vendredi 8 mars 2019

Le djihad en France commence vraiment à se voir partout



Avenir de la France à Grenoble : une photographie bien préoccupante !

Si la Basilique Saint-Denis, vandalisée dans l’indifférence générale, était une mosquée…

Aurélien Taché n’a jamais vécu au Maghreb : moi si !




Avenir de la France à Grenoble : une photographie bien préoccupante !

Publié le 7 mars 2019 - par  - 24 commentaires - 2 064 vues
La photographie ci-dessus est bien préoccupante. Elle montre, réunies derrière une banderole portant la mention « Adam et Fatih, plus jamais ça », les familles des deux jeunes délinquants de la cité Paul Mistral de Grenoble, morts dans un accident avec un bus alors qu’ils fuyaient, à plein gaz, sur un scooter volé, un contrôle de police.
Cette photographie nous enseigne deux choses essentielles :
1- Tout d’abord, il s’agit majoritairement de personnes arabo-musulmanes et donc issues de l’immigration, qui marchent en tête d’un cortège de 2 000 personnes environ, provenant certainement pour la plupart du quartier Paul Mistral de Grenoble où se sont, essentiellement, déroulées pendant plusieurs jours de véritables scènes de guérilla urbaine avec plusieurs tentatives de prises d’assaut d’une caserne de CRS, des incendies criminels de bâtiments et de dizaines de véhicules.
2- Ensuite, elles proclament : «  Plus jamais ça ».
 Que veulent-elles dire par-là ? Que plus jamais leurs enfants et leurs amis de leur quartier ne doivent attaquer la police et mettre le feu au quartier et à d’autres secteurs de Grenoble ou plutôt que la police ne doit plus jamais se mettre en chasse de leurs enfants quand bien même ceux-ci commettraient des délits en violation de la loi de notre pays.
C’est en effet le discours qu’ont tenu les père et oncle ainsi que les habitants de ce quartier en expliquant que leur délit ne valait pas une arrestation au risque de les mettre en danger…
Faut-il rappeler que ces deux jeunes avaient été signalés sur un puissant scooter volé sans plaque remontant le Cours Jean-Jaurès tout en dégradant des véhicules stationnés avant de rejoindre le quartier Mistral puis d’en ressortir, toujours sur ce scooter volé et sans plaque, avant d’être pris en chasse par la police qui essayait de les arrêter ?
Faut-il rappeler qu’une semaine auparavant, une centaine de jeunes de ce même quartier Paul Mistral avait attaqué les policiers qui avaient osé arrêter un individu détenteur de drogue puis s’en étaient pris ensuite aux pompiers appelés pour éteindre, déjà, d’autres incendies que ces jeunes avaient allumés ?
Mais comment est-il possible qu’en France, une puissance de vieille civilisation occidentale, on puisse, chose jamais vue auparavant, s’attaquer ainsi  à des pompiers dont la mission est justement d’éteindre les incendies et de porter secours aux malades et blessés ? Il y a là une grave et préoccupante dérive, décadence que nous ne connaissions pas, à ma connaissance, avant la dernière décennie du XXe siècle !
Faut-il rappeler qu’en l’occurrence, ici à Grenoble, mais aussi dans de nombreuses autres  villes de France, ces plus ou moins jeunes et d’autres adultes estiment qu’ils sont chez eux dans ces quartiers, sous-entendu que l’uniforme de la police et des pompiers n’ont rien à y faire et surtout pas à y faire respecter la loi et la règle françaises ?
Une ultime question se pose alors. Pourquoi n’a-t-on pas encore entendu les autorités nationales comme le ministre de l’Intérieur se prononcer avec force pour demander que cessent immédiatement ces violences et destructions inadmissibles comme il l’a tant de fois fait lors des manifestations des Gilets jaunes ?
Une ultime remarque également sur la dangereuse fracture morale, politique, culturelle et donc sociétale que suscitent, au cœur de notre pays, ces populations, immigrées de plus ou moins fraîche date, ainsi que leurs enfants, et dont certains éléments affichent ouvertement ou dissimulent en eux, un désir de revanche, de vengeance contre la France.
Ci-après, un exemple de cette fracture entre des référentiels culturels différents voire antagonistes. Au préfet de l’Isère, qui annonçait dans une lettre datée du 15 janvier 2019 (c’est pas vieux) vouloir fermer une grande mosquée de Grenoble où un imam tenait depuis 2014 (pourquoi l’État a-t-il attendu si longtemps ?) des propos de nature à provoquer la violence, la haine, ou la discrimination contre les fidèles des autres cultes et pouvant constituer le terreau d’actions terroristes, le président  de l’association musulmane dauphinoise, destinataire de cette lettre, répondait par l’intermédiaire du Dauphiné-Libéré du 28 janvier 2019 : «  Pour nous, tant que l’imam ne s’écarte pas des écrits du Coran, il n’y a pas de problème ». Article ci-joint.
Le problème est pourtant bien là, dans cette référence au Coran ; puisque celui-ci appelle, notamment dans les versets 29 et 30 de la sourate 9 à faire la guerre aux gens du Livre, sous-entendu les juifs et les chrétiens.
Le Coran qui est, rappelons-le, la source première et sacrée de toute loi légitime pour aux yeux des musulmans, dont un grand nombre considère logiquement en ce qui les concerne, que la charia, la loi musulmane, est supérieure en légitimité à la loi française.
On a alors à notre disposition une partie de l’explication du comportement séparatiste et déstabilisateur de certaines de ces populations musulmanes, surtout quand elles sont en plus encadrées et financées par des organisations islamistes étrangères ou  des États étrangers.
L’actualité de la recrudescence de tension militaire entre l’Inde et le Pakistan au sujet du territoire disputé du Cachemire depuis 1947, devrait nous inciter à consulter nos livres d’Histoire sur l’origine et la motivation des musulmans, minoritaires au sein de l’empire finissant des Indes, qui préférèrent la guerre et la partition en 1947, plutôt que de vivre sous la houlette et la loi impie des Hindous.
Marcel GIRARDIN
Conseiller municipal

Si la Basilique Saint-Denis, vandalisée dans l’indifférence générale, était une mosquée…

Publié le 7 mars 2019 - par  - 70 commentaires - 2 114 vues
Dans la nuit du samedi 2 mars, la basilique de Saint-Denis dans le 93 a été vandalisée. Une ou plusieurs personnes se sont introduites en cassant un vitrail et se sont attaquées à l’orgue construit par Cavaillé-Coll entre 1834 et 1841, classé monument historique, lui infligeant des dégradations majeures, dit la conservatrice de la basilique.
Le ou les intrus ont également cassé des vitraux classés de la rosace sud, qui avaient été retravaillés par Debret et Viollet-Leduc au XIXe siècle, qui étaient en cours de restauration et qui sont maintenant irréparables, les magnifiques coloris ne pouvant être retrouvés.
Sans doute les intrus ne pouvaient supporter la prochaine réparation de la flèche, qui dominera toutes les mosquées et autres lieux musulmans du département…
Mais ce qui indigne le plus, c’est qu’il s’agit du sanctuaire de nos rois de France. On peut être farouchement républicain et vouloir que ces lieux chargés d’histoire soient respectés de tous, même par la racaille islamisante.
Ce qui est indigne également, c’est que personne n’en parle. Où est Castaner ? En train de commander une livraison de LBD ? Où sont ceux qui gémissent et se pâment d’indignation dès qu’une mosquée est simplement critiquée, ou dès qu’un chien lève la patte devant ? C’est l’omerta la plus totale.
Au fait, pas de protection policière pour cette basilique alors que mosquées et synagogues sont protégées ?…
C’est de notre héritage qu’il s’agit, de notre patrimoine à tous, croyants et incroyants. Nos pères ont patiemment édifié ces églises, ces croix, ces sanctuaires, ils ont contribué physiquement, financièrement à ces constructions romanes ou gothiques mais pas seulement, qui nous sont enviées dans le monde entier.
Ce vandalisme est un aspect de la guerre qui est faite à notre civilisation.
Un organisme s’est donné pour tâche de recenser tous ces actes christianophobes. Depuis 2010, l’Observatoire de la christianophobie nous rend compte des actes de vandalisme liés aux églises ou autres calvaires historiques, statues, croix dominant paisiblement de somptueux paysages… Le résultat est accablant. Mais personne n’en parle en dehors de cet observatoire. Le sujet n’intéresse personne. Les mosquées seules sont l’objet de tous les soins des médias et des hommes politiques.
Dès qu’un lardon est mis dans la boîte aux lettres d’une mosquée, on entend des cris d’indignation. C’est ce qui est arrivé à un Lorrain en 2016. Il n’a eu « que » six mois de prison avec sursis.
Qu’il ne se plaigne pas : un Anglais a pris, lui, un an ferme de prison et y est mort, probablement des suites des mauvais traitements de ses codétenus musulmans…
Mais quand une église est taguée, avec des vitraux cassés, des statues jetées par terre, des débuts d’incendie, et le ciboire vidé de son contenu, personne ne dit rien. Le coupable n’est pas arrêté. Ce n’est pas grave. Personne n’en parle, et surtout pas au 20 h.
Car en France les victimes deviennent des coupables. Si les églises sont vandalisées, c’est la faute des cathos, ils n’ont qu’à devenir musulmans et tout ira bien…
Le mois de février 2019 a été particulièrement éprouvant pour les édifices religieux catholiques. Il a battu tous les records. L’Observatoire de la christianophobie l’écrit :
« « Nous avons en effet pu enregistrer et documenter quelque 47 actes graves commis dans 18 départements différents : 15 actes de vandalisme, 15 vols, 10 profanations et 1 incendie criminel à l’encontre de lieux de culte…
Sur le 1er bimestre de 2019, nous enregistrons déjà 65 actes graves (+ 25 % par rapport au 1er bimestre de 2018). »
Il s’agit de plus d’un acte par jour. On vole des objets religieux : sept fois dans sept endroits différents dans le département de la Vienne, simplement le mois dernier.
Mais ce qui paraît pire que le vol, ce sont les actes de dégradation et de vandalisme volontaires. Cela intéresse non seulement les pratiquants, mais aussi tous ceux auxquels le respect de ces objets ou bâtiments importe. Tous les départements de France sont concernés par ce vandalisme, sans exception. Que ce soit à Caen, en Bretagne, ou encore à Dijon, Lyon, Lavaur, Nîmes…
Le Point a quand même abordé le problème, car dessiner dans une église une croix avec des excréments vient d’une imagination particulièrement atteinte :
https://www.lepoint.fr/faits-divers/plusieurs-eglises-vandalisees-ces-derniers-jours-11-02-2019-2292517_2627.php
Dans la commune de l’Hôtellerie-de-Flée dans le Maine-et-Loire, une statue de la Vierge a été décapitée le mois dernier. La décapitation de statues est un sport auquel se livrent volontiers certaines racailles, signant par là leur acte… n’est-ce pas justement le Coran qui promeut la décapitation ?… En tout cas on ne voit jamais, en France, des bouddhistes ou des Témoins de Jéhovah s’attaquer à des lieux de culte chrétiens.
L’église de Houilles dans les Yvelines a été vandalisée trois fois ces derniers quinze jours. Elle a l’avantage d’être située près d’une zone fortement islamisée.
  À Saint-Germain-en-Laye existe dans la forêt un sentier de 18 km avec des oratoires très anciens qui sont régulièrement vandalisés depuis 2000. À peine réparés, ils sont à nouveau détériorés volontairement. L’église du centre-ville elle-même a été atteinte par un début d’incendie. Insuffisance du tableau électrique, ont dit, la bouche en cœur, les responsables. On les croit sur parole… À Toulon, la chapelle de l’arsenal, pourtant sur un site gardé jour et nuit, a été vandalisée. L’affaire a été étouffée.
Et cela, partout en France.
« Pas trop de vagues », semble rester le mot d’ordre de la majorité de la hiérarchie catholique. Le curé de Sartrouville l’a bien compris : il n’a pas mis de cloche dans le clocher de sa nouvelle église, pour amadouer ses voisins majoritairement musulmans qui sinon, pourraient être gênés, les pauvres.
Il y a encore pire : à Carcassonne, à plusieurs reprises, des « jeunes » sont entrés dans une église pendant la messe et ont caillassé les fidèles qui y assistaient. Qu’on se rassure, les fidèles ne seront plus caillassés quand il n’y aura plus d’églises pour le culte…
À ce rythme-là de destructions, même si nous sommes riches en monuments chrétiens, bientôt il n’y en aura plus, tandis que des mosquées-casernes seront semées sur tout le territoire, et qu’à Marseille on commence à entendre l’appel à la prière… pour la plus grande joie des médias et autres politiciens soumis, sans parler des adorateurs du prophète controversé. Et ce, dans un silence général.
Alors que tous, croyants et incroyants attachés à notre patrimoine, nous devrions hurler notre indignation, urbi et orbi, parce qu’il n’y a que cela qui fonctionne. Mais quand on voit que la pétition de la Manif pour tous a été jetée aux orties, on peut penser que les catholiques ne sont plus respectés dans ce pays qu’ils ont pourtant forgé de leurs mains depuis Clovis, même s’ils ne vont plus trop dans les églises…
Sophie Durand

Aurélien Taché n’a jamais vécu au Maghreb : moi si !

Publié le 7 mars 2019 - par  - 13 commentaires - 1 704 vues

Une étoile est née ! Un certain Aurélien Taché, député LREM*, quasi inconnu jusqu’à ces derniers jours, est sorti de l’anonymat pour nous apporter la bonne parole et éclairer nos esprits embrumés. Un regard sur Wikipédia nous apprend, entre autres :
Membre de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée, il est le coordinateur(« whip ») du groupe LREM au sein de celle-ci jusqu’en janvier 201812. Il démissionne de cette fonction en indiquant avoir « sous-estimé l’aspect technique et surestimé l’aspect politique de la fonction »13. Contexte indique que lui et Valérie Oppelt, qui a démissionné du même poste à la même période, « ont en réalité été débarqués car ils ne donnaient pas satisfaction », selon « plusieurs sources au sein du groupe LRM »14. De son côté, L’Obs indique qu’« en réalité, plusieurs élus de son parti l’ont pris en grippe »2.
Aurélien Taché arrête ses études en troisième et fait alors un apprentissage en plomberie1,2. À 19 ans il s’engage dans des études de droit public à l’université de Limoges. Au cours de ses études, il est président de l’UNEF Limoges3.
Mais nulle part n’apparaissent des études, thèses ou doctorats portant sur l’islam. Pourtant Aurélien Taché est affirmatif :
« Il y a un antisémitisme en banlieue. Mais il ne prend pas sa source dans l’immigration ou dans les versets du Coran, il la prend dans l’ignorance et le sentiment anti-élites. » Ah bon !
Monsieur Taché n’a apparemment jamais vécu dans un pays du Maghreb – moi si – et suffisamment longtemps pour en connaître les particularités. Il ne sait donc pas que toutes les villes importantes étaient constituées de trois quartiers : la Médina, habitée par les musulmans, le Mellah habité par les juifs et la ville « nouvelle » habitée par les Européens, Français, Espagnols, Portugais entre autres. La soi-disant « entente cordiale » entre maghrébins et juifs n’est que pure fiction. De même le couplet sur la pauvreté qui serait à l’origine de tous les débordements de la communauté musulmane est une fable que l’on nous sert depuis trop longtemps ! Non, Monsieur Taché, les musulmans ne sont pas des boucs émissaires comme vous le prétendez, mais des responsables et des coupables qui profitent allègrement de la stupidité de nos dirigeants dont vous êtes un exemple particulièrement représentatif, vous qui n’avez sans doute jamais  ouvert un Coran. Vous auriez pu y lire : Sourate V verset 51 :
 « Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les juifs et les chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés devient un des leurs, Allah ne guide certes pas les gens injustes. »
Ou encore comment Mahomet fit massacrer la tribu juive des Banu Qurayza
Monsieur Taché parle d’islam « politique » par opposition à un islam qui ne le serait pas, il ne sait pas qu’il n’y a qu’un seul et même islam qui régit toute la vie des musulmans jusque dans ses moments les plus intimes.
« Il ne faut pas exagérer, il n’y a pas cent cinquante Molenbeek en France, ce n’est pas vrai » dixit le sieur Taché ; il a raison le cher homme : en 2014 déjà, il y avait 751 zones de non-droit, appelées pudiquement : Zones Urbaines Sensibles (Zus)
(Valeurs Actuelles – 21 août 2014)
« Aujourd’hui, il n’y a pas un Noir ou un Arabe parmi les maires des cinquante plus grosses villes ».
Je crie à la discrimination ! Et les Asiatiques, y a-t-il des maires d’origine asiatique ?
L’Enseignement est aussi dans les préoccupations de M. Taché :
« Notre priorité doit être de l’y faire reculer (la pauvreté) et d’investir dans les établissements scolaires qui y sont sous-dotés et où les profs absents ne sont pas remplacés. Nous avons commencé à le faire en limitant à douze élèves les classes de CP. Il y a plus de difficultés dans ces quartiers, il faut y mettre plus de moyens et assumer une logique de discrimination positive territoriale ».
Des classes de douze ! N’est-ce pas un peu trop ?? Pour information : j’ai effectué toutes mes études au Maroc, dans des classes comptant entre 28 et 31 élèves, qui plus est dans des classes multiethniques où les non-français d’origine, notamment les Marocains « tiraient leur épingle du jeu » et figuraient dans les palmarès de fin d’année ainsi que le prouve le document ci-dessus . La différence avec les populations musulmanes des banlieues ? À cette époque, les élèves de toutes origines allaient en classe pour apprendre, pas pour faire les bouffons mal élevés et agressifs, et sortaient avec des diplômes, pas des « bouts de papier » surnotés, sans aucune valeur.
Taché accumule mensonges et contre-vérités – avec un culot certain – comme d’autres enfilent des perles – perles d’inculture, cela va sans dire !

Oriana Garibaldi

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