fort engouement doit donc nécessairement être anticipé par la préparation des conditions logistiques indispensables à la formation initiale et à l’entraînement. Il s’agit donc de faciliter l’ouverture de stands de tir en fluidifiant le processus administratif sans obérer la sécurité. Il s’agit même d’encourager la création de telles structures, pourquoi pas par un dispositif d’incitation fiscale, très largement et très rapidement rentabilisé par la TVA prélevée et par l’emploi créé ».
La légitime défense a été dévoyée par les gouvernants et des magistrats à leurs ordres. La preuve :
« …le régime général de la légitime défense demeure extrêmement subjectif. Tout est affaire d’interprétation et de regard porté sur la loi et sur les événements. Comme l’explique Maître de Montbrial, avocat spécialisé dans la défense des membres des forces de l’ordre et auteur de l’ouvrage Le Sursaut ou le chaos (2015), le caractère actuel de la menace a fait jusqu’à aujourd’hui l’objet d’une interprétation extrêmement restrictive et contraignante pour la personne dans l’obligation de se défendre, alors que sous le coup de la peur, de l’émotion, du stress, du traumatisme, il peut s’agir d’une perception subjective et variable d’un cas à l’autre.
Les juges sont souvent décriés et accusés de rendre une justice laxiste mais il rendent la justice comme la société veut qu’elle soit rendue. Si on change le regard de la société, on changera le regard des juges. Les juges d’une société résiliente seront eux-mêmes acteurs de résilience. 
« En droit français, la légitime défense est prévue par le code pénal qui pose les conditions de caractère réel et actuel de la menace et de caractère immédiat, nécessaire et proportionné de la riposte. Elle est prévue dans le cadre de la reprise temporaire de délégation de la mission de sécurité confiée à l’État. Elle ne va pas à l’encontre de l’action de l’État mais constitue au contraire une continuité de son action, un acte de police susceptible d’être accompli par n’importe quel citoyen dans un dispositif global et collectif de production de sécurité. Elle ne saurait être assimilée à un acte de justice privée, la justice s’inscrivant dans la perspective du temps long alors que la réaction s’inscrit dans l’immédiateté. »
Glorification des victimes, non reconnaissance des héros, jurisprudence dissuasive pour les personnes placées dans l’obligation de se défendre
« Tout est résumé par le tract du gouvernement français sur la conduite à adopter en cas d’attaque terroriste : « fuir, se cacher, alerter ». Aucune place ici pour la confrontation qui peut pourtant s’imposer en ultime recours, en cas d’extrême nécessité, comme les gens bloqués dans des pièces au Bataclan. 
C’est affaire de culture et d’état d’esprit. La ville de Houston au Texas a publié une vidéo de six minutes dans laquelle elle prend en compte le paramètre de la confrontation et donne des conseils et directives à ses habitants, de telle qualité qu’elle a été reprise sur le site du FBI »
Les politiciens ne pourront éternellement mentir et laisser massacrer des civils par des prétendus loups solitaires 
« Les attentats commis par Mohamed Merah en 2012 (7 morts, 6 blessés) avaient été expliqués par la théorie du « loup solitaire », autrement dit un cas isolé peu susceptible de se reproduire. De nombreux autres « loups solitaires » ont vu le jour après Merah, jusqu’à former une meute, si bien que cette théorie a été mise à mal. Le général Hubert Bonneau, commandant le groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) lui a définitivement tordu le cou en avril 2016 : « Les franchises agissent et la marque récupère l’ensemble quand ça fonctionne, c’est ça, le solo djihad. […] On s’est trompés sur la définition du loup solitaire »
« A chaque séquence terroriste, les solutions sont puisées dans une boite à outils, choisies parmi un arsenal de mesures et n’empêchent pas la séquence suivante. Arrivera un moment où, peut-être à cause d’une séquence bien plus violente que les précédentes, en raison d’un nombre démultiplié de victimes et/ou de la diffusion d’une mise en scène macabre, il ne sera politiquement plus tenable de puiser dans un arsenal inadapté à la situation que nous connaissons… il nécessaire dès maintenant de changer de logiciel, de penser la sécurité autrement. »
« …  placer un élément de réaction « durci » (PSIG sabre ou BAC durcie) à vingt minutes au plus de tout point du territoire national illustre la bonne compréhension d’un principe maintes fois vérifié dans le temps et dans l’espace : le nombre de victimes d’une tuerie de masse est directement proportionné au délai de réponse armée apportée. Par conséquent, et en poursuivant ce raisonnement, il devient évident que pour tendre vers le nombre le moins élevé de victimes, la réponse armée doit être immédiate. »
Aussi, dans un contexte de menace terroriste prégnante qui se surajoute à une criminalité et une délinquance croissantesface à une violence globale et multiforme en hausse et impactant principalement et directement le citoyen moyen, face à une menace diffuse et extrêmement difficile à anticiper, le concept de Nation en armes prend-il tout son sens et permettrait d’apporter une réponse atomisée à une menace atomisée. »
Le djihadisme mondialisé est aujourd’hui une multinationale décentralisée et sa cible numéro un est la France
« Al-Quaeda a son « totem » avec les attentats de New-York du 11 septembre 2001, et c’est ce qui manque aujourd’hui à l’État islamique. C’est certainement ce qui est en cours de préparation, mais entre-temps l’État islamique doit continuer à exister donc à faire parler de lui, mais doit aussi saturer les écrans radars des services de sécurité et de renseignement par une myriade de solo djihadistes pour mieux masquer une opération de grande ampleur. 
Et il y a autant de scénarios que le permet l’imagination. Le « champ des possibles est très vaste. On tue à l’arme blanche, à la kalachnikov, à l’explosif ». 
Deux hypothèses méritent qu’on s’y attarde un peu. 
Celle d’un « Oradour sur Glane » du djihad, où un commando opérerait une tuerie de masse sur la totalité de la population d’un lieu rural isolé. Plus que par le nombre de victimes, ce scénario choquerait l’opinion publique par une mise en scène macabre et largement diffusée, comme l’État islamique sait le faire. Il ferait en outre passer le message que personne n’est à l’abri nulle part, pointerait le délai d’intervention long des forces de l’ordre… »
Celle d’une attaque et de l’explosion d’un site seveso (une usine de chlore par exemple) visant à répandre un nuage toxique qui, en fonction du site et de la météo peut occasionner l’intoxication voire la mort de plusieurs milliers de personnes. »
Apporter une réponse atomisée à une menace atomisée (1)
« Dans la plupart des interventions sur les missions type police secours, les forces de sécurité intérieure (police ou gendarmerie) arrivent bien après le déclenchement de l’agression, souvent même après sa fin, si bien que le transport sur les lieux bascule tout de suite sur autre chose. Les forces de l’ordre commencent à rassembler les premiers éléments, à déterminer les responsabilités, à rechercher les auteurs, bref à remplir leur mission d’enquête, celle de bras armé de la justice, régalienne par excellence. 
Dans n’importe quel État au monde, même le plus policier, les forces de sécurité arriveront quasiment toujours trop tard pour empêcher ou stopper l’agression dès son commencement, car il est tout simplement matériellement impossible de placer un policier derrière chaque citoyen pour assurer sa sécurité. 
L’enjeu consiste donc à faire du citoyen un acteur passif, ou en sommeil, de la sécurité, qui agit dans la réaction en étant déclenché par l’agression, qu’elle soit terroriste ou de droit commun. Il ne s’agit pas de le faire empiéter sur le rôle des forces de l’ordre, mais bien de lui faire occuper un créneau sur lequel les forces de l’ordre ne peuvent matériellement pas être présentes en permanence et en tout point du territoire. Il s’agit de transformer une victime en primo intervenant, en acteur de sécurité inscrit dans un dispositif global. Il s’agit de refaire confiance au citoyen pour participer à sa sécurité et à celle de son entourage et de son environnement et pour lui redonner confiance en lui et dans l’État. » source : PROMOTION GÉNÉRAL GALLOIS 2016 -2017 Le concept de Nation en armes face à nos enjeux de sécurité Chef d’escadron Rémi Noël Stagiaire à l’École de Guerre Sous la direction de : Maître Thibault de Montbrial Avocat au Barreau de Paris, Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure (2).
Le concept moderne de Nation en armes consiste à transformer la victime en primo intervenant
« Ayant très largement prouvé son efficacité dans plusieurs pays aux cultures très diverses, le port d’arme citoyen se présente comme un élément incontournable de la résilience collective que notre pays confronté à une convergence de crises doit impérativement retrouver. Ceci implique de remettre en cause des certitudes et de porter un regard rénové sur notre appareil sécuritaire. 
Il se pourrait qu’il y ait urgence, car l’enjeu n’est pas moins que la restauration du lien de confiance distendu entre l’État et le citoyen. »
Mais : « Le cadre légal et réglementaire dans lequel il est possible d’acquérir une arme aujourd’hui en France en dit long sur le faible niveau de notre capacité de résilience actuelle dont découle l’incapacité à produire une riposte collective cohérente et efficace. Trois possibilités se présentent au citoyen désireux d’acquérir une arme à feu… »
Or : « interdire des armes aujourd’hui accessibles à des gens qui doivent montrer patte blanche et sont régulièrement contrôlés n’empêchera en rien les vrais criminels et terroristes de se fournir par le trafic d’armes… empêcher des gens honnêtes et responsables de se familiariser avec des armes de conception moderne constitue un frein à l’aptitude à la résilience collective. Certains pays de l’est de l’Europe qui ont su maintenir un certain niveau de résilience collective, comme la République tchèque ou la Slovaquie, s’opposent vigoureusement à cette évolution de la législation ».
La farce du néo « service militaire » façon Macron
Dans son  ÉDITO du 10.01.2018, le colonel Napoléon de guerre lasse (pseudonyme) a étrillé le nouveau Service National Universel sur son très documenté site http://www.guerredefrance.fr/editos.htm
« Avec cette histoire de service militaire, qui glisse comme c’était prévisible vers une colonie de vacances pour décérébrés, un Club Med festif, une garderie de bizounours, on a pas fini de rigoler dans les points zéros.
Voir l’article pertinent de Jacques CHASSAING, j’ai bien aimé l’évocation des chambrées enfumées de cannabis et la levée des couleurs sur fond de sonneries de téléphones portables.
Il faut donc s’attendre à tout, alors que le besoin réel d’effectifs pour contrôler le territoire national en cas d’insurrection généralisée est de l’ordre de 600000 hommes (6000 par département « à la grosse » soit 4 régiments d’infanterie).
Il est donc débile de faire faire à 750000 d’jeuns par an, dont les filles dont on a pas besoin pour le moment (sauf les volontaires motivées), un mois de glande porte ouverte à toutes les dérives.
Il suffit de sélectionner drastiquement pour un service de quatre mois 200000 recrues par an pour y arriver en trois ans.
Bien entendu, il faut qu’il y ait un avantage conséquent pour les sélectionnés : solde correcte, avantages pour l’accès à la formation professionnelle, points de retraite ou déduction du temps passé sous les drapeaux ».
(1) Pour une lecture plus adaptée ici, j’ai modifié et résumé l’ordre du sommaire du mémoire du Chef d’escadron Rémi Noël téléchargeable intégralement ici :  http://www.guerredefrance.fr/Documents/MEMOIRENationenArmes.pdf 
et aussi :
Jacques CHASSAING
Comment sortir d’une Justice sinistrée ?

Publié le 14 octobre 2016 - par Jacques Chassaing - 8 commentaires - 813 vues
guillaumejeansonipjTel est le thème du Forum présidentiel 2017 concocté par l’Institut pour la Justice. Il se tiendra à la Maison de la Chimie, à Paris, le samedi 22 octobre. 7 candidats ou porte-parole à la Primaire de la Droite et du Centre seront interrogés sous les feux d’un jury d’experts, véritablement experts en l’espèce. On regrettera seulement que ce forum ne rassemble pas les prétendants de tous les partis et formations politiques.

A n’en pas douter les sept candidats ou porte-parole à la primaire de la Droite et du Centre devront passer au tourniquet en évitant d’être abscons sur leurs programmes. 

Parce que, premièrement, ils auront comme interlocuteurs, le magistrat honoraire Philippe Bilger  http://www.philippebilger.com, les avocats Maître Gilles-William Goldnadel https://youtu.be/EXkpE6jF_iQ, Maître Thibault de Montbrial (Ndlr JC ancien parachutiste d’infanterie de marine),  https://youtu.be/dhz82atTAlI   http://www.crsi-paris.fr/qui-sommes-nous http://ripostelaique.com/pour-une-riposte-armee-et-une-reforme-de-la-legitime-defense.html, le porte-parole de l’Institut Pour la Justice Maître Guillaume Jeansonhttps://youtu.be/8Nocrm3FWoE  et le Général Bertrand Soubelet http://www.plon.fr/ouvrage/tout-ce-qu-il-ne-faut-pas-dire/9782259249096. Axelle Theillier,Présidente de l’Institut Pour la Justice et Laurence Havel  http://www.institutpourlajustice.org

Parce que, deuxièmement, les électeurs scruteront ces débats, par média interposés, dont les média de la réinformation. 


L’Institut pour la Justice en bref

L’Institut pour la Justice (IPJ) est un think tank et une association de citoyens, de victimes et d’experts mobilisés pour promouvoir une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes.
Créée en 2007 pour relayer les préoccupations des citoyens auprès des élus et du monde judiciaire, l’association rassemble aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de sympathisants et  50 000 membres à travers toute la France qui garantissent son indépendance. L’Institut pour la Justice est un mouvement citoyen dénué de toute affiliation politique ou partisane et qui n’est financé que grâce à ses membres donateurs.



Un Forum avant un soulèvement majeur prévisible

Face à la multiplication des attentats (et pas seulement ceux de masse), et aux revendications islamistes dans tous les domaines de la société, de plus en plus de contributeurs qualifiés s’expriment. Dernièrement, l’article du général (2S) Bernard Messana, publié par l’ASAF (association de soutien à l’armée française) est révélateur. Extrait :

Rappel historique : La France et l’Algérie, Les Maghrebins en France, L’ennemi intérieur.

 « L‘action à mener dépasse manifestement la compétence d’un pouvoir de Gauche actuellement divisé et aux abois. Elle dépassera celle d’un pouvoir alternatif de Droite susceptible d’hériter, en tous domaines, d’une situation parfaitement catastrophique sur un terrain méthodiquement miné. « Tout peuple exténué attend son barbare », écrivait Cioran. La France exténuée ne l’attend plus, le barbare est là, il va et il vient, et il faut le traiter. La Gauche en est incapable, la Droite y échouera. Toutes les conditions d’un soulèvement majeur sont réunies. Ne manque que le « détail », souvent dérisoire, – le burkini ?-,-qui en sera le déclencheur.

 L’heure n’est-elle pas alors venue, comme en 1958, d’un sursaut populaire conduisant à la mise en place d’un nouveau gouvernement d’union nationale et de salut public imposant les solutions d’urgence et de bon sens, souvent évidentes, auxquelles aspire une écrasante majorité de Français ? »  http://www.asafrance.fr/item/libre-opinion-du-general-2s-bernard-messana-salut-public.html   http://ripostelaique.com/nen-deplaise-a-marine-lislamisation-de-la-france-ne-peut-plus-etre-toleree.html


Quelques articles sur la question parus dans RL (liste non exhaustive)




















Jacques Chassaing

Levallois : pourquoi Sentinelle n’a pas ouvert le feu ? À cause de nos politiciens !

Publié le 12 août 2017 - par  - 98 commentaires - 5 899 vues
Les jours passent depuis qu’une BMW de location conduite par un suspect algérien de 36 ans a foncé sur des militaires et on ne sait toujours pas pourquoi ceux-ci n’ont pas riposté. Le chef des armées Macron et sa ministre Parly sont muets, comme la grande muette sur cette étrange bavure. Muets le nouveau CEMA Lecointre et son chef d’état major Bosser. Muets aussi Collomb, Philippe et la Commission Défense nationale.
Rappel des faits : « Après plusieurs heures de cavale dans sa BMW de location, le suspect, un Algérien de 36 ans, a été arrêté sur l’A16 à Leulinghen-Bernes (Pas-de-Calais) lors d’une interpellation « musclée ». Selon une source policière, l’homme, qui n’était pas armé, a été blessé par cinq balles alors qu’il tentait de s’enfuir. »
Depuis, la machine médiatique a su relayer les détails de l’arrestation du conducteur de cette BMW (du moins celui qui la conduisait, dans le Pas-de-Calais). Les mêmes officines de presse-communication subventionnées ont su trouver la famille du suspect, abasourdie par ce qui est reproché à un homme si gentil. Bref, la musique habituelle de l’incompréhension des motivations, comme lors de chaque attentat.
La série totale provisoire sera bientôt disponible sur :  http://ripostelaique.com/author/maxime-lepante
Depuis donc la dernière (en date) attaque de militaires sur le sol national, AUCUN journaliste, AUCUN politicien et AUCUN chef militaire n’a soulevé la question du pourquoi de la non-riposte face ou à l’arrière de la BMW. Que cache-t-on aux citoyens-contribuables, futurs sacrifiés potentiels ?
Les politiciens ont pétrifié Sentinelle et l’ont réduite à de la figuration
Deux ans après l’activation de Sentinelle, il s’avère que : « le déploiement de militaires dans la rue est un théâtre qui rassure la population, mais ne dissuade pas les terroristes ».
Ce qui ne rend que plus urgent la légalisation de l’armement des citoyens : http://ripostelaique.com/attentats-les-citoyens-doivent-etre-armes-la-preuve-par-trois.html
Imaginons d’ailleurs un instant que des citoyens en armes aient pu faire feu sur la voiture et son conducteur pour protéger nos soldats.
La dernière prise de parole du chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), le général Jean-Pierre Bosser
C’était devant la commission de la Défense, à l’Assemblée nationale (audition du général Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de terre
mercredi 19 juillet 2017) :
« Quand je me rends auprès des soldats engagés dans l’opération Sentinelle, j’interroge longuement les gens du quartier, parfois les touristes… et, dans un endroit fréquenté chaque année par 12 millions de visiteurs […], je constate que la présence militaire rassure les gens », a dit le CEMAT aux députés. « Les Français, dans la rue, me disent, très lucides : ‘Nous savons bien, Mon général, que ce n’est pas l’opération Sentinelle qui nous protégera mais, grâce à elle, nous aurons peut-être une chance de nous en sortir », a-t-il raconté.
Aussi, le général Bosser estime que l’on « n’échappera pas à la présence de quelque 3.000 hommes répartis sur des points clés de Paris. » En outre, selon lui, il faudrait encore « 3.000 hommes en réserve pour monter en puissance en cas de coup dur, n’importe où en France. » Enfin, a-t-il continué, « je souhaiterais qu’une troisième fraction de 3 000 hommes, aujourd’hui encore déployés, soit consacrée à l’anticipation. »
« J’entends que l’on travaille sur les scénarios de crise – tels que définis par le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) – comme les prises d’otages de masse, les risques industriels, les risques bactériologiques. Ce n’est pas anxiogène pour les Français qui sont capables de comprendre qu’en nous y préparant, nous nous préparons à assurer leur sécurité », a expliqué le CEMAT. » Intégralité du propos sur http://www.opex360.com/2017/07/28/pour-le-general-bosser-loperation-sentinelle-revisee-pourrait-encore-concerner-9-000-militaires/
Vacances obligent, même en temps de guerre, c’est seulement le mardi 12 septembre, à 16h30, qu’est prévue l’audition du général François Lecointre, chef d’état-major des armées.
Une loi de plus précise récemment l’usage des armes par les forces de l’ordre (police nationale et gendarmerie) 
C’est celle du 28 février 2017 héritée du quinquennat Hollande et approuvée en es qualités d’alors par : Bernard Cazeneuve, Jean-Yves Le Drian, Jean-Jacques Urvoas, Bruno Le Roux et la palanquée de ministres soi-disant concernée, dont les noms n’ont jamais été synonymes de défense de la patrie. Les lecteurs pourront retrouver ce texte intitulé LOI n° 2017-258 du 28 février 2017 relative à la sécurité publique paru au JORF n°0051 du 1 mars 2017 et sous le lien :
Si cette loi n’interdit pas expressément aux agents de la police nationale et aux militaires de la gendarmerie nationale de faire parler la poudre en cas d’agression, elle est de nature à les glacer d’effroi. D’abord parce que les secondes nécessaires à la récapitulation du pensum : puis-je ou non tirer ? est le temps nécessaire, pour, une fois mort, ne plus jamais se poser de telles questions. Ensuite, parce que si, malgré tout, quelque tir bien ajusté a réussi à stopper les ardeurs criminelles d’un assaillant, la machine juridico-administrative privative de liberté, va se mettre en route pour pourrir la vie du fonctionnaire. De quoi au passage faire fuir ventre à terre nombre de ces fonctionnaires dans d’autres emplois fonctionnarisés moins exposés. Lesquels ne manquent d’ailleurs pas en France.
Pour être précis, voici les conditions à réunir avant de mettre en joue quelque ennemi 
« Art. L. 435-1.-Dans l’exercice de leurs fonctions et revêtus de leur uniforme ou des insignes extérieurs et apparents de leur qualité, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnés à l’article L. 211-9, faire usage de leurs armes en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée :
« 1° Lorsque des atteintes à la vie ou à l’intégrité physique sont portées contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d’autrui ;
« 2° Lorsque, après deux sommations faites à haute voix, ils ne peuvent défendre autrement les lieux qu’ils occupent ou les personnes qui leur sont confiées ;
« 3° Lorsque, immédiatement après deux sommations adressées à haute voix, ils ne peuvent contraindre à s’arrêter, autrement que par l’usage des armes, des personnes qui cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et qui sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d’autrui ;
« 4° Lorsqu’ils ne peuvent immobiliser, autrement que par l’usage des armes, des véhicules, embarcations ou autres moyens de transport, dont les conducteurs n’obtempèrent pas à l’ordre d’arrêt et dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d’autrui ;
« 5° Dans le but exclusif d’empêcher la réitération, dans un temps rapproché, d’un ou de plusieurs meurtres ou tentatives de meurtre venant d’être commis, lorsqu’ils ont des raisons réelles et objectives d’estimer que cette réitération est probable au regard des informations dont ils disposent au moment où ils font usage de leurs armes. »
L’article L.211-9 mérite d’être cité pour la galéjade de son 6ème alinéa 
On ne compte plus en effet le nombre de casseurs, de voyous, de soi-disant « antifas » mettant impunément une ville à sac et attaquant des forces de l’ordre inertes sur ordre, lors des manifestations gauchistes. A cet égard on n’en sera donc que plus particulièrement attentif à celles prévues pour la rentrée et voir quelles interventions y seront ordonnées.
Un attroupement, au sens de l’article 431-3 du code pénal, peut être dissipé par la force publique après deux sommations de se disperser demeurées sans effet, adressées, lorsqu’ils sont porteurs des insignes de leur fonction, par :
1° Le représentant de l’Etat dans le département ou, à Paris, le préfet de police ;
2° Sauf à Paris, le maire ou l’un de ses adjoints ;
3° Tout officier de police judiciaire responsable de la sécurité publique, ou tout autre officier de police judiciaire.
Il est procédé à ces sommations suivant des modalités propres à informer les personnes participant à l’attroupement de l’obligation de se disperser sans délai.
Toutefois, les représentants de la force publique appelés en vue de dissiper un attroupement peuvent faire directement usage de la force si des violences ou voies de fait sont exercées contre eux ou s’ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu’ils occupent.
Les modalités d’application des alinéas précédents sont précisées par un décret en Conseil d’Etat, qui détermine également les insignes que doivent porter les personnes mentionnées aux 1° à 3° et les conditions d’usage des armes à feu pour le maintien de l’ordre public.
Jacques CHASSAING
Un peu d’Histoire : La BNF (bibliothèque nationale de France) s’est penchée sur des temps où l’art de la guerre du Roy ou de l’Empereur ne s’embarrassait pas d’états d’âmes.  Des textes expéditifs réglaient l’affaire : Code militaire, ou Compilation des règlements et ordonnances de Louis XIV… faites pour les gens de guerre depuis 1651 jusques à présent http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96118471

Voleur tué, 12 ans de prison ! La légitime défense est à redéfinir de toute urgence !

Publié le 16 décembre 2017 - par  - 111 commentaires
C’est un message fort envoyé à la voyoucratie. Un de plus. Version diffusée dans la presse : suite à plusieurs cambriolages, le propriétaire excédé a agi par colère et vengeance. L’affaire met une nouvelle fois en lumière les rouages des lois qui protègent davantage la pègre que l’honnête citoyen. Malgré une récente série d’enquêtes-documentaires filmés sur les vols et agressions de tout acabit, rien ne déclenche une réelle volonté gouvernementale de répression de la délinquance.
« Loire-Atlantique. Il tue son cambrioleur : 12 ans requis pour meurtre
… L’avocat général, Olivier Bonhomme, ne croit pas à la version servie par Philippe Fourny depuis plus de trois ans. À ses yeux, la balle qui a tué Jason François, 19 ans, n’a pas été tirée sous l’effet de la panique. Il croit plutôt à la colère d’un homme qui a voulu se faire justice lui-même, lessivé par des cambriolages répétés.
Pour l’accusation, il ne fait pas de doute que le jeune homme a été victime d’un homicide volontaire, un meurtre. Il a requis, ce vendredi matin que l’accusé soit condamné à une peine de 12 ans de réclusion criminelle. Retrouvez ici le portrait de l’accusé, puis, au second jour du procès, l’opposition de points de vue entre le cambrioleur qui a échappé au feu et Philippe Fourny. Thomas HENG. »
Sources :
Comme dans de nombreuses régions, les cambriolages sont légion :
En 2016, 247.394 maisons et appartements ont été la cible de malfaiteurs, soit un logement cassé toutes les deux minutes et une augmentation de 4%  http://www.francesoir.fr/lifestyle-vie-quotidienne/cambriolages-forte-augmentation-en-2016-les-residences-principales-ciblees-malfaiteurs-bijoux-conseils-argent-technologie-protection-securite-regions-departements
L’application effective des peines prononcées est un voeu pieux et la racaille ne semble pas terrorisée
La traque des policiers, les auteurs narquois de multiples infractions, le traumatisme des victimes, les réponses pénales : la rengaine et les récidives
et la totalité des reportages :
Le droit a la sécurité est l’une des premières libertés. En théorie, s’entend
Dans le pacte social, lorsque le citoyen accepte de déléguer sa sécurité, celle de ses proches, celles de ses biens, et donc accepte de ne pas se défendre à coups de fusil en s’en remettant à la société civilisée, il faut qu’il ait confiance dans sa Justice : « Et pour ça il faut qu’il soit entendu ». Alors « il ne s’agit pas d’’amalgamer droit des victimes et vengeance : « c’est tout l’inverse » a maintes fois précisé l’avocat Thibault de Montbrial. Le professionnel du Droit qui intervient souvent dans des débats de l’Institut pour la Justice, ne cesse aussi de réclamer une réforme de la légitime défense. Mais les années passent, et des victimes qui ont osé se défendre, défendre leurs proches ou défendre leurs biens, sont lourdement condamnées. Jetées en prison, leurs vies sont brisées.
Malgré la recrudescence des violences à la personne et des atteintes à la propriété privée, les courageuses victimes qui se défendent sont confrontées aux contraintes de la légitime défense qui reviennent perpétuellement sur le devant de l’actualité. Résultat, un encouragement permanent pour la racaille.
Pourtant, en des temps pas si anciens, l’un des juges en exercice assassinés, le juge Pierre Michel, a payé de sa vie son courage à s’attaquer au crime organisé en liant cambrioleurs, voleurs, proxénètes, trafiquants de drogues, faux-monnayeurs et tueurs à gages. Le livre « Enquête sur un assassinat. Le juge Michel » du journaliste d’investigation trop tôt disparu, Alain Laville, fait état aussi de cas de corruption dans la police, l’administration pénitenciaire, le milieu politique et la magistrature. Source : Le juge Michel. Presses de la Cité. 545 pages en quatre parties et fac-similés de documents des dossiers du juge Michel. 1982.
Impunité zéro pour les atteintes aux personnes et aux biens. Une chimère qui date toujours
Maître Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris,  président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure http://www.crsi-paris.fr
La légitime défense et ses conditions sont à redéfinir de toute urgence !
Un droit vital, celui de posséder légalement des armes à feu comme aux Etats-Unis et en Israël.
Jacques CHASSAING

Israël : la preuve qu’il faut armer les Français

Publié le 20 août 2017 - par  - 30 commentaires - 2 179 vues


Gérard Collomb Ministre de l’Intérieur
Les bisounours en mal de psychiatrie pour traiter le problème des auteurs d’attentats islamistes et leurs complices ne trouveront guère satisfaction sur les méthodes employées par l’armée de défense d’Israël, Tsahal. Ses unités d’élite en particulier. Fiamma Nirenstein, ancienne parlementaire italienne, chercheuse au JCPA-CAPE de Jérusalem, a dirigé une étude approfondie sur ce fléau et les leçons qui pourraient en être tirées partout dans toutes les villes et villages ensanglantés d’Europe. A condition que les peuples des pays concernés se saisissent de cette opportunité vitale et contraignent leurs gouvernants.
Les enseignements de la réponse israélienne au terrorisme islamiste
L’Europe et Israël sont désormais confrontés au même terrorisme. Depuis le début de son histoire, Israël a toujours été obligé de se défendre contre la terreur, chaque jour de chaque année. Cet Etat est de fait le plus qualifié au monde pour expliquer et neutraliser les rouages des soldats civils de la terreur et leurs lâches actes de guerre asymétrique.
« Comment la démocratie israélienne fait-elle pour si bien lutter contre le terrorisme? D’où vient la formidable résilience des Israéliens? Comment ce petit Etat parvient-il à prévenir et à repousser le djihadisme? »
Voici des réponses pour les Européens maintenant placés devant la lutte pour leur survie. Extraits d’une étude exclusive du JCPA-CAPE de Jérusalem : http://jcpa-lecape.org/comment-combattre-le-terrorisme-en-europe/
Les jihadistes ont décidé que les Européens et les Israéliens étaient des infidèles à détruire et leurs pays à conquérir


L’armée israélienne et l’arme tchèque viennent de s’entrainer pendant une semaine
à voir sur Twitter ou sur https://tsahal.fr
Tsahal aux côtés de l’armée tchèque lors d’un entraînement en Israël  ???? pic.twitter.com/v9JRWXT4uC
Les forces de sécurité israéliennes démantèlent un réseau de trafic d’armes
C’est en achetant sur Internet qu’une cellule palestinienne a attiré l’attention des services de renseignement israéliens qui ont ensuite traqué les comptes et activités du réseau de trafic d’armes. Cette enquête a permis aux forces de sécurité de saisir des centaines d’armes qui auraient pu être utilisées dans des attaques terroristes.



Le Mossad à la pointe du combat anti-terroriste pour gagner, du champ de bataille au cyber-espace
L’impitoyable agence de sécurité israélienne s’est fixé pour nouvel objectif de ne pas prendre un quelconque retard en matière de haute technologie. Elle se donne comme moyens, une collaboration renforcée avec les entreprises du secteur et la création d’un fonds d’investissement. Et en prime, une splendide vidéo-pub pour comprendre http://ripostelaique.com/le-mossad-a-la-pointe-du-combat-anti-terroriste.html


Des barrières spéciales pour épargner des victimes


Israël : des touristes de passage se forment aux techniques anti-terroristes


Trévidic : « Face au terrorisme, il faut adopter des réflexes à l’israélienne » http://ripostelaique.com/trevidic-face-au-terrorisme-il-faut-adopter-des-reflexes-a-lisraelienne.html

Port d’arme en France : les citoyens doivent l’exiger : la preuve par trois
La législation française sur le port d’armes doit-elle évoluer ? Entretien avec Maître Laurent-Franck Lienard, Avocat au Barreau de Paris et spécialiste du sujet. Vous aussi donnez votre avis en commentant la vidéo.
Israël : La ruée vers les armes
Face au terrorisme aux couteaux, les conditions d’obtention du port d’armes sont facilitées

Port d’arme au Texas
Welcome to the NRA
Jacques CHASSAING
Attentats : les citoyens doivent être armés, la preuve par trois
Publié le 10 août 2017 - par Jacques Chassaing - 83 commentaires - 4 758 vues
Le 26 juillet dernier, j’écrivais : Les nouveaux directeurs des services du Renseignement sont maintenant installés. Ils auront fort à faire pour concilier efficacité et réelle volonté politique. Outre les attentats islamiques et leurs nombreux civils morts, à Levallois, Sentinelle vient d’essuyer sa sixième attaque en deux ans. Au moment où ministres et parlementaires viennent de détaler en vacances et où Macron ne se penchera qu’en octobre sur le dispositif Sentinelle, les citoyens-contribuables-prochaines victimes potentielles ont tout intérêt à remettre la question du droit à détenir des armes et à la légitime défense.
Six attaques contre Sentinelle depuis 2015
Samedi vers minuit à la tour Eiffel : « un homme avait forcé un contrôle puis sorti un couteau en criant « Allah Akbar », avant de se rendre. L’homme a dit pendant sa garde à vue vouloir « commettre un attentat contre un militaire« .
Quatre jours après, à Levallois, une BMW en location fonçait sur une patrouille de Sentinelle : « le suspect, un Algérien de 36 ans, a été arrêté sur l’A16 à Leulinghen-Bernes (Pas-de-Calais) lors d’une interpellation « musclée » : http://www.ladepeche.fr/article/2017/08/09/2625424-militaires-renverses-a-levallois-le-vehicule-intercepte-un-homme-interpelle.html
A chaque fois, la machine médiatique à décerveler l’opinion publique se met en branle : acte isolé, absence de motivation, acte de déséquilibré(s), loup(s) solitaire(s) (même en meutes), pas d’amalgame, compassion envers les victimes civiles, militaires, policières, surtout si elles n’ont pas riposté et si leurs agresseurs n’auront pas leur haine. Musique bien connue. Puis vient l’heure de la compassion envers les agresseurs stigmatisés et leurs familles. L’heure aussi des miauleries, des mièvreries, des marches blanches, des bougies, des poèmes avec présence des politiciens larmoyants. Plus la liste des attentats, des morts et des estropiés s’allonge, plus la presse aux ordres est mobilisée, partout, à longueur d’antennes et de studios pour infuser aux futures victimes les analyses d’experts en après-coup et en vivre ensemble.
Le déploiement de militaires dans la rue est un théâtre qui rassure la population, mais ne dissuade pas les terroristes 
En l’espèce on pourrait même parler d’un théâtre d’opération urbaine, presque de la cabane à Guignol, si nos soldats n’y exposaient pas leur vie. Tout est à repenser dans le dispositif Sentinelle, à commencer par son utilité même. Et là le chef des armées, Macron, n’est pas pressé ; à l’automne seulement il évoquera l’affaire, à Pâques ou à la Trinité. Peut-être entre deux manifestations de son pion Mélenchon, ou entre les vacances de la Toussaint et celles de Noël. Si le calendrier chrétien est encore d’actualité.
Macron et Parly ont fait leur show à Istres, les soldats paient la lâcheté des politiciens
Quelque jours après l’éviction du CEMA Pierre de Villiers, la ministre des Armées, Florence Parly, posait au côté de son chef Macron pendant son speech sur la base aérienne 125  (http://ripostelaique.com/discours-de-macron-a-istres-la-potiche-en-tailleur-bleu-identifiee.html). Pour faire court, la cérémonie s’est bornée une fois de plus à rouler les militaires dans la farine, tout en s’apitoyant honteusement sur leurs familles. Un comble quand la même Parly fraîchement bombardée ministre a indiqué publiquement le lieu de cantonnement de Sentinelle, dans le XVème arrondissement de Paris :  http://ripostelaique.com/pour-se-faire-mousser-florence-parly-a-mis-en-danger-la-vie-de-nos-soldats.html
Les citoyens doivent être armés. La preuve par 3
1/ Des chefs d’état major inertes
Force est de constater que si le chef Macron n’est pas pressé c’est qu’il n’est guère sous la pression des généraux qu’il commande ; la strate étoilée de l’armée française conjuguant à merveille passivité et inertie pour ne pas le mettre au pied du mur  :
Contre le terrorisme, la police doit appliquer la tolérance zéro
« Alors que les Européens vivent dans l’angoisse du prochain attentat, les New-yorkais sont sereins, grâce à leur police, qui depuis des années applique la doctrine de tolérance zéro… » https://www.contrepoints.org/2017/08/09/262926-contre-terrorisme-police-appliquer-tolerance-zero
2/ En France, c’est tout le contraire qui prévaut, à l’Intérieur et à l’intérieur du parti socialiste, Collomb succède à Fekl, Le Roux, Cazeneuve,Valls en poursuivant la même politique laxiste à l’égard des terroristes islamiques, des voyous et des délinquants migrants :  (http://ripostelaique.com/une-circulaire-restreint-le-port-darme-hors-service-pour-les-policiers.html).  « D’un côté on dit qu’on assure la sécurité des policiers, on leur donne des moyens, il faut qu’ils soient protégés car ils constituent des cibles. Et d’un autre côté on s’arrange pour faire des notes qui annihilent un texte de loi qui était favorable à la protection des policiers et des citoyens. Ce n’est pas très cohérent », déplore Loïc Le Couplier du syndicat Alliance, au micro d’Europe 1.
Les policiers lâchés par le pouvoir et jetés en pâture :
3/ « Celui qui veut te tuer, lève-toi et tue le avant » (« on n’a pas le droit de laisser ni de se laisser mourir sans rien faire » contributions au portail juif francophone JForum) cf : http://ripostelaique.com/celui-qui-veut-te-tuer-leve-toi-et-tue-le-avant.html
Ne pas être armé, c’est être incapable de se protéger soi-même et les autres
Voici la série d’articles et d’arguments publiés ici sur la question. Ils n’en deviennent que chaque jour plus urgents.
Jacques CHASSAING

Ne pas être armé, c’est être incapable de protéger soi-même et les autres
Publié le 27 septembre 2016 - par Jacques Chassaing - 41 commentaires - 3 245 vues
armessuisseLe port d’arme n’est pas seulement un droit, c’est une obligation quand la violence frappe, de préférence des innocents désarmés. « Aujourd’hui, ne pas être armé, c’est être incapable de protéger soi-même, les siens et tous ceux qui nous entourent ». Telle est en substance l’argumentation de la pétition que vient de lancer Swiss Guns à l’issue des déclarations de Bernard Wicht, spécialiste des questions stratégiques à l’Université de Lausanne et favorable à l’armement des citoyens en Europe. Dans un entretien avec RTS Info, il évoque la liberté individuelle et le droit à la légitime défense.
Pour lui : « la volonté européenne de désarmer les citoyens correspond à « la réaction d’un Etat ou d’un groupe d’Etats qui se sent menacé ». Or, « ne pas s’appuyer sur le corps social fait le jeu de ceux qui veulent détruire la société » http://www.rts.ch/info/monde/8020797–des-citoyens-armes-face-a-breivik-ou-a-paris-ca-aurait-evite-des-massacres-.html

bernardwicht
Lien vidéo entretien Bernard Wicht, spécialiste des questions stratégiques à l’Université de Lausanne. Bernard Wicht est favorable à l’armement des citoyens en Europe. Il évoque la liberté individuelle et le droit à la légitime défense :  http://www.rts.ch/info/monde/8020797–des-citoyens-armes-face-a-breivik-ou-a-paris-ca-aurait-evite-des-massacres-.html
Autant de propos en totale adéquation avec de nombreux articles publiés sur RL par mes soins :   http://ripostelaique.com/pour-une-riposte-armee-et-une-reforme-de-la-legitime-defense.html
« … En faisant systématiquement confiance aux forces spéciales en cas d’attaque, les délais sont plus longs, note-t-il. Et de rappeler qu’il a fallu plus d’une heure à la police pour intervenir lorsque Anders Behring Breivik a ouvert le feu lors du rassemblement de jeunes du Parti travailliste norvégien sur l’île d’Utoya le 22 juillet 2011, faisant 69 morts.
« Que ce soit face à Breivik en Norvège, au Bataclan à Paris ou à Nice, s’il y avait eu ne serait-ce qu’une ou deux personnes armées, on aurait évité beaucoup de victimes et bien des massacres », estime le spécialiste des questions stratégiques. »
Convaincu que faciliter le port d’armes en Europe : «  ne conduirait pas à une situation à l’américaine, où une fusillade a lieu chaque jour en moyenne, l’expert lausannois cite la République tchèque en exemple. « Il y a 4 à 5% de la population tchèque qui dispose d’un permis de port d’armes et cela ne crée pas une situation de chaos social… »
Le port d’arme pour éviter les massacres. Extrait de la pétition :
« …Pourtant, en 2013 déjà, après une attaque sanglante au Kenya, le Secrétaire général d’Interpol suggérait que l’armement des citoyens était une réponse valable à la terreur. Ronald Noble avait raison: le port d’arme n’est pas seulement un droit, c’est un devoir, dans un monde où la violence aveugle peut frapper n’importe où, n’importe quand. .. Dans notre pays, comme dans les pays voisins, tous les citoyens responsables devraient être autorisés à porter une arme, dans le but d’assurer la sécurité publique que les forces de l’ordre sont incapables d’assurer. Des citoyens armés, cela implique une réduction de la criminalité considérable, sans aucun frais pour l’Etat.  C’est la raison du lancement de cette pétition… »
Depuis cinq ans, le Parti de la France est aussi le seul (1) à lutter avec les Calaisiens contre les délinquants « migrants », alors que la ribambelle des candidats à 2017 s’y précipite désormais.
Carl Lang, président du Parti de la France au Trocadéro avec Riposte Laïque et Résistance Républicaine. Il est le seul homme politique (1) à réclamer une vraie Garde nationale civile armée et à vouloir combattre concrètement l’islamisation de la France.
Carl Lang est également l’un des rares à avoir compris que, comme le disait Me Tixier-Vignancour : « quand on donne la parole au couteau, on ne peut pas parler politique et le droit de la mitraillette l’emporte sur celui du suffrage » (2)
Un numéro de ENGAGEMENT exceptionnel
Le quadrimestriel automnal n°112 de l’ASAF (Association de Soutien à l’Armée Française) ne laisse aucun doute sur la bataille que va devoir livrer la France, chez elle, contre les prétentions islamistes, dont les éléments les plus radicaux, en tête de pont, ne cessent de tester le degré de soumission de nos gouvernants islamo-collabos, alliés à ceux de la Commission nationale de Défense et forces armées (3), aux média gauchistes et autres bobos liquidateurs des valeurs de la France.
Plusieurs auteurs, dont des généraux de 2ème section, apportent à ENGAGEMENT leur contributions éclairées. Qu’on en juge par leurs titres : Ne pas subir, Relever les défis, La France doit avoir une armée forte, Vaincre, La France en guerre, connaître pour comprendre, La Guerre d’Algérie (indispensable pour comprendre la France d’aujourd’hui)
Une fois de plus, l’ASAF a donc tiré le signal d’alarme maximal, tel qu’elle l’avait fait dans le contexte du dernier salon d’armement Euro Satory :  http://ripostelaique.com/salon-eurosatory-larmement-lourd-preservera-t-francais-face-aux-islamistes.html   « … Qui ne sait, grâce à internet, que les effectifs militaires sont réduits au point qu’il y a aujourd’hui moins de soldats professionnels qu’il y en avait avant la professionnalisation ? Qui ne sait que, pour faire face aux multiples missions, les armées sont contraintes de réduire le temps de formation et d’entraînement des unités et des pilotes ? Qui ne sait que nombre de matériels ont près de 50 ans d’âge et que le taux de disponibilité moyen ne dépasse guère 50 % en raison des conditions d’emploi… »
De toutes ces analyses une certitude ressort. Celle que les Français n’échapperont bientôt pas à l’alternative de se soumettre à l’islam, son Coran et sa Charia, ou de le combattre, armes à la main pour rester libres. Un choix qui embarrasse tous les candidats à 2017, sauf ceux du Parti de la France. Car comme le disait encore Me Tixier-Vignancour, à peu près en ces termes : l’homme d’Etat paye souvent son action en discours, en ruses et en fariboles parlementaires. L’homme d’Armes, avec son loyalisme et son sang.
Alors imaginez un peu les trésors d’imagination dont sont capables les candidats et candidates à la tête de l’Etat pour nous infuser un islam compatible avec la république.
Jacques Chassaing
(1) Affirmation factuelle et vérifiable
(2) Enregistrement de la magistrale plaidoirie de Me Tixier-Vignancour pour la défense du général Raoul Salan. Cette plaidoirie est reconnue comme l’un des plus grands moments d’éloquence judiciaire et elle rétablit des vérités historiques toujours gênantes en ces temps de repentance dans les manuels scolaires et dans la presse aux ordres https://youtu.be/Y_eHs7aVdx4    http://ripostelaique.com/presidentielles-2017-a-ete-dit-1965.html   http://ripostelaique.com/tixier-vignancour-candidat-a-presidentielle-de-1965-lecon-2017.html
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Des armes pour répondre aux terroristes !
Publié le 13 juin 2016 - par Jacques Chassaing - 20 commentaires - 2 124 vues
TireurLe ramassis des bobos anti-armes ne s’est pas fait attendre pour amalgamer et admonester le salutaire droit des Américains à porter des armes à feu, et donc de pouvoir légalement les acquérir. Dans la foulée, la flopée des pleureurs s’est émue, à la remorque de l’héroïque monstre bicéphale au pouvoir en France. Ce cortège est suivi des marcheurs de marches blanches, brûleurs de cierges, récitants de prières, et autres salonnards larvés et plumitifs qui pullulent, pour nous vendre leur constat contrit des attaques contre notre civilisation. Sans amalgame© et surtout sans armes. Chaque coup de feu faisant les choux-gras de leur ritournelle destinée à mener le troupeau à l’abattoir. Ce troupeau, rappelez-vous, c’est celui du grand Victor Hugo.
Je ne reviendrai donc pas sur le dernier (en date) attentat de Tel Aviv  http://www.europe-israel.org/2016/06/video-attentat-de-tel-aviv-le-cri-du-coeur-dune-presentatrice-de-fox-news/ ni sur celui de Orlando et son déjà véreux « Après la fusillade d’Orlando, «  il faut résister à la haine  » (sic NDLR JChttp://www.lemonde.fr/ameriques/article/2016/06/13/tuerie-d-orlando-l-obsession-homophobe-de-l-etat-islamique_4949368_3222.html
J’ai choisi une autre actualité, dont il n’a pas été fait grand cas. Il se trouve que quelques gendarmes et policiers commencent enfin à percevoir un armement d’une puissance de feu capable de rivaliser avec les AK 47 (du feu ingénieur Mikhaïl Kalachnikov). En l’occurence, il s’agit d’un fusil d’assaut  de Heckler & Koch, le modèle HK G 36 http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2016/06/09/dijon-les-psig-sabre-de-bourgogne-ont-leur-nouvel-armement
Sans dénigrer cette arme (bien que quelques rumeurs ont couru sur sa précision en usage intensif), nous ne privons pas de remarquer que sa firme de production est en Allemagne, comme si la France était incapable de fabriquer son armement. Il est vrai que ces 40 dernières années, nos gouvernants successifs se sont acharnés à sinistrer nos manufactures, arsenaux et armureries. Pour Saint-Etienne, la Manufacture royale et impériale, Manufrance et tous ses co-traitants, fournisseurs et clients. Pour ceux qui veulent se faire une idée de ce qu’a été le quotidien de notre vie avec les armes à feu, le Musée d’Art et d’Industrie conserve une fantastique collection.
Une initiative intéressante : A R P A C Association pour le Rétablissement du Port d’Arme Citoyen
Contre la farce des 20 premières minutes
Le premier flic de France, Cazeneuve Bernard, veut nous faire accroire qu’une intervention combinée des BAC, PSIG Sabre en moins de 20 minutes, n’importe où (et on espère, n’importe quand) est, seule de nature à limiter les dégâts  (humains) en attendant la formation des BRI, RAID et GIGN en colonne. Sans doute pour lutter contre… la 5ème colonne?
L’ennui c’est que le client croit mordicus à son tardif plan anti-terroriste, tout en déclarant  cependant qu’en cas de tuerie de masse, les premières minutes font le plus de victimes. Autrement dit, bien avant moins que 20 minutes, ou si vous préférez : tant pis pour les premier morts. Première contradiction.
Seconde contradiction: comment fonctionne ce plan s’il n’y a pas tuerie massive, mais addition d’attaques par des loups solitaires épars, dans le temps et dans l’espace?  http://ripostelaique.com/malgre-de-futurs-attentats-islamistes-cazeneuve-refuse-darmer-francais.html
Ce que demande l’ARPAC : « Nous sommes une équipe de citoyens bénévoles, détenteurs d’armes, qui avons pour l’instant choisi de rester une association informelle pour des raisons pratiques.
Nous ne sommes lié à aucun courant politique, ni affilié à aucun parti politique. Nous souhaitons en revanche voir le port d’arme amené dans le débat politique.
Le port d’arme n’est pas là pour concurrencer l’Etat, mais pour assurer la sécurité qu’il ne peut pas assurer en permanence et en tout lieu sur le territoire.
La meilleure façon de nous aider est de participer à la promotion de notre site internet et de nos pages facebook et twitter. »
Le tryptique mortel
La racaille et les terroristes islamiques se régalent car il n’ont pas grand’chose à craindre
1/ d’une riposte des honnêtes gens désarmés,
2/ des forces de l’ordre aux ordres des gouvernements pro EURABIA http://ripostelaique.com/author/bat-yeor
3/ d’une justice aux ordres d’une politique pénale des précédents
Interdire aux honnêtes citoyens d’être légitimement et légalement armés est criminel
Voici une vidéo d’entraînement au tir par un particulier, tireur aux USA. Avec, précisément un HK G 36. D’autres vidéos montrent l’entraînement avec différents modèles de pistolets et de revolvers. Vous verrez que tout se passe de manière très sécurisée et responsable, loin des clichés que les détracteurs des armes, à dessein, voudraient donner.
La phrase essentielle « Le port d’arme n’est pas là pour concurrencer l’Etat, mais pour assurer la sécurité qu’il ne peut pas assurer en permanence et en tout lieu sur le territoire » crédo de l’Association pour le Rétablissement du Port d’Arme Citoyen, correspond plus que jamais à la situation d’aujourd’hui, où, plus que jamais l’ennemi est en France, grâce à la passoire schengen, et souvent français de papiers. Le port d’armes légalisé doit aussi aller de pair avec la réforme de la légitime défense pour tous, forces de l’ordre et armées comprises. Rien ne sert d’arborer en quasi bandouillère un HK G 36, ou autre, si son usage légitime conduit son utilisateur directement dans les prisons on l’on enferme plus la racaille. A l’instar des dires de Donald Trump, on peut même observer qu’aux USA une riposte à un agresseur est réglée en quelques secondes, alors qu’en France c’est 25 ans de procès à la charge du contribuable.
Loin de moi l’idée d’un imaginaire Far Westje ne suis pas un passionné par les armes à feu, elles n’ont été pour moi – et le restent – au travail, qu’un outil de protection, comme un extincteur en prévision d’un incendie. Et s’il n’y a pas de feu, on n’utilise pas d’extincteur ; s’il n’y a pas d’agression, on n’utilise pas son arme.
Le premier avantage de porter légalement et légitimement son arme, pistolet ou revolver, réside en ce que l’agresseur potentiel sait que son agression ne restera pas sans réaction. C’est un intérêt bien compris aux USA et en Israël, entre autres pays, où l’avertissement est de notoriété publique et mis à exécution systématiquement. Le second atout contribue à la responsabilisation de celui qui porte l’arme pour se défendre seulement.
En effet,comme il est impératif d’évaluer très vite la menace avant de riposter, une maîtrise quasi quotidienne de l’arme individuelle est impérative. Ce qui veut dire : à tous avantages, ses inconvénients. D’abord le prix d’achat, de l’armoire à domicile et celui des munitions. Pas de gaspillage. Ensuite, s’entraîner régulièrement, ce qui veut dire trouver du temps pour aller au stand de tir, payer la cotisation, payer ses munitions, tirer en respectant les consignes, y compris en  se protégeant les yeux et les oreilles. Puis nettoyer et entretenir son arme.
Au début ça va, après c’est lassant, mais c’est justement à ce moment qu’il faut s’accrocher et continuer à être rigoureux. A la fois s’habituer à son arme et à la fois ne pas s’y habituer, en ce sens qu’il faut toujours s’en méfier. Dans son maniement et son rangement, s’entend.
Bien avant tout ça et c’est tout aussi difficile, il faut choisir l’arme qui convient à chacun mais c’est mettre la charrue avant les boeufs, lorsqu’on ne sait pas. Alors il faut observer, observer, chercher, comprendre et essayer parce si l’on acquiert (de plus en plus difficilement) une arme à « rebrousse poil » (pas les poils de l’arme), ça n’ira pas. Bien sûr, dans l’armée et dans certaines professions, il n’est pas questions de choisir. Le soldat, le fonctionnaire ou l’employé doivent se munir de ce qui est en dotation et s’y adapter. D’autant plus que le choix est rétréci comme une peau de chagrin et que la France est singulièrement absente du marché.
Bref, tout individu normalement constitué, ne peut accepter d’être un mouton pour l’abattoir rituel et c’est en outre, une insulte à la mémoire de Samuel COLT et de John Moses BROWNING qui se sont creusés les méninges pour essayer de rendre le monde un peu plus juste et un peu plus sûr.
C’est d’ailleurs le sain esprit du Deuxième amendement de la Constitution des Etats-Unis d’Amérique qui est descendu sur pas mal de bonnes âmes. Mais, hélas, pas sur celle du Saint-Père François, rénégat qui préfère lâcher la chrétienté en ajoutant sa voix au concert de tous les traîtres islamo-gauchistes-collabos.
Jacques Chassaing
L’armement des civils est une réponse valable au terrorisme islamiste
Publié le 7 juillet 2016 - par Jacques Chassaing - 24 commentaires - 2 520 vues
armeC’est l’une des réalités dérangeantes du volumineux rapport d’information sur la Présence et l’emploi des forces armées sur le territoire national (255 pages) http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i3864.asp ou si vous préférez  2 h 10 de vidéo (qu’on peut télécharger) http://www.assemblee-nationale.tv/video.4081403_576a3ca5e06f0.commission-de-la-defense–emploi-des-forces-armees-sur-le-territoire-national–strategie-de-ration-22-juin-2016
Cependant, sachez tout de suite que les conclusions présentées relèvent davantage de contributions sous la forme interrogative et ne sont qu’une première étape! Dixit Olivier Audibert Troin, député (LR) rapporteur (avec Christophe Léonard (SER). Voilà qui augure mal d’une ferme volonté nationale souveraine.
Les attentats-actes de guerre se suivent, la commission bavarde
Le 22 juin la Commission de la défense nationale et des forces armées  a une fois de plus ouvert toutes grandes ses oreilles bouchées (voir les présents ou excusés sur ses 69 membres, à comparer avec  http://www.assemblee-nationale.fr/14/cr-cdef/15-16/c1516047.asp
De chapitres en sous sections, le rapport n’en finit pas de constater que l’opération Sentinelle est à bout de souffle et les OPEX fragilisés : « 7 000 dans la durée, 10 000 pour une durée d’un mois au maximum. Or cet effectif maximal est maintenu depuis déjà sept mois et demi, au lieu d’un. Aussi l’équilibre qui sous-tend le contrat opérationnel est-il de nouveau rompu. Il convient donc soit d’augmenter en conséquence les effectifs de la force en les portant à 86 000 au lieu de 77 000, soit de ramener l’effectif de Sentinelle au niveau prévu par le contrat opérationnel… » 
Ou bien, formulé différemment : « Vigipirate a été marqué par une sorte d’« effet de cliquet » ‒ une fois prises des mesures de protection, il s’est avéré très difficile d’en « réduire la voilure ». Cet effet commence à jouer pour Sentinelle, avec un effectif maintenu à 10 000 hommes au lieu de 7 000. Or il recèle un piège : une part croissante de nos armées est accaparée par des missions qui relèvent en temps normal des forces de sécurité intérieure et ce, au détriment de leur potentiel opérationnel. »
La suite du rapport est une litanie de lieux communs et de verbiage, parmi lesquels on épingle ci et là, quelques perles : « … le fait religieux peut aussi bien déséquilibrer ou raffermir le lien social en général et la cohésion des armées en particulier, d’autant qu’il est l’un des motifs prétextés par les terroristes : il prend donc une importance particulière dans le cadre de la mission Sentinelle. Si les aumôniers religieux jouent un rôle très positif dans sa prise en compte par le commandement, une formation des cadres de contact au fait religieux serait utile… »  « S’agissant du rôle des musulmans dans la prévention de la radicalisation de militaires, M. Arbi a rappelé que la mission d’un aumônier militaire, conformément aux textes réglementaires et quel que soit le culte, n’implique pas de procéder à des mesures particulières de prévention de la radicalisation quelle qu’en soit la nature, soulignant que cette question « ne saurait donc encore moins être adressée à des militaires d’une confession particulière »
Les petites phrases du rapport : « Le commandant des forces terrestres s’est dit « préoccupé » par « la baisse du niveau d’entraînement » des forces : « nos unités vivent pour l’instant sur leurs acquis ».
« Les armées ont toujours eu une mission de protection du territoire, initialement conçue contre une invasion étrangère dans le cadre de la défense opérationnelle du territoire (DOT). Si la fin de la guerre froide a « fait tomber en désuétude » la DOT, le continuum entre sécurité extérieure et sécurité intérieure a justifié l’identification, par les Livres blancs de 2008 et de 2013, d’une « fonction stratégique de protection » assignée aux armées. »
 MAIS les islamistes ont encore de beaux jours devant eux car :
 : « pour les militaires des armées, le droit commun de la légitime défense fondé sur l’article 122-5 du code pénal ; pour les policiers, le droit commun de la légitime défense. Toutefois, le 12 novembre, le ministre de l’Intérieur a annoncé son intention de réformer les conditions d’engagement de la force par la police, évoquant une « présomption de légitime défense » pour les policiers, sans qu’il y ait été donné de suite depuis ; pour les officiers et sous-officiers de la gendarmerie, un régime plus large, fondé non seulement sur le droit commun de la légitime défense mais aussi sur des dispositions spéciales prévues à l’article L. 2338-3 du code de la défense ». 
L’autre commission bidule en rajoute et veut créer une agence nationale de lutte contre le terrorisme! 
La commission d’enquête parlementaire sur les attentats du Bataclan vient de rendre ses conclusions. Tout va très bien madame la marquise. D’après le rapporteur député socialiste Sébastien Pietrasanta, et le président de la commission, le député Les Républicains Georges Fenech, il n’y a « pas eu de gros ratés » mais la France n’était pas « prête » à affronter des attaques jihadistes de cette envergure. « … Face au défi du terrorisme international, il faut des ambitions beaucoup plus élevées que ce qu’a mis en oeuvre jusqu’à maintenant le ministère de l’Intérieur en termes de renseignement et créer une agence nationale de lutte contre le terrorisme », déclare Georges Fenech, le président de la commission… »http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-du-13-novembre-a-paris/
Les positions claires de l’ASAF (association de soutien à l’armée française)
L’opération Sentinelle doit cesser dans sa forme actuelle
« … L’intervention de l’armée, ambiguë, imprécise et à durée indéterminée dans l’opération Sentinelle doit cesser dans sa forme actuelle. Le rôle de l’armée de Terre, ses rapports avec les forces de l’ordre, les responsabilités hiérarchiques entre militaires et autorités civiles (préfets), le partage des tâches sur le terrain ne sont absolument pas précisés en l’état actuel, jetant confusion et trouble lors des interventions (3). Les unités de l’armée de Terre sont cantonnées à la légitime défense sans pouvoir d’arrestation de personnes, de fouille, de contrôle d’identité (pas d’officiers de police judiciaire en son sein).
 Sur le territoire national, la lutte contre le terrorisme est du ressort des services de renseignement, des forces de l’ordre (police et gendarmerie) et de la justice. Lorsque les terroristes interviennent comme ils l’ont fait, leur traitement revient aux unités spéciales des forces de l’ordre : RAID, BAC, BRI, GIGN, GIPN, soutenues si nécessaire par les escadrons de gendarmerie mobile (12 000 hommes) et les compagnies républicaines de sécurité (CRS, 13 000 hommes). A la limite, lors de ces interventions, l’armée de Terre (10 000 hommes disponibles au détriment des autres missions) pourrait effectuer des actions de bouclage et de contrôle de zone en soutien des forces de l’ordre, mais avec des pouvoirs d’intervention quasiment nuls car actuellement limités à la seule légitime défense. L’impact serait seulement psychologique… » http://www.asafrance.fr/item/terrorisme-armees-et-lutte-contre-les-terroristes-sur-le-territoire-national-libre-opinion-du-general-2s-jean-marie-faugere.html +  http://www.asafrance.fr/item/lettre-asaf-16-06-de-juin-2016-l-indispensable-remontee-en-puissance-de-notre-armee.html
Un communautarisme qui fait aujourd’hui le lit d’un projet politique global usant de la terreur comme de la ruse
Caroline Galacteros, docteur en sciences politiques, colonel de la réserve opérationnelle et administratrice de l’ASAF vient de publier un retentissant édito intitulé Osons la souveraineté. Extraits :  « … 48 heures après l’assassinat sauvage « à domicile » d’un couple de policiers sous les yeux de leur enfant, considérer qu’il n’y a rien de plus urgent que d’aller applaudir à tout rompre « Les Bleus » à Marseille, sans doute pour montrer la « résilience » de l’État en son sommet, à défaut de sa dignité…
Cette séquence horrifiante témoigne soit d’un renoncement définitif à assurer la sécurité de nos concitoyens – qui fonde pourtant la démocratie –, soit d’un stade terminal d’incompréhension de la menace qui vise notre pays livré à tous ceux qui ont décidé d’en finir avec l’ordre public. En effet, que signifient la démocratie ou la liberté sans souveraineté défendue, sans autorité exercée, sans responsabilité assumée ? L’atomisation des individus et la déconstruction de leurs appartenances les ont jetés dans les bras du communautarisme qui fait aujourd’hui le lit d’un projet politique global usant de la terreur comme de la ruse. Il a le temps pour lui mais sait aussi accélérer si l’occasion se présente… »  http://www.asafrance.fr/item/europe-osons-la-souverainete-libre-opinion-de-caroline-galacteros.html
Et de démonter que tout se tient : 
« … Alors qu’attend-on ? Osons la souveraineté, osons dire ce que nous avons été, sommes et voulons être. À l’intérieur comme à l’extérieur, il faudra « aller au choc » dans bien des domaines. Mais choisir les coups portés est toujours préférable à les parer. On nous objectera qu’il faut complaire en toutes choses à notre Grand Allié qui n’a jamais voulu d’une Europe politiquement puissante. Le double élargissement Otan-UE l’a pleinement servi. Mais l’alliance n’est pas l’allégeance. Et puis, qu’a gagné la France à tant de servilité ? Elle n’a jamais si peu compté ni parlé au monde. Elle n’a plus d’idées ni d’ambitions… « il n’y a qu’un camp à choisir : le nôtre. »
Même le pacifique  et très chrétien démocrate député Jean-Frédéric Poisson a compris que : « c’est bien l’islam qui pose problème à la France, pas seulement le radicalisme » à entendre au time code 5’45 de cette vidéo  https://youtu.be/NcjKLiUf2Po
Le cas particulier d’Israël ou la façon dont une démocratie s’est adaptée à une menace terroriste de long terme
Voici un passage du rapport qui gêne aux entournures pas mal d’intervenants : « …non seulement Israël est un partenaire de la France, comme le Premier ministre l’a encore rappelé à Tel-Aviv quelques jours avant le déplacement des rapporteurs, mais il peut aussi être vu comme celle des démocraties occidentales qui est confrontée au plus haut niveau de menace terroriste. Bien entendu, une étude comparative des stratégies française et israélienne de protection du territoire national ne signifie pas que les rapporteurs considèrent que la situation d’Israël soit identique à celle de la France : pousser trop loin le parallèle serait absurde. Faut-il pour autant s’interdire a priori d’étudier la façon dont une démocratie s’est adaptée à une menace terroriste de long terme  indépendamment de la lecture politique que l’on peut faire des causes et des motivations du recours à la lutte armée ? Les rapporteurs ne le croient pas, et les développements suivants présentent le résultat de leurs observations lors de leur déplacement… »
Que les Français qui se croient encore défendus entendent bien ceci : 
« … ils (les rapporteurs répertoriés en ANNEXE AUDITIONS ET DÉPLACEMENTS DE LA MISSION D’INFORMATION NDLR JC) ont pu constater qu’en plus des personnels des sociétés de sécurité, une part importante des civils est autorisée à porter des armes, et que la diffusion de l’armement est vue souvent comme une sorte de contrepartie à la faible densité de policiers et de militaires à l’intérieur du pays. Il ressort en effet de leurs entretiens avec leurs homologues israéliens que l’armement des civils est vu comme une réponse valable au terrorisme, et ce d’autant qu’une part importante d’entre eux est constituée de retraités ou de réservistes des armées ou des services de sécurité. Ainsi, M. Élie Elalouf leur a fait valoir que nombre d’attentats ont été déjoués par des civils armés, et que l’éducation à la sécurité commence très tôt en Israël : abris dans toutes les écoles, alertes aux tirs de roquettes, etc… »
L’armement des civils devient une réponse pertinente au terrorisme avec l’évolution des modes opératoires de celui- ci,  en Israël, l’État projette : «  de mettre en place un système d’alerte géolocalisée sur téléphone portable à destination de tous les titulaires d’un permis de port d’arme en cas d’attaque terroriste à leur proximité. Son collègue Omer Barlev a précisé que l’armement des civils devient une réponse pertinente au terrorisme avec l’évolution des modes opératoires de celui- ci : à ses yeux, jusqu’à l’« intifada des couteaux » commencée en octobre 2015, « aucun civil n’était jamais sérieusement intervenu dans un attentat terroriste », mais l’évolution du modus operandi des terroristes depuis octobre 2015, faisant une large part aux initiatives d’individus isolés difficilement repérables par les services de renseignement, limite la capacité d’anticipation de ces services. Dès lors, pour M. Omer Barlev, 20 à 30 % de ces terroristes ont été maîtrisés par les civils  il s’agissait parfois d’ailleurs de soldats en permission portant leur arme.  En effet, les personnels des armées et des forces de sécurité sont autorisés à porter leur arme de dotation en dehors de leur temps de service… »
Avec les mêmes dispositions en France, au moins deux millions de civils français porteraient légalement une arme
« Le député Michael Oren a indiqué aux apporteurs que 3 % des Israéliens étaient ainsi autorisés à porter une arme dans l’espace public; certains observateurs avertis jugent cette proportion sous-évaluée. Quoi qu’il en soit, même si le taux de 3 % devait être compris comme une hypothèse basse, il n’en est pas moins considérable : rapporté à la population française, il correspondrait à deux millions de porteurs d’armes… »  
Pour mémoire, en France il y a environ 100 000 gendarmes, 140 000 policiers nationaux et 20 000 policiers municipaux, ce qui est peu, d’autant plus que nous ne connaissons pas les effectifs réellement opérationnels, leurs consignes et leurs moyens de riposte sur le terrain. Les forces terrestres, quant à elles, pourraient atteindront une capacité opérationnelle de 77 000 hommes à l’été 2017 (ou 86 000 selon le rapport Audibert Troin/Léonard?)  http://www.defense.gouv.fr/terre/l-armee-de-terre-au-contact/organisation/un-nouveau-modele-pour-l-armee-de-terre
Mais tant que la volonté politique islamo-collabo cantonnera les forces de l’ordre dans la passivité, les honnêtes citoyens contribuables et futures victimes ne devront compter que sur eux-mêmes pour se défendre, défendre leur famille et leurs biens. 
En l’espèce, en cette période de commémoration des massacres d’Oran, beaucoup ont encore en mémoire de douloureux souvenirs en ce qui concerne les instructions données aux forces de l’ordre :   http://notrejournal.info/SPECIAL-ORAN-5-JUILLET-1962 + http://jose.castano.over-blog.com/2016/04/katz-criminel-de-guerre.html
Ce qui de manière actualisée est devenu : 
L’armée française progressivement noyautée par des islamistes
De la teneur  de ce rapport, émane un constat longtemps minimisé mais qui éclate au grand jour : Le problème des radicalisés dans l’armée. C’est le sujet récemment abordé par Jean – Pierre Fabre Bernadac  http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/le-probleme-des-radicalises-dans-larmee,265892 et  http://www.huffingtonpost.fr/2016/06/30/radicalisation-armee-francaise-ministere-de-la-defense_n_10750408.html
Ce problème des radicalisés infiltre aussi la police, la gendarmerie, les sociétés de gardiennage… « … La gendarmerie se réveille Le Héron n’est pas isolé pour condamner l’introduction de musulmans et musulmanes dans les rangs de la maréchaussée, ainsi qu’il l’avait fait dans son flash du 9 écoulé, après la mise aux arrêts d’une pandorette adjudante-cheffe, puis sa mise en examen pour avoir communiqué des informations à ses amis terroristes islamistes depuis l’institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale du Fort de Rosny-sous-Bois. À en juger par la prose qui suit, ça commence à bouillir dans les casernes… » extrait de Le Héron des casernes, (NDLR JC, dont on est actuellement sans nouvelles mais ses traces demeurent sur   http://miledeux.over-blog.com/2015/03/la-gendarmerie-se-reveille.html
Dans Boulevard Voltaire, l’ancien officier de Gendarmerie, diplômé de criminologie et de criminalistique nous met en garde (et il n’est pas le seul, plusieurs articles ayant tiré le signal d’alarme depuis cinq ans) : « la question de la radicalisation dans les armées, question qui, comme le serpent de mer, revient chaque année avec un peu plus de force car, chaque année, les terroristes islamistes font davantage parler d’eux. Fin 2008, certains musulmans du 1er régiment d’infanterie refusent d’aller se battre en Afghanistan…
En 2013 le colonel Rolez, adjoint au sous-directeur contre-ingérence à la Direction de la protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD) explique : « Notre focus, aujourd’hui, est devenu la lutte contre le terrorisme islamiste. Nous constatons une augmentation de la radicalisation parmi les militaires français, notamment après l’affaire Merah… »
… En 2015, le ministère de la Défense confirme qu’une dizaine d’anciens militaires français ont rejoint des réseaux djihadistes, notamment l’organisation État islamique.
Il y a quelques jours, un rapport parlementaire révélé par le député Olivier Audibert-Troin indique qu’une cinquantaine de dossiers de radicalisation font l’objet d’un suivi. Ce qui n’est pas considérable, lorsqu’on sait que la France compte 270.000 soldats. Pourtant, le ministère ne tarde pas à réagir en minimisant ce chiffre, parlant seulement d’une dizaine de radicalisés, surveillés de près par la DPSD avec l’aide de la DGSI… »
Et de poser une partie de la cruciale question : « …que se passerait-il si une armée comportant plus de 30 % de partisans de l’islam était amenée à intervenir dans certains quartiers sur ordre du pouvoir politique ?.. ». 
 Au delà des « quartiers », on compte déjà 300 musulmans parmi l’équipage du porte-avion Charles de Gaulle  http://resistancerepublicaine.eu/2015/08/01/300-musulmans-parmi-lequipage-du-porte-avion-charles-de-gaulle/. Combien dans l’armée de Terre?
Laissons le mot de la fin à M. Christophe Léonard, rapporteur : « Pour conclure, mes chers collègues, la question qui nous était posée peut in fine se résumer ainsi : quelles places respectives pour les armées et les forces de sécurité intérieure sur le territoire national ? La question conduit certains à se demander si nous pouvons à bon droit nous dire « en guerre » ou non. Les uns emploient volontiers ce vocabulaire, qui suffirait à justifier le recours aux armées ; d’autres y voient une surréaction lexicale… » et bla bla bla.
La suite aux prochains attentats, de masse, ou au détail.
Jacques Chassaing

Pourquoi les guerres restaurent la profitabilité
Bruno Bertez
Pourquoi les guerres restaurent-elles la profitabilité ?

J'ai abordé sur mon blog la question de la stagnation séculaire, son lien avec la profitabilité insuffisante et la réponse de Keynes, lequel avouait que ses recettes n'avaient pas marché et que seules les guerres pouvaient être efficaces.

On est sorti de crise des années 1930 non par le New Deal mais par la guerre de 39-45.

"Il est semble-t-il politiquement impossible pour une démocratie capitaliste d'organiser des dépenses publiques à l'échelle nécessaire pour créer les conditions qui prouveraient ma théorie- sauf en état de guerre."

The New Republic de P. Renshaw, Journal of Contemporary History 1999 vol. 34 (3) p. 377 -364 citant John Maynard Keynes.

Les guerres sont la solution, désolé de le dire aussi crûment.

Economiquement, elles consistent à détourner toutes les ressources au profit de l'économie de guerre ; le gouvernement prend le contrôle de toutes les décisions, en particulier les décisions d'investissement.

Hitler l'a fait dès 1933 si mon souvenir des dates est bon. Voir Adam Tooze.

Les entreprises sont obligées de produire dans le cadre imposé de l'effort de guerre.

Les salaires sont contrôlés et souvent bloqués.

La consommation est rationnée.

Les épargnes sont canalisées au profit de l'Etat et subissent la répression, c'est-à-dire l'amputation forcée.

Le capital financier ancien, le fictif, est détruit plus ou moins partiellement par la répression, l'inflation, la dépréciation de la monnaie et les prélèvements du gouvernement.

Le capital physique inutile en économie de guerre disparaît plus ou moins totalement, puisque la demande civile disparaît – c'est l'euthanasie dont je parle souvent.

La plus-value, la profitabilité explosent, en particulier pour les fournisseurs du gouvernement, les profiteurs de guerre.

Après guerre, on fait en sorte de détruire les dettes anciennes et souvent les monnaies.

Toutefois, l'essentiel n'est pas économique mais politique !

Politiquement, l'état de guerre donne au gouvernement les pleins pouvoirs. Il permet au gouvernement et donc aux élites de tout imposer, tous les sacrifices au nom de la guerre et c'est cela l'essentiel :


Le peuple est neutralisé.

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