vendredi 29 mars 2019

Quand les Gilets Jaunes lutteront enfin contre l'invasion migratoire... (Pierre Cassen, 29.03.2019)




Il reproche aux meneurs des Gilets Jaunes d’être incapables de lier le combat social au combat identitaire. Il appelle de ses vœux les Gilets Jaunes à refuser l’invasion migratoire organisée par Macron, et à s’organiser, quand les préfets veulent imposer la présence de clandestins africains à des populations qui n’en veulent pas.



La suite du message véhiculé aux Assises de la France des Gilets jaunes, le 17 mars 2019.

À la veille de l’acte 20 des Gîlets Jaunes, Pierre Cassen revient aussi sur la condamnation d’Eric Drouet à 2.000 euros d’amende pour organisation de manifestation interdite. Il explique pourquoi ce régime paraît prêt à tous les coups tordus pour briser ce mouvement.



Les Gilets Jaunes sommés de payer l’invasion migratoire.
Discours de Gérard Pince, économiste, sur les Gilets Jaunes face au défi migratoire, aux assises des Gilets Jaunes.
A Rungis, le dimanche 17 mars 2019.


« Les Français ruinés par l’immigration » de Gérard Pince (28.02.2014)
https://www.polemia.com/les-francais-ruines-par-limmigration-de-gerard-pince/
Attention, depuis 2014, les choses ont beaucoup changé. Il vaut mieux écouter le discours de 2019 avant.

Jean-Bernard Brisset
Monsieur Pince, vous plaisantez en vous étonnant qu'il y ait eu si peu de mentions faites sur le problème de l'immigration? Vous savez très bien qu'ouvrir la bouche pour déplorer ou simplement évoquer ce qui est en réalité une catastrophe nationale, est un crime qui peut vous conduire en prison ou vider votre compte en banque.

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Silvervalist
importation de +360 000  musulmans par an en France ! Cette Ripoublique est complètement déjantée. Ils nous crèvent à petit feu et à tous les niveaux: fric, médias, idéologie, éducation, santé, environnement. Le retour du boomerang va être un cataclysme !

Jacques CHASSAING
Monsieur Pince. Permettez-moi cette question : comment le grand patronat peut-il vouloir faire baisser les coûts de production avec une immigration opportuniste, parasitaire, sous-qualifiée et/ou dont l'objectif n'est pas de travailler mais de piller nos caisses de solidarité et de remplacer la population française de souche en détruisant son identité attestée?

Nuage Rouge
MDR, même entre extrémistes xénophobes de droite, vous vous contredites et révélez toute vos incohérences et la supercherie de votre idéologie mensongère qui manipule les chiffres et les catégories sociologiques sans complexe ! ce serait drôle à voir si ce n'était pas tragique. si ça ne nous conduisait pas à nous tromper d’ennemi et à le faire payer à nos frères de classe.

Apprendre à lire
Les grandes entreprises bénéficient d'une augmentation de la consommation car il y a plus de consommateurs. Les coûts de production baissent car les usines sont délocalisées à l'étranger. Les immigrés font baisser le coût de la main d'oeuvre pour les boulots peu qualifiés qui restent : services à la personne, sécurité, nettoyage, BTP, caissières, etc. C'est l'Etat donc les citoyens français de souche qui financent le coût de l'immigration par la hausse des taxes, la baisse de son pouvoir d'achat, l'inflation et la baisse de qualité des infrastructures dans les périphéries et campagnes où il a dû fuir à cause de l'insécurité des banlieues et du coût prohibitif des centre-villes réservées aux bobos immigrationnistes qui a besoin de sa caste de serviteurs, les immigrés.



« Les Français ruinés par l’immigration » de Gérard Pince


« Les Français ruinés par l’immigration » de Gérard Pince
28 FÉVRIER 2014 | POLÉMIA


« Ce livre […] confirme pour l’essentiel les conclusions auxquelles était parvenu le Prix Nobel d’économie Maurice Allais. »

♦ Gérard Pince est docteur en économie et spécialiste de l’économie du développement ; il a publié en 2013 un petit livre intitulé Les Français ruinés par l’immigration (éditions Godefroy de Bouillon). Dans cet ouvrage assez aride Gérard Pince a résumé ses analyses de la comptabilité nationale destinées à évaluer l’impact des populations immigrées sur notre économie. Les sources de toutes les données chiffrées utilisées par l’auteur sont disponibles dans les annexes ; ce rapport est vérifiable par tous les amateurs d’arithmétique.


Les bases du calcul

A la différence d’autres rapports, celui de Gérard Pince ne prend pas en compte tous les étrangers et leurs descendants de la première génération mais seulement les étrangers d’origine extra-européenne parce que, selon lui, l’impact positif des étrangers d’origine européenne sur nos comptes nationaux masque l’impact négatif des étrangers originaires des pays tiers. Par ailleurs et à la différence de rapports qui ont conclu au faible impact de l’immigration sur notre économie, celui-ci prend en compte la part des dépenses régaliennes qui sont imputables à ces étrangers (les premiers n’intègrent que les recettes).
Selon l’étude de l’INSEE de 2012, il y avait en France, en 2008, 5,3 millions d’immigrés et 6,7 millions de descendants directs de ces immigrés, soit un total de 12 millions de personnes dont 7 millions d’origine extra-européenne ; soit encore 4,1 millions d’immigrés extra-européens et 4 millions de descendants en 2011 après correction. Rappelons que les populations vivant en France à la fin de 2011 comprenaient, selon une évaluation, un total de 65,4 millions de personnes ; la part des étrangers représentant 18,4% du total et celle des étrangers non-européens 12,4%. En 1946, 88% des étrangers installés en France étaient d’origine européenne tandis qu’aujourd’hui, ces derniers n’en représentent plus qu’un gros tiers ; il y a bien une modification profonde de la nature de l’immigration.

Une autre vision de l’immigration

G. PinceLa plupart des commentateurs de l’immigration pensent, ou feignent de penser, que les immigrés vivant en France participent à l’économie nationale au même titre que les nationaux, ce que les chiffres donnés par le gouvernement lui-même ne permettent pas de vérifier. En 2011, le taux de chômage national était de 9,1% (2,6 millions sur un total de 28,4 millions de « personnes actives »), celui des nationaux et des étrangers originaires de l’Union européenne de 7,8% et celui des étrangers extra-européens de 20,7% (600.000 sur un total de 2,9 millions de « personnes actives »). La part des personnes « occupées » parmi l’ensemble des personnes en âge de travailler n’était que de 40% au sein de la population d’étrangers extra-européens tandis qu’il était de 64% dans l’ensemble rassemblant les nationaux et les immigrés d’origine européenne. De plus, cette situation ne s’améliore pas avec le temps ; la première génération d’immigrés extra-européens a un taux de chômage de 20% tandis que celui de la suivante atteint 23% ! Des études faites à partir des recensements de 1975, 1982 et 1990 montrent que le taux de chômage des jeunes issus de l’immigration maghrébine augmente régulièrement. Contrairement à tout ce que nous serinent les médias, le temps n’améliore pas les choses dans ce domaine.
Contrairement à une antienne récurrente, les étrangers extra-européens n’occupent pas tous les emplois pénibles dont les natifs ne veulent plus ; si 11% d’entre eux travaillent dans la construction (6% des autres), ils ne sont par contre que 1% dans l’agriculture (3% des autres) et 10% dans l’industrie (14% des autres). Enfin 80% des étrangers non-européens occupent des emplois souvent mal payés du tertiaire mais il en est de même pour les natifs peu qualifiés. « Cette importante mise au point relativise l’argument compassionnel (les immigrés ont reconstruit la France après l’avoir libérée !). Elle montre surtout que les natifs sont substituables aux immigrés. Comme nous le verrons plus loin, certains contestent cette évidence afin de nier la responsabilité de l’immigration dans le chômage des autochtones et le déclin de leurs salaires. »
La présence d’immigrés en surnombre par rapport aux besoins réels de notre économie crée, outre une pression importante à la baisse sur les salaires offerts pour les emplois peu qualifiés, une part du chômage des natifs que Gérard Pince a calculée. Il ressort de son calcul que le surnombre des immigrés en provenance du tiers-monde a pour conséquence le chômage de 1 million de natifs et de 500.000 de ces immigrés ! Contrairement à ce que les gens des médias nous disent et écrivent en permanence, l’immigration crée du chômage, ce que Maurice Allais écrivait déjà en 1998.

L’immigration en provenance du tiers-monde nous a ruinés

La part de la population des immigrés extra-européens et de leurs descendants de la première génération représentait 12,4% de la population de notre pays en 2011 mais sa part dans le PIB n’était que de 7,3% ; le PIB par tête de cette population était de 17.900€ quand celui des populations d’origine française ou européenne était de 32.300€.
Il faut ajouter que la présence des immigrés nous contraint à investir dans des logements sociaux et des infrastructures (écoles, hôpitaux…) ; Maurice Allais estimait que, lorsqu’un travailleur supplémentaire s’installe en France, les infrastructures nécessaires coûtent quatre années de son salaire annuel, soit pour 200.000 entrées annuelles un coût total de l’ordre de 16 à 20 milliards d’euros par an. Les ressources financières immobilisées dans ces infrastructures sont autant de ressources qui ne sont pas investies dans l’appareil de production du fait que ces travailleurs ne sont pas nécessaires à notre économie parce que nous disposons de réserves considérables de main-d’œuvre inemployée (2,6 millions de chômeurs en 2011 mais plus de 3 millions aujourd’hui) et mobilisable en revenant à la semaine de 39 heures (plus de 2 millions d’équivalent temps plein), sans parler de l’inéluctable allongement de la vie professionnelle. Sachant que le chômage minimal se situe aux alentours de 4% de la population active, soit environ 1.000.000 de chômeurs, il apparaît très clairement que nous n’avons pas besoin d’immigrés supplémentaires et qu’il y en a déjà beaucoup trop. Dans cette histoire il y a, bien sûr, des perdants (les travailleurs autochtones peu qualifiés dont les salaires tendent à baisser ou qui sont contraints au chômage, les contribuables et les capacités d’investissement) mais il y a aussi des gagnants, dont les entreprises de génie civil qui construisent les logements et les infrastructures (Francis Bouygues fut le premier des grands patrons à plaider en faveur de l’immigration et du regroupement familial), la grande distribution et les privilégiés qui peuvent disposer de domestiques dociles et peu exigeants. Cela dit, la facture est salée parce que le coût annuel de la présence de ces quelque 8,1 millions de personnes se monte à 115 milliards d’euros selon Gérard Pince, soit le double du déficit budgétaire de l’Etat ! Leur présence coûtait 2.000€ par an en 2011 à chacun d’entre nous soit 8.000€ par an pour une famille de quatre personnes. La dette de la France qui approche les 2.000 milliards d’euros semble donc être, pour l’essentiel, une conséquence d’une immigration insensée qui ne nous enrichit pas, bien au contraire.

De nombreux obstacles juridiques

Pour mettre un terme à ces dépenses qui ruinent notre pays, il est évident que la première des mesures qui devrait être prise consisterait à mettre un terme à l’entrée de nouveaux migrants extra-européens (67% des Français considèrent qu’il y a trop d’immigrés et 59% sont même partisans d’une limitation de l’immigration en provenance des pays de l’Union européenne), ce qui impliquerait la mise en place d’un contrôle des frontières nationales et la suspension des Accords de Schengen. Par ailleurs, le Conseil constitutionnel et la Cour européenne des droits de l’homme s’opposeraient à la suppression du regroupement familial, et la limitation du droit d’asile serait en contradiction avec les traités en vigueur. Seul le rapatriement des étrangers extra-européens au chômage ou en situation irrégulière ne poserait pas de problème juridique.
Gérard Pince estime que pour lever tous ces obstacles et imposer la volonté de la majorité des Français, il n’y a pas d’autre solution que le recours au référendum. Mais ce ne sera possible qu’à la faveur de l’élection d’un président de la République vraiment décidé à s’attaquer au problème essentiel qu’est l’immigration.
Ce livre est, certes, aride, mais sa lecture est d’un très grand intérêt parce qu’il remet en cause tous les poncifs diffusés par les médias et confirme pour l’essentiel les conclusions auxquelles était parvenu le « Prix Nobel » d’économie Maurice Allais.
Bruno Guillard26/02/2014
Gérard Pince, Les Français ruinés par l’immigration, éditions Godefroy de Bouillon, 2013, 120 pages.
Correspondance Polémia – 28/02/2014
Image : 1re de couverture


Coup de chapeau à Génération identitaire qui occupe le toit de la CAF de Bobigny


Coup de chapeau à Génération identitaire qui occupe le toit de la CAF de Bobigny
LE COMMUNIQUÉ DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE
Génération Identitaire occupe la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis !
Ce vendredi 29 mars, les jeunes Identitaires bloquent l’accès à la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, et occupent le toit du bâtiment. Une grande banderole « De l’argent pour les Français / Pas pour les étrangers » a été déployée sur la façade. Par cette action symbolique, Génération Identitaire réclame la suppression de toutes les aides sociales aux étrangers extra-européens.
Depuis le mois d’octobre 2018, le peuple français se soulève pour réclamer une véritable justice fiscale et sociale. Révoltés contre la multiplication et l’augmentation des taxes, les Français sont tout autant scandalisés par le gaspillage de l’argent public et les choix opérés par les gouvernements successifs. Chaque année, des milliards d’euros sont ainsi déversés sur les banlieues, via notamment la « politique de la ville », pendant que la France périphérique est délaissée.

Les prestations attribuées par les caisses d’allocations familiales – sans condition de cotisation préalable – sont les plus emblématiques de ce pillage qui, de fait, profite majoritairement aux populations issues de l’immigration. Le coût des allocations familiales perçues par les immigrés représente ainsi plus de 8 milliards d’euros par an, tandis que le coût du RSA versé aux étrangers dépasse les 2 milliards (Jean-Paul Gourévitch, « Les véritables enjeux des migrations », 2017).
Cette situation, profondément injuste, crée un appel d’air massif qui pousse des millions d’extra-européens à venir profiter de la générosité de notre système social. L’arrêt de l’invasion migratoire passe par la fin de toutes les aides sociales aux étrangers : les nôtres avant les autres !
Génération Identitaire occupe la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis. Les nôtres avant les autres !
#OccupCAF93

Bravo, ils ont du cran, ils savent qu’ils vont encore payer cher pour avoir une fois de plus tiré la sonnette d’alarme !
On comparera avec le sort des petits salopards qui ont ravagé l’ISPP de Marion le Pen qui vont s’en sortir les doigts dans le nez, forcément.
Et quelle alarme sonnée par GI  ! Cet argent, notre argent, qui file et est offert aux étrangers, est un scandale.
On sait que Bruxelles interdit la préférence nationale. Mais est-ce que, sous prétexte que Bruxelles dirait non on devrait obéir et cesser d’être chez nous, créant des appels d’air insensés  ? Il faut apprendre à dire non à l’UE, nous devons marcher vers un Frexit ( mais il vaut mieux éviter de voter pour l’islamophile Asselineau qui ne veut sortir de l’UE que pour mieux nous embarquer dans une union avec les pays du Maghreb qu’Asselineau prétend plus proches de nous que les pays d’Europe de l’Est…).
Alors soutenez Génération Identitaire, au moins en parlant d’eux partout, pour les défendre. Pour défendre nos idées.


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