Rouen. Un français de 40 ans assassiné dans un parc, tellement mutilé que son visage n'était pas reconnaissable !
L'auteur : un migrant ivoirien de 17 ans !
Rapidement, la France se transforme en Rwanda dans le silence des médias !
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Merci à Macron, PS, PC, Verts, LR, SOS Méditerranée, Open Arms, Ocean Viking, Emmaüs, Croix Rouge, IsraAid, etc. pour cet immense enrichissement culturel.
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Rouen grouille à présent de migrants, les nouveaux vikings, venus d'Afrique subsaharienne, du Maghreb et du Moyen-Orient. Et il s'en déverse de plus en plus.
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Rouen n'est peut-être pas aussi craignos que Nantes ou Monpellier et loin derrière Paris ou Marseille mais son niveau de merdisation ne fait qu'augmenter.
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Macron, Castaner et Belloubet sont responsables de ce meurtre atroce, d'abord par leur politique d'immigration suicidaire et ensuite par leur laxisme sécuritaire et judiciaire catastrophique.
Rouen : Meurtre atroce d'Olivier Quenault : Les 3 migrants ivoiriens assassins venaient d'être arrêtés par la BAC en flagrant délit d'agression ultra violente contre un couple, puis libérés dans la foulée par un magistrat. Ils étaient dans l'impunité totale.
Selon nos informations, dans la nuit du 21 au 22 juin, alors que Rouen vivait au rythme de la Fête de la musique, le mineur de 17 ans – déjà connu de la justice – a été appréhendé avec deux autres personnes pour des violences commises en réunion sur un couple : l’homme a subi un sérieux traumatisme facial avec une fracture du nez et sa compagne a été blessée à une main. « La BAC (brigade anti-criminalité, ndlr) les a arrêtés en flagrant délit, près de la place Saint-Marc, et ils ont été placés en garde à vue. Mais ils ont été remis dehors sur décision du magistrat de permanence... », détaille une autre source bien au fait de la procédure. Le parquet a ordonné un classement sans suite de l’affaire. Sans confrontation. « C’est d’autant plus surprenant que deux autres faits de violences, commis avec le même mode opératoire durant cette même nuit, pourraient aussi être imputés à ces trois jeunes gens ».
« S’il y avait eu des poursuites pénales, peut-être qu’ils auraient déjà été condamnés, peut-être qu’ils seraient convoqués prochainement, peut-être que des mesures coercitives ou des mesures éducatives leur auraient été imposées... Je n’en sais rien. Toujours est-il que le mineur en question et les autres sont ressortis du commissariat avec un sentiment de totale impunité, commente la même source. Je ne dis pas que c’est ce sentiment d’impunité qui a conduit au drame des jardins de l’Hôtel de ville (le mineur mis en examen demeure présumé innocent, ndlr), mais lorsqu’il n’y a pas de limites posées, tout est permis dans la tête de certains. Même le pire, et le pire est arrivé mardi dernier. »
https://www.paris-normandie.fr/actualites/faits-divers/crime-odieux-a-rouen--le-massacre-aurait-il-pu-etre-evite-HG15574021
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Meurtre des jardins de l’hôtel de ville de Rouen : l’adolescent de 17 ans mis en examen et écroué
SAMEDI 14 SEPTEMBRE 2019 À 10:21
L’adolescent de 17 ans, soupçonné d’être impliqué dans la mort d'un homme retrouvé la tête fracassée dans les jardins de l’hôtel de ville de Rouen, a été mis en examen pour « homicide volontaire aggravé ».
D'autres infractions délictuelles ont été retenues, cet homicide étant "concomitant ou lié à un crime ou à un autre délit", a indiqué le parquet de Rouen, précisant avoir ouvert une information judiciaire.
Le meurtrier présumé a été écroué à l’issue de sa présentation devant le juge des libertés et de la détention (JLD) vendredi soir.
Une trace ADN relevée sur la scène de crime
Le jeune homme, de nationalité Ivoirienne, connu des services de police pour des faits de violences, avait été interpellé à Darnétal, près de Rouen, jeudi matin vers 6 heures.
Une « perquisition domiciliaire » avait été effectuée dans la foulée, les enquêteurs étant à la recherche d'effets vestimentaires et autres éléments pouvant permettre éventuellement de le confondre.
Une trace ADN, correspondant à l’empreinte génétique de l’adolescent, avait été relevée sur la scène de crime par la police technique et scientifique.
La victime : « un homme rangé »
Le corps de la victime, d’une quarantaine d’années, avait été découvert mardi matin vers 7h30 par un employé communal, dans les jardins de l'Hôtel de ville, près d'une aire de jeux. Il était entièrement nu et avait la tête ensanglantée, méconnaissable, tant les coups qu'il a reçus ont été violents.
Le quadragénaire, identifié le lendemain, était inconnu des services de police et de la justice. C'était un homme qui menait une vie rangée, qui travaillait et n'avait jamais fait parler de lui, assure une source judiciaire.
Deux autres individus seraient recherchés par la police judiciaire dans le cadre de la commission rogatoire délivrée par le juge d’instruction, en charge du dossier.
Source : InfoNormandie.
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